Bonjour.
Je suis amené en ce moment à beaucoup travailler sur des projets qui nécessitent de travailler à plusieurs (2 ou 3 personnes), sur du LaTeX et parfois des petits scripts (python ou bash).
Étant donné que je dispose d’un petit serveur perso sous debian, j’aimerais bien me mettre à utiliser un système de gestion de versions, de type git, mercurial, fossil (j’ai vu une dépêche ici il y a quelques mois) etc.
Or justement, la liste est longue, et (…)
Veracity est un nouveau gestionnaire de versions décentralisé (DVCS), sous licence Apache. Il est développé en C par la société SourceGear, avec la possibilité d'embarquer des greffons en javascript.
Comparé à git ou mercurial, il essaye d'intégrer une expérience de développement plus large :
Il est possible de l'installer sous GNU/Linux, Mac et Windows. Des paquets pour Ubuntu et un guide sont également disponibles pour vous aider à démarrer.
L'actuelle équipe dirigeante de Tuxfamily a accordé une assez longue entrevue à Linuxfrench.
Rien de fondamentalement nouveau à signaler mais l'article permet néanmoins de se faire une idée sur l'éventuel avenir de la structure et de ses services. Sont évoqués de nombreux points. Le plus sensible semble être celui de la réouverture du service... qui ne fait l'objet d'aucune proposition de date (même si celle-ci est signalée comme « proche »).
Le développement (pour ne pas dire les grandes évolutions !) de VHFFS, le système sur lequel repose l'hébergement de l'association, qui passe de la version 2 à la version 4, est également abordé. Le développement de VHFFS semble être assez lent, laborieux et complexe, ce qui explique les retards dans la ré-ouverture des services.
Les services proposés sont également discutés. L'association semble se diriger vers une proposition de services comparables à ce qui se faisait avant (web, php4, courriel, liste de diffusion, CVS, MySQL, etc etc), tout en laissant la possibilité de s'ouvrir à d'autres services, (Arch par exemple), mais qui restent encore à définir.
Quoiqu'il en soit, il semble qu'un appel à bonne volonté soit constitué, tout au moins si vous n'êtes pas un de ces « harangueurs qui confondent le logiciel libre avec le syndicalisme » (sic).