oui, comme indiqué, la volonté de fork n'est que le premier pas (qui marche ! c'est magique Mageia :D), il reste à construire toute la structure qui va avec, incidemment montrer sa confiance aux développeurs qui ont choisi de se lancer dans ce projet.
Bien sûr, il ne faut pas confondre libre et gratuit et je pense que personne n'oublie que certains ont souhaité vivre du libre aussi ;-)
L'objet n'est pas de saper la communauté Mandriva Linux, mais bien de construire un projet unifiant les communautés qui apprécient la distribution Mandriva Linux et la faire perdurer en tant que Mageia, que ce soit avec la société ou sans, cela relève désormais du choix de la société Mandriva. àmha, tout le monde a à y gagner (mais on va^Wpeut dire que je suis partisan :D).
Il n'y a pas d'opposition en tant que tel, mais bel et bien un fork, qui pourra se synchroniser au besoin, je ne suis pas devin sur la suite des événements, il y a déjà assez de travail à créer une distribution vraiment communautaire, demandée par beaucoup au fil du temps.
Comme l'indique Colin http://colin.guthr.ie/2010/09/there-is-no-spoon-but-there-is(...) "The future is unwritten. Let's write it!" et il reconnaît comme beaucoup de monde la bonne habitude de Mandriva et ses contributeurs de travailler upstream, qui je l'espère perdurera ; en tout cas, pour connaître ceux faisant déjà partie de Mageia j'ai une confiance avérée ;-)
Sans parler de deuil - comme tu y fais allusion - je préfère parler de faire le choix d'un projet qui me convient et pouvoir participer à le construire, avec ceux qui souhaitent s'y joindre et le faire marcher. Qui aime bien, châtie bien, mais là il n'y a pas le temps : autant le consacrer à Mageia ! ;-)
Certains noteront sur la page de présentation que les listes de diffusion et l'irc côtoient les moyens récents de communication, Mageia est déjà dans l'ère de l'Internet 2.0 ;-)
Bienvenue à ceux souhaitant faire partie de cette nouvelle communauté où tout est à créer ('fin il y aura du boulot pour tout le monde).
Il y a des arguments supplémentaires, surtout concernant l'informatique et ses "cycles courts" http://fr.wikipedia.org/wiki/Office_europ%C3%A9en_des_brevet(...) indique une publication sous 18 mois
Je ne remets pas la main sur une URL qui indiquait le temps de validation _effectif_ et ce qu'il y avait dans les tuyaux (indiquant la période de prise de risque pour ceux cherchant à innover, avant que leurs réalisations soient reconnues), c'était de l'ordre de 3 ans iirc, soit largement incompatible - aussi - avec les processus industriels et les cycles de lancement de produits / cycle de vie / retour sur investissement. C'était peut-être sur slashdot...
Le raisonnement était que ce genre de durée décourage d'innover vu qu'on ne peut chiffrer que 3 ans plus tard combien il faudra débourser pour avoir innové en même temps que les autres (parfois plus gros), ce qui ratiboise toute tentative de ROI et incite à sortir à tout prix le premier même quand ce n'est pas prêt pour limiter ce risque (en prenant le risque de sortir un truc pas fini tout foireux qui flingue l'idée et la réputation, ceux qui pensent à l'antennagate[1]... ont raison).
ou penser à la licence Art Libre qui a fait l'effort d'adapter la notion de "source préférée pour les modifications" dans le monde du graphisme et de la musique ;-)
je crois que j'en parle sur http://faq.tuxfamily.org/Licence/Fr ;-)
et si quelqu'un a des suggestions pour compléter http://faq.tuxfamily.org/CommunicationLibreArt/Fr il est le bienvenu
C'est à force de voir ce que je traduis par "payer sa cotisation" que j'y ai souvent réfléchi mais jamais pris le temps de poser un raisonnement comme quoi, àmha, ce n'est pas ça qui est actuellement l'important, comme je l'ai développé ;-) en bref, le desktop grand public pourrait être actuellement fourni à 0 euro "à la" Fedora ou "à la" OpenSuse, cela marcherait quand même (d'où mon parallèle avec le lancement de SFR et BouygTel, sauf que je trouve important de donner un prix à ce qu'on utilise quand bien même c'est du libre). Une version de windows c'est de l'ordre de 170 euros seul, ~800 euros avec de la vente liée (matériel+OS), Apple c'est plutôt de l'ordre de 1000 euros avec vente liée (ok, l'OS est remboursable...). Il faudrait que je retrouve les chiffres, mais un client de téléphonie mobile c'est de l'ordre de 300 euros annuels (ça a dû augmenter maintenant que le marché est en consolidation, peut-être 500 euros), à multiplier par les millions de personnes ayant un mobile[2]
Comme le dit IsNotGood ci-dessous et, je suis assez d'accord, l'important àmha actuellement ce n'est pas forcément le grand public comme cible (encore un peu trop mouvante à mon goût) mais bien le desktop entreprise (avec son lot de support afférent et les effets d'échelle que j'ai décrits) ou déjà surtout quelques admins heureux d'avoir en desktop la même distribution qu'ils administrent en serveur (j'ai déjà croisé des desktops en Solaris ;-), moins dernièrement, voire de moins en moins bientôt, mais c'est un autre sujet). Ensuite, avec la force de frappe nécessaire, il est possible d'attaquer le marché grand public (ou l'attaquer d'ores et déjà comme au Brésil, ce que faisait Conectiva déjà avant son rachat, dans un contexte un peu particulier[1]).
