• # Où l'on voit que dépendre de ce genre de réseau pour sa communication est une mauvaise idée

    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 7 (+4/-0).

    Ce genre de situation est effectivement très déplorable et triste. Et cela illustre bien le fait qu'il ne faut en aucune manière faire une totale confiance à ce genre de réseaux sociaux.

    Dans les commentaires de l'article, il y a une librairie lyonnaise qui a le même problème.

    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

    • [^] # Re: Où l'on voit que dépendre de ce genre de réseau pour sa communication est une mauvaise idée

      Posté par  . Évalué à 5 (+3/-0).

      Toujours dans les commentaires :

      La seule solution, puisque aucun interlocuteur Meta : recréer un compte différent. On perd l'historique mais au moins on existe à nouveau grâce à une campagne de communication.

      Donc pour cet internaute, la seule solution c'est de se jeter à nouveau dans la gueule du loup… Que faire pour que le public réalise que le web est à tout le monde et qu'il est possible de communiquer en dehors des silos de Meta ?

      • [^] # Re: Où l'on voit que dépendre de ce genre de réseau pour sa communication est une mauvaise idée

        Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6 (+3/-0).

        Précise : pour cet éditeur. Ce n'est pas un ou une internaute lambda. C'est quelqu'un qui utilise Meta pour sa com' professionnelle.

        C'est pas évident : Facebook c'est facile d'accès, c'est gratuit (on ne verse pas d'argent) et "tout le monde y est". Les solutions : informer, former, aider, orienter les gens vers des solutions diversifiées. Rappeler l'existence d'outils comme les listes de diffusion, rappeler que mettre tous ses œufs dans le même panier n'est pas une bonne idée, etc.

        Mais, si tu es une petite asso de quartier informelle que tu veux réunir les gens sur un projet genre (exemple réel) : l'entretien des bâtiments (ascenseurs, parties communes, etc.), Facebook restait ce qu'il y a de plus simple.

        « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

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