Ton histoire me rappelle celle de Dotapea.com , un site franco-belge sur les techniques d'arts plastiques anciennes ou innovantes (orienté en grande partie sur la peinture) avec un travail de documentation mélant archives, savoir oral, recettes, expérimentations et des témoignages de chercheurs, physiciens, chimistes, artistes, restaurateurs ou même de fabricants. Une bibliothèque d'Alexandrie pour tous ceux qui cherchent à comprendre les aspects techniques et à aller au-dela des fournitures beaux-arts en substituant le prémélangé ou en utilisant différemment les ingrédients de base.
Lui aussi a fermé il y a quelques années et est en grande partie consultable grace à archive.org, mais sa licence "tous droit réservés" empèchent toute reprise du site ou repartage (légal) de ce savoir.
En vrai ? Ça va m'ennuyer. Si toi tu as le temps pour ça, éh bien tant mieux.
Si t'es pas fichu de prendre 2mn pour comprendre de qui on parle et pourquoi ces réactions, le mieux c'est de t'abstenir de partager ton opinion. Tu perdrais encore moins de temps mon gars.
D'ailleurs en te foutant ouvertement de ma gueule, tu perds toute crédibilité pour donner des leçons de politesse.
Posté par Anonyme .
En réponse au message erreur logiciel détecter.
Évalué à 3.
Dernière modification le 18 août 2019 à 12:52.
Alors c'est qu'on lui a mal expliqué. Peut-être dès le début.
Si la demande commence à agacer, il devrait être possible de le dire, tranquillement ;)
Même chose que pour Deuzene : Consulte son historique et aussi celui de son deuxième compte bbfaure et tu constateras que la méthode pédagogique a déjà été suivie à plusieurs reprises.
C'est le principe des débutants
Je n'ai pas ajouté l'adjectif "éternel" sans raison.
Ne répondre grosso-modo qu'à une demande de précision sur dix (simplement répondre au message reçu, même pour dire qu'on comprend pas) c'est pas le comportement d'une personne qui veut de l'aide pour progresser mais de quelqu'un qui veut une réponse rapide emballée dans un tuto qu'il a finalement trouvé en cherchant un peu (par exemple en trouvant les sujets similaires sur ubuntu.fr). On est sur un forum d'entraide, pas un SAV.
Posté par Anonyme .
En réponse au message erreur logiciel détecter.
Évalué à 3.
Dernière modification le 18 août 2019 à 08:33.
Sauf que c'est loin d'être la première fois que kinder (a.k.a. bbfaure) nous fait le coup.
Comme pour Moimeme, au bout d'un moment ras le bol des éternels débutants incapables d'être un minimum autonomes et qui éventuellement reviennent quelques jours plus tard pour te dire qu'ils ont tout réinstallé.
J'ai déjà eu de très mauvaises expériences dans le cadre de la préparation d'une exposition photographique.
Là tu prends un cas extrême en terme d'exigence. La plupart du temps le graphiste maison peut arranger les courbes lui-même pour conserver un rendu convenable et il est possible de lui laisser quelques indications sur les éléments réellement importants. Après il y a toujours des imprimeries moins consciencieuses ou moins arrangeantes que d'autres.
Dans ton cas, une prévisualisation et un export depuis Scribus aurait été préférable, quitte à faire le va-et-viens entre les deux logiciels pour ajuster.
Même en bossant "nativement" en quadrichromie (voire en hexachromie) il y aura inévitablement des différences parce qu'un écran à gamut étendu, manuellement calibré et avec les profils ICC adaptés ne donnera jamais qu'une estimation plus ou moins fidèle du résultat imprimé.
Et j'imagine que c'est le même problème pour n'importe quelle autre impression papier (affiche, trac, magazine, etc.).
Je n'ai pas fait beaucoup de "print" mais avant de lancer un tirage à XX exemplaires, il y a toujours des navettes pour finalement valider le BAT.