[1] http://forum.mandriva.com/viewtopic.php?p=825255#825255
une conférence à laquelle j'ai assisté (oui, à 9h20 /o\) http://2010.rmll.info/Experience-des-PC-Linux-au-Bresil.html indiquait que par choix gouvernemental du Brésil, la vente liée est découragée (initiative "Computer para todos", le constructeur positivo, local, étant privilégié) et ainsi GNU/Linux représente de l'ordre de 30% de l'offre du fait de la volonté de l'État de ne pas être lié à un monopole américain (sic) ; malheureusement, la présentation n'a pas été mise en ligne :/ (non faite par A.Laprévote mais par un commercial de Mandriva que je ne connaissais pas, je pourrais au besoin retrouver son nom dans mes notes...) et ne donnait que peu de chiffre concret, hormis un CA au Brésil de l'ordre de 500 keuros ce qui est "beaucoup" vu qu'on y paie les développeurs moins cher là bas (sic).
Une question du public était "cette situation existe-t-elle dans d'autres pays avec quelles parts ?", la réponse a indiqué le marché des BRIC, sans pouvoir donner de chiffres pour autant :/
Merci d'avoir rectifié quelques raccourcis que j'ai pris et apporté des précisions ;-)
Je partage ton analyse sur MS ayant vu l'acharnement dans les années 90 à tuer de très bons produits comme WordPerfect, Sprint (de Borland, le premier à avoir ajouté la recherche intuitive et la sauvegarde automatique), AmiPro... tout "simplement" sur une guerre de formats ; ou encore, une volonté affirmée d'enterrer les bases de données performantes de l'époque comme DBase (Ashton Tate racheté par Borland), Paradox (acheté par Borland), FoxBase (racheté par MS celui-là) mais ce n'est pas le sujet...
J'ai très mal formulé Red Hat et Suse l'ont compris très tardivement et rattrapent les pots cassés avec Fedora / OpenSuse et ont su proposer un modèle rassurant les DSI ;-)
C'est un peu trop lapidaire, je souhaitais indiquer que :
- Red Hat et Suse ont dû faire divers essais (ce que j'ai traduit maladroitement par "pots cassés") avant de converger vers un modèle qui soutient leur activité tout en permettant de créer une distribution communautaire (même si beaucoup des employés Red Hat y contribuent). Je ne développe pas trop, tu connais mieux que moi les essais de fondation, d'implication de la communauté dans Fedora Core et les apports de AdamW ;-)
- àmha la distribution communautaire (Fedora) ainsi que CentOS permettent de rassurer les DSI et les "préconisateurs" : en entreprise, pour tout ce qui est environnement amont comme les serveurs pour le développement, les tests (proof of concept, intégration, bench, recette...) pas forcément besoin de payer la dîme d'un support (il n'y a pas de petite économie... même si au final, par simplification, dans le lot il y en aura pour prendre quand même une RHEL avec le support). Cela pèse souvent dans la balance dans les décisions initiales, même si ensuite ce n'est pas forcément suivi dans les faits... et hop c'est introduit dans la place
- pour moi - même si ce n'est pas une volonté consciente de Red Hat ou Novell - fournir une distro desktop en ligne au grand public prêt à faire l'effort (donc admin sys en puissance, développeurs souhaitant avoir un serveur comme celui de la prod' "à la maison", hacker^Wbidouilleur, revendeur de matériel souhaitant apporter un service à valeur ajoutée à ses clients...) c'est quasiment autant de retombées en entreprise (et le moment venu au niveau du grand public). Quelque part c'est de l'investissement en publicité gratuite (mais comme le dirait Zenitram, rien n'est gratuit :D) sur un secteur où de toute façon tu n'aurais pas fait suffisamment d'argent
- il est tout de même très agréable de pouvoir s'auto-former sur des produits professionnels, tout en étant parfaitement dans la légalité grâce au libre, c'est du gagnant-gagnant et en plus on peut avoir la fierté de devenir contributeur (même si ce sont des rapports de bug ou des traductions voire quelques patchs ou des graphismes soignés ou encore la prise en compte d'un logiciel pouvant être utile à d'autres que l'on package)
- cela permet à quelques sociétés de déployer des Fedora en serveur (je ne citerai pas de nom), mais c'est àmha un choix interne sans doute pas forcément assumé, ceux-là ne rentrent sans doute pas dans ceux prêts à payer monétairement, mais sont bien obligés de monter en compétence àmha et contribueront - même si indirectement - à la distribution
- quand le marché sera prêt (et les lois concernant la vente liée appliquée avec un coup de pouce comme au Brésil par exemple, histoire de lancer la machine et propulser enfin l'Europe dans le 21ème siècle du Plan_informatique_pour_tous hum ah euh à rafraîchir, stait en 1985 :D), il sera temps de bénéficier des effets d'échelle apportés par le grand public, quitte à "brader" la distribution dans ce domaine pour bénéficier des effets élastiques comme on dit en économie ;-)
je vais prendre un parallèle avec la téléphonie mobile que je connais bien :
- à son lancement SFR était bénéficiaire à partir de 200000 abonnés même si leur abonnement ne remboursait pas encore les frais de déploiement des antennes
- à son arrivée, BouygTel était bénéficiaire avec 300000 clients, car ils ont ajouté la notion de forfait aka "un prix plancher pour chaque abonné et paiement en dépassement" (notion reprise largement ensuite)
comment est-ce possible ?
