Floss Manuals francophone est fière de vous annoncer la naissance d'un nouveau manuel libre en langue française sur le logiciel libre Scribus, dédié à la mise en page professionnelle.
Au terme d'un BookSprint de 5 jours, 8 auteurs ont produit la première documentation francophone, à jour pour la sortie officielle de la future version 1 .4. Venant de France, du Canada, de Suisse et du Niger, ils ont partagé leurs points de vue culturels et professionnels variés (imprimeur, graphiste, éditeur, auteur) pour fournir une vue large et complète de la publication à l'aide du logiciel. La moitié des personnes présentes étant par ailleurs membres de l'équipe de Scribus, les échanges au sein du groupe auront permis d'apporter des idées d'évolutions originales et de positionner la documentation comme une vraie étape de contribution au développement.
Ont participé :
- Camille Bissuel (France)
- Magaouata Dan Bourgamie (Niger)
- Louis Desjardins (Canada-Québec)
- Cédric Gémy (France)
- Thibaut Hofer (France)
- Alessandro Rimoldi (Suisse)
Les facilitatrices sont :
- Anne Goldenberg (Canada-Québec / France)
- Elisa de Castro Guerra (France)
Le booksprint a été rendu possible grâce au financement de l'Organisation Internationale de la Francophonie et s'est déroulé à Strasbourg du 6 au 10 juillet 2011, dans le cadre des Rencontres Mondiales du Logiciel Libre.
BookSprint
Méthode privilégiée de Floss Manuals Francophone pour écrire des documentations de qualité en un temps très court, elle réunit une poignée de co-auteurs de niveaux variés de connaissance du logiciel. Pour la première fois facilitée par deux personnes, la méthode évoluera encore suite aux apports et remarques des auteurs du présent manuel.
Cette méthode non statique et adaptative permet de respecter les méthodes de travail issus du libre dans le respect des contributeurs tout en assurant une qualité maximale dans le cadre donné.
Floss Manuals
Floss Manuals est une plate-forme d'écriture collaborative couplée d'outils de publications dans différents formats : web, PDF, supports papiers. Le logiciel est développé par la fondation du même nom. Cette plate-forme collaborative existe en plusieurs langues (anglais, farsi, néerlandais, finlandais et français) et publie tous ces manuels exclusivement sous licence libre.
Les traductions et les projets en français sont gérés par l'association loi 1901 Floss Manuals Francophone. Créée en 2010, elle a d'ores et déjà facilité l'ecriture de 4 manuels : Processing, PureData, Thunderbird et aujourd'hui Scribus. La plate-forme étant ouverte à tous projets, des manuels Inkscape et Audacity sont disponibles sur le site et d'autres en cours d'écriture, tel Ardour, CiviCRM, Outils de contournement, DoudouLinux…
Manuels existants
Les manuels existants sont accessibles en téléchargement au format PDF ou une lecture en ligne sur le site.
Aller plus loin
- Le manuel en ligne (3868 clics)
- les photos du BookSprint (837 clics)
- Scribus (640 clics)
- Floss Manuals francophone (1379 clics)
- Floss Manuals (210 clics)
# Deux facilitatrices
Posté par JGO . Évalué à 8.
C'est quoi une facilitatrice ? Ça marche aussi pour rendre plus faciles les exos de maths ?
[^] # Re: Deux facilitatrices
Posté par zebra3 . Évalué à 2.
Oui mais chez moi on appelle ça une calculatrice :-)
Article Quarante-Deux : Toute personne dépassant un kilomètre de haut doit quitter le Tribunal. -- Le Roi de Cœur
[^] # Re: Deux facilitatrices
Posté par fleny68 . Évalué à 1.
Une calculatrice ne rend pas lus facile les exos de maths, seulement les calculs. Et encore n'est-ce là qu'un illusion, à force de ne plus faire de calculs à la main les jeunes élèves ne comprennent plus du tout les maths.
[^] # Re: Deux facilitatrices
Posté par JGO . Évalué à 4.
Des fois c'est quand même pratique. Rien que pour les tables de logarithme :
« L'invention des logarithmes, en réduisant le temps passé aux calculs de quelques mois à quelques jours, double pour ainsi dire la vie des astronomes » -- Pierre Simon de Laplace
[^] # Re: Deux facilitatrices
Posté par fleny68 . Évalué à 1.