C'est d'autant plus indispensable quand tu sollicites un imprimeur avec lequel tu n'as pas l'habitude de travailler, ce qui me semble être le cas que tu décris avec tes séries de photos.
De plus bibifric05 ne me semble pas avoir affirmé que Gimp n'était pas utilisable en milieu professionnel, juste que ça manquait.
« pour un usage professionnel, il manque des choses à GIMP, … » peut aussi vouloir dire que ces manques sont des besoins de tous les pro, ce qui est autant inexact pour le CMJN que pour les calques de réglage. Telle qu'elle est écrite, cette tournure de phrase est ambigüe.
Puis assez souvent chez les imprimeurs il y a des graphistes-maquettistes en interne qui permettent d'assurer une bonne conversion pour l'impression offset et obtenir un bon-à-tirer rapidement. Pour ces postes-là, Gimp n'est pas (encore) envisageable mais aucun problème pour le graphiste qui travaille en amont.
Aussi pour de la mise en page, Scribus permet de faire la conversion pré-presse en CMJN avec, il me semble, la gestion des profils ICC.
Je sais bien mais tout dépend de son métier, "infographiste" c'est assez générique comme terme. Bon nombre de graphistes-illustrateurs utilisent PS parce que c'est le logiciel sur lequel on leur a enseigné.
Oui ça fait pas mal de temps déjà que GIMP possède un mode fenêtre unique (au moins 5 ans il me semble). Mais le mode classique reste bien utile pour déporter la zone de dessin sur un second moniteur et travailler en plein écran.
Après pour la comparaison je peux pas trop dire, j'ai pas touché à PS depuis la version 7 il y a bien dix ans et je ne me souviens pas de la difficulté de transition.
Sinon regarde aussi si MyPaint, Krita et d'autres logiciels libres d'infographie peuvent davantage lui correspondre.
Première visite d'un utilisateur, dois-je désactiver le chargement de ces scripts (qui vont assurément déposer quelques cookies) avant d'avoir obtenu son consentement ?
Je ne connais ni Facebook ni Google Analytics, mais Matomo (Piwik) propose de demander le consentement avant de déposer des cookies.
Je regardais le code sur GitHub (parce que j’ai pas compris ce que obtenirMasque() devait faire) et je suis tombé sur hangman-exercises/fr/a.py#L12.
Si j’étais prof et que mes élèves me faisaient une boucle for pour trouver si une lettre est dans un mot en Python, je mettrais genre 5/20 (pour “l’encre”).
Très juste Jehan.
J'ajouterai que dans la communication visuelle en général, la bonne pratique est de ne pas transmettre d'information uniquement par la couleur mais en complément d'autres variables.
Il est même tout à fait possible de se substituer à la couleur en jouant sur le contraste en niveaux de gris, la forme des éléments (exemple : les touches d'une manette Playstation, les "couleurs" d'un jeu de cartes), la netteté (gestion du flou, de la profondeur de champ), les traits (pointillés, épaisseur, soulignage, caractères gras), les motifs et textures (hachurage, tramage, grain), le rapport de taille, le mouvement (clignotement, déplacement de caméra), la perspective (objectif photographique, déformation des lignes, position de la ligne d'horizon et des points de fuite), l'éclairage (position et nombre des sources lumineuses, sur/sous-exposition, réflexion), etc.
Oui parce que tout dépend de la taille des composants et de la vue.
Perso, pour des résistances quart de Watt format 1206 (3216 en métrique) les sérigraphies sont encore bien lisibles à l'œil nu avec un bon éclairage et leur manipulation ne me demande pas une précision chirurgicale. Dans ce cas, l'usage de la loupe ou du microscope m'apporte davantage un gain de confort.
L'amateur qui veut concevoir ses circuits aura tout intérêt à privilégier des boitiers CMS pas trop miniaturisés pour faciliter le placement et la réparation.
Du coup si tu es daltonien, impossible de savoir la valeur de la résistance que tu dois utiliser!
C'est totalement faux.
