Journal Autonomie : le livre papier

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4
8
déc.
2008
Le roman "Autonomie : la liberté de pensée", qui a déjà été cité par deux fois sur Linuxfr.org, est maintenant disponible en version papier par l'intermédiaire de In Libro Veritas.

Ce texte est une traduction collaborative du roman de Jean-Michel Smith. Publié sous licence Creative Commons CC By-Sa, il développe les thèmes du contrôle de l'information, des DRM, de la censure et du libre partage de la connaissance. L'histoire se déroule en 2057, dans un monde ravagé par les catastrophes écologiques et dominé par les cartels de la propriété intellectuelle.

Le roman est disponible au format papier, auprès de In Libro Veritas Éditions
http://www.ilv-edition.com/librairie/autonomie__la_liberte_d(...)
ISBN : 978-2-35209-194-3
417 pages au format 140x225mm (Papier 80g)
Prix : 20€
Adresse de téléchargement : http://alysse.org/~thomas/autonomy_project/
  • # bravo

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    \o/ c'est cool de pousser la démarche jusqu'au bout ! (ils envoient aux États-Unis, histoire d'en faire parvenir un exemplaire à Jean-Michel Smith ? :D Même s'il m'a semblé qu'il était encore pas mal en balade ces derniers temps).
  • # Ca fait plaisir...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    ...De voir un bouquin vraiment libre (d'habitude c'est non modifiable non diffusable sauf exception de pas faire de commercial, pas libre du tout), alors : merci de participer au libre!
    • [^] # Re: Ca fait plaisir...

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

      Vu le thème traité, c'est un tout petit peu normal :)
      • [^] # Re: Ca fait plaisir...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à -1.

        Euh... Pour un rappel, j'ai fait fuir une personne qui croyait "faire du libre" parce qu'elle utilisait des logiciels libre pour faire ses œuvres éteint 100% proprio :
        http://linuxfr.org/~ayo/27330.html
        (désolé d'avoir fait fuir un fournisseur d'images de LinuxFr)

        Alors, bon, "la liberté de penser" aurait pu aussi être sous -NC pas libre "mais si, je fais du libre, je veux juste pas qu'on se fasse du fric sur mon dos". Donc je suis content de voir que ce n'est pas le cas.
        • [^] # Re: Ca fait plaisir...

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 6.

          j'ai fait fuir une personne qui croyait "faire du libre"

          euh tu te méprends encore, Ayo est un vrai contributeur du libre et il est très conscient àmha du choix de licence qu'il a pris pour son site (et j'aurais tendance à dire ça le regarde, même si ta manière d'aborder la discussion n'a pas été propice à lui faire indiquer pourquoi ne pas mettre plus en avant tout ce qu'il a déjà fait en libre et que tu peux retrouver dans les thèmes bootsplash du PLF aussi).

          Tu peux relire ces commentaires
          https://linuxfr.org//comments/972900.html#972900
          et https://linuxfr.org//comments/972976.html#972976
          qui correspondent à ma position (d'autant qu'Ayo n'a jamais prétendu dans son journal que ses créations sont libres et il ne s'en cache pas sur son site, indiquant seulement qu'il utilise des logiciels libres, ce qui est déjà un début).
          Bon après, ta seule excuse est éventuellement de ne pas le connaître et tel Don Quichotte de te battre contre des moulins arrière en dépit du bon sens.

          Sinon pour avoir rencontré Jean-Michel Smith lors d'un de ses passages sur Paris, il est cool, aime bien le libre et son projet est sympathique, permet de romancer des sujets encore valables actuellement, en traitant les difficultés et des solutions possibles d'un point de vue science-fiction. C'est un peu sa manière de rendre au libre ce qu'il en a obtenu ;-) La traduction en français n'aurait pu voir le jour sans une licence appropriée et le choix au final de CC-by-sa est plus clair en terme de communication que la BSD modifiée initiale.
        • [^] # J'avais loupé le journal d'Ayo, alors je réponds ici...

          Posté par  . Évalué à 1.

