Indesko a mis en ligne récemment trois nouveaux documents sur OpenOffice.org sous licence FDL (Free Documentation Licence) :
- "OpenOffice.org: avec style" : une initiation et un argumentaire pour l'utilisation des styles dans OOo ;
- "Introduction au SDK d'OpenOffice.org" : transparents de la présentation de Laurent Godard à la session OOo organisée par Sun et Cusoon lors du salon Solution Linux ;
- et une mise à jour (intégrant de nombreuses contributions communautaires) de "10 raisons d'utiliser OpenOffice.org" : présentation de 10 critères de choix stratégiques d'OOo.
NdM : inDesko est une SSLL spécialisée dans les services autour de la suite logicielle libre de bureautique OpenOffice.org
amaroK 1.2 est là !
Il est sorti ce dimanche 13 février.
amaroK est un lecteur audio pour KDE sous licence GPL. Il a pour principale caractéristique une gestion puissante de votre collection musicale.
Mais il ne s'arrête pas la, il permet entre autre de : stocker sa collection dans une base de donnée, partager ses goûts musicaux via Audioscrobbler, faire des statistiques de ce que vous écoutez, "re-tagger" facilement ses fichiers musicaux (via musicbrainz), gérer les pochettes de ses albums, etc.
amaroK est un lecteur audio pour KDE sous licence GPL. Il a pour principale caractéristique une gestion puissante de votre collection musicale.
Mais il ne s'arrête pas la, il permet entre autre de : stocker sa collection dans une base de donnée, partager ses goûts musicaux via Audioscrobbler, faire des statistiques de ce que vous écoutez, "re-tagger" facilement ses fichiers musicaux (via musicbrainz), gérer les pochettes de ses albums, etc.
Interview de Tony Mobily, rédacteur en chef du Free Software Magazine
Le Free Software Magazine est un magazine dédié au Logiciel Libre, les standards et la philosophie du Libre. Tous les articles sont disponibles sous licence libre, mis en ligne 6 semaines après la parution du magazine. Il est également possible de s'abonner pour avoir accès à une version papier ou à une version PDF du magazine, ce qui permet le financement de celui-ci.
Dans une interview accordée à Newsforge, Tony Mobily, le rédacteur en chef revient sur différents aspects du projet. Le public du magazine, son mode de financement, les sujets abordés, la recherche des auteurs ainsi que leurs rémunérations sont évoqués dans cette interview.
Free Software Magazine a déjà publié deux numéros, le premier avec assez peu d'articles, le second plus fourni traite de sujets aussi divers que les formats de fichiers, les Live CDs ou la philosophie du Libre.
Dans une interview accordée à Newsforge, Tony Mobily, le rédacteur en chef revient sur différents aspects du projet. Le public du magazine, son mode de financement, les sujets abordés, la recherche des auteurs ainsi que leurs rémunérations sont évoqués dans cette interview.
Free Software Magazine a déjà publié deux numéros, le premier avec assez peu d'articles, le second plus fourni traite de sujets aussi divers que les formats de fichiers, les Live CDs ou la philosophie du Libre.
2LE publie son framework Castor web builder
Castor est un framework écrit en PHP et distribué sous licence GNU GPL. Il est à l'initiative de la société 2LE. C'est une plateforme qui s'est enrichie au fur et à mesure des projets web menés par l'entreprise.
Il a pour but de faciliter le développement d'application web complexe. Cet outil offre des composants de base tels que la gestion de l'arborescence de page, la gestion des utilisateurs, l'édition de page HTML grâce à un éditeur WYSIWYG, etc.
L'écriture de nouveau module est très facile : c'est une classe qui a deux fonctions (process et out). Un module de gestion de table SQL permet de créer en quelques clics une interface d'administration avec des écrans liste, détail et formulaire. Allez faire un tour dans la documentation pour les détails ;-)
Il a pour but de faciliter le développement d'application web complexe. Cet outil offre des composants de base tels que la gestion de l'arborescence de page, la gestion des utilisateurs, l'édition de page HTML grâce à un éditeur WYSIWYG, etc.
L'écriture de nouveau module est très facile : c'est une classe qui a deux fonctions (process et out). Un module de gestion de table SQL permet de créer en quelques clics une interface d'administration avec des écrans liste, détail et formulaire. Allez faire un tour dans la documentation pour les détails ;-)
AMD dévoile son offre de virtualisation de serveurs
AMD s'est fait remarquer ce mardi 15 février lors de la conférence LinuxWorld en dévoilant son projet d'intégration de la technologie Xen de la société XenSource dans ses processeurs 64 bits.