Ici avec la loi d'Ohm, qu'un cours sérieux t'a normalement appris précédemment, tu peux calculer la valeur de la résistance en série avec la LED si tu as ses caractéristiques. C'est le b.a.-ba, ça t'évite de cramer les composants de ton kit de démarrage et ça te permet d'adapter le circuit avec un autre composant que tu as sous la main.
Et avec un tout petit peu de déduction, il est facile de comprendre que la deuxième résistance est une simple pull-down qu'on peut très certainement supprimer en activant la résistance pull-up interne de l'entrée du microcontroleur (dont le datasheet indique qu'elle vaut aussi 100kΩ, comme de pas par hasard), en déplaçant le capteur entre l'entrée et la masse et en intervertissant les états hauts et bas dans le code.
Bref, tu ne fais que démontrer le défaut de vouloir tout apprendre avec des tutos sans passer d'abord par les bases théoriques.
Mais c'est pas forcément le cas partout
Si un cours ou un tuto ne te présente que ce genre de schéma sans introduire la notation standard, celui-ci est tout simplement à éviter que tu sois daltonien ou non.
Puis après pour travailler en embarqué, le code couleur finalement n'a pas une grande importance non plus. De nombreuses résistances sont trop petites pour avoir un tel code couleur. On travaille avec des schémas (donc on sait qu'une résistance à cet endroit doit avoir telle valeur de résistance). Puis au pire il y a le ohmmètre pour mesurer en cas de doute.
Pour les composants de surface assez gros pour être sérigraphiés, la valeur de la résistance est souvent écrite en toute lettre, du genre R45, mais pas la tolérance. La lampe-loupe est de rigueur mais bon, quand on fait du CMS c'est quasiment indispensable.
Mais même avec du composant traversant, le marquage est souvent inutile car peu de gens l'ont appris par cœur et mesurer à l’ohmmètre c'est tout aussi rapide que déchiffrer le code et en pratique, ça donne la résistance réelle du composant au lieu d'une valeur normée idéale et d'un seuil de tolérance.
En plus il est souvent nécessaire de faire correspondre plusieurs unités d'un même composant ou de trouver une pièce de son stock avec une valeur précise quand on touche à de l'électronique analogique donc là pas le choix que de mesurer les caractéristiques individuelles.
Pire que ça : Raspbian est uniquement basé sur armel, le port Debian pour le jeu d'instruction ARMv4t qui gère les flottants de façon logicielle, donc c'est très suboptimal.
Je ne sais pas si d'autres projets sont compilés en 64bits…
On peut construire une Debian pour chaque portage ARM, d'ailleurs des images précompilées existent pour chaque RaspberryPi.
Ubuntu et Archlinux proposent la même chose.
ps : pour info, j'utilise au quotidien un tout petit portable, avec un cpu plus récent mais peu puissant, avec 2g de ram aussi, et surtout avec un "disque" qui est très mauvais : une carte eMMC. Et ça se passe très très bien, tout le temps. Je fais juste attention avec Firefox de ne pas avoir 10 onglets ouverts.
Plutôt que de swapper directement, zswap est un bon moyen de doubler (voire tripler) en capacité mémoire pour un coût en latence et en utilisation processeur négligeable comparé au swap sur disque à plateau ou eMMC/SD.
Sinon sur l'écrasante majorité des appareils Android il n'y a pas du tout de partition swap sur la nand flash mais un zram configuré en swap. C'est ce que je fais sur tout mon parc d'ordi (AMD64 et ARM) depuis 5 ans environ et ça fonctionne très bien qu'ils aient 1, 4 ou 16Go de RAM.
je cherche a installer le paquet texlive sur un petit serveur avec une Debian installé -> not found tiens marrant je faisait des mise à jour il y a encore quelques mois.
mmh après recherche j’apprends que mon Debian est devenu old old stable : plus aucun dépôt n'existe sur terre :(, pfiu le temps passe vite ! et Debian évolue rapidement. Les petits serveurs dans un coin qui marche c'est cool mais cela s'oublie vite.
j'aurais du faire les DVD des dépôts avant.
petit stress quand même pour la mise à jour vers Debian 9 de toute urgence, urgence ça cohabite mal avec mise à jour majeur
toi tu parles depuis le début de Raspberry Pi donc de l'ARM 32 bits
Ce qui n'est même plus vrai. Comme je le laissais sous-entendre dans mon message précédent, le premier Pi et le zero sont en jeu d'instruction ARMv6 (le vénérable port armel dans Debian) le deuxième en ARMv7 (32bits avec FPU : port armhf) et depuis le troisième c'est du ARMv8 (64bits : port ARM64).
