Lien Fonctionnemt de l'instruction en France dans les affaires politico-financières: bilan & perspectives

Bonjour Nal,
J'ai reçu ma nouvelle carte bancaire vers la fin du mois de Mars, et je l'ai activée au premier avril avec un petit achat en pharmacie.
J'ai ensuite mis à jour mon moyen de paiement sur Amazon le 4 avril, pour un achat également.
J'ai ensuite eu le plaisir d'avoir un appel de ma banque ce matin concernant 2 transactions douteuses :
Aux côtés de LinuxFr.org, la Monnaie libre a reçu au Paris Open Source Summit le prix de l’innovation, remis à l’association Axiom Team pour son travail de communication et d’aide aux développeurs.
Pourquoi et comment fonctionne la monnaie libre ? C’est expliqué dans ce qui suit…
Bonjour tout le monde,
J'ai hésité à poster ce message dans les forums, mais je pense qu'il peut-être intéressant de partager ici quelque chose qui nous est arrivé aujourd'hui concernant le vol et l'utilisation frauduleuse de la carte bancaire de mon conjoint.
Je lui ai offert un nouveau téléphone de marque Huawei (P Smart) il y a un mois de ça. Et aujourd'hui, il reçoit sur son téléphone par SMS une demande de validation 3D Secure d'un paiement de 1 (…)
Il n'y a toujours aucune loi dans aucun pays qui protège les lanceurs d'alerte, informaticiens ou non. Ernest BACKES (Clearstream), Edward SNOWDEN, Bradley MANNING, Serge HUMPICH, Hervé FALCIANI (HSBC), Sylvain P. (Société Générale), Antoine DELTOUR (affaire Luxleaks)… ont tous bien morflé.
Dernier dommage collatéral en date à l'UNEDIC : http://www.silicon.fr/unedic-dsi-fraudeur-assurance-chomage-141238.html
Je viens de recevoir une nouvelle carte bancaire, et comme je le craignais, celle-ci est équipée d'un module de paiement sans contact. Ce système sans contact, c'est un truc de ouf malade, puisque ça permet :
Du coup, ça implique automatiquement que, en me frôlant, disons dans le métro où on est souvent assez serrés, (…)
La loi française sur l'identité numérique vient de rehausser les peines pour les actes de fraude informatique, en particulier visant les systèmes d'information de l'État. Bon, sur le principe on se dit pourquoi pas. Maintenant dans la pratique les sanctions sont complètement disproportionnées, puisque l'attaque d'un système d'information de l'État est dorénavant sanctionné par 7 ans d'emprisonnement (peine maximale) !
Données personnelles donne quelques exemples intéressants de comparaison, car 7 ans d'emprisonnement dans le Code pénal c'est :
Difficile de ne pas se demander si c'est vraiment raisonnable…
NdM : l'article évoque aussi une erreur qu'aurait commise le législateur en confondant les systèmes de traitement automatisé de données et les systèmes de traitement automatisé de données à caractère personnelles.