c'est simplement comptable :
- les appels entrants sont payants lorsqu'on vient d'un réseau différent (fixe, autre réseau mobile) cela s'appelle les frais d'interconnexion : un client France Telecom ou Itineris paie de l'ordre de 3 francs l'appel d'un mobile (c'était au siècle dernier) et ensuite c'est à la durée. SFR aurait fait payer 0 euros ses clients, il aurait encore été bénéficiaire (ah tiens, c'est le modèle de google ? celui de sourceforge dirait Zenitram :D)
- ou lorsque les clients commencent à aller à l'étranger : le client paie l'opérateur étranger pour ses appels, son opérateur ajoute un markup ; le client paie pour les appels reçus (ah bah oui, ce n'est pas l'appelant qui peut savoir qu'il est à l'étranger, c'est à celui qui a choisi de recevoir l'appel d'assumer être parti à l'étranger de pouvoir recevoir des appels, un privilège, pas un droit, cela a un coût)
Voilà pour le financement d'un opérateur mobile ;-) (et le mode de lancement retenu choisi pour Free dans moins d'un an, même si la situation a bien évolué et que le nombre d'abonnés devra sans doute être bien plus élevé).
Pour faire le parallèle avec une distribution libre :
- ce qui rapporte ce sont les clients entreprise (Red Hat le dit très bien, maladroitement, "perdre 1000 utilisateurs pour gagner 1 contributeur..."), Suse/Novell l'a très bien compris avec OpenSuse (en faisant payer Microsoft au passage, même si très maladroitement et en se prenant une très mauvaise pub' dans le libre)
- l'OS préconisé est celui qu'on utilise à la maison (c'est un peu ce qu'a géré Microsoft au siècle dernier et qui fait qu'il y a autant de serveurs faisant tourner des anti-virus sous peine de s'auto-détruire), Debian GNU/Linux est ainsi très répandu côté serveur car il a forcément la cote auprès des adminsys (à raison), Red Hat et Suse l'ont compris très tardivement et rattrapent les pots cassés avec Fedora / OpenSuse et ont su proposer un modèle rassurant les DSI (support très^W cher proposé, même si au départ récupérer des jetons était cryptique) d'un côté tout en s'assurant une communauté le préconisant de l'autre (CentOS est un garant pour Red Hat dans le libre, selon cette interprétation, garantissant que des gens qui n'auraient pas payé de toute façon ne sont pas obligés de le faire mais acquièrent une compétence certaine et pérenne, c'est compatible avec le libre et très bien vu).
Je laisse l'exercice concernant Mandriva et sa distribution Mandriva Linux à ceux le souhaitant ;-)
Concernant _ta_ contribution, en perso, tu as payé 30 mn d'un ingénieur, c'est déjà bien, si tu as convaincu d'autres de l'utiliser de la même manière, vous avez chacun des crédits de 30 mn (je force le trait), si vous apportez des affaires de 100 postes en entreprise, chacun, c'est à chaque fois 3000 euros par mois, déjà on s'approche d'un salaire d'un ingénieur, reste à trouver 50 clients pour avoir une équipe de développement pérenne, 100 clients pour la faire se développer, plus pour commencer à gagner de l'argent (vous commencez à comprendre).
Cela paraît simple, cela demande un ensemble de services disponibles répondant à la demande au sens large du maximum de clients, pouvoir commencer à payer autant de commerciaux à remplir les contrats et les conclure et cela juste marche. Je vous laisse faire les calculs, ce n'est pas si simple. Ce modèle est simpliste et dépend de beaucoup d'opportunités et de vision.
J'espère ne pas avoir fait transparaître de jugement de valeur ni de cynisme, c'est bien àmha un business model légitime, qui pourrait marcher (sans vente liée ce serait plus facile), même si je suis conscient des limites de l'exercice ;-) (à chacun de se projeter en chef d'entreprise respectueux du libre ensuite, se transformer en google avec sa page minimaliste du siècle dernier qui lui a valu son succès, monter sa petite entreprise...).