Mais comme tu le dis, peu importe vu que LibreOffice ne maintient pas les processeurs ARM, même les actuels en 64bits.
Et vu l'arrivée des chromebooks et autres Pinebook en ARMv8 avec une taille de RAM désormais confortable pour de la bureautique, ils cherchent peut-être à viser cette architecture-ci en libérant les ressources utilisées par le maintient des x86 32bits.
même si ça n'est pas le seule suite bureautique libre existante.
Justement cette nouvelle version tombe à point nommé et une telle dépêche que ce soit sur LibreOffice, Calligra ou une autre suite permettra de contre-balancer le récent forcing de Onlyoffice (quatre dépêches en quelques mois, perso je trouve ça trop).
y a-t-il qqchose que saurait faire le FPGA et pas le microcontrôleur
Il me semble que c'est une question qui revient souvent sur DLFP quand on parle de FPGA. Si je dis pas de conneries, un FPGA peut être programmé comme un circuit spécialisé pour travailler avec une forte parallélisation permettant de faire différentes tâches en simultané et sans risque de mise en concurrence des ressources (contrairement aux registres et pipelines d'un CPU classique).
Il est aussi possible de carrément isoler les tâches de bout en bout et de faire des parties indépendantes avec des architectures diverses (CPU, traitement de signaux façon DSP, logique câblée façon TTL) et des besoins en latence différents.
Forcément quand tu touches un sujet que beaucoup de gens dans l'auditoire maitrisent mieux que toi et que tu présentes tes avis sur un ton péremptoire sans aucune humilité, tu t'exposes à des réactions agacées ou moqueuses.
il me semble que si tu fait shorewall stop, cela risque de merdouiller grave avec les regle iptable que tu rentre par la suite, j'ai du le lire dans la doc il y a longtemps :).
tu devrais vraiment soit supprimer shorewall, soit ne pas le lancer au demarrage avec /etc/default/shorewall
# Même chose en analogique
Posté par Anonyme . En réponse au journal Glossaire de l'infographiste d'André Pascual et réflexions sur communauté et continuité de projet. Évalué à 7. Dernière modification le 18 août 2019 à 21:17.
Ton histoire me rappelle celle de Dotapea.com , un site franco-belge sur les techniques d'arts plastiques anciennes ou innovantes (orienté en grande partie sur la peinture) avec un travail de documentation mélant archives, savoir oral, recettes, expérimentations et des témoignages de chercheurs, physiciens, chimistes, artistes, restaurateurs ou même de fabricants. Une bibliothèque d'Alexandrie pour tous ceux qui cherchent à comprendre les aspects techniques et à aller au-dela des fournitures beaux-arts en substituant le prémélangé ou en utilisant différemment les ingrédients de base.
Lui aussi a fermé il y a quelques années et est en grande partie consultable grace à archive.org, mais sa licence "tous droit réservés" empèchent toute reprise du site ou repartage (légal) de ce savoir.
[^] # Re: Tout d'abord
Posté par Anonyme . En réponse au message erreur logiciel détecter. Évalué à 0.
Si t'es pas fichu de prendre 2mn pour comprendre de qui on parle et pourquoi ces réactions, le mieux c'est de t'abstenir de partager ton opinion. Tu perdrais encore moins de temps mon gars.
D'ailleurs en te foutant ouvertement de ma gueule, tu perds toute crédibilité pour donner des leçons de politesse.
