Un très bon dossier dans le journal l'Echo (quotidien belge de l'économie et de la finance) qui parle des limites de la propriété intellectuelle au coeur du débat sur les brevets logiciels. On peut y lire : «
Une directive est actuellement en discussion au Parlement européen. La lutte d'influence bat son plein entre l'industrie informatique et les adeptes du modèle d'échange libre.». L'article du journal fait quand même une pleine page, ce qui n'est pas mal pour un journal financier.
NdM: Marc ajoute : « Une photo d'un bâtiment où apparait la publicité IBM Peace/Love/Linux et Tux illustre l'article. GNU/Linux est d'ailleurs nommé comme exemple le plus illustre du modèle du logiciel libre. En page 6 du journal, quelques articles de fond présentent la position de Richard Stallman et de quelques légistes ou représentants du monde académique. »
Aller plus loin
# Tant qu'il y aura des hommes
Posté par N/A . Évalué à 10.
[^] # Commentaire supprimé
Posté par Anonyme . Évalué à 10.
Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.
[^] # Re: Tant qu'il y aura des hommes
Posté par okhin . Évalué à 2.
Voilà c'est tout...bonne année à tous
[^] # Re: Tant qu'il y aura des hommes
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . Évalué à 4.
Consultez par exemple les pages écrites par François Pellegrini : http://abul.org/brevets/(...)
La pétition seule ne suffirait pas à elle seule à contrer cette infâmie de directive. Le travail des personnes qui sont intervenues auprès des parlementaires européens est essentiel et il n'est pas déraisonnable d'espérer quelques résultats.
[^] # Commentaire supprimé
Posté par Anonyme . Évalué à 2.
Ce commentaire a été supprimé par l’équipe de modération.
# Du danger des brevets
Posté par Mes Zigues . Évalué à 8.
Dans cet article, il y a un encadré qui retrace une bataille autour su brevet.
En France au XVIIIe siècle, un procès opposa les créateurs d'une teinture rouge de ses "copieurs" qui utilisait des procédés différents pour obtenir la même molécule.
Résultat du procés, les "copieurs" furent codamnés. En accordant sa protection à la molécule et non au procédé, la justice Française de l'époque tua dans l'oeuf l'industrie chimique française.
On y découvre aussi que les grands groupes allemands de chimie ont été créés et ont débuté leur fortune avant la mise en place de la protection par brevets !
Conclusion personnelle, le brevet ne protège en rien l'innovation, il protège les positions établies.
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