À la base la question reste : que souhaite la communauté autour de la distribution Mandriva Linux ? Perso, je n'aurai pas de souci à rester en cooker la version de développement "rolling release" avant l'heure (avec les défauts d'un X cassé régulièrement ou une mise à jour risquée de perl comme actuellement), je pense plus aux utilisateurs normaux qui souhaitent que ça juste marche et pour lesquels il faut répondre à plusieurs exigences antinomiques :
- stable
- à jour (quoi ? quels logiciels parmi les 30000 ?)
- juste ça marche
- utilisable facilement
- fonctionnel
- à la pointe (HTML5, balise vidéo...)
- que ce soit sur serveur ou poste de travail (tout en proposant une infrastructure)
ce pourquoi à la base j'ai fait cette dépêche (pour les discussions sur le pourquoi du comment la société Mandriva seule n'y arrive apparemment pas - voir le journal pour quelques pistes - avec une communauté unifiée cela serait sans doute plus facile, même si cela n'existe sans doute pas encore, un challenge à relever pour y arriver, quelle que soit la forme que cela doive prendre).
Comme cela évolue, sur http://sophie.zarb.org/ c'est maintenant un peu plus de 70 SRPMS (source rpm) ;-)
L'objet de cet article est bien un rappel des faits jusqu'à ceux apparus dernièrement.
Cooker et ce qui fait actuellement la distribution Mandriva Linux est en libre et le restera :
les drakxtools aka centre de contrôle (diskdrake, draknetcenter, rpmdrake, urpmi, drakcowsay, drakx11, draksec, msec...) et l'intégration tant de KDE que de Gnome (sans oublier les autres bureaux ou wm : LXDE, XFCE même sugar ou e17, simplement par l'installation d'un paquet task-).
Ce n'est pas la question (mais cela vaut parfois le coup de le rappeler) mais bien qui peut la faire évoluer et dans quelle direction.
Il n'y a toujours pas de planning pour la 2011.0 et comme le dit Jose Jorge dans son journal, du poste de travail uniquement pour les BRIC aka http://fr.wikipedia.org/wiki/BRIC_%28Br%C3%A9sil_-_Russie_-_(...)
Être amené à ouvrir un rapport de bug pour que la direction de la société Mandriva communique avec sa communauté est tout de même assez bizarre :/
Reste donc à la communauté autour de la distribution Mandriva Linux au sens large, à se prendre en main et indiquer ce qui lui paraît important pour la suite et les attentes permettant de rassurer pour l'avenir. Je ne prétends pas avoir donné des pistes exhaustives en 2ème partie de la dépêche, il peut être bon de rappeler les points forts qui font de la distro ce qu'elle est et les attentes de chacun, cela pourrait converger ? :D
Il faut savoir faire table rase du passé ;-) cette phrase fait référence à l'analyse http://olivier-mejean.fr/WordPress/?p=52 où le PDG s'est ouvert lors d'un entretien aux possibilités de travail avec la distribution et ce que ça leur apporterait, là où il faut des supputations pour comprendre le plan de travail retenu par l'actuel comité directeur de Mandriva.
De toute façon, sur ce terrain, autant attendre après le 17 ;-)
déplacé dans programmation.sql
quand l'un des modérateurs en a la motivation, il y a redispatch de posts de http://linuxfr.org/forums/47/index.html dans la section appropriée, ne t'inquiète pas ;-)
bien vu ;-) ça sent plus le recyclage de texte et l'événement aura sans doute lieu, j'ai signalé le point à Emmanuel pour confirmation :D
Il apparaît bien dans le calendrier de septembre http://www.parinux.org/event/2010-09
Il y a eu le souci du pilote propriétaire poulsbo retenu par Intel http://linuxfr.org//2009/10/31/26103.html Intel ne maintient plus le pilote Linux Poulsbo depuis un an et demi
et le support des pilotes libres des cartes Wi-Fi d'ancienne génération 2100/2200BG/2915ABG où l'équipe qui en avait la connaissance n'existe plus (et les specs non diffusées initialement sont maintenant perdues pour quasi tout le monde) http://linuxfr.org//2010/08/02/27164.html#doc
mais un agenda du libre dans les 4^W3 pays (ah oui, je rajoute la Belgique au moins) http://agendadulibre.org/ (j'aime bien le lien pour la Suisse ;-) utilisable par ceux en francophonie le souhaitant àmha).
[^] # Re: Avenir
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mandriva Linux et après ? Mageia !. Évalué à 4.
Bien sûr, il ne faut pas confondre libre et gratuit et je pense que personne n'oublie que certains ont souhaité vivre du libre aussi ;-)
[^] # Re: Vous enterrez déjà Mandriva ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mandriva Linux et après ? Mageia !. Évalué à 9.
Il n'y a pas d'opposition en tant que tel, mais bel et bien un fork, qui pourra se synchroniser au besoin, je ne suis pas devin sur la suite des événements, il y a déjà assez de travail à créer une distribution vraiment communautaire, demandée par beaucoup au fil du temps.