Les tables de logarithmes ne sont que des tables, c'est-à-dire un tableau dans lequel on lit des valeurs. Qu'on les ait sous forme papier, règle à calcul, ou calculatrice ne change pas grand chose. De même pour les fonctions trigonométriques.
Mais je ne conteste pas l'utilisation de la calculatrice (ou des ordinateurs) pour faire des maths. C'est pour les apprendre que cela pose problème (on parlait d'«exos»).
[^] # Re: Deux facilitatrices
Posté par nylnook (site web personnel) . Évalué à 2.
Pour te répondre sérieusement (tard, mes excuses !), "facilitatrice" (ou "facilitateur") est un des rôles endossés par une (ou deux dans ce cas) personne dans la méthode du Booksprint.
Principalement, la facilitatrice gère le temps et les personnes pour faire en sorte que tout le monde travaille à ce qu'il aime ... tout en ne perdant pas de vu l'avancée du groupe sur le projet.
Dans notre cas, Elisa et Anne ont aussi fait des corrections, et ont relu des chapitres avec un œil "naïf" mais ce n'est pas le cœur du rôle, qui est vraiment d'animer et de coordonner tous les sprinteurs... et c'est vraiment un boulot à part entière !
[^] # Re: Deux facilitatrices
Posté par JGO . Évalué à 2.
Merci pour la réponse sérieuse, je ne savais pas que BookSprint faisait référence à une méthode en particulier. Je viens de voir que le concept est expliqué sur Wikipédia.
# Documentation orientée topiques
Posté par Sébastien Wilmet . Évalué à 3.
Souvent, quand on veut se documenter sur un logiciel, on est intéressé seulement par faire une chose bien précise. Un manuel, qui s'apparente à un livre, c'est plutôt fait pour être lu du début à la fin.
C'est pour ça qu'une documentation orientée « topiques » est souvent plus simple pour l'utilisateur. Au lieu de ressembler à un livre, ça ressemble plus à une FAQ. Chaque topique peut être lu indépendamment des autres, avec si nécessaire des liens vers d'autres pages.
GNOME a migré déjà pas mal de sa documentation sous forme de topiques, en langage Mallard. Au Desktop Summit il y a eu une conférence sur le sujet, et l'auteur en a fait un résumé sur son blog.
[^] # Re: Documentation orientée topiques
Posté par claudex . Évalué à 7.
Je suis d'accord pour les logiciels qui peuvent s'utiliser sans manuels (comme la plupart des logiciels de Gnome). Mais scribus, c'est pour un domaine précis et peu connu, parcourir un livre pour bien comprendre comment l'utiliser n'est pas un mal à mon avis.
« Rappelez-vous toujours que si la Gestapo avait les moyens de vous faire parler, les politiciens ont, eux, les moyens de vous faire taire. » Coluche
[^] # Re: Documentation orientée topiques
Posté par eqfm (site web personnel) . Évalué à 2.
La documentation informatique, papier ou écran, je la lis comme des topiques.
Quoique, ça dépend. J’imagine mal appréhender un langage dans le désordre, mais je reviens aux chapitres du manuel consacrés à l’agacement ponctuel, et ça devient du topique.
L’avantage indéniable du manuel est qu’il est censé commencer par le commencement, à savoir les notions essentielles.
Sauf que… Les auteurs ne savent pas toujours par quel bout prendre lesdites notions quand elles sont éclatées dans une interface à menus et icônes.
Et du coup, le seul et unique bouquin consacré à Scribus m’a laissé sur ma faim.
Mais ce ne serait plus vrai si les pages de Floss Manuals étaient imprimées, et l’approche multidisciplinaire doit y être pour beaucoup.
[^] # Re: Documentation orientée topiques
Posté par Michaël (site web personnel) . Évalué à 7.
Ce que tu décris correspond au comportement ou au besoin des utilisateurs qui ont déjà le logiciel en main. Pour découvrir un nouveau logiciel, ses concepts et appréhender son utilisation, un texte linéaire convient très bien.