Le principe de Xen est de permettre de faire fonctionner plusieurs OS sur une seule machine, en divisant les ressources attribuées à chaque OS (tout comme la technologie Vanderpool chez Intel).
Selon le fondeur, cette opération lui permettra de proposer la première offre de virtualisation open source pour processeurs 64 bits basés sur l'architecture x86. La technologie devrait être disponible « au cours du premier semestre 2005 ».
NdM : Xen est distribué sous licence GPL.
Le principe de Xen est de permettre de faire fonctionner plusieurs OS sur une seule machine, en divisant les ressources attribuées à chaque OS (tout comme la technologie Vanderpool chez Intel).
Selon le fondeur, cette opération lui permettra de proposer la première offre de virtualisation open source pour processeurs 64 bits basés sur l'architecture x86. La technologie devrait être disponible « au cours du premier semestre 2005 ».
NdM : Xen est distribué sous licence GPL.
Publication du bilan moral 2004 de l'APRIL
Le rapport moral sur l'activité de l'Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre (APRIL) en 2004 est disponible.
L'APRIL est une des principales associations du logiciel libre en France, et participe à la démocratisation et à la diffusion du logiciel libre.
Le rapport présente notamment le bilan des différents groupes de travail (au Forum des Droits sur Internet, sur le spam/pourriel au Comité Interministériel pour la Société de l'Information, sur les biens communs informationnels, autour de la revue de presse « Sélection libre », pour la traduction de la philosophie GNU, etc.) et la longue liste des manifestations auxquelles l'APRIL a participé ou qu'elle a organisées. Il revient aussi sur les nombreux contacts avec la presse, les milieux associatifs, économiques, etc., ainsi que sur les évolutions en cours pour changer de braquet face à l'augmentation du nombre de dossiers à traiter.
Dans un contexte politique difficile (lobbying intense de grandes sociétés concernant la brevetabilité des programmes d'ordinateurs, lobbying intense pour l'adoption en Europe de lois type EUCD/IPRE allant vers un contrôle de plus en plus fort dans la sphère de l'immatériel, et lois restreignant les libertés), l'association a agi sur de nombreux fronts par des actions de terrain (colloques, rencontres, débats) et par des actions de portée plus générale (rencontres avec des politiques, publication régulière d'articles dans divers médias, actions communes avec d'autres associations contre les brevets sur le logiciel, etc.).
L'APRIL est une des principales associations du logiciel libre en France, et participe à la démocratisation et à la diffusion du logiciel libre.
Le rapport présente notamment le bilan des différents groupes de travail (au Forum des Droits sur Internet, sur le spam/pourriel au Comité Interministériel pour la Société de l'Information, sur les biens communs informationnels, autour de la revue de presse « Sélection libre », pour la traduction de la philosophie GNU, etc.) et la longue liste des manifestations auxquelles l'APRIL a participé ou qu'elle a organisées. Il revient aussi sur les nombreux contacts avec la presse, les milieux associatifs, économiques, etc., ainsi que sur les évolutions en cours pour changer de braquet face à l'augmentation du nombre de dossiers à traiter.
Dans un contexte politique difficile (lobbying intense de grandes sociétés concernant la brevetabilité des programmes d'ordinateurs, lobbying intense pour l'adoption en Europe de lois type EUCD/IPRE allant vers un contrôle de plus en plus fort dans la sphère de l'immatériel, et lois restreignant les libertés), l'association a agi sur de nombreux fronts par des actions de terrain (colloques, rencontres, débats) et par des actions de portée plus générale (rencontres avec des politiques, publication régulière d'articles dans divers médias, actions communes avec d'autres associations contre les brevets sur le logiciel, etc.).
Nouvelles interviews FOSDEM
Le FOSDEM, qui aura lieu les 26 et 27 février prochains à Bruxelles, a publié trois nouvelles interviews de ses orateurs, cette fois sur le thème des outils de développement.
Il s'agit de Benoît Minisini, mainteneur de Gambas, de Andreas Zeller, contributeur à ddd, et de Alexander Dymo & Harald Fernengel, mainteneurs de KDevelop.
Merci aux lecteurs de LinuxFR pour avoir contribué aux interviews!
Il s'agit de Benoît Minisini, mainteneur de Gambas, de Andreas Zeller, contributeur à ddd, et de Alexander Dymo & Harald Fernengel, mainteneurs de KDevelop.
Merci aux lecteurs de LinuxFR pour avoir contribué aux interviews!
