Posté par raphj .
Évalué à 4 (+2/-0).
Dernière modification le 29 août 2024 à 15:49.
Je n'ai pas trop d'avis sur la question.
Mais j'ai l'impression qu'on mélange tout dans ces sujets et que ce serait plus solide si on séparait bien les choses.
Le plus important est-il de savoir si on se sert des outils informatiques (des "écrans", c'est comme ça qu'on appelle ça dans ces discussions), ou comment ?
Aller sur les réseaux sociaux ce n'est pas du tout la même activité qu'aller regarder un agenda. Ça n'a pas les mêmes implications sur la santé et le bien-être. Regarder quels exercices on doit faire pour demain sur un écran me parait tout à fait anodin.
« Droit à la déconnexion » : je trouve l'usage de l'expression confus.
personne n'est obligé de se connecter sur les réseaux ou les messageries pour consulter un agenda
mais effectivement, si on le fait depuis son téléphone, malheureusement les messageries sont là presque inconditionnellement.
cette expression veut en général dire qu'on peut déconnecter du travail quand on y est plus. Si on souhaite un « droit à la déconnexion » pour les élèves, alors on ne fait plus de devoirs à la maison. On met en place suffisamment d'heures de perm et suffisamment peu d'heures de cours pour que les élèves puissent bosser et réviser en autonomie entièrement à l'école, et se reposer le soir, la nuit, le matin et les weekends.
Quelques avis randoms « contradictoires » :
les agendas papiers et les manuels papiers, c'est lourd. Remplacer tout ça par du numérique pourrait permettre de moins tuer le dos des élèves. Et puis, le papier, une vraie plaie à maintenir en ordre pour des gens comme moi, ça a été une petite difficulté dans ma scolarité, difficulté pas bloquante mais qui a plus ou moins disparue de ma vie depuis
avoir des agendas et des cours numériques, ça oblige à avoir du matériel informatique, ce n'est pas forcément une bonne chose
ça coûte cher
ça fait des déchets
ça invite en général les GAFAM dans notre éducation
il faut garder à l'esprit que les élèves ont généralement déjà un téléphone de toute façon (pour l'agenda - pour les cours, la taille de l'écran n'est évidemment pas idéale), donc ça restreint le problème à ceux qui ne veulent pas de matériel informatique - bien sûr, on participe à ce besoin ressenti d'en avoir en s'appuyant là dessus
les cours sur des écrans, je suis convaincu que ça rentre moins bien dans la tête pour beaucoup de gens. En tout cas, écrire à la main me permettait de retenir mieux, c'est plutôt clair, et ne pas devoir relire le cours sur un écran lumineux, c'était pas mal. (Pour ça, une tablette avec un écran à encre électronique pourrait faire le taf je suppose, si bien conçu).
et oui, effectivement, si les élèves n'ont que des téléphones ou des tablettes, c'est probablement nécessairement connecté à leurs notifications et leurs messageries donc c'est pas top. Il faut pouvoir accéder aux choses sans être distrait·e.
parce que vous pensez que le zéro-papier dès la primaire agrémentera ou légitimera le numérique?
le papier garde une certaine élégance, et n'oublions pas : la concentration est largement plus efficace et facile sans écran qu'avec.
j'ai de plus en plus de collègues qui découvrent qu'en fermant l'écran de leur ordi, la concentration se réalise.
Posté par raphj .
Évalué à 4 (+2/-0).
Dernière modification le 30 août 2024 à 15:15.
"Parce que" à quoi ? Je n'ai aucune idée de comment tu as lu mon commentaire, mais ça sent la mauvaise interprétation. C'était comme si j'avais défendu bec et ongle les outils informatiques.
N'ai-je pas préfacé mon commentaire par "Je n'ai pas trop d'avis sur la question" ? N'ai-je pas partagé quelques avis contradictoires (c'est écrit texto) ? Ai-je parlé de "zéro papier" et de "dès la primaire" ?
