Ce mode de scrutin, le jugement majoritaire, permet d'éviter les effets pervers du scrutin actuel. Par exemple, Jospin qui est éliminé du second tour alors que plus de personne le voulaient au second tour que Le Pen. Mais il est impossible de signifier notre « second choix » au premier tour.
On peut voir la même chose avec les 6 % de Hamon qui aurait pu changer le second tour de la dernière présidentielle.
Le problème principal du scrutin actuel (…)