Nils Ratusznik a écrit 345 commentaires

Pour mon "infra" hébergée en datacenter, j'ai fini par utiliser des noms génériques selon la fonction, suivis d'un numéro.
Pour mes machines personnelles, j'ai puisé dans les noms des villes de Diablo ou World of Warcraft. Pour les appareils nomades, j'essaie de respecter cet aspect dans le nom choisi. Ainsi mon précédent laptop se nommait "Darkmoon" (la foire de Sombrelune), et mes précédents smartphones ont eu doit a wyvern et griffon par exemple. Tous les noms sont en VO, quand j'y pense. Il m'arrive de faire quelques entorses aux noms WoW, mais pour utiliser des noms génériques numérotés aussi.

Ma moitié utilise des noms de robots, non limités a un univers particulier.

Le texte de la licence est quand même limite :

Basically, as long as you mention the Original author and
send a beer/cookie his/her way, we'll all be fine. If you
don't, we know people in low places. People that can come
into your house at night. People that know your family.
People that can do stuff. Like my friend Carlos. He can
do stuff.

Nasty stuff.

Stuff you wouldn't want happening. Capisce?

Et il y a des restrictions :

You're not allowed to bitch about the Work. Not ever.
Don't whine about how bad the memory leaks are or how
the storyline sucks. If you don't like it, change it or
stop using it.

Je me doute que c'est aussi sérieux que moi après 3 bières à jeun, mais la WTFPL a le mérite d'être précise et concise.

J'aurais aussi préféré que l'auteur utilise une autre licence, comme la WTFPL.

Pourrais-tu élaborer un peu ? Tu cherches juste à savoir quel système de fichiers est le plus rapide, sans forcément savoir sous quelles proportions exactes ?

Je n'ai pas l'intention de démonter ou casser ton benchmark. Je dirais même que l'idée de celui-ci est très intéressante. Il me semble par contre utile de disposer d'un maximum de détails et d'informations dans le cadre d'une potentielle reproduction de celui-ci, afin de voir si par exemple, une variation sur la mémoire vive, la vitesse du stockage ou le nombre de processeurs influerait significativement sur les proportions du résultat.

Là où je veux en venir, c'est que la proportion des résultats peut varier de "quasiment négligeable" à "exponentielle" en fonction de la puissance de la machine. On peut arriver un point où, par exemple, une entreprise qui a des serveurs MySQL en ext4 pourrait se dire "tiens, cela vaut le coup que je passe ces machines en XFS, le gain est assez intéressant pour ne pas avoir à acheter des machines plus puissantes".

Rien ne t'empêche de faire une synchronisation régulière via rsync :

• rsync est multiplateforme ;
• tu devrais trouver des dépôts rsync pour Debian, Ubuntu et CentOS sans trop de difficulté, en mettant un peu les mains dans le cambouis tu pourras limiter selon les architectures et les versions majeures ;
• tu peux créer plusieurs dépôts locaux, que tu peux alimenter via rsync, dont un de test, et un de production.

Malheureusement, cela reste un peu sommaire et ne répond pas à tous tes besoins :

• pas d'interface graphique : va falloir scripter et monter toi-même un serveur web local, et déployer toi-même (ou via un gestionnaire de configuration) les fichiers de configuration des dépôts ;
• il te faudra donc aussi écrire toi-même les fichiers de configuration des dépôts (mais promis c'est pas difficile) ;
• pas de choix total de mises à jour : en gros tu valideras un ensemble de mises à jour, et pas juste quelques-unes (ce qui, à mon sens, n'est pas un problème, c'est comme ça que j'ai vu faire dans les quelques structures que j'ai côtoyées).

Je ne suis pas certain que ces derniers points soient réellement bloquant, et je pense que te faire utiliser rsync sera très formateur. Par exemple chez moi, via des scripts rsync, je me suis mis en place un miroir local pour Fedora, CentOS et NetBSD, sur mon NAS (FreeNAS, donc base FreeBSD). Cela fonctionne plutôt bien.

Sinon, au moins pour CentOS, tu peux tester Foreman/Katello : il s'agit de l'upstream de Red Hat Satellite 6, et cela me semble mieux convenir à ton cahier des charges, sauf la compatibilité Debian/Ubuntu (enfin, pour Katello, pas pour Foreman).

J'espère avoir aidé.

