• # Obliger les clients à préférer la bagnole par contre…

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 8 (+7/-1).

    ça, ça ne semble poser de problèmes à personnes : des transports en commun où l'on peut verbaliser quelqu'un qui a payé son billet parce que l'application obligatoire dysfonctionne ; où la tarification est calculée pour ne faire concurrence qu'à la voiture individuelle ; où les grilles tarifaires sont si complexes que seule des spécialistes déterminés puissent réussir à faire du train leur moyen de transport principal ; où vous devez réserver à l'avance, mais où l'on se réserve le droit d'annuler votre trajet ; etc. Les bienfaits de l'informatique qui a permis une simplification une augmentation massive de la complexité d'usage du ferroviaire se font sentir à toues les étages.

    L'obligation des billets nominatifs, avec les mentions monsieur/madame, n'était que l'une des avanies de la dérive de la SNCF qui cherche à faire fuir la clientèle bas de gamme et le plébéien. À quand un retour à des billets anonymes tarifés au kilomètre ?

    « IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace

  • # Ce n'est pas un hasard

    Posté par  . Évalué à 4 (+7/-5).

    Pour revenir au sujet, obliger les clients à choisir entre "Monsieur" ou "Madame" n'est pas le seul fait de la SNCF mais également de toutes les administrations françaises, de presque tous les sites de vente en ligne, etc. Cette manie discriminatoire concernant le sexe persiste certainement à des fins publicitaires. Les hommes et les femmes, selon les normes patriarcales en vigueur, sont supposés ne pas avoir les mêmes centres d'intérêt ni les mêmes rôles dans les sociétés.

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