Comme l'indique Colin http://colin.guthr.ie/2010/09/there-is-no-spoon-but-there-is(...) "The future is unwritten. Let's write it!" et il reconnaît comme beaucoup de monde la bonne habitude de Mandriva et ses contributeurs de travailler upstream, qui je l'espère perdurera ; en tout cas, pour connaître ceux faisant déjà partie de Mageia j'ai une confiance avérée ;-)
Sans parler de deuil - comme tu y fais allusion - je préfère parler de faire le choix d'un projet qui me convient et pouvoir participer à le construire, avec ceux qui souhaitent s'y joindre et le faire marcher. Qui aime bien, châtie bien, mais là il n'y a pas le temps : autant le consacrer à Mageia ! ;-)
[^] # Re: prononciation ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mandriva Linux et après ? Mageia !. Évalué à 5.
"ma-yi-ee-a"
mais seront àmha acceptés :
"Ma - gg - yi - a" or "Ma - j - yi - a"
magie ya ! quoi ;-)
L'usage faisant loi bien souvent en ce domaine et selon les langues (vous dîtes "Laïneuks" vous ? :D)
# Magique... Mageia !
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mandriva Linux et après ? Mageia !. Évalué à 7.
Bienvenue à ceux souhaitant faire partie de cette nouvelle communauté où tout est à créer ('fin il y aura du boulot pour tout le monde).
[^] # Re: Vite, vite plus de FUD, plus de procès
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Microsoft n'a pas changé. Évalué à 3.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Office_europ%C3%A9en_des_brevet(...) indique une publication sous 18 mois
Je ne remets pas la main sur une URL qui indiquait le temps de validation _effectif_ et ce qu'il y avait dans les tuyaux (indiquant la période de prise de risque pour ceux cherchant à innover, avant que leurs réalisations soient reconnues), c'était de l'ordre de 3 ans iirc, soit largement incompatible - aussi - avec les processus industriels et les cycles de lancement de produits / cycle de vie / retour sur investissement. C'était peut-être sur slashdot...
Le raisonnement était que ce genre de durée décourage d'innover vu qu'on ne peut chiffrer que 3 ans plus tard combien il faudra débourser pour avoir innové en même temps que les autres (parfois plus gros), ce qui ratiboise toute tentative de ROI et incite à sortir à tout prix le premier même quand ce n'est pas prêt pour limiter ce risque (en prenant le risque de sortir un truc pas fini tout foireux qui flingue l'idée et la réputation, ceux qui pensent à l'antennagate[1]... ont raison).
[1] http://en.wikipedia.org/wiki/Antennagate#Antenna
[^] # Re: What?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Le projet FusionInventory est fier de vous présenter la version 2.1 de son agent. Évalué à 2.
[^] # Re: What?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Le projet FusionInventory est fier de vous présenter la version 2.1 de son agent. Évalué à 2.
[^] # Re: Prix Hugo
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Prix Hugo et Folio SF. Évalué à 2.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_C._Clarke#Cycles pour Rama
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cycle_de_l%27Anneau-Monde (les deux premiers sont bien, le 3ème moins, le dernier pas lu)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Frederik_Pohl#S.C3.A9ries pour les Heechees
[^] # Re: Provenance ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal HDCP : c'est fini ?. Évalué à 3.
cf. http://fr.wiktionary.org/wiki/par_contre et http://fr.wiktionary.org/wiki/en_revanche
[^] # Re: Provenance ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal HDCP : c'est fini ?. Évalué à 5.
de rien ;-)
[^] # Re: prolifération des licences libres car les licences sont trop compli
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Google Code propose les licences approuvées par l'OSI. Évalué à 4.
je crois que j'en parle sur http://faq.tuxfamily.org/Licence/Fr ;-)
et si quelqu'un a des suggestions pour compléter http://faq.tuxfamily.org/CommunicationLibreArt/Fr il est le bienvenu
[^] # Re: Provenance ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal HDCP : c'est fini ?. Évalué à 10.
[^] # Re: le manque de contributions financières ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une distribution Mandriva Linux 2011.0 pour quoi ?. Évalué à 3.
Comme le dit IsNotGood ci-dessous et, je suis assez d'accord, l'important àmha actuellement ce n'est pas forcément le grand public comme cible (encore un peu trop mouvante à mon goût) mais bien le desktop entreprise (avec son lot de support afférent et les effets d'échelle que j'ai décrits) ou déjà surtout quelques admins heureux d'avoir en desktop la même distribution qu'ils administrent en serveur (j'ai déjà croisé des desktops en Solaris ;-), moins dernièrement, voire de moins en moins bientôt, mais c'est un autre sujet). Ensuite, avec la force de frappe nécessaire, il est possible d'attaquer le marché grand public (ou l'attaquer d'ores et déjà comme au Brésil, ce que faisait Conectiva déjà avant son rachat, dans un contexte un peu particulier[1]).
