L'alliance entre la tradition et le modernisme, ou comment ne pas subir les hypes de ces dernières années tout en restant moderne et en permettant à chacun d'utiliser son Linux comme il l'entend.
Slackware 15.0 reste dans la continuité de Slackware, pas de changement drastique, les habitudes sont conservées.
Slackbuilds.org aura sa version du dépôt 15.0 de près de 5000 paquets additionnels prêts pour la semaine prochaine à peu près (argh, faut que je bosse moi !).
Je me souviens avoir installé une version de la Slackware 7 en 99 ou 2000 tenant sur un disque Zip de 100M. Le tout téléchargé via une connexion ISDN de 128kbps. La ZipSlack d'après une recherche rapide.
J'ai commencé avec celle-là aussi, mais depuis un CD-Rom dans un magazine !
Avec mon PC pourri bricolé de bric et de broc, aucune distribution plus user-friendly n'arrivait à faire fonctionner correctement le serveur graphique : déformé (mauvaise résolution), ou buggé (traits bizarres, clignotements), rien n'allait.
La Slackware, elle, n'avait pas ces soucis : elle ne cherchait même pas à lancer XF86, donc tout fonctionnait au poil !
J'ai regardé comment démarrer X dessus, il y avait les outils du genre xf86config, et l'édition de fichiers de conf à la main, les modeline manuels, etc. En quelques heures alors que je découvrais Linux, ça a fonctionné.
Et débarquer dans un monde avec gnome + enlightenment 0.16 alors que j'avais connu le DOS et win 95/98, c'était le jour et la nuit : beau, réactif, puissant, les bureaux multiples, indispensable !
Enfin pouvoir lire les vidéos qui saccadaient sous windows, avec Unreal Tournament dispo sous Linux, et Starcraft qui tournait au poil avec wine, j'ai pas gardé le double-boot bien longtemps…
# KISS it good day !
Posté par Yth (Mastodon) . Évalué à 9.
L'alliance entre la tradition et le modernisme, ou comment ne pas subir les hypes de ces dernières années tout en restant moderne et en permettant à chacun d'utiliser son Linux comme il l'entend.
Slackware 15.0 reste dans la continuité de Slackware, pas de changement drastique, les habitudes sont conservées.
Slackbuilds.org aura sa version du dépôt 15.0 de près de 5000 paquets additionnels prêts pour la semaine prochaine à peu près (argh, faut que je bosse moi !).
[^] # Re: KISS it good day !
Posté par volts . Évalué à 2. Dernière modification le 04 février 2022 à 17:06.
Justement, tu peux bosser sur une dépêche dessus. La Modération recrute.
Édit: Le lien de la dépêche est déjà prêt en rédaction.
[^] # Re: KISS it good day !
Posté par Yth (Mastodon) . Évalué à 4. Dernière modification le 04 février 2022 à 17:30.
Hmm, il va donc falloir que j'affronte l'Espace de Rédaction.
J'ai un Nourjal en cours d'écriture…
(snip)
Apparemment seule la feuille de style par défaut permet une rédaction potable, je vais donc m'y atteler !
Enfin, participer…
[^] # Re: KISS it good day !
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.
Voilà un programme imprévu qui s'incruste dans le week-end :)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
# Souvenirs
Posté par Crag . Évalué à 2.
Je me souviens avoir installé une version de la Slackware 7 en 99 ou 2000 tenant sur un disque Zip de 100M. Le tout téléchargé via une connexion ISDN de 128kbps. La ZipSlack d'après une recherche rapide.
[^] # Re: Souvenirs
Posté par Yth (Mastodon) . Évalué à 3.
J'ai commencé avec celle-là aussi, mais depuis un CD-Rom dans un magazine !
Avec mon PC pourri bricolé de bric et de broc, aucune distribution plus user-friendly n'arrivait à faire fonctionner correctement le serveur graphique : déformé (mauvaise résolution), ou buggé (traits bizarres, clignotements), rien n'allait.
La Slackware, elle, n'avait pas ces soucis : elle ne cherchait même pas à lancer XF86, donc tout fonctionnait au poil !
J'ai regardé comment démarrer X dessus, il y avait les outils du genre xf86config, et l'édition de fichiers de conf à la main, les modeline manuels, etc. En quelques heures alors que je découvrais Linux, ça a fonctionné.
Et débarquer dans un monde avec gnome + enlightenment 0.16 alors que j'avais connu le DOS et win 95/98, c'était le jour et la nuit : beau, réactif, puissant, les bureaux multiples, indispensable !
Enfin pouvoir lire les vidéos qui saccadaient sous windows, avec Unreal Tournament dispo sous Linux, et Starcraft qui tournait au poil avec wine, j'ai pas gardé le double-boot bien longtemps…
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