C'est utile d'être aussi agressif ? Est-ce que mon avis sur le fait que la lettre n'est pas solide et qu'elle mélange les choses t'agace, et si oui, pourquoi ?
la concentration est largement plus efficace et facile sans écran qu'avec
N'ai-je pas partagé un avis qui va dans ce sens ?
le papier garde une certaine élégance
Et alors ? C'est extrêmement subjectif, on peut trouver du matériel informatique élégant, je ne vois pas comment on peut caler ça dans l'argumentaire en cours.
cette expression veut en général dire qu'on peut déconnecter du travail quand on y est plus. Si on souhaite un « droit à la déconnexion » pour les élèves, alors on ne fait plus de devoirs à la maison. On met en place suffisamment d'heures de perm et suffisamment peu d'heures de cours pour que les élèves puissent bosser et réviser en autonomie entièrement à l'école, et se reposer le soir, la nuit, le matin et les weekends.
Tu dis que soit on interdit les devoirs soit on les autorise sans réglementer le fait qu’il nécessitent du numérique ? Ça ressemble à une tentative de passage en force. Aux dernières nouvelles, l’EN n’était pas contre le fait d’interdire, mais les parents sont attachés aux devoirs (une crainte que l’éducation soit au rabais).
Posté par raphj .
Évalué à 2 (+0/-0).
Dernière modification le 30 août 2024 à 19:04.
Non non, en réalité je me suis trompé sur le sens de l'expression "Droit à la déconnexion", que je supposais signifier "droit à ne pas se préoccuper du travail hors des horaires de travail". En réalité, la notion est plus restreinte et elle bien reliée aux outils numériques :
Le droit à la déconnexion est un principe selon lequel un salarié est en droit de ne pas être connecté aux outils numériques professionnels (téléphone portable, courriels, etc.) hors des horaires de travail (temps de transport travail-domicile, congés, temps de repos, week-end, soirée, etc.).
À chaque fois que je lis ce genre de chose, je me fais la même réflexion. Il y a des gens payés et formés à l'enseignement, la transmission. Pour ça, ils ont des méthodes, des outils et ils peuvent ou non les utiliser, dans l'intérêt des enfants et de leurs apprentissages. C'est à eux de choisir leurs outils, et ce qu'ils pensent utile. Pour moi des phrases comme
Faire du numérique un objet d’enseignement et non un moyen d’enseignement
c'est méprisant pour les enseignants, pour ceux qui conçoivent les outils pédagogiques, en plus d'ignorer les avancées qui ont été faites sur l'enseignement du numérique.
Vouloir interdire un outil pédagogique sous prétexte que les gens ne conçoivent leur usage qu'à travers leur prisme de consommateurs de réseaux sociaux me semble totalement hors propos….
Seriez-vous partisan de la technocratie ? C’est-à-dire de remettre les décisions politiques à un corps de spécialistes ?
Mon avis en matière d’enseignement et d’éducation n’est peut-être pas le plus pertinent, ou majoritaire, mais en tant que citoyen, il me semble indispensable de m’intéresser à ce sujet dont nul ne devrait ignorer qu’il s’agit de l’un des point clef d’une civilisation.
La plupart des profs avec qui j'ai pu en parler m'ont dit qu'ils n'avaient reçu aucune véritable formation pédagogique. Il semble que ça ai changé et de ce que je comprends, le master métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation a une part pédagogique, mais je ne sais pas comment c'est sanctionné ensuite dans les concours.