D'ailleurs un manuel de logiciel bien écrit n'est pas conçu pour être lu du début à la fin. Par exemple le TeX book (le manuel de TeX) est découpé en chapitres, chaque chapitre a trois niveaux de profondeurs: la lecture linéaire du premier niveau de profondeur de chaque chapitre permet de découvrir le logiciel et ses différents concepts, chaque chapitre est consacré à un sujet bien défini dont la lecture des profondeurs supérieures va révéler tous les aspects. Associée à un index de qualité cette organisation est très efficace!
Un autre exemple est le couple Perl avec d'un coté le livre de Larry Wall (pour la prise en main) et de l'autre le cookbook qui présente tout un tas d'aspects pratiques du langage, en répondant à des questions du type «comment je fais …» À eux deux ces livres font une documentation excellente pour Perl.
(Une documentation organisée par sujets? un manuel de référence?)
À condition d'être familier avec les concepts du logiciel: par exemple, toute organisée par sujets qu'elle soit, la documentation de MS-Windows m'est toujours restée hermétique parcequ'elle explique comment «paramétrer le schéma de stratégie pour les utilisateurs locaux» sans avoir auparavant présenté la position de ce schéma dans l'organisation du système (je suppose qu'il existe aussi un livre pour ça).
Le manuel de GNU Make a le même genre de défaut car il ne donne pas vraiment de vue d'ensemble de l'utilisation du programme mais se décrit tous les détails du programme, sujet par sujet: c'est un manuel de référence mais pas un guide d'introduction.
Dans les trois types de documentation de logiciels (introduction, référence, fiches de recettes) les trois ont leur raison d'être et leur public, et un logiciel qui n'a pas ses trois la n'a pas une documentation complète.
[^] # Re: Documentation orientée topiques
Posté par Frank-N-Furter . Évalué à 2.
Je pense qu'il parlait de cookbooks justement.
Depending on the time of day, the French go either way.
[^] # Re: Documentation orientée topiques
Posté par Sébastien Wilmet . Évalué à 1.
En anglais : « topic-oriented help ».
Donc « documentation orientée topiques » me semble une bonne traduction.
# Petit retour sur un début de lecture
Posté par cacatoès . Évalué à 10.
Salut,
Je suis pas du tout coutumier de Scribus, et assez peu de la PAO.
J'ai abordé le manuel car je me suis déjà servi d'un autre manuel flossmanuals, duquel j'ai été ravi, et que la parution du votre correspond pil poil au moment où je veux me lancer dans l'élaboration d'un petit bulletin.
Je vous le raconte comme je l'ai senti.
Alors, ma 1ère remarque, c'est en effet qu'il y a semble-t-il de longues explications préparatoires pendant les 1ers chapitres. Je m'attendais à entrer plus rapidement dans le vif du sujet. Mais ça n'est pas un gros problème, je fais confiance et je joue le jeu.
Certains paragraphes ne s'appliquent pas à mon cas (je ne fais pas appel à un imprimeur et j'imprimerai par mes propres moyens), mais je comprends l'utilité des informations présentes. Arrivé au chapitre "Les chaines éditoriales et graphiques", je me rend compte qu'on est encore dans le travail préparatoire/introductif, et la lassitude se fait davantage sentir. Notamment, l'un des passages qui me lourde un peu, si cela peut vous permettre de voir où je veux en venir, est celui sur les estimations du temps de travail, qui m'importent assez peu: j'ai pour habitude de prendre le temps que je veux, et d'être assez récalcitrant à l'aspect de gestion du temps de mes projets. Je comprends qu'il s'agit d'indications, mais je ne comprends pas bien comment je vais pouvoir mettre celles-ci à profit. Globalement, j'ai parfois un peu l'impression dans ce manuel qu'on me dit "c'est ça le métier" alors que moi je veux juste m'en tenir aux infos essentielles qui me permettront d'avancer dans ma tâche, c'est à dire maitriser l'outil (je ne perds pas de vue qu'il s'agit d'un manuel pour scribus), et acquérir les informations utiles à la maitrise de l'outil (bah oui, que la crème :D). Je ne suis donc pas contre des explications préparatoires, et suis d'ailleurs suffisamment désireux d'avancer pour être prêt à surmonter ces petites phases qui me plaisent moins.
