comme swatting est dérivé de SWAT, pourquoi n'avoir pas dérivé de GIGN…?
phreak est un jeu de mot entre phone et hack (noter qu'à l'origine il n'y avait pas d'intention d'« escroquerie téléphonique » comme les journalistes ont amalgamé par la suite (même confusion malhonnête entre hacker et cracker mais je m'égare) ; telephone hijack est par contre un détournement de ligne…
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Posté par sebas .
Évalué à 5.
Dernière modification le 05 avril 2022 à 12:16.
comme swatting est dérivé de SWAT, pourquoi n'avoir pas dérivé de GIGN…?
J'ai été gigné, encore un coup de mon voisin, ce guignol qui passe son temps à me guigner. Soit. De toute façon, je me soucie de ces gignes comme d'une guigne…
C'est un peu raide… en plus de semer la confusion avec les technique de virtualisation de stockage …au fait, quelle est la terminologie en français pour ça ? (moi je parle en généralisation de virtualisation de stockage et dans certains cas particuliers d'agrégats de disques)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Traduire « denial of service attack » par « attaque par interruption de service » me semble très bizarre. Non pas en raison du choix de traduire denial par interruption au lieu de déni (ce que l’article de ZDnet semble critiquer, mais personnellement je ne vois pas de problème avec ça), mais parce que ça semble indiquer que l’interruption de service est le moyen de l’attaque (par), alors que c’est son but (qui peut être atteint par plusieurs types d’attaques).
Quand à traduire « distributed denial of service » par « attaque collective par saturation de service », le par est ici plus correct (l’interruption du service — le but — est obtenu par saturation dudit service — le moyen), mais collective est une très mauvaise traduction de distributed à mon avis. Je trouve qu’elle laisse supposer qu’on a affaire à un ensemble d’attaquants qui se coordonnent pour saturer le service, ce qui peut être le cas mais pas forcément — il peut souvent s’agir d’un seul attaquant qui a à sa disposition un ensemble de machines.
Puisqu’une des règles derrière ces traductions semble être de toujours choisir des mots les plus éloignés possibles des mots anglais (probablement pour bien montrer que vous avez vu, il y a une vraie réflexion derrière hein, on ne s’est pas contenté d’un Google Translate…), et donc que « distribuée » ou « répartie » ne sauraient convenir, je propose « attaque par saturation de service à origines multiples » (ASSOM). En plus l’acronyme se transforme aisément en verbe, comme dans « notre serveur a été ASSOMmé cette nuit ».
# les sigles…
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.
…car le jargon est friand de sigles
Je reste sur ma faim pour certaines propositions
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: les sigles…
Posté par sebas . Évalué à 5. Dernière modification le 05 avril 2022 à 12:16.
J'ai été gigné, encore un coup de mon voisin, ce guignol qui passe son temps à me guigner. Soit. De toute façon, je me soucie de ces gignes comme d'une guigne…
[^] # Re: les sigles…
Posté par aiolos . Évalué à 3.
Ou de RAID
[^] # Re: les sigles…
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.
C'est un peu raide… en plus de semer la confusion avec les technique de virtualisation de stockage …au fait, quelle est la terminologie en français pour ça ? (moi je parle en généralisation de virtualisation de stockage et dans certains cas particuliers d'agrégats de disques)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: les sigles…
Posté par Pol' uX (site web personnel) . Évalué à 3.
Gigner est déjà pris. :)
Adhérer à l'April, ça vous tente ?
[^] # Re: les sigles…
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.
J'ai la guigne, j'arrête de gindre.
Mais bon, y a tellement de sigles/acronymes dedans et dans son pendant signalé par ailleurs, qu'on aurait pu trouver quelque moyen de brier
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
# Denial of service -> Attaque par interruption de service
Posté par gouttegd . Évalué à 7.
Traduire « denial of service attack » par « attaque par interruption de service » me semble très bizarre. Non pas en raison du choix de traduire denial par interruption au lieu de déni (ce que l’article de ZDnet semble critiquer, mais personnellement je ne vois pas de problème avec ça), mais parce que ça semble indiquer que l’interruption de service est le moyen de l’attaque (par), alors que c’est son but (qui peut être atteint par plusieurs types d’attaques).
Quand à traduire « distributed denial of service » par « attaque collective par saturation de service », le par est ici plus correct (l’interruption du service — le but — est obtenu par saturation dudit service — le moyen), mais collective est une très mauvaise traduction de distributed à mon avis. Je trouve qu’elle laisse supposer qu’on a affaire à un ensemble d’attaquants qui se coordonnent pour saturer le service, ce qui peut être le cas mais pas forcément — il peut souvent s’agir d’un seul attaquant qui a à sa disposition un ensemble de machines.
Puisqu’une des règles derrière ces traductions semble être de toujours choisir des mots les plus éloignés possibles des mots anglais (probablement pour bien montrer que vous avez vu, il y a une vraie réflexion derrière hein, on ne s’est pas contenté d’un Google Translate…), et donc que « distribuée » ou « répartie » ne sauraient convenir, je propose « attaque par saturation de service à origines multiples » (ASSOM). En plus l’acronyme se transforme aisément en verbe, comme dans « notre serveur a été ASSOMmé cette nuit ».
[^] # Re: Denial of service -> Attaque par interruption de service
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.
Oui, un « ou » qui se transforme en « a » par on ne sait quel raccourci…
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
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