Je ne dis pas ça pour dire du mal des professeurs mais des formations. Les prof font leur possibles pour faire apprendre le programme aux élèves. Ce sont des métiers où tu es pas très bien payé pour un boulot épuisant avec une très mauvaise reconnaissance du publique comme de ta hiérarchie et toujours moins de moyens (et tu peux entendre ta ministre de tutelle dire sans gêne que les professeurs sont trop absentéistes et que le privé est une solution à ça1). Les prof réfléchissent bien plus et ont beaucoup plus d'expérience sur comment enseigner. Sachant que c'est une alchimie tout professeur n'est pas apte à appliquer n'importe quelle pédagogie. Je me garderai bien de leur dire quoi faire ou non
je trouve incroyable comment le ministre de l'intérieur est toujours "le premier flic de France" et le ministre de l'éducation le fossoyeur là pour "dégraisser le mammouth". ↩
« Je me garderai bien de leur dire quoi faire ou non[.] »
Ce dont ne se prive pas tout un aréopage ne pratiquant pas l’enseignement, et ce basant au mieux sur des études pseudo-scientifique trop fréquemment antagonistes de l’expérience.
Selon moi, et ce que j’ai pu entendre et retenir de témoignages d’enseignants du primaire et du secondaire, bien plus que les bas salaires (qui n’entrent bien souvent même pas en considération), c’est l’un des facteurs fondamentaux pour transformer notre métier formidable, atavique, inscrit dans les gènes de l’humanité, en mélasse dépressive. Qui n’a pas entendu ces histoires de hiérarchies qui par asthénie, qui par complaisance, qui par pusillanimité, qui par sectarisme, qui par veulerie, viennent nuire à l’enseignement, en prenant des positions anti-éducatives vis-à-vis des enfants, ou en léchant les bottes de leurs tutelles et en reportant des contraintes kafkaïenne sur le corps enseignant façon Pilate ?
Je me garderai donc bien du raccourci qui consisterait à supposer que les pratiques de l’éducation nationale émanent nécessairement des professeurs. Plus encore, n’ignorant pas totalement les avanies de la pratique, même produite par des enseignants, il me semblerait présomptueux de lui accorder un blanc-seing sur cette seule qualité.
Pour en revenir au sujet de la lettre initiale, ayant deux sujets du mammouth fort disparates chez moi, je peux observer que si pour l’un les pratiques dénoncées n’ont guère eu d’effet délétère ; pour l’autre, exactement comme décrit en filigranes, ils participent de l’induction d’une galère éducative sans borne. Il est aisé d’imaginer à quel point une tablette et du wifi peuvent se muer en sujet de distraction au retour au bercail. Pouvoir s’appuyer sur son ministre pour les réclamer quotidiennement à ses géniteurs, voire les fournir directement par dévers ces derniers, voici une aubaine dont n’auraient osé rêver les pires cancres du XXe.
# -
Posté par tkr (Mastodon) . Évalué à 0 (+0/-1).
(à supprimer si déjà passé)
# Bébé et eau du bain ?
Posté par raphj . Évalué à 4 (+2/-0). Dernière modification le 29 août 2024 à 15:49.
Je n'ai pas trop d'avis sur la question.
Mais j'ai l'impression qu'on mélange tout dans ces sujets et que ce serait plus solide si on séparait bien les choses.
Le plus important est-il de savoir si on se sert des outils informatiques (des "écrans", c'est comme ça qu'on appelle ça dans ces discussions), ou comment ?
Aller sur les réseaux sociaux ce n'est pas du tout la même activité qu'aller regarder un agenda. Ça n'a pas les mêmes implications sur la santé et le bien-être. Regarder quels exercices on doit faire pour demain sur un écran me parait tout à fait anodin.
« Droit à la déconnexion » : je trouve l'usage de l'expression confus.
Quelques avis randoms « contradictoires » :
[^] # Re: Bébé et eau du bain ?
Posté par tkr (Mastodon) . Évalué à 1 (+1/-1).
parce que vous pensez que le zéro-papier dès la primaire agrémentera ou légitimera le numérique?
le papier garde une certaine élégance, et n'oublions pas : la concentration est largement plus efficace et facile sans écran qu'avec.
j'ai de plus en plus de collègues qui découvrent qu'en fermant l'écran de leur ordi, la concentration se réalise.
[^] # Re: Bébé et eau du bain ?