[1] http://forum.mandriva.com/viewtopic.php?p=825255#825255
une conférence à laquelle j'ai assisté (oui, à 9h20 /o\) http://2010.rmll.info/Experience-des-PC-Linux-au-Bresil.html indiquait que par choix gouvernemental du Brésil, la vente liée est découragée (initiative "Computer para todos", le constructeur positivo, local, étant privilégié) et ainsi GNU/Linux représente de l'ordre de 30% de l'offre du fait de la volonté de l'État de ne pas être lié à un monopole américain (sic) ; malheureusement, la présentation n'a pas été mise en ligne :/ (non faite par A.Laprévote mais par un commercial de Mandriva que je ne connaissais pas, je pourrais au besoin retrouver son nom dans mes notes...) et ne donnait que peu de chiffre concret, hormis un CA au Brésil de l'ordre de 500 keuros ce qui est "beaucoup" vu qu'on y paie les développeurs moins cher là bas (sic).
Une question du public était "cette situation existe-t-elle dans d'autres pays avec quelles parts ?", la réponse a indiqué le marché des BRIC, sans pouvoir donner de chiffres pour autant :/
[2] http://linuxfr.org/comments/1160011,1.html euh à la base stait une blague en référence à http://linuxfr.org/~Elessar/30141.html (Internet n'est pas le web) et sa suite http://linuxfr.org/~booga/30145.html (Un "Geek" n'est pas un passionné d'informatique)
[^] # Re: le manque de contributions financières ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une distribution Mandriva Linux 2011.0 pour quoi ?. Évalué à 5.
Je partage ton analyse sur MS ayant vu l'acharnement dans les années 90 à tuer de très bons produits comme WordPerfect, Sprint (de Borland, le premier à avoir ajouté la recherche intuitive et la sauvegarde automatique), AmiPro... tout "simplement" sur une guerre de formats ; ou encore, une volonté affirmée d'enterrer les bases de données performantes de l'époque comme DBase (Ashton Tate racheté par Borland), Paradox (acheté par Borland), FoxBase (racheté par MS celui-là) mais ce n'est pas le sujet...
J'ai très mal formulé Red Hat et Suse l'ont compris très tardivement et rattrapent les pots cassés avec Fedora / OpenSuse et ont su proposer un modèle rassurant les DSI ;-)
C'est un peu trop lapidaire, je souhaitais indiquer que :
- Red Hat et Suse ont dû faire divers essais (ce que j'ai traduit maladroitement par "pots cassés") avant de converger vers un modèle qui soutient leur activité tout en permettant de créer une distribution communautaire (même si beaucoup des employés Red Hat y contribuent). Je ne développe pas trop, tu connais mieux que moi les essais de fondation, d'implication de la communauté dans Fedora Core et les apports de AdamW ;-)
- àmha la distribution communautaire (Fedora) ainsi que CentOS permettent de rassurer les DSI et les "préconisateurs" : en entreprise, pour tout ce qui est environnement amont comme les serveurs pour le développement, les tests (proof of concept, intégration, bench, recette...) pas forcément besoin de payer la dîme d'un support (il n'y a pas de petite économie... même si au final, par simplification, dans le lot il y en aura pour prendre quand même une RHEL avec le support). Cela pèse souvent dans la balance dans les décisions initiales, même si ensuite ce n'est pas forcément suivi dans les faits... et hop c'est introduit dans la place
- pour moi - même si ce n'est pas une volonté consciente de Red Hat ou Novell - fournir une distro desktop en ligne au grand public prêt à faire l'effort (donc admin sys en puissance, développeurs souhaitant avoir un serveur comme celui de la prod' "à la maison", hacker^Wbidouilleur, revendeur de matériel souhaitant apporter un service à valeur ajoutée à ses clients...) c'est quasiment autant de retombées en entreprise (et le moment venu au niveau du grand public). Quelque part c'est de l'investissement en publicité gratuite (mais comme le dirait Zenitram, rien n'est gratuit :D) sur un secteur où de toute façon tu n'aurais pas fait suffisamment d'argent
- il est tout de même très agréable de pouvoir s'auto-former sur des produits professionnels, tout en étant parfaitement dans la légalité grâce au libre, c'est du gagnant-gagnant et en plus on peut avoir la fierté de devenir contributeur (même si ce sont des rapports de bug ou des traductions voire quelques patchs ou des graphismes soignés ou encore la prise en compte d'un logiciel pouvant être utile à d'autres que l'on package)
- cela permet à quelques sociétés de déployer des Fedora en serveur (je ne citerai pas de nom), mais c'est àmha un choix interne sans doute pas forcément assumé, ceux-là ne rentrent sans doute pas dans ceux prêts à payer monétairement, mais sont bien obligés de monter en compétence àmha et contribueront - même si indirectement - à la distribution
- quand le marché sera prêt (et les lois concernant la vente liée appliquée avec un coup de pouce comme au Brésil par exemple, histoire de lancer la machine et propulser enfin l'Europe dans le 21ème siècle du Plan_informatique_pour_tous hum ah euh à rafraîchir, stait en 1985 :D), il sera temps de bénéficier des effets d'échelle apportés par le grand public, quitte à "brader" la distribution dans ce domaine pour bénéficier des effets élastiques comme on dit en économie ;-)
[^] # Re: le manque de contributions financières ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une distribution Mandriva Linux 2011.0 pour quoi ?. Évalué à 10.