Erlang REPOS 1.1 est prêt
Erlang REPOS 1.1 est sorti et il s'agit d'une nouvelle version majeure qui intègre l'environnement de développement Erlang/OTP R10B-1a, le serveur Jabber/XMPP ejabberd, l'outil de benchmark Tsunami, la plate-forme d'intégration J-EAI, le modeleur Wings 3D, le serveur d'applications Yaws, etc.
REPOS signifie "Repository of Erlang-Projects.Org Software" : il s'agit d'une collection d'applications majeures développées en Erlang, pré-packagées et préconfigurées dans un environnement prêt à l'emploi. Erlang REPOS est distribué sous la forme d'un CDROM (image ISO). Il est possible d'utiliser tous les programmes proposés directement depuis le CDROM, mais vous pouvez également copier l'arborescence sur votre disque dur ou sur un clé USB. Le résultat est directement utilisable.
REPOS signifie "Repository of Erlang-Projects.Org Software" : il s'agit d'une collection d'applications majeures développées en Erlang, pré-packagées et préconfigurées dans un environnement prêt à l'emploi. Erlang REPOS est distribué sous la forme d'un CDROM (image ISO). Il est possible d'utiliser tous les programmes proposés directement depuis le CDROM, mais vous pouvez également copier l'arborescence sur votre disque dur ou sur un clé USB. Le résultat est directement utilisable.
Brevets logiciels : Microsoft France pour un retour de la procédure à son point de départ
Hier, la Fondation Temps Nouveaux a organisé un débat sur la brevetabilité des logiciels à l'Assemblée Nationale française. Intervenaient Gérald Sédrati-Dinet, représentant de la FFII, Jean-François Abramantic, vice-président R&D d'Ilog et ancien président du W3C, et deux représentants de Microsoft France : Thaima Samman, Directeur des Affaires Juridiques et Publiques et Olivier Ezratty, Directeur de la Division Développeurs et Plate-Forme d'Entreprise.
Le débat fut assez intéressant dans la mesure où Thaima Samman a déclaré à plusieurs reprises que ce qui importait avant tout, c'était de définir ce qui est brevetable et ce qui ne l'est pas et que les fonctionnaires de la Commission européenne avaient sans doute sous-estimé les enjeux et l'importance d'un vrai débat sur cette question. Mme Samman n'a toutefois pas su nous éclairer sur ce qui est brevetable et ce qui ne l'est pas, tout en repoussant la définition proposée par le parlement (pourtant vrai lieu de débat si il en est).
Quant à M. Ezratty - interrogé sur le fait de savoir si Microsoft était pour un redémarrage de la procédure à zéro à l'instar de la FFII (afin que justement ait lieu ce « vrai débat » et que soit clairement défini ce qui est brevetable et ce qui ne l'est pas) - il déclara, à deux reprises : c'est ce que nous poussons à Microsoft France auprès de la corporation.
Le débat fut assez intéressant dans la mesure où Thaima Samman a déclaré à plusieurs reprises que ce qui importait avant tout, c'était de définir ce qui est brevetable et ce qui ne l'est pas et que les fonctionnaires de la Commission européenne avaient sans doute sous-estimé les enjeux et l'importance d'un vrai débat sur cette question. Mme Samman n'a toutefois pas su nous éclairer sur ce qui est brevetable et ce qui ne l'est pas, tout en repoussant la définition proposée par le parlement (pourtant vrai lieu de débat si il en est).
Quant à M. Ezratty - interrogé sur le fait de savoir si Microsoft était pour un redémarrage de la procédure à zéro à l'instar de la FFII (afin que justement ait lieu ce « vrai débat » et que soit clairement défini ce qui est brevetable et ce qui ne l'est pas) - il déclara, à deux reprises : c'est ce que nous poussons à Microsoft France auprès de la corporation.
RHEL 4 est sortie
Red Hat vient de sortir la RHEL 4 (Red Hat Enterprise Linux), 17 mois après RHEL 3 et quatre mois après la Fedora Core 3 sur laquelle elle est basée. Disponible uniquement avec l'offre de support payant, elle n'est pas disponible au téléchargement sous forme d'ISO ou de RPM, mais seulement sous forme de SRPM (RPM source).
C'est une des dernières distributions majeures à passer au noyau 2.6 (la version 2.6.9 en l'occurrence). Parmi les autres nouveautés, elle intègre désormais SELinux (Security Enhanced Linux contribué par la NSA), LVM2 (Logical Volume Manager) et est passée au serveur X X.org après abandon de XFree86. De plus, RHEL 4 est en cours de certification LSB 1.3 (Linux Standard Base).
