Google now displays convenient artificial intelligence-based answers at the top of its search pages — meaning users may never click through to the websites whose data is being used to power those results. But many site owners say they can’t afford to block Google’s AI from summarizing their content.
That’s because the Google tool that sifts through web content to come up with its AI answers is the same one that keeps track of web pages for search results, according to publishers. Blocking Alphabet Inc.’s Google the way sites have blocked some of its AI competitors would also hamper a site’s ability to be discovered online.
Posté par GG (site web personnel) .
Évalué à 3.
Dernière modification le 22 août 2024 à 18:46.
Sur la plupart des sites sur lesquels j'ai accès aux statistiques, l'essentiel des visites proviennent du travail sur les réseaux sociaux, et en particulier Mastodon (80%), et sinon Bing.
Cela fait bien longtemps que ce qui arrive via Google est devenu minoritaire, essentiellement les bots.
Je suppose que ça dépend des contenus et thèmes des sites.
Alors oui, sur les sites dont j'ai le contrôle je bloque la plupart des indexeurs pour IA, via robots.txt sachant que ces directives ne sont pas respectées.
Sinon, oui, je bloque aussi des ranges entiers provenant d'Amazon, et de d'autres sources de nuisances.
Pourquoi bloquer la publicité et les traqueurs : https://greboca.com/Pourquoi-bloquer-la-publicite-et-les-traqueurs.html
C'est plutôt Wikimedia que wikipédia en réalité. Le souci c'est que Google se servait allégrément dans le pot de miel de la connaissance libre en mettant en avant le résumé introductif de Wikipédia, mais sans créditer la source. Donc la fondation Wikimedia lui a demandé de passer à la caisse.
Évidemment on peut regretter cette alliance, mais bon ce n'est rien en terme de poids financier par rapport à ce que gagnent certaines multinationales de l'open source qui ont pour clients de grosses banques,des armées, la police ….
Le seul danger, comme pour Mozilla, c'est de dépendre trop d'une entreprise qui a une situation de quasi sponsors à terme.
On notera quand même que Google est issu un peu des mêmes milieux entrepreneuriaux geeks avec un idéal de partage des informations sur le web. Seulement Google a choisi le modèle startup et business angel, et ces derniers notamment Sequoia Capital ont voulu passer à la caisse après l'éclatement de la bulle internet et récupérer des profits sur leurs investissements. C'est alors que Google a embauché Eric Schmidt, et une vilaine féministe, Sheryl Sandberg qui s'est occuppée de rendre Google rentable en embauchant plus de 4000 personnes pour faire tourner adworks. Ensuite cette charmante dame est partie faire la même chose chez Facebook.
# TL;DR
Posté par antistress (site web personnel) . Évalué à 6.
[^] # Re: TL;DR
Posté par Misc (site web personnel) . Évalué à 5.
Du coup, Google est en train de tuer le financement des sites web par la pub ?
[^] # Re: TL;DR
Posté par GG (site web personnel) . Évalué à 3. Dernière modification le 22 août 2024 à 18:46.
Sur la plupart des sites sur lesquels j'ai accès aux statistiques, l'essentiel des visites proviennent du travail sur les réseaux sociaux, et en particulier Mastodon (80%), et sinon Bing.
Cela fait bien longtemps que ce qui arrive via Google est devenu minoritaire, essentiellement les bots.
Je suppose que ça dépend des contenus et thèmes des sites.
Alors oui, sur les sites dont j'ai le contrôle je bloque la plupart des indexeurs pour IA, via robots.txt sachant que ces directives ne sont pas respectées.
Sinon, oui, je bloque aussi des ranges entiers provenant d'Amazon, et de d'autres sources de nuisances.
Pourquoi bloquer la publicité et les traqueurs : https://greboca.com/Pourquoi-bloquer-la-publicite-et-les-traqueurs.html
# Hum, ça serait bien que Wikipedia...
Posté par lejocelyn (site web personnel) . Évalué à 2.
décide de dire aurevoir à Google et à ses robots indexeurs.
[^] # Re: Hum, ça serait bien que Wikipedia...
Posté par Misc (site web personnel) . Évalué à 3.
Google est "client" de l'offre entreprise de la fondation:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Wikimedia_Entreprise
[^] # Re: Hum, ça serait bien que Wikipedia...
Posté par Nattes . Évalué à 2.
C'est plutôt Wikimedia que wikipédia en réalité. Le souci c'est que Google se servait allégrément dans le pot de miel de la connaissance libre en mettant en avant le résumé introductif de Wikipédia, mais sans créditer la source. Donc la fondation Wikimedia lui a demandé de passer à la caisse.
Évidemment on peut regretter cette alliance, mais bon ce n'est rien en terme de poids financier par rapport à ce que gagnent certaines multinationales de l'open source qui ont pour clients de grosses banques,des armées, la police ….
Le seul danger, comme pour Mozilla, c'est de dépendre trop d'une entreprise qui a une situation de quasi sponsors à terme.
On notera quand même que Google est issu un peu des mêmes milieux entrepreneuriaux geeks avec un idéal de partage des informations sur le web. Seulement Google a choisi le modèle startup et business angel, et ces derniers notamment Sequoia Capital ont voulu passer à la caisse après l'éclatement de la bulle internet et récupérer des profits sur leurs investissements. C'est alors que Google a embauché Eric Schmidt, et une vilaine féministe, Sheryl Sandberg qui s'est occuppée de rendre Google rentable en embauchant plus de 4000 personnes pour faire tourner adworks. Ensuite cette charmante dame est partie faire la même chose chez Facebook.
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