Posté par anaseto .
Évalué à -4.
Dernière modification le 02 novembre 2021 à 19:16.
N’importe lequel pourrait, en théorie, être acceptable, mais pas s’ils sont menés par des gens qui ont des visions à très court terme et qui recherchent activement la croissance.
Malheureusement, c'est le type de profil qui a tendance à émerger naturellement dans le domaine de la gouvernance. Une sorte de sélection naturelle qui se fait malheureusement au détriment de la majorité. Et c'est d'autant plus prononcé dans nos sociétés décadentes, depuis longtemps plongées dans une corruption systémique au service des monopoles, et actuellement en début de dérive totalitaire inquiétante — une notion d'ailleurs indépendante du modèle de gouvernance (démocratie multi-partite ou dictature, les deux peuvent pareillement conduire à une dérive). La seule consolation est que ce type de régime en dérive finit le plus souvent par s'écrouler de lui-même, car les folies s'accélèrent et à un moment l'effet d'hypnose éclate.
C’était d’ailleurs fascinant d’observer la progression de la pandémie et de comment elle a impacté l’économie : les gouvernements, de partout, ont dépensé des quantités phénoménales d’argent pour essayer désespérément de maintenir l’activité… jusqu’à quoi ? Jusqu’à ce qu’elle puisse revenir à ce qu’elle était avant. Mais ça n’arrivera pas !
La question n'est pas « jusqu'à quoi ? », mais « tant que quoi ? ». Et la réponse la plus naturelle est, tout comme pour le sujet du climat, tant que ça convient aux intérêts économiques et géopolitiques des acteurs majeurs du domaine.
Il est très naïf de voir dans la gestion du covid une volonté de « maintenir l'activité ». Non, on maintient l'activité de façon très sélective, en général de sorte à favoriser à long terme les gros acteurs (par exemples les petits hôtels se font racheter par des grosses chaînes, les petites compagnies aériennes coulent, etc.), tout en distribuant des miettes et de la propagande là où il faut pour éviter une révolution. Et tout ça se fait assez organiquement, sans vraiment de planification minutieuse. L'étape suivante, c'est faire peur à la population avec les problèmes (artificiels/géopolitiques) d'acheminement et d'énergie : regardez en Ukraine, regardez en Chine (bis), ouh là là. C'est du conditionnement psychologique, il faut en permanence maintenir l'illusion d'un problème imminent, quel qu'il soit.
L'autre façon est de décider de l'opinion qui vous plaît, et ensuite de rechercher des faits qui viennent la confirmer. C'est là l'approche de ceux qui continuent à nier le changement climatique ou qui nient l'efficacité des vaccins contre le virus, etc.
Dommage de mettre dans le même sac des phénomènes totalement différents et qui vivent à des échelles de temps très différentes.
Personne ne nie l'efficacité de ces injections expérimentales à visée vaccinale contre le covid (même s'il y a de fortes présomptions de relative inefficacité), puisqu'on attend toujours que cette efficacité (ainsi que la sûreté, thème anxiogène) soit montrée de façon indépendante dans des essais cliniques de qualité (randomisés, double aveugle de préférence), plutôt que devoir se fier à des études non transparentes, même pas proprement en double aveugle, par les pharmaceutiques qui refusent de fournir les données nécessaires à une vérification indépendante de leurs résultats (qui ne sont même pas très bons pour peu qu'on regarde au-delà de l'abstract et son 95%).
Et c'est une attitude à comprendre dans son contexte : c'est-à-dire, après une gestion pré-vaccin catastrophique, avec centralisation policière de la médecine où on ne laisse plus les médecins faire leur travail : protocoles centralisés d'intubation immédiate plutôt qu'oxygène à haut débit (qui s'est avéré souvent délétère et a favorisé une saturation rapide de la réanimation), recommandations contre les anti-inflammatoires et anti-coagulants (qui ont fortement amélioré le pronostic par la suite), étude bidonnées contre les traitements, tests PCR mal utilisés (dépistage de masse sans précédent avec cette technologie et donc faux-positifs en masse, plutôt que confirmation de diagnostic), et je passe sur la question des masques même à l'extérieur et pour les enfants.
Tout comme Windows, le vaccin, propriétaire, est fourni sans garanties, sans code source et même pire, sans conditions d'utilisation (contrat secret). Tout comme Windows, il est imposé aux enfants. Tout comme Windows, il a des bugs. Et c'est plus anecdotique, mais le parallèle va tellement loin que même parmi les financeurs on a une intersection loin d'être nulle…
En l'état, parler de ceux qui « nient l'efficacité des vaccins » pour parler de ceux qui ne veulent pas croire aveuglément à leur efficacité fondée sur des informations peu transparentes et invérifiables issues d'essais cliniques possiblement bidonnés après de multiples erreurs dans les mois précédents, ça relève d'une pensée de culte ou d'une profonde mécompréhension de comment fonctionne la recherche scientifique dans le domaine de la Santé, et en particulier des vaccins.