J'apprécie l'effort que vous avez mis à destination des personnes peu coutumières de l'informatique, car bien qu'elles ne me concernent pas, je sais qu'elles pourront servir à certains de mes éventuels collaborateurs (savoir manipuler les fichiers est un prérequis, de même qu'avoir une petite culture des formats de fichiers, etc).
Voilà, je n'en suis qu'au chapitre "Format", autant dire que j'ai lu très peu. On pourra alors me répondre que les informations qui suivent expliciteront les informations précédentes, mais je crois qu'il ne s'agit pas de ça, et si c'était le cas j'aurais préféré une autre méthode. Je compte bien sûr poursuivre ma lecture, et peut-être ainsi pouvoir vous faire part de mes remarques de manière un peu plus approfondie. Mon intention était de vous signaler dès ce stade ce qui rendait la lecture du manuel un peu moins attrayante à mon goût, et peut-être de vous suggérer à ne pas hésiter à remanier (plutôt que tailler, car je pense que la majorité des informations présentes, si elles y sont, suivent le fil) ces chapitres si vous le sentiez.
Merci pour la rédaction du manuel, et pour le choix de la licence qui permet à chacun de s'impliquer un peu ! (j'en ai profité pour m'inscrire et corriger quelques fautes dûes au sprint)
[^] # Re: Petit retour sur un début de lecture
Posté par nylnook (site web personnel) . Évalué à 4.
Salut Cacatoes, et merci pour ton retour !
Merci beaucoup aussi pour tes corrections, je viens de re-publier le manuel, elles devraient apparaitre.
Si tu t'es arrêté au chapitre "Format", tu commences tout juste la partie plus pratique du livre... Tes remarques sur le trop de théorie sont pertinentes, mais personnellement en tant que formateur je n'ai pas encore réussi à trouver d'autre façon de présenter la mise en page que de commencer par de la théorie...
En fait quand on parle de Scribus, on se retrouve très souvent avec une somme d'informations théoriques très importantes qui sont des "pré-requis" pour pouvoir l'utiliser, comme par exemple, comment choisir un format de papier si on ne sait pas à quoi ils correspondent ?
Quand tu penses à tous les détails de l'imprimerie, de la typographie, de la composition, de l’organisation des fichiers et des formats informatiques, des questions de résolutions, de couleurs... je t'assures qu'on a vraiment essayé de synthétiser !
Il y aussi beaucoup de termes techniques qu'on doit expliquer et utiliser pour que les utilisateurs s'y retrouvent après... d'où peut-être l'effet un peu "pédant" de choisir les mots "théoriques".
Les chapitres "Prise en main" et "Exemple d'utilisation" au début sont sensés contrebalancer cet effet "trop de théorie"... ça ne marche pas ?
On doit encore rajouter des illustrations qu'on a pas eu le temps de mettre aussi, ça devrait alléger.. enfin j’espère !
[^] # Re: Petit retour sur un début de lecture
Posté par goom . Évalué à 3.
Je dirais que c'est le "problème" de Scribus (et également son charme). Je m'explique, Scribus est un logiciel de PAO et du coup, pour l'exploiter au niveau de son potentiel, il faut comprendre des notions de PAO. De toute façon, on s'en rend compte rapidement si on part bille en tête, on peut faire pleins de chose avec Scribus, y compris des trucs moches (et même très moche !). Il y a donc quelques notions à assimiler, ce qui peut se faire sur le tas ou en lisant une introduction dans un guide.
Je me souviens de ma première approche de Scribus, je le voyais comme un logiciel type traitement de texte et du coup, je n'ai rien compris. Quand j'ai commencé à le regarder comme un logiciel de PAO alors j'ai pu avancer (mais je doute maitriser 80% des possibilités)et plus je l'utilisais, plus il titillait ma curiosité et mon envie de comprendre la PAO ce qui en fait son charme. Bref mettre la PAO à la portée de tout le monde ne veut pas dire que tout le monde saura faire de la PAO du premier coup !
Au final ce qui serait sans doute le top, ce serait d'avoir des exemples de fichiers .sla pour voir en pratique les différentes fonctionnalités et possibilités, et des exemples pas à pas de réalisation. Par contre ça risque vite de se finir comme une bible de Scribus avec 1000 pages :D
[^] # Re: Petit retour sur un début de lecture
Posté par cacatoès . Évalué à 2.
