En février 2006, l'Agenda du Libre passait le cap des 300 évènements et ajoutait aux flux RSS proposés depuis le lancement, le support des calendriers iCal et une carte des évènements et des GULLs.
Le cap des 1000 évènements recensés est franchi en avril 2007 et c'est cette fois-ci les étiquettes (tags) qui sont annoncées, permettant entre autres à un GULL de proposer à son public un calendrier iCal ou un flux RSS de ses évènenements uniquement.
Le cap des 2500 évènements est franchi en février 2009, avec de nouvelles fonctionnalités, et notamment la possibilité pour les soumetteurs d'évènements d'éditer ou d'annuler leur évènement après modération.
En décembre 2009, un Agenda du Libre pour le Québec est annoncé, et en février 2010, c'est au tour de la Belgique de proposer un Agenda du Libre.
Parti d'une moyenne d'une trentaine-quarantaine d'évènements par mois au départ, l'Agenda du Libre enregistre désormais environ 80 à 100 évènements par mois, avec des pointes à plus de 200 évènements pour le mois de mars, par l'organisation du Libre en Fête. Dans le classement des villes, c'est évidemment Paris qui rafle la première place avec 470 évènements enregistrés, mais c'est ensuite Rennes (onzième ville française en population, mais extrêmement active en termes de Logiciel Libre) qui occupe la seconde place avec 394 évènements, puis Lille avec 253 évènements et Toulouse avec 222 évènements. Marseille, deuxième ville française en population, est à la 10ème place avec 79 évènements, et Lyon, troisième ville française en population, est à la 6ème place avec 116 évènements, derrière Rouen.
Nous profitons de cette dépêche pour remercier tous les GULLs, associations, cyber-bases ou médiathèques pour l'organisation de ces 4000 évènements et pour leur contribution à l'Agenda du Libre, ainsi que les développeurs et modérateurs du site. Si pour les cinq années à venir, vous avez des idées d'amélioration à apporter à l'Agenda du Libre, nous vous invitons à rejoindre le projet !
Aller plus loin
- Agenda du Libre (3 clics)
- Lancement de l'Agenda du Libre (1 clic)
# événement
Posté par Davy Defaud . Évalué à 0.
[^] # Re: événement
Posté par Florent Zara (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.
cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89v%C3%A9nement
Le Rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques préconise la régularisation de tels mots, et les dictionnaires, dès la fin du XXe siècle, encouragent l'orthographe évènement, quoique l'autre orthographe soit aussi mentionnée ; de même, l'Académie française a adopté la graphie évènement, mais estime que « la graphie ancienne événement n'est cependant pas considérée comme fautive, encore que rien ne la justifie plus. »
cf. http://fr.wiktionary.org/wiki/%C3%A9v%C3%A9nement#Variantes_(...)
Variantes orthographiques
* évènement (orthographe de 1990)
cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Rapport_de_1990_sur_les_rectifi(...)
Emploi de l'accent grave (au lieu de l'accent aigu) dans un certain nombre de mots ainsi qu'au futur et au conditionnel des verbes qui se conjuguent comme céder.
* événement → évènement
* réglementaire → règlementaire
* je cèderai, ils règleraient
[^] # Re: événement
Posté par Davy Defaud . Évalué à 1.
J'ai jeté un coup d'œil au tableau récapitulatif ; certaines de ces propositions me heurtent, notamment celles concernant la suppression des accents circonflexes, ou encore le non accord du verbe laisser au participe passé lorsqu'il est suivi d'un verbe à l'infinitif (ex: elle s’est laissé maigrir).
La seule chose que je trouve pleinement justifiée, c'est le déplacement du tréma sur la voyelle devant être prononcée. J'ai toujours trouvé complètement illogique d'écrire aiguë (qui devrait se prononcer "aiguè") au lieu du plus intuitif aigüe.
[^] # Re: événement
Posté par Thierry Thomas (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.
[^] # Re: événement
Posté par Olivier Giroire . Évalué à 5.
... De fait ... Ce genre de rectifications n'a pas de caractère obligatoire, est potentiellement vexant, est contestable et contesté, mais mettez-vous un peu à la place de vieux cons de plus de 40 balais comme nous (enfin, moi, Davy est un peu plus jeune (ça y est, je l'ai lâché, je défends mon pote ...)). On nous a enfoncé l'orthographe et la grammaire dans le ciboulot, et si tout s'est bien passé, on en est sorti amoureux de la langue française, sinon, ça a été très dur, voire les deux (c'est mon cas). Si certaines réformes et tolérances étaient sans doute nécessaires bien qu'elles nous fassent cruellement souffrir, certaines autres sont tout simplement des aberrations étymologiques, dont l'effet est de couper la langue de ses racines, et de mener tout droit à des situations dans lesquelles la langue elle-même perd tout son sens. À mon sens, les tolérances d'accentuations font partie de ces aberrations, ça n'est qu'un avis, mais c'est le mien.
Aujourd'hui, on en arrive a sélectionner des stagiaires ingénieurs ... sur leur bon respect de l'orthographe ... ouais ouais, bac+5 ... Loin de moi l'idée de me poser en expert en orthographe, je suis même certain que quelques fautes traînent dans ce message, mais nos métiers nous rendent trop insensibles à ces écarts, et certaines personnes (sans doute moins ici qu'ailleurs, tout de même) font vraiment figure d'analphabètes.
Il m'arrive (véridique, désolé) de ne *réellement* rien comprendre à certains textes postés sur certains newsgroups ou forums, tout simplement parce que je ne comprend pas naturellement le mode phonétique, et encore moins le mode SMS, et quand j'en fait la remarque, c'est moi qui me fait insulter, voire bannir. Il m'arrive également de tomber sur des fautes d'orthographe sur les sites institutionnels de la presse écrite nationale, et ça fait encore plus mal.
Qu'on ne s'y trompe pas, nous n'avons rien contre d'évolution de la langue, elle *doit* évoluer, nous sommes avant tout des techniciens et sommes donc aux premières loges pour observer la vacuité terminologique occasionnelle de notre langue. Comme tout le monde, nous utilisons régulièrement des termes étrangers dans nos phrases françaises, et nous n'avons pas forcément le réflexe systématique de leur opposer un terme "de cheu nous", mais ceci n'a rien à voir avec les fondements de la langue, c'est juste un façon de boucher des trous, et boucher des trous n'implique pas de bousiller la route.
Voila, je l'avoue, les posteurs illettrés (et ni Thomas, ni Florent, ni Thierry ne semblent en faire partie) me font ... pitié ... ils sont les malheureux acteurs du nivellement par le bas. Rappelez vous d'Orwell.
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