Le télétravail étant déjà imposé seulement pour les postes le permettant, les employeurs avaient une grande marge de manœuvre pour trafiquer s'ils n'en voulaient pas. J'ai pas mal de gens dans mon entourage qui ont un métier dans l'informatique, parfaitement faisable à distance, mais qu'on a fait revenir au bureau depuis longtemps: d'abord quelques jours par semaine, puis tout le temps.
Ce n'était pas vraiment imposé (au sens de la loi), mais fortement recommandé.
Mais ce qui fait qu'au niveau prudhomme ça revenait au même: l'employeur devait motiver le NON télétravail et en cas de problème il était en faute si ce n'était pas appliqué sans bonne raison.
# Pas si significatif que ça àmha
Posté par Élafru . Évalué à 10.
Le télétravail étant déjà imposé seulement pour les postes le permettant, les employeurs avaient une grande marge de manœuvre pour trafiquer s'ils n'en voulaient pas. J'ai pas mal de gens dans mon entourage qui ont un métier dans l'informatique, parfaitement faisable à distance, mais qu'on a fait revenir au bureau depuis longtemps: d'abord quelques jours par semaine, puis tout le temps.
[^] # Re: Pas si significatif que ça àmha
Posté par Jean Gabes (site web personnel) . Évalué à 3.
Ce n'était pas vraiment imposé (au sens de la loi), mais fortement recommandé.
Mais ce qui fait qu'au niveau prudhomme ça revenait au même: l'employeur devait motiver le NON télétravail et en cas de problème il était en faute si ce n'était pas appliqué sans bonne raison.
[^] # Re: Pas si significatif que ça àmha
Posté par aiolos . Évalué à 4.
Mais ça en fait, c'était déjà le cas si l'employé en faisait la demande, et ça l'est toujours ; c'est même rappelé dans l'article derrière le lien.
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