Posté par raphj . Évalué à 4 (+2/-0). Dernière modification le 30 août 2024 à 15:15.
"Parce que" à quoi ? Je n'ai aucune idée de comment tu as lu mon commentaire, mais ça sent la mauvaise interprétation. C'était comme si j'avais défendu bec et ongle les outils informatiques.
N'ai-je pas préfacé mon commentaire par "Je n'ai pas trop d'avis sur la question" ? N'ai-je pas partagé quelques avis contradictoires (c'est écrit texto) ? Ai-je parlé de "zéro papier" et de "dès la primaire" ?
C'est utile d'être aussi agressif ? Est-ce que mon avis sur le fait que la lettre n'est pas solide et qu'elle mélange les choses t'agace, et si oui, pourquoi ?
N'ai-je pas partagé un avis qui va dans ce sens ?
Et alors ? C'est extrêmement subjectif, on peut trouver du matériel informatique élégant, je ne vois pas comment on peut caler ça dans l'argumentaire en cours.
[^] # Re: Bébé et eau du bain ?
Posté par barmic 🦦 . Évalué à 2 (+0/-0).
Tu dis que soit on interdit les devoirs soit on les autorise sans réglementer le fait qu’il nécessitent du numérique ? Ça ressemble à une tentative de passage en force. Aux dernières nouvelles, l’EN n’était pas contre le fait d’interdire, mais les parents sont attachés aux devoirs (une crainte que l’éducation soit au rabais).
https://linuxfr.org/users/barmic/journaux/y-en-a-marre-de-ce-gros-troll
[^] # Re: Bébé et eau du bain ?
Posté par raphj . Évalué à 2 (+0/-0). Dernière modification le 30 août 2024 à 19:04.
Non non, en réalité je me suis trompé sur le sens de l'expression "Droit à la déconnexion", que je supposais signifier "droit à ne pas se préoccuper du travail hors des horaires de travail". En réalité, la notion est plus restreinte et elle bien reliée aux outils numériques :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_%C3%A0_la_d%C3%A9connexion
Toutes mes confuses. Ça rend ma remarque caduque.
# Faire confiance au corps enseignant ?
Posté par aiolos . Évalué à 7 (+6/-1).
À chaque fois que je lis ce genre de chose, je me fais la même réflexion. Il y a des gens payés et formés à l'enseignement, la transmission. Pour ça, ils ont des méthodes, des outils et ils peuvent ou non les utiliser, dans l'intérêt des enfants et de leurs apprentissages. C'est à eux de choisir leurs outils, et ce qu'ils pensent utile. Pour moi des phrases comme
c'est méprisant pour les enseignants, pour ceux qui conçoivent les outils pédagogiques, en plus d'ignorer les avancées qui ont été faites sur l'enseignement du numérique.
Vouloir interdire un outil pédagogique sous prétexte que les gens ne conçoivent leur usage qu'à travers leur prisme de consommateurs de réseaux sociaux me semble totalement hors propos….
[^] # Re: Faire confiance au corps enseignant ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 1 (+0/-1). Dernière modification le 29 août 2024 à 20:12.
Seriez-vous partisan de la technocratie ? C’est-à-dire de remettre les décisions politiques à un corps de spécialistes ?
Mon avis en matière d’enseignement et d’éducation n’est peut-être pas le plus pertinent, ou majoritaire, mais en tant que citoyen, il me semble indispensable de m’intéresser à ce sujet dont nul ne devrait ignorer qu’il s’agit de l’un des point clef d’une civilisation.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Faire confiance au corps enseignant ?
Posté par barmic 🦦 . Évalué à 5 (+3/-0).
La plupart des profs avec qui j'ai pu en parler m'ont dit qu'ils n'avaient reçu aucune véritable formation pédagogique. Il semble que ça ai changé et de ce que je comprends, le master métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation a une part pédagogique, mais je ne sais pas comment c'est sanctionné ensuite dans les concours.