Je me demande justement s'il serait possible d'avoir une approche qui vient apporter les connaissances théoriques au moment où elles sont requises, plutôt que de constituer un background de connaissances qui sont rappelées plus tard.
Encore une fois, de la manière dont j'aborde ce manuel (j'en suis à la page "gabarits"), je n'ai pas ressenti le besoin d'ouvrir Scribus pour apprendre, hormis à l'étape "couleurs" (l'aspect ludique ;)).
Ainsi, les indications de menus ou les détails de l'interface de scribus apportés dans les précédents chapitres m'ont servi globalement à repérer les options, car j'y ai été attentif, mais auraient également pu être absents. Je pense qu'une exploration personnelle et non-guidée de l'interface du logiciel aurait été tout aussi efficace dans mon cas, ou alors éventuellement, avoir une chapitre qui présente l'interface dans son ensemble.
Et donc j'ai plutôt décidé de lire le tout, en me disant tant pis si certains détails m'échappent.
Ce que je redoute, c'est que ces connaissances théoriques ne me soient pas très parlantes. Par expl, je n'ai pas bien saisi comment marchent les "fonds perdus", et étant donné que les explications, qui restent très textuelles, visent à aller tout de même dans le détail, je pense que ce qu'il y a d'à la fois pointu et d'intéressant m'a échappé.
J'ai au fond une attente : être en mesure de pouvoir faire des gabarits, même basiques ! (c'est en fait l'étape que je n'ai pas sû franchir il y a quelques années quand j'avais ouvert Scribus pour le fun). Car je pense qu'il s'agit d'une étape clé (hâte d'avoir mis la forme, pour ne plus avoir qu'à poser le contenu dessus, car j'ai bien conscience de l'intérêt du procédé).
En outre, j'apprécie toujours certaines des informations, notamment celles sur la problématique RGB/CMJK de l'impression, ou même si je n'ai pas tout compris (dans l'aspect "manipulation", donc concrètement: le comment je vais m'y prendre pour traiter mes images pour qu'elles s'impriment dans de jolies couleurs), je lie facilement cela à mon expérience, et j'imagine que les infos de votre manuel me serviront lorsque je me déciderai à relancer Gimp ou Scribus pour résoudre cette question particulière.
J'ignore si ces considérations didactiques se tiennent. :D
J'aurais 2 requêtes:
- C'est quoi l'astuce pour pouvoir se logger dans la zone française de flossmanuals ? Car le formulaire de login de TinkiWinki me semble un peu à la ramasse.
- Est-il possible de récupérer les sources du manuel, de manière à pouvoir le surligner/annoter depuis l'un de mes logiciels (sous Linux). J'ai récupéré le PDF mais je n'ai rien pour éditer.
Pour te répondre, je n'ai pas trouvé le manuel particulièrement pédant, pas de soucis là dessus. Et, je préfère en général donner mes impressions à chaud donc il aurait fallu que je revoie les anciens chapitres pour en dire ce que je pense.
[^] # Re: Petit retour sur un début de lecture
Posté par nylnook (site web personnel) . Évalué à 3.
Ok, je crois qu'il manque encore pas mal de screenshots de l'interface pour que la pratique rejoigne la théorie... c'est dans ma "todo list" et celle des autres auteurs !
pour tes requêtes :
- la connexion est parfois compliquée... il n'y a pas d'astuce particulière sinon que le login est du type "PrenomNom". perso j'y connecte par cette page, et ça marche... Mais la prochaine version de la plateforme qui ne devrait pas tardé est sensée mieux marché sur ce point.
- Tu peux récupérer la source HTML (sans styles CSS) ici : http://fr.flossmanuals.net/Scribus/print. C'est le format dans lequel on l'a écrit.
Merci pour tes impression à chaud en tout cas, c'est agréable d'avoir des retours des lecteurs !
# feedback
Posté par fabien . Évalué à 1.
Salut,
je trouve assez domage l'utilisation d'une police aussi peu lisible (police à sérif de type 'times new roman') pour rediger un manuel à propos d'un outil de redaction...
franchement c'est rebutant.
[^] # Re: feedback
Posté par coid . Évalué à 1.