          Euh... Pour un rappel, j'ai fait fuir une personne qui croyait "faire du libre" parce qu'elle utilisait des logiciels libre pour faire ses œuvres éteint 100% proprio :
          http://linuxfr.org/~ayo/27330.html
          (désolé d'avoir fait fuir un fournisseur d'images de LinuxFr)


          Pour revenir là-dessus, j'ai l'impression que tu as surtout fait preuve d'arrogance. Du genre: celui qui parle avant de savoir... On dit que ça passe avec l'âge. J'espère que tu es suffisamment jeune pour avoir de l'espoir.

          Certains ont aussi dit que tu étais intégriste du Libre... Je pense exactement l'inverse. Avec ces façons, tu dévoies le Libre. Avant tout, les Logiciels Libres peuvent être utilisés comme on le veut et pour faire ce qu'on veut. C'est pour ça qu'on les appelle Libres ces logiciels... On a l'impression que ce n'est pas ce que tu penses. Et ça, ce n'est pas du tout être libriste, ni même dans l'esprit.

          Pour finir, Ayo ne pourvoit pas qu'aux logos de LinuxFr... Essaie d'être un peu attentif et tu retrouveras son style dans de très nombreuses illustrations faites pour les Logiciels Libres et les manifestations qui les entourent.
          • [^] # Re: J'avais loupé le journal d'Ayo, alors je réponds ici...

            Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

            Certains ont aussi dit que tu étais intégriste du Libre... Je pense exactement l'inverse.

            Je pense que je suis ni l'un ni l'autre (étant donné que je fais/utilise les deux). Intégriste du libre? Faut me dire où tu as vu ça, vu que j'écris sous... MS Windows. Et que je l'affirme haut et fort.
            Mais par contre je ne supporte pas qu'on dise qu'un truc est libre quand il n'est pas libre (les -NC me font bondir par exemple : ça enlève une grosse partie de la notion de "libre". les -NC sont pas libres)

            Pour Ayo lui-même, ben... Ce dont il faisait la publicité sur cette page en question était tout sauf libre, sur LinuxFr ça aurait été sympa de le dire.
            Sinon, je vais me permettre de faire de la pub pour les softs non libres avec comme excuse que je participe au libre, en "oubliant" de dire que c'est non libre cette fois...

            Ma réaction est celle de pas mal de gens ici quand on parle de logiciel, mais bizarrement c'est pardonnable quand c'est des dessins (ou de la musique). Je n'accepte pas autant d'hypocrisie, et je le dis : soit vous voulez que ce soit libre, soit vous vous en foutez (moi je m'en fou), mais ne changez pas la définition "à la tête du client". Ayo faisait de la pub pour du non libre, je l'ai signalé. Quel est mon tord? Qu'il ai pris mal le fait qu'on fasse remarquer qu'il ne fait pas de libre cette fois? Soit, j'assume, et le dit : sur le journal en question, il faisait du 100% proprio, 0% libre. Point. Ca avait plus l'air de lui poser un problème qu'on lui dise que c'est pas libre qu'autre chose. Si il ne fait pas du libre (cette fois), qu'il assume!

            Lorsque je n'aurai plus le droit de discuter ici à cause de moinssage, je comprendrai que je ne suis pas le bienvenu. Pour le moment mes "notes" me permettent de penser que ça va.

            Si il faut me définir un extrémisme, allez : extrémiste du respect des notions de libre/pas libre.
            • [^] # Re: J'avais loupé le journal d'Ayo, alors je réponds ici...

              Posté par  . Évalué à 2.

              Sans vouloir prolonger cette discussion -stérile- indéfiniment:
              Ayo n'a jamais dit que ce qu'il proposait sur son site était libre. Ni dans son journal, ni sur son site sur lequel les conditions d'utilisation sont clairement explicitées dès la page d'accueil (ce qui est plutôt rare d'ailleurs).

              Quel est ton problème alors ? Qu'est-ce qui t'autorise à lui donner des leçons ?
              Ton problème c'est le fait qu'il tienne au courant les lecteurs de dlfp de la màj de son site ? Tu savais, bien sûr, que pas mal de gens ici aiment suivre l'actu d'Ayo quand ils y pensent ? Tu le savais ?
              Ou alors c'est le fait qu'on parle d'autre chose que du libre dans les journaux ? doit-on te remémorer que c'est justement un des rôles des journaux ?

              Je crois que les questions se suffisent elles-mêmes...

              Quant aux notes des commentaires...
              • [^] # Re: J'avais loupé le journal d'Ayo, alors je réponds ici...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à -2.

