Enfin, les gens ont l'air de dire que c'est peut-être trafiqué.
Plusieurs experts ont cependant appelé à la prudence. « Pour une fuite de cette importance, nous avons besoin de quelques détails » sur sa provenance, a réagi le chercheur Thomas Rid, l’un des premiers à avoir alerté contre une attaque russe lors de l’élection de 2016. « C’est beaucoup trop pratique et ça empeste l’opération de désinformation », a réagi Chris Krebs, l’ancien directeur national américain de la cybersécurité.
Certains ont cru repérer des fautes d’orthographe ou lexicales dans le texte en russe, signes d’une manipulation. Le journaliste Glenn Greenwald, lui-même un ancien du Guardian, où il a sorti les révélations d’Edward Snowden, a même mis en doute la crédibilité de Luke Harding, rappelant qu’il avait affirmé à tort, en novembre 2018, que Paul Manafort, l’ancien directeur de campagne de M. Trump, avait rencontré Julian Assange à l’ambassade équatorienne à Londres.
# Prudence
Posté par Glandos . Évalué à 5.
Apparemment, c'est un peu contesté : https://www.lemonde.fr/international/article/2021/07/16/trump-poutine-et-le-scoop-du-guardian_6088418_3210.html
Enfin, les gens ont l'air de dire que c'est peut-être trafiqué.
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