[^] # Re: Tout d'abord
Posté par Anonyme . En réponse au message erreur logiciel détecter. Évalué à 3. Dernière modification le 18 août 2019 à 12:52.
Même chose que pour Deuzene : Consulte son historique et aussi celui de son deuxième compte bbfaure et tu constateras que la méthode pédagogique a déjà été suivie à plusieurs reprises.
Je n'ai pas ajouté l'adjectif "éternel" sans raison.
Ne répondre grosso-modo qu'à une demande de précision sur dix (simplement répondre au message reçu, même pour dire qu'on comprend pas) c'est pas le comportement d'une personne qui veut de l'aide pour progresser mais de quelqu'un qui veut une réponse rapide emballée dans un tuto qu'il a finalement trouvé en cherchant un peu (par exemple en trouvant les sujets similaires sur ubuntu.fr). On est sur un forum d'entraide, pas un SAV.
[^] # Re: Tout d'abord
Posté par Anonyme . En réponse au message erreur logiciel détecter. Évalué à 3. Dernière modification le 18 août 2019 à 08:33.
Sauf que c'est loin d'être la première fois que kinder (a.k.a. bbfaure) nous fait le coup.
Comme pour Moimeme, au bout d'un moment ras le bol des éternels débutants incapables d'être un minimum autonomes et qui éventuellement reviennent quelques jours plus tard pour te dire qu'ils ont tout réinstallé.
Quoi qu'il en soit, bon courage à toi.
[^] # Re: GIMP 2.10 suite
Posté par Anonyme . En réponse au journal Tweak d'interface Gimp à la PS-like pour une transition en douceur vers du libre . Évalué à 6. Dernière modification le 18 août 2019 à 07:47.
Là tu prends un cas extrême en terme d'exigence. La plupart du temps le graphiste maison peut arranger les courbes lui-même pour conserver un rendu convenable et il est possible de lui laisser quelques indications sur les éléments réellement importants. Après il y a toujours des imprimeries moins consciencieuses ou moins arrangeantes que d'autres.
Dans ton cas, une prévisualisation et un export depuis Scribus aurait été préférable, quitte à faire le va-et-viens entre les deux logiciels pour ajuster.
Même en bossant "nativement" en quadrichromie (voire en hexachromie) il y aura inévitablement des différences parce qu'un écran à gamut étendu, manuellement calibré et avec les profils ICC adaptés ne donnera jamais qu'une estimation plus ou moins fidèle du résultat imprimé.
Je n'ai pas fait beaucoup de "print" mais avant de lancer un tirage à XX exemplaires, il y a toujours des navettes pour finalement valider le BAT.
C'est d'autant plus indispensable quand tu sollicites un imprimeur avec lequel tu n'as pas l'habitude de travailler, ce qui me semble être le cas que tu décris avec tes séries de photos.
« pour un usage professionnel, il manque des choses à GIMP, … » peut aussi vouloir dire que ces manques sont des besoins de tous les pro, ce qui est autant inexact pour le CMJN que pour les calques de réglage. Telle qu'elle est écrite, cette tournure de phrase est ambigüe.
[^] # Re: Version Black à la PS CS6/CC
Posté par Anonyme . En réponse au journal Tweak d'interface Gimp à la PS-like pour une transition en douceur vers du libre . Évalué à 3.
Pardon j'avais mal compris :)
[^] # Re: GIMP 2.10 suite
Posté par Anonyme . En réponse au journal Tweak d'interface Gimp à la PS-like pour une transition en douceur vers du libre . Évalué à 2.
Puis assez souvent chez les imprimeurs il y a des graphistes-maquettistes en interne qui permettent d'assurer une bonne conversion pour l'impression offset et obtenir un bon-à-tirer rapidement. Pour ces postes-là, Gimp n'est pas (encore) envisageable mais aucun problème pour le graphiste qui travaille en amont.
Aussi pour de la mise en page, Scribus permet de faire la conversion pré-presse en CMJN avec, il me semble, la gestion des profils ICC.