Je ne dis pas ça pour dire du mal des professeurs mais des formations. Les prof font leur possibles pour faire apprendre le programme aux élèves. Ce sont des métiers où tu es pas très bien payé pour un boulot épuisant avec une très mauvaise reconnaissance du publique comme de ta hiérarchie et toujours moins de moyens (et tu peux entendre ta ministre de tutelle dire sans gêne que les professeurs sont trop absentéistes et que le privé est une solution à ça1). Les prof réfléchissent bien plus et ont beaucoup plus d'expérience sur comment enseigner. Sachant que c'est une alchimie tout professeur n'est pas apte à appliquer n'importe quelle pédagogie. Je me garderai bien de leur dire quoi faire ou non
je trouve incroyable comment le ministre de l'intérieur est toujours "le premier flic de France" et le ministre de l'éducation le fossoyeur là pour "dégraisser le mammouth". ↩
https://linuxfr.org/users/barmic/journaux/y-en-a-marre-de-ce-gros-troll
[^] # Re: Faire confiance au corps enseignant ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 6 (+4/-0).
Ce dont ne se prive pas tout un aréopage ne pratiquant pas l’enseignement, et ce basant au mieux sur des études pseudo-scientifique trop fréquemment antagonistes de l’expérience.
Selon moi, et ce que j’ai pu entendre et retenir de témoignages d’enseignants du primaire et du secondaire, bien plus que les bas salaires (qui n’entrent bien souvent même pas en considération), c’est l’un des facteurs fondamentaux pour transformer notre métier formidable, atavique, inscrit dans les gènes de l’humanité, en mélasse dépressive. Qui n’a pas entendu ces histoires de hiérarchies qui par asthénie, qui par complaisance, qui par pusillanimité, qui par sectarisme, qui par veulerie, viennent nuire à l’enseignement, en prenant des positions anti-éducatives vis-à-vis des enfants, ou en léchant les bottes de leurs tutelles et en reportant des contraintes kafkaïenne sur le corps enseignant façon Pilate ?
Je me garderai donc bien du raccourci qui consisterait à supposer que les pratiques de l’éducation nationale émanent nécessairement des professeurs. Plus encore, n’ignorant pas totalement les avanies de la pratique, même produite par des enseignants, il me semblerait présomptueux de lui accorder un blanc-seing sur cette seule qualité.
Pour en revenir au sujet de la lettre initiale, ayant deux sujets du mammouth fort disparates chez moi, je peux observer que si pour l’un les pratiques dénoncées n’ont guère eu d’effet délétère ; pour l’autre, exactement comme décrit en filigranes, ils participent de l’induction d’une galère éducative sans borne. Il est aisé d’imaginer à quel point une tablette et du wifi peuvent se muer en sujet de distraction au retour au bercail. Pouvoir s’appuyer sur son ministre pour les réclamer quotidiennement à ses géniteurs, voire les fournir directement par dévers ces derniers, voici une aubaine dont n’auraient osé rêver les pires cancres du XXe.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Faire confiance au corps enseignant ?
Posté par tkr (Mastodon) . Évalué à 2 (+1/-0).
la problématique, c'est pas l'outil : c'est qu'il devient très vite addictif : je répète souvent que les pixels sont le plus efficace des cafés.
malheureusement, sur les 15/25 ans d'aujourd'hui, jle constate tous les jours (je préférerais avoir tort)
cf:
https://next.ink/1696/florilege-brouillages-dondes-plus-ou-moins-volontaires/
[^] # Re: Faire confiance au corps enseignant ?
Posté par Psychofox (Mastodon) . Évalué à 5 (+2/-0).
Parce que tu as l'impression que les tranches d'âge plus élevées font mieux? Je n'en suis pas convaincu.
# bis repetita ?
Posté par PhRæD . Évalué à 3 (+2/-0).
Il y a déjà eu une (très) longue et intéressante discussion sur le sujet.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
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