C’est de la police du PDF dont tu parles ? (On dirait la Trebuchet MS, et si ce n’est pas elle, elle est assez proche.)
C’est pourtant une police très sobre, très élégante et sans-serif.
[^] # Re: feedback
Posté par fabien . Évalué à 0.
Non, c'est celle du site, le "manuel en ligne".
le 1er lien : http://fr.flossmanuals.net/Scribus/Introduction
[^] # Re: feedback
Posté par coid . Évalué à 3.
Cette page ne semble avoir aucune police définie par défaut… j’utilise Firefox et cette page s’affiche selon la police définie dans mes réglages. ;)
[^] # Re: feedback
Posté par fabien . Évalué à -2.
Hein ?! ca existe encore au XXIe siecle des pages comme ca ?
Alors que le sujet même de la page parle d'édition...
c'est pas mal je dois dire ;)
[^] # Re: feedback
Posté par Serge Julien . Évalué à 3.
Dans le PDF, c'est une police sans serif du type Gill Sans.
Mais si c'est de la version en ligne dont tu parles, tout dépend de la façon dont les polices sont configurées dans ton brouteur web...
[^] # Re: feedback
Posté par nylnook (site web personnel) . Évalué à 1.
En fait, on attends une nouvelle version de la plateforme Flossmanuals qui ne devrait pas tarder... où ces problèmes de rendu devraient être nettement mieux traités.
Rassurez-vous, avec la bande de graphistes et d'imprimeurs, ça nous a sauté aux yeux...
Pour cité Louis Desjardin découvrant le rendu PDF : " Ça va être une très longue crise cardiaque ... !"
# Quelques fautes
Posté par Michaël (site web personnel) . Évalué à 5.
Bravo pour ce manuel, j'ai lu une page
http://fr.flossmanuals.net/Scribus/ChoixdesPolices
et j'i quelques remarques:
Quelques précisions utiles
La paragraphe décrit la différence entre une fonte et une police mais l'exemple illustrant la discussion parle de police et de famille de polices ce n'est pas très clair!
Note sur les ligatures
Le e dans l'o n'est pas une ligature, c'est un caractère. À la différence de la ligature, le e dans l'o a valeur orthographique et a une prononcitation spéciale. On n'écrit pas moeurs ni cœrcitif!
(Pas la peine d'écrire Pour rappel après NB!)
Les guillemets
Il y a un mélange de «doubles chevrons» et de "double quotes" sur la page!
[^] # Re: Quelques fautes
Posté par Redskull . Évalué à 3.
Le e dans l'o est une ligature. Qui a une valeur orthographique certes, mais une ligature quand même.
[^] # Re: Quelques fautes
Posté par Michaël (site web personnel) . Évalué à 4.
Merci pour cette précision. J'ai été induit en erreur par la phrase suivante du manuel
qui n'est pas tout à fait correcte (la ligature e dans l'o ne résout pas un problème de deux caractes qui font moche lorsqu'ils se touchent).
[^] # Re: Quelques fautes
Posté par nylnook (site web personnel) . Évalué à 2.
Merci à toi pour ces précisions !
N'hésites pas à t'inscrire sur la plateforme pour faire les corrections directement, c'est un wiki ;)
Les conventions d'écritures n'ont pas toujours été parfaitement respectées non plus, c'est en cours... on avait des claviers dans toutes les configurations de langues et trouver les guillemets français dessus n'était pas toujours évident !
# J'aime bien le concept
Posté par Kerro . Évalué à 4.
J'ai lu rapidement quelques manuels de chez Floss Manuals et globalement j'aime bien.
Pour une fois ce sont des manuels qui expliquent d'abord le cadre général. On comprend donc l'ensemble avant de passer aux détails. Ça convient à ma manière d'appréhender les choses.
C'est tout l'inverse de beaucoup de manuels ou d'aides en ligne qui se bornent à expliquer une boîte de dialogue.
Exemple hyper courant: on a une boîte de dialogue avec une case à cocher dont on ne pige pas la fonction. Elle est intitulée "Comptage". Oui bon, mais comptage de quoi ? Facile, je clique sur "Aide". Et dans l'aide il est indiqué "Pour activer le comptage, cocher la case Comptage". Super, je suis bien renseigné maintenant.
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