                Si tu veux te complaire dans l'idée que je suis le grand méchant qui a fait fuir Ayo (oui, j'ai le pouvoir de supprimer un compte sur Linuxfr, tu ne savais pas?) et que c'est ma faute si il est parti, je ne peux t'en empêcher.

                De mon côté, je regrette sa décision de partir, mais je n'ai aucun remord : lui, et lui seul, a décidé de partir. Il boude, ben... Il boude.
  • # Comment fait-on ?

    Posté par  . Évalué à 3.

    Je ne comprends pas très bien la licence.

    Il s'agit d'une licence libre, ok. Mais ne nous oblige-t-elle pas à citer l'auteur ? À savoir Jean-Michel Smith pour l'auteur original. Or, il est écrit :


    Le roman original, et cette traduction libre, sont redistribuables
    selon les termes de la licence Creative Commons Attribution Share-Alike 2.0, avec la mention suivante : le nom de Jean-Michel Smith ne peut être employé pour faire la promotion d’un travail dérivé sans son accord écrit.


    Donc dois-je citer l'auteur si je fais un travail dérivé et donc dans ce cas je n'ai pas le droit de le promouvoir sans son accord écrit ce qui rend le texte non libre ? Ou puis-je faire un produit dérivé sans citer Jean-Michel Smith ?
    • [^] # Re: Comment fait-on ?

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.

      Je pense que l'interprétation est : tu dois redistribuer un travail dérivé en citant son nom, mais pas en le mettant en gros sur la couverture alors que le tiens est en 74ème page en taille 5 pixels.

      C'est une clause additionnelle à la licence, ça me semble pas si illogique que ça mais aussi et simplement découler du bon sens en fait donc pas trop besoin de le dire.

      D'ailleurs ça me fait penser à une question : imaginons que je reprenne une oeuvre libre, que je rajoute des passages négationnistes, racistes, etc etc plein de trucs méchants quoi. Je met mon nom sur le truc et aussi celui de l'auteur original, avec la licence toussa. Est-ce que l'auteur original peut être inquiété pour cette version ? C'est une question d'un point de vue juridique et d'un point de vue pratique aussi vu que ça arrive très vite dans cette dictature de se retrouver à poil dans une cellule ou tabassé dans son immeuble pour le moindre prétexte (sans la moindre justification juridique).

      « Je vois bien à quels excès peut conduire une démocratie d'opinion débridée, je le vis tous les jours. » (Nicolas Sarkozy)

      • [^] # Re: Comment fait-on ?

        Posté par  . Évalué à 2.

        Je pense qu'il faut être prudent en ajoutant des conditions à la licence originale,on passe d'un texte valable juridiquement à un autre dont on ne connaît pas exactement la valeur juridique.

        J'imagine bien que l'auteur ne souhaite pas l'interprétation que j'ai donnée, il n'empêche que c'est bien une manière d'interpréter le texte... donc quelle en est la valeur légale ?
  • # 2 petites remarques :

    Posté par  . Évalué à 1.

    d'abord bravo, ça a l'air sympa et j'ai envie de le lire.

    mais :

    -ilv édite aussi à compte d'auteur (mais c'est les meilleurs).

    -est-ce que je peux l'acheter chez mon libraire ? (qui a tellement de goût et de bons conseils que ça me ferait chier qu'un jour il fasse des colis pour amaconne et que ce soit un algo qui me dise ce que je devrais lire)

    je n'étais jamais allé sur leur site.
    ressenti : ils sont où les livres ? le côté star'ac' des comptes d'auteur ("toi aussi grâce à nous nos conseils et notre rotative et pour seulement XXX euros devient un vrai auteur avec un isbn et tout"). ça fait vraiment pas sérieux...

    (heureusement que vous êtes là pour nous signaler le bon grain, pas envie d'y retourner, le malaise est trop grand)

    j'ai conscience d'être un peu dur pour tout le travail fourni par 2 personnes seulement. Et là l'anglais, pour une fois, vient à ma rescousse : sont-ce des editors ou des publishers ? Chez tous les publishers dignes de ce nom, il y a un ou des editors. ici ce ne semble pas le cas et la liberté, mise un peu à toute les sauces du marketing, se trouve diluée par une accroche commerciale très basique.

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