Dans les limitations, on peut noter que seul le système local de fichiers Ext3 est supporté (pas d'outils ReiserFS, JFS, ou XFS), c'est un choix. La RHEL 4 est la dernière version supportant les LinuxThreads, le passage aux NPTL (Native POSIX Thread Library) ayant déjà été effectué par la RHEL 3. Les plus gros manques sont sans doute la virtualisation Xen (en cours d'inclusion dans la prochaine Fedora Core 4) et le clustering GFS (dans un produit tiers nommé Cluster Suite).
NdMeR : merci à fabb et tous les autres contributeurs de cette dépêche
C'est une des dernières distributions majeures à passer au noyau 2.6 (la version 2.6.9 en l'occurrence). Parmi les autres nouveautés, elle intègre désormais SELinux (Security Enhanced Linux contribué par la NSA), LVM2 (Logical Volume Manager) et est passée au serveur X X.org après abandon de XFree86. De plus, RHEL 4 est en cours de certification LSB 1.3 (Linux Standard Base).
Dans les limitations, on peut noter que seul le système local de fichiers Ext3 est supporté (pas d'outils ReiserFS, JFS, ou XFS), c'est un choix. La RHEL 4 est la dernière version supportant les LinuxThreads, le passage aux NPTL (Native POSIX Thread Library) ayant déjà été effectué par la RHEL 3. Les plus gros manques sont sans doute la virtualisation Xen (en cours d'inclusion dans la prochaine Fedora Core 4) et le clustering GFS (dans un produit tiers nommé Cluster Suite).
NdMeR : merci à fabb et tous les autres contributeurs de cette dépêche
RMS nous parle des brevets logiciels et des accusations de « communisme »
Bill Gates a récemment fait l'objet d'un entretien publié en ligne. Au cours de cet entretien il avait indirectement traité les partisans du logiciel libre de « communistes » (There are some new modern-day sort of communists who want to get rid of the incentive for musicians and moviemakers and software makers under various guises.).
Richard Stallman, le fondateur du projet GNU et l'artisan de la licence libre de référence, s'est senti visé par cette accusation et a pris le temps de répondre à Bill Gates sur le même site qui avait publié l'entretien du fondateur de Microsoft.
Comme à son habitude, M. Stallman fait l'objet d'une grande rigueur dans son raisonnement et dissèque tout ce que selon lui est concerné par l'appellation « propriété intellectuelle », notamment le copyright et bien sûr les brevets logiciels. La lecture de ce document est très intéressante et recommandée à ceux (dont votre serviteur fait partie) qui ont du mal à saisir toutes les composantes du concept de la « propriété intellectuelle ».
Richard Stallman, le fondateur du projet GNU et l'artisan de la licence libre de référence, s'est senti visé par cette accusation et a pris le temps de répondre à Bill Gates sur le même site qui avait publié l'entretien du fondateur de Microsoft.
Comme à son habitude, M. Stallman fait l'objet d'une grande rigueur dans son raisonnement et dissèque tout ce que selon lui est concerné par l'appellation « propriété intellectuelle », notamment le copyright et bien sûr les brevets logiciels. La lecture de ce document est très intéressante et recommandée à ceux (dont votre serviteur fait partie) qui ont du mal à saisir toutes les composantes du concept de la « propriété intellectuelle ».
SHA-1 aurait été cassé
Tout comme MD5 et SHA-0 l'été dernier, c'est au tour de SHA-1 de plier sous les coups de butoir d'une équipe de cryptographes chinois. C'est ce qu'annonce sur son blog Bruce Schneier, l'auteur du célèbre Applied Cryptography.
Une attaque en 2^69 opérations aurait été trouvée, c'est à dire plus rapide d'un facteur 2000 par rapport à l'attaque par force brute en 2^80 (Cependant, 2^69 opérations reste à l'heure actuelle hors de portée du commun des ordinateurs). Cette attaque, basée sur l'attaque de SHA-0, est un résultat très important dans le domaine de la cryptanalyse. Il faut maintenant attendre que l'équipe publie son papier pour avoir les détails de l'attaque.
Le nombre de fonctions de hachage cryptographique sûres commence à se réduire et, comme le disait d'ailleurs Bruce Schneier quand les collisions sur MD5 et SHA-0 avaient été publiées, il est peut-être temps de réfléchir à un nouveau standard.