[^] # Re: Version Black à la PS CS6/CC
Posté par Anonyme . En réponse au journal Tweak d'interface Gimp à la PS-like pour une transition en douceur vers du libre . Évalué à 2.
Je sais bien mais tout dépend de son métier, "infographiste" c'est assez générique comme terme. Bon nombre de graphistes-illustrateurs utilisent PS parce que c'est le logiciel sur lequel on leur a enseigné.
[^] # Re: Version Black à la PS CS6/CC
Posté par Anonyme . En réponse au journal Tweak d'interface Gimp à la PS-like pour une transition en douceur vers du libre . Évalué à 5.
Oui ça fait pas mal de temps déjà que GIMP possède un mode fenêtre unique (au moins 5 ans il me semble). Mais le mode classique reste bien utile pour déporter la zone de dessin sur un second moniteur et travailler en plein écran.
Après pour la comparaison je peux pas trop dire, j'ai pas touché à PS depuis la version 7 il y a bien dix ans et je ne me souviens pas de la difficulté de transition.
Sinon regarde aussi si MyPaint, Krita et d'autres logiciels libres d'infographie peuvent davantage lui correspondre.
[^] # Re: Code
Posté par Anonyme . En réponse au journal Apprentissage de la programmation : comment moderniser les exercices. Évalué à 3.
Est-ce que le but c’est de leur apprendre la programmation correctement ou juste de leur faire faire des boucles
for
inutile ?Non, parce que je pense que
var in other_var
existe dans une majorité de langage.# Matomo
Posté par Anonyme . En réponse au message RGPD, cookies et consentement. Dans quel ordre ?. Évalué à 4.
Je ne connais ni Facebook ni Google Analytics, mais Matomo (Piwik) propose de demander le consentement avant de déposer des cookies.
# Code
Posté par Anonyme . En réponse au journal Apprentissage de la programmation : comment moderniser les exercices. Évalué à 3.
Je regardais le code sur GitHub (parce que j’ai pas compris ce que
obtenirMasque()
devait faire) et je suis tombé sur hangman-exercises/fr/a.py#L12.Si j’étais prof et que mes élèves me faisaient une boucle
for
pour trouver si une lettre est dans un mot en Python, je mettrais genre 5/20 (pour “l’encre”).[^] # Re: Quelles solutions ?
Posté par Anonyme . En réponse au lien Du choix des couleurs des résistances pour le matériel informatique, invisibles aux Daltoniens !. Évalué à 3. Dernière modification le 16 août 2019 à 13:57.
Très juste Jehan.
J'ajouterai que dans la communication visuelle en général, la bonne pratique est de ne pas transmettre d'information uniquement par la couleur mais en complément d'autres variables.
Il est même tout à fait possible de se substituer à la couleur en jouant sur le contraste en niveaux de gris, la forme des éléments (exemple : les touches d'une manette Playstation, les "couleurs" d'un jeu de cartes), la netteté (gestion du flou, de la profondeur de champ), les traits (pointillés, épaisseur, soulignage, caractères gras), les motifs et textures (hachurage, tramage, grain), le rapport de taille, le mouvement (clignotement, déplacement de caméra), la perspective (objectif photographique, déformation des lignes, position de la ligne d'horizon et des points de fuite), l'éclairage (position et nombre des sources lumineuses, sur/sous-exposition, réflexion), etc.
[^] # Re: Quelles solutions ?
Posté par Anonyme . En réponse au lien Du choix des couleurs des résistances pour le matériel informatique, invisibles aux Daltoniens !. Évalué à 2.
Oui parce que tout dépend de la taille des composants et de la vue.
Perso, pour des résistances quart de Watt format 1206 (3216 en métrique) les sérigraphies sont encore bien lisibles à l'œil nu avec un bon éclairage et leur manipulation ne me demande pas une précision chirurgicale. Dans ce cas, l'usage de la loupe ou du microscope m'apporte davantage un gain de confort.