Ce type de discours est d'autant plus inquiétant à l'heure actuelle où on entend des politiciens avec des discours qui criminalisent toute critique de la politique vaccinale, donc j'imagine qu'il faut parler tant qu'on peut encore le faire.
# Quelques réflexions
Posté par anaseto . Évalué à -4. Dernière modification le 02 novembre 2021 à 19:16.
Malheureusement, c'est le type de profil qui a tendance à émerger naturellement dans le domaine de la gouvernance. Une sorte de sélection naturelle qui se fait malheureusement au détriment de la majorité. Et c'est d'autant plus prononcé dans nos sociétés décadentes, depuis longtemps plongées dans une corruption systémique au service des monopoles, et actuellement en début de dérive totalitaire inquiétante — une notion d'ailleurs indépendante du modèle de gouvernance (démocratie multi-partite ou dictature, les deux peuvent pareillement conduire à une dérive). La seule consolation est que ce type de régime en dérive finit le plus souvent par s'écrouler de lui-même, car les folies s'accélèrent et à un moment l'effet d'hypnose éclate.
La question n'est pas « jusqu'à quoi ? », mais « tant que quoi ? ». Et la réponse la plus naturelle est, tout comme pour le sujet du climat, tant que ça convient aux intérêts économiques et géopolitiques des acteurs majeurs du domaine.
Il est très naïf de voir dans la gestion du covid une volonté de « maintenir l'activité ». Non, on maintient l'activité de façon très sélective, en général de sorte à favoriser à long terme les gros acteurs (par exemples les petits hôtels se font racheter par des grosses chaînes, les petites compagnies aériennes coulent, etc.), tout en distribuant des miettes et de la propagande là où il faut pour éviter une révolution. Et tout ça se fait assez organiquement, sans vraiment de planification minutieuse. L'étape suivante, c'est faire peur à la population avec les problèmes (artificiels/géopolitiques) d'acheminement et d'énergie : regardez en Ukraine, regardez en Chine (bis), ouh là là. C'est du conditionnement psychologique, il faut en permanence maintenir l'illusion d'un problème imminent, quel qu'il soit.
Dommage de mettre dans le même sac des phénomènes totalement différents et qui vivent à des échelles de temps très différentes.
Personne ne nie l'efficacité de ces injections expérimentales à visée vaccinale contre le covid (même s'il y a de fortes présomptions de relative inefficacité), puisqu'on attend toujours que cette efficacité (ainsi que la sûreté, thème anxiogène) soit montrée de façon indépendante dans des essais cliniques de qualité (randomisés, double aveugle de préférence), plutôt que devoir se fier à des études non transparentes, même pas proprement en double aveugle, par les pharmaceutiques qui refusent de fournir les données nécessaires à une vérification indépendante de leurs résultats (qui ne sont même pas très bons pour peu qu'on regarde au-delà de l'abstract et son 95%).
Et c'est une attitude à comprendre dans son contexte : c'est-à-dire, après une gestion pré-vaccin catastrophique, avec centralisation policière de la médecine où on ne laisse plus les médecins faire leur travail : protocoles centralisés d'intubation immédiate plutôt qu'oxygène à haut débit (qui s'est avéré souvent délétère et a favorisé une saturation rapide de la réanimation), recommandations contre les anti-inflammatoires et anti-coagulants (qui ont fortement amélioré le pronostic par la suite), étude bidonnées contre les traitements, tests PCR mal utilisés (dépistage de masse sans précédent avec cette technologie et donc faux-positifs en masse, plutôt que confirmation de diagnostic), et je passe sur la question des masques même à l'extérieur et pour les enfants.
Tout comme Windows, le vaccin, propriétaire, est fourni sans garanties, sans code source et même pire, sans conditions d'utilisation (contrat secret). Tout comme Windows, il est imposé aux enfants. Tout comme Windows, il a des bugs. Et c'est plus anecdotique, mais le parallèle va tellement loin que même parmi les financeurs on a une intersection loin d'être nulle…
En l'état, parler de ceux qui « nient l'efficacité des vaccins » pour parler de ceux qui ne veulent pas croire aveuglément à leur efficacité fondée sur des informations peu transparentes et invérifiables issues d'essais cliniques possiblement bidonnés après de multiples erreurs dans les mois précédents, ça relève d'une pensée de culte ou d'une profonde mécompréhension de comment fonctionne la recherche scientifique dans le domaine de la Santé, et en particulier des vaccins.
Ce type de discours est d'autant plus inquiétant à l'heure actuelle où on entend des politiciens avec des discours qui criminalisent toute critique de la politique vaccinale, donc j'imagine qu'il faut parler tant qu'on peut encore le faire.
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