Une attaque en 2^69 opérations aurait été trouvée, c'est à dire plus rapide d'un facteur 2000 par rapport à l'attaque par force brute en 2^80 (Cependant, 2^69 opérations reste à l'heure actuelle hors de portée du commun des ordinateurs). Cette attaque, basée sur l'attaque de SHA-0, est un résultat très important dans le domaine de la cryptanalyse. Il faut maintenant attendre que l'équipe publie son papier pour avoir les détails de l'attaque.
Le nombre de fonctions de hachage cryptographique sûres commence à se réduire et, comme le disait d'ailleurs Bruce Schneier quand les collisions sur MD5 et SHA-0 avaient été publiées, il est peut-être temps de réfléchir à un nouveau standard.
Le serveur QuantiK
Situé en Rhône-Alpes, la SSLL ADSiS met à disposition sous licence LGPL le projet QuantiK.
Basé sur une distribution Debian Sarge, dont l'installation a été automatisée en utilisant les outils Debian (preseed), QuantiK est un ensemble de paquets Debian permettant la configuration et l'administration d'un serveur GNU/Linux de manière simple.
Après 6 mois de développement, QuantiK entre en phase de test, d’ores et déjà disponible en version bêta, est téléchargeable par FTP (faible bande-passante) et Bittorrent.
Basé sur une distribution Debian Sarge, dont l'installation a été automatisée en utilisant les outils Debian (preseed), QuantiK est un ensemble de paquets Debian permettant la configuration et l'administration d'un serveur GNU/Linux de manière simple.
Après 6 mois de développement, QuantiK entre en phase de test, d’ores et déjà disponible en version bêta, est téléchargeable par FTP (faible bande-passante) et Bittorrent.
Yzis M3 est arrivé
L'équipe d'Yzis est heureuse de vous annoncer la naissance de leur petit dernier, la version M3 de cet éditeur compatible vi qui avance à pas de géant. Beaucoup de choses depuis la version M2 de août 2004: des corrections des bugs, plein de nouvelles fonctionnalités qui nous rapprochent de vim.
Yzis est développé par les auteurs de kvim et utilise des technologies modernes pour progresser rapidement : programmation orientée objet, scriptabilité en lua, fichiers de coloration en xml, tests unitaires.
Le coeur d'Yzis est un moteur vi réutilisable, qui peut être embarqué en tant que composant éditeur (dans le même esprit que scintilla). Des frontaux sont disponibles pour ncurses, KDE et KPart (les composants de KDE). Un port Gnome et un port Qt pur ont été commencés mais sont à la recherche de soutien dévelopistique.
Yzis est développé par les auteurs de kvim et utilise des technologies modernes pour progresser rapidement : programmation orientée objet, scriptabilité en lua, fichiers de coloration en xml, tests unitaires.
Le coeur d'Yzis est un moteur vi réutilisable, qui peut être embarqué en tant que composant éditeur (dans le même esprit que scintilla). Des frontaux sont disponibles pour ncurses, KDE et KPart (les composants de KDE). Un port Gnome et un port Qt pur ont été commencés mais sont à la recherche de soutien dévelopistique.
Un nouveau directeur exécutif pour la Free Software Foundation
La Free Software Foundation a annoncé le 14 février la nomination d'un nouveau directeur exécutif. Bradley M. Kuhn, l'ancien directeur exécutif, a souhaité quitter ses fonctions pour se consacrer à son nouveau poste de Chief Technology Officer au Software Freedom Law Center. Peter T. Brown, qui travaille depuis 2001 à la Free Software Foundation et s'occupe du GPL Compliance Lab a été nommé à ce poste.
L'année promet d'être riche en activités à la Free Software Foundation. Tout d'abord, la nouvelle collaboration avec le Software Freedom Law Center permettra de mieux surveiller le respect de la GPL. D'autre part, la FSF travaille également à la rédaction de la version 3 de la licence GPL dont l'objectif est notamment de prendre en compte de nouveaux problèmes tels que la cession des droits, les Web services ou les brevets.
La Free Software Foundation s'est dotée d'un nouveau site Web, basé sur Plone, et va prochainement changer de bureaux.
L'année promet d'être riche en activités à la Free Software Foundation. Tout d'abord, la nouvelle collaboration avec le Software Freedom Law Center permettra de mieux surveiller le respect de la GPL. D'autre part, la FSF travaille également à la rédaction de la version 3 de la licence GPL dont l'objectif est notamment de prendre en compte de nouveaux problèmes tels que la cession des droits, les Web services ou les brevets.
La Free Software Foundation s'est dotée d'un nouveau site Web, basé sur Plone, et va prochainement changer de bureaux.