L'amateur qui veut concevoir ses circuits aura tout intérêt à privilégier des boitiers CMS pas trop miniaturisés pour faciliter le placement et la réparation.
[^] # Re: Quelles solutions ?
Posté par Anonyme . En réponse au lien Du choix des couleurs des résistances pour le matériel informatique, invisibles aux Daltoniens !. Évalué à 6.
C'est totalement faux.
Ici avec la loi d'Ohm, qu'un cours sérieux t'a normalement appris précédemment, tu peux calculer la valeur de la résistance en série avec la LED si tu as ses caractéristiques. C'est le b.a.-ba, ça t'évite de cramer les composants de ton kit de démarrage et ça te permet d'adapter le circuit avec un autre composant que tu as sous la main.
Et avec un tout petit peu de déduction, il est facile de comprendre que la deuxième résistance est une simple pull-down qu'on peut très certainement supprimer en activant la résistance pull-up interne de l'entrée du microcontroleur (dont le datasheet indique qu'elle vaut aussi 100kΩ, comme de pas par hasard), en déplaçant le capteur entre l'entrée et la masse et en intervertissant les états hauts et bas dans le code.
Bref, tu ne fais que démontrer le défaut de vouloir tout apprendre avec des tutos sans passer d'abord par les bases théoriques.
Si un cours ou un tuto ne te présente que ce genre de schéma sans introduire la notation standard, celui-ci est tout simplement à éviter que tu sois daltonien ou non.
[^] # Re: Quelles solutions ?
Posté par Anonyme . En réponse au lien Du choix des couleurs des résistances pour le matériel informatique, invisibles aux Daltoniens !. Évalué à 3.
Pour les composants de surface assez gros pour être sérigraphiés, la valeur de la résistance est souvent écrite en toute lettre, du genre R45, mais pas la tolérance. La lampe-loupe est de rigueur mais bon, quand on fait du CMS c'est quasiment indispensable.
Mais même avec du composant traversant, le marquage est souvent inutile car peu de gens l'ont appris par cœur et mesurer à l’ohmmètre c'est tout aussi rapide que déchiffrer le code et en pratique, ça donne la résistance réelle du composant au lieu d'une valeur normée idéale et d'un seuil de tolérance.
En plus il est souvent nécessaire de faire correspondre plusieurs unités d'un même composant ou de trouver une pièce de son stock avec une valeur précise quand on touche à de l'électronique analogique donc là pas le choix que de mesurer les caractéristiques individuelles.
[^] # Re: bof
Posté par Anonyme . En réponse au journal À propos de LibreOffice 6.3. Évalué à 3. Dernière modification le 14 août 2019 à 10:50.
Pire que ça : Raspbian est uniquement basé sur armel, le port Debian pour le jeu d'instruction ARMv4t qui gère les flottants de façon logicielle, donc c'est très suboptimal.
On peut construire une Debian pour chaque portage ARM, d'ailleurs des images précompilées existent pour chaque RaspberryPi.
Ubuntu et Archlinux proposent la même chose.
[^] # Re: peut-être changer le lecteur CD
Posté par Anonyme . En réponse au message j'essaie de passer à Linux. Évalué à 3.
Plutôt que de swapper directement, zswap est un bon moyen de doubler (voire tripler) en capacité mémoire pour un coût en latence et en utilisation processeur négligeable comparé au swap sur disque à plateau ou eMMC/SD.
Sinon sur l'écrasante majorité des appareils Android il n'y a pas du tout de partition swap sur la nand flash mais un zram configuré en swap. C'est ce que je fais sur tout mon parc d'ordi (AMD64 et ARM) depuis 5 ans environ et ça fonctionne très bien qu'ils aient 1, 4 ou 16Go de RAM.