Qu'on me corrige si je me trompe, mais si j'ai bien compris la documentation, VirtualBox :

• fait plus ou moins croire aux invités Windows que c'est un Hyper-V, pour utiliser certains pilotes paravirtuels ;
• dans la même optique, la même chose se fait pour les invités GNU/Linux, mais avec KVM ;
• annonce la présence d'une virtualisation aux invités macOS.

Et ce, quelque soit l'hôte sur lequel fonctionne VirtualBox.

Donc, VirtualBox utilise toujours sa propre technologie de virtualisation, ce qui, toujours si j'ai bien compris, rend ma remarque toujours valable. Je tiens à préciser que je n'ai rien contre VirtualBox, que j'utilise régulièrement (et sur un hôte GNU/Linux, qui plus est), mais je le trouve personnellement plus adapté à un environnement de type bureau/test, qu'un environnement serveur (la présence d'un Windows Server 2016 me fait présumer de cet environnement).

Bon après, "c'est la solution de virtualisation avec laquelle j'ai le plus de facilité ou d'habitude" est une raison tout à fait valable ;)

Quelques questions suite à la lecture de cet article (et de son prédécesseur) :

• si je comprends bien, l'environnement de test est une machine virtuelle sur un serveur : est-ce que celui-ci servait d'autres machines virtuelles pendant ce temps ? Est-ce qu'elles avaient une activité conséquente ?
• pourquoi installer VirtualBox sur un Windows Server 2016 alors que celui-ci intègre Hyper-V ? Est-ce que les extensions VirtualBox étaient installées sur la machine virtuelle ?
• quelles sont les caractéristiques de la machine virtuelle ? Combien de processeurs virtuels ? Quelle quantité de mémoire vive ?
• Les bases de données sont-elles sur une partition séparée ?
• Le disque dur de la machine hôte contenant la machine virtuelle est-il rotatif ou en mémoire flash (SSD) ?
• il me semble exister plusieurs outils de benchmark, je pense en particulier à Sysbench, mais je suppose qu'il y en a d'autres pour MySQL, pourquoi ne pas en utiliser un ?

Pas que je sache, mais j'espère me tromper. J'ai remarqué aussi que plusieurs sites proposent des explications en français, généralement pour des anciennes versions de Gimp, au moins pour ce qui est de redimensionner une image (ce qui était ma recherche à l'origine).

Le logiciel Syslinux dispose de Pxelinux, assez utilisé pour démarrer par le réseau. Un fichier de configuration est généralement utilisé pour démarrer différents OS. Ce fichier de configuration dispose généralement d'une option "par défaut" accompagnée d'un timeout. Tu peux aussi créer un fichier de configuration par adresse MAC si tu souhaites que différentes machines aient différentes options.

Rien ne t'empêche alors, soit de sélectionner un système à démarrer sur l'interface à l'écran (peu pratique compte tenu de ton souhait d'utiliser Wake On LAN), ou alors de modifier le fichier de configuration de pxelinux pour démarrer un autre OS par défaut (avant de lancer le paquet magique).

Nul, non, mais cela ne semble correspondre qu'à une seule catégorie de contenu : les blogs en vidéo.
A défaut d'autres mots plus adaptés selon les catégories, le mot se rapprochant de "youtubeurs" serait-il "vidéaste" ?

Corrigé, merci !

Salut,

merci pour ton script Python, il fait très bien le travail !

J'ai d'ailleurs pu remarquer que dans certains cas, j'avais des doublons (un même livre dans plusieurs catégories). Par contre, j'ai remarqué un cas assez particulier : The New Artificial Intelligence Market. Sa page de téléchargement n'indique que la version PDF, donc ton script ne télécharge que celle-ci. Pourtant, en remplaçant l'extension du fichier par .mobi ou .epub, on récupère bien les versions MOBI et EPUB.

C'est le seul cas de figure, d'après ce que j'ai vu.

En effet, c'est amusant, du coup je suis curieux de voir comment obtenir ceux qui me manquent :)

Plutôt 229 liens uniques, car la catégorie "data" a deux liens :

• http://www.oreilly.com/data/free/ ;
• et http://www.oreilly.com/data/free/archive.html (accessible depuis le premier lien).

Je t'invite à faire part de ta proposition dans le système de suivi du site.

C'est étrange, en effet. Je ne sais pas si ça joue, mais j'ai essayé avec Kali Linux 2017.3 (mais j'ai testé dans le passé avec des versions précédentes). Ah, autre détail qui peut s'avérer important, j'ai installé les extensions VirtualBox (celles qui permettent entre autres de simuler des cartes réseau Intel, et de démarrer des VM en PXE). Je ne serais pas surpris que la gestion des fichiers .vmdk intégrés dans des .ova soit intégrée à ces extensions.