je vais prendre un parallèle avec la téléphonie mobile que je connais bien :
- à son lancement SFR était bénéficiaire à partir de 200000 abonnés même si leur abonnement ne remboursait pas encore les frais de déploiement des antennes
- à son arrivée, BouygTel était bénéficiaire avec 300000 clients, car ils ont ajouté la notion de forfait aka "un prix plancher pour chaque abonné et paiement en dépassement" (notion reprise largement ensuite)
comment est-ce possible ?
c'est simplement comptable :
- les appels entrants sont payants lorsqu'on vient d'un réseau différent (fixe, autre réseau mobile) cela s'appelle les frais d'interconnexion : un client France Telecom ou Itineris paie de l'ordre de 3 francs l'appel d'un mobile (c'était au siècle dernier) et ensuite c'est à la durée. SFR aurait fait payer 0 euros ses clients, il aurait encore été bénéficiaire (ah tiens, c'est le modèle de google ? celui de sourceforge dirait Zenitram :D)
- ou lorsque les clients commencent à aller à l'étranger : le client paie l'opérateur étranger pour ses appels, son opérateur ajoute un markup ; le client paie pour les appels reçus (ah bah oui, ce n'est pas l'appelant qui peut savoir qu'il est à l'étranger, c'est à celui qui a choisi de recevoir l'appel d'assumer être parti à l'étranger de pouvoir recevoir des appels, un privilège, pas un droit, cela a un coût)
Voilà pour le financement d'un opérateur mobile ;-) (et le mode de lancement retenu choisi pour Free dans moins d'un an, même si la situation a bien évolué et que le nombre d'abonnés devra sans doute être bien plus élevé).
Pour faire le parallèle avec une distribution libre :
- ce qui rapporte ce sont les clients entreprise (Red Hat le dit très bien, maladroitement, "perdre 1000 utilisateurs pour gagner 1 contributeur..."), Suse/Novell l'a très bien compris avec OpenSuse (en faisant payer Microsoft au passage, même si très maladroitement et en se prenant une très mauvaise pub' dans le libre)
- l'OS préconisé est celui qu'on utilise à la maison (c'est un peu ce qu'a géré Microsoft au siècle dernier et qui fait qu'il y a autant de serveurs faisant tourner des anti-virus sous peine de s'auto-détruire), Debian GNU/Linux est ainsi très répandu côté serveur car il a forcément la cote auprès des adminsys (à raison), Red Hat et Suse l'ont compris très tardivement et rattrapent les pots cassés avec Fedora / OpenSuse et ont su proposer un modèle rassurant les DSI (support très^W cher proposé, même si au départ récupérer des jetons était cryptique) d'un côté tout en s'assurant une communauté le préconisant de l'autre (CentOS est un garant pour Red Hat dans le libre, selon cette interprétation, garantissant que des gens qui n'auraient pas payé de toute façon ne sont pas obligés de le faire mais acquièrent une compétence certaine et pérenne, c'est compatible avec le libre et très bien vu).
Je laisse l'exercice concernant Mandriva et sa distribution Mandriva Linux à ceux le souhaitant ;-)
Concernant _ta_ contribution, en perso, tu as payé 30 mn d'un ingénieur, c'est déjà bien, si tu as convaincu d'autres de l'utiliser de la même manière, vous avez chacun des crédits de 30 mn (je force le trait), si vous apportez des affaires de 100 postes en entreprise, chacun, c'est à chaque fois 3000 euros par mois, déjà on s'approche d'un salaire d'un ingénieur, reste à trouver 50 clients pour avoir une équipe de développement pérenne, 100 clients pour la faire se développer, plus pour commencer à gagner de l'argent (vous commencez à comprendre).
Cela paraît simple, cela demande un ensemble de services disponibles répondant à la demande au sens large du maximum de clients, pouvoir commencer à payer autant de commerciaux à remplir les contrats et les conclure et cela juste marche. Je vous laisse faire les calculs, ce n'est pas si simple. Ce modèle est simpliste et dépend de beaucoup d'opportunités et de vision.
J'espère ne pas avoir fait transparaître de jugement de valeur ni de cynisme, c'est bien àmha un business model légitime, qui pourrait marcher (sans vente liée ce serait plus facile), même si je suis conscient des limites de l'exercice ;-) (à chacun de se projeter en chef d'entreprise respectueux du libre ensuite, se transformer en google avec sa page minimaliste du siècle dernier qui lui a valu son succès, monter sa petite entreprise...).