# petite histoire
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Debian 10 Buster : une distribution qui a du chien. Évalué à 2.
je cherche a installer le paquet texlive sur un petit serveur avec une Debian installé -> not found tiens marrant je faisait des mise à jour il y a encore quelques mois.
mmh après recherche j’apprends que mon Debian est devenu old old stable : plus aucun dépôt n'existe sur terre :(, pfiu le temps passe vite ! et Debian évolue rapidement. Les petits serveurs dans un coin qui marche c'est cool mais cela s'oublie vite.
j'aurais du faire les DVD des dépôts avant.
petit stress quand même pour la mise à jour vers Debian 9 de toute urgence, urgence ça cohabite mal avec mise à jour majeur
[^] # Re: bof
Posté par Anonyme . En réponse au journal À propos de LibreOffice 6.3. Évalué à 4.
Ce qui n'est même plus vrai. Comme je le laissais sous-entendre dans mon message précédent, le premier Pi et le zero sont en jeu d'instruction ARMv6 (le vénérable port armel dans Debian) le deuxième en ARMv7 (32bits avec FPU : port armhf) et depuis le troisième c'est du ARMv8 (64bits : port ARM64).
Mais comme tu le dis, peu importe vu que LibreOffice ne maintient pas les processeurs ARM, même les actuels en 64bits.
Et vu l'arrivée des chromebooks et autres Pinebook en ARMv8 avec une taille de RAM désormais confortable pour de la bureautique, ils cherchent peut-être à viser cette architecture-ci en libérant les ressources utilisées par le maintient des x86 32bits.
[^] # Re: Faut une dépêche pour annoncer cette sortie
Posté par Anonyme . En réponse au journal À propos de LibreOffice 6.3. Évalué à 6.
Justement cette nouvelle version tombe à point nommé et une telle dépêche que ce soit sur LibreOffice, Calligra ou une autre suite permettra de contre-balancer le récent forcing de Onlyoffice (quatre dépêches en quelques mois, perso je trouve ça trop).
[^] # Re: bof
Posté par Anonyme . En réponse au journal À propos de LibreOffice 6.3. Évalué à 4.
Il devrait pas y avoir de problèmes avec Raspbian vu que Debian propose les paquets binaires pour les plate-formes armel et armhf (ainsi que "i386").
[^] # Re: Chouette un nouveau jouet !
Posté par Anonyme . En réponse au journal FireAnt : Un kit FPGA à moins de $30 avec un nouveau venu dans le domaine du FPGA. Évalué à 6.
Pour une idée d'application, Électro-Bidouilleur a réalisé un diviseur de fréquence, un compteur (non… c'est pas TapTempo) et enfin un fréquencemètre.Ici la liste Youtube de sa série de vidéo sur ce projet.
Il me semble que c'est une question qui revient souvent sur DLFP quand on parle de FPGA. Si je dis pas de conneries, un FPGA peut être programmé comme un circuit spécialisé pour travailler avec une forte parallélisation permettant de faire différentes tâches en simultané et sans risque de mise en concurrence des ressources (contrairement aux registres et pipelines d'un CPU classique).
Il est aussi possible de carrément isoler les tâches de bout en bout et de faire des parties indépendantes avec des architectures diverses (CPU, traitement de signaux façon DSP, logique câblée façon TTL) et des besoins en latence différents.
[^] # Re: pas d'alias !
Posté par Anonyme . En réponse au journal Écrire des liens pérennes dans ses pages web. Évalué à 7.
Forcément quand tu touches un sujet que beaucoup de gens dans l'auditoire maitrisent mieux que toi et que tu présentes tes avis sur un ton péremptoire sans aucune humilité, tu t'exposes à des réactions agacées ou moqueuses.
[^] # Re: juste au cas ou
Posté par Anonyme . En réponse au message Pourquoi ça (SSH de l’hôte vers l’invité) ça passe, mais d’autres port non ?. Évalué à 2. Dernière modification le 31 juillet 2019 à 21:28.
il me semble que si tu fait shorewall stop, cela risque de merdouiller grave avec les regle iptable que tu rentre par la suite, j'ai du le lire dans la doc il y a longtemps :).
tu devrais vraiment soit supprimer shorewall, soit ne pas le lancer au demarrage avec /etc/default/shorewall
et continuer tes essais