Test réalisé sous Fedora 26, VirtualBox provenant du dépôt officiel d'Oracle pour Fedora.

Je confirme le message précédent : il faut bien importer la machine virtuelle.
Pour cela, deux possibilités (testé sous VirtualBox 5.1.30) :

• le raccourci clavier Ctrl+i, qui ouvre un sélecteur de fichiers, il suffit alors d'aller retrouver le fichier .ova ;
• dans l'écran principal de VirtualBox, cliquer sur le menu Fichier, puis cliquer dans le menu sur Importer un appareil virtuel…, qui ouvre un sélecteur de fichiers, comme pour la possibilité précédente.

L'import prend quelques minutes, selon la puissance de la machine.

J'espère avoir aidé !

Je n'ai pas de VirtualBox sous la main dans l'immédiat pour vérifier, j'écris donc de mémoire : il ne faut pas ouvrir le fichier mais importer la machine virtuelle. Je confirme ça dès que possible.

Bonjour,

sur la page de téléchargement de Kali Linux, on y trouve des images toutes prêtes pour VMware et surtout VirtualBox. A mon souvenir, quand j'avais utilisé celle pour VirtualBox, les additions étaient déjà installées.

Autant pour moi, c'est sur une CentOS 7. Mea Culpa !

/root/anaconda-ks.cfg et /root/original-ks.cfg, mais comme j'utilise kickstart systématiquement depuis des années, je ne sais pas si le deuxième fichier est présent dans le cas d'une installation "basique".

Bonjour,

Je n'ai rien trouvé d'exploitable sur le site de Samsung pour installer la dernière Rom officielle. Il existe d'autres rom mais que valent-elles ?
Donc avant de jouer à l'apprenti-sorcier, pouvez-vous, s'il vous plaît, partager votre expérience ?

Mon expérience avec du matériel Samsung date un peu (Galaxy S2), mais le site qui m'a été recommandé à l'époque est . Ce site n'est en aucun cas affilié à Samsung, malheureusement. Toutefois, il recense quasiment toutes les roms pour les smartphones du géant coréen.

J'ai aussi à l'époque essayé CyanogenMod (devenu depuis LineageOS).

Si vous possédez un tel appareil, avez-vous réinstallé android ? Comment ? Quelle Rom utilisez-vous ? La surcouche Samsung est-elle indispensable ?

Oui, j'ai réinstallé Android sur mon Galaxy S2, d'abord CyanogenMod, puis je suis revenu à la rom officielle, sans surcouche opérateur. J'avais à l'époque aussi changé d'opérateur mobile, et la combinaison nouvel opérateur + CyanogenMod nightly de l'époque faisait que j'étais difficilement joignable. Même sans surcouche opérateur, les roms Samsung embarquent l'interface TouchWiz (la surcouche Samsung).

Il existe des outils permettant de flasher les roms depuis un ordinateur, si tu souhaites essayer, il y a de la documentation sur le site de LineageOS (comme par exemple ici pour le Galaxy S7). Attention, c'est à tes risques et périls.

Est-il possible de sauvegarder le système actuel avant d'en installer un nouveau pour pouvoir réinstaller le premier si nécessaire ?

Je n'ai pas essayé. Je suppose que c'est possible, sinon SamMobile n'aurait pas une telle collection de roms. Personnellement je te recommande d'abord de sauvegarder tes données.

J'espère t'avoir aidé à y voir plus clair.

Histoire de donner du grain à moudre à ta théorie de la blague, la dépêche sur la précédente mise en demeure a été publiée un vendredi.

Techniquement, nous n'avons pas tenu tête à la première. Je citerai même la dépêche où nous relations l'affaire :

nous avons opté pour la suppression des passages incriminés afin d'éviter d'inutiles frais d'avocat et pertes de temps supplémentaires, sur un sujet annexe à l'activité principale du site

Activer la retransmission de paquets ne suffit pas, il te faut aussi activer le NAT. Cela se fait généralement via la brique de filtrage de paquets. Le tutoriel de Digital Ocean mentionne l'utilisation d'UFW, est-ce que tu as appliqué cette partie ? Est-ce que tu as implémenté toi-même via iptables un filtrage de paquets et des règles de NAT (généralement la cible est en -j MASQUERADE ou SNAT si tu souhaites sortir sur une IP précise) ?

Tu peux éventuellement jeter un œil à la config iptables de NAT via la commande suivante :

iptables -t nat -vnL