À la base la question reste : que souhaite la communauté autour de la distribution Mandriva Linux ? Perso, je n'aurai pas de souci à rester en cooker la version de développement "rolling release" avant l'heure (avec les défauts d'un X cassé régulièrement ou une mise à jour risquée de perl comme actuellement), je pense plus aux utilisateurs normaux qui souhaitent que ça juste marche et pour lesquels il faut répondre à plusieurs exigences antinomiques :
- stable
- à jour (quoi ? quels logiciels parmi les 30000 ?)
- juste ça marche
- utilisable facilement
- fonctionnel
- à la pointe (HTML5, balise vidéo...)
- que ce soit sur serveur ou poste de travail (tout en proposant une infrastructure)
ce pourquoi à la base j'ai fait cette dépêche (pour les discussions sur le pourquoi du comment la société Mandriva seule n'y arrive apparemment pas - voir le journal pour quelques pistes - avec une communauté unifiée cela serait sans doute plus facile, même si cela n'existe sans doute pas encore, un challenge à relever pour y arriver, quelle que soit la forme que cela doive prendre).
[^] # Re: Petite remarque
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Où le modèle propriétaire rejoint la dictature. Évalué à 6.
[^] # Re: 32 ou 64 bits?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Comparons les performances Javascript de Firefox et Chrome. Évalué à 2.
non l'important, c'est quelle distribution ? (et là, c'est le drame :D)
# une histoire de distribution
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une distribution Mandriva Linux 2011.0 pour quoi ?. Évalué à 8.
L'objet de cet article est bien un rappel des faits jusqu'à ceux apparus dernièrement.
Cooker et ce qui fait actuellement la distribution Mandriva Linux est en libre et le restera :
les drakxtools aka centre de contrôle (diskdrake, draknetcenter, rpmdrake, urpmi, drakcowsay, drakx11, draksec, msec...) et l'intégration tant de KDE que de Gnome (sans oublier les autres bureaux ou wm : LXDE, XFCE même sugar ou e17, simplement par l'installation d'un paquet task-).
Ce n'est pas la question (mais cela vaut parfois le coup de le rappeler) mais bien qui peut la faire évoluer et dans quelle direction.
Il n'y a toujours pas de planning pour la 2011.0 et comme le dit Jose Jorge dans son journal, du poste de travail uniquement pour les BRIC aka http://fr.wikipedia.org/wiki/BRIC_%28Br%C3%A9sil_-_Russie_-_(...)
Être amené à ouvrir un rapport de bug pour que la direction de la société Mandriva communique avec sa communauté est tout de même assez bizarre :/
Reste donc à la communauté autour de la distribution Mandriva Linux au sens large, à se prendre en main et indiquer ce qui lui paraît important pour la suite et les attentes permettant de rassurer pour l'avenir. Je ne prétends pas avoir donné des pistes exhaustives en 2ème partie de la dépêche, il peut être bon de rappeler les points forts qui font de la distro ce qu'elle est et les attentes de chacun, cela pourrait converger ? :D
[^] # Re: Linagora etc.
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une distribution Mandriva Linux 2011.0 pour quoi ?. Évalué à 2.
De toute façon, sur ce terrain, autant attendre après le 17 ;-)
[^] # Re: Forum Astuces
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au message Recherche d'un interpréteur amélioré pour requête FULLTEXT dans PostgreSQL. Évalué à 3.
quand l'un des modérateurs en a la motivation, il y a redispatch de posts de http://linuxfr.org/forums/47/index.html dans la section appropriée, ne t'inquiète pas ;-)
[^] # Re: Juin 2010
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche [Paris] Conférence "Vivre avec Linux en dehors des ordinateurs". Évalué à 2.
Il apparaît bien dans le calendrier de septembre http://www.parinux.org/event/2010-09
[^] # Re: Et les spécifications du matériel ?
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Cout de ton air dans le landerneau. Évalué à 7.
http://linuxfr.org//2009/10/31/26103.html Intel ne maintient plus le pilote Linux Poulsbo depuis un an et demi
et le support des pilotes libres des cartes Wi-Fi d'ancienne génération 2100/2200BG/2915ABG où l'équipe qui en avait la connaissance n'existe plus (et les specs non diffusées initialement sont maintenant perdues pour quasi tout le monde)
http://linuxfr.org//2010/08/02/27164.html#doc
[^] # Re: Question de taille
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les petits Suisses aussi aiment le logiciel libre. Évalué à 4.
http://agendadulibre.org/ (j'aime bien le lien pour la Suisse ;-) utilisable par ceux en francophonie le souhaitant àmha).
# compétition d'IA
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Google AI Challenge : Planet Wars. Évalué à 9.
http://linuxfr.org/~Ummon/29370.html
[^] # Re: client desktop
Posté par BAud (site web personnel) . En réponse au journal Linux sur le desktop et 1% de part de marché : mythe ou réalité ?. Évalué à 3.
le source étant disponible sur https://fedorahosted.org/smolt/wiki/Usage (client et serveur sont aussi dans le git, c'est du python).