Je comptais mettre toutes les références en une fois à la fin, mais c'est justement ce qui fait tout le charme de Pyramide, ces associations de mots complètement invraissemblables lorsque tu prends le jeu en route ! :-)
Et puis cela fait aussi partie du jeu d'essayer de retrouver le lien en question ...
Peut-on connaître la distribution utilisée et sa version ?
La configuration du clavier dépend principalement du type de clavier précisé dans le fichier de config de XFree86 ou X.org, mais également de ce qui est automatiquement passé à xmodmap par les différentes couches du bureau graphique proposé par la distribution, et c'est surtout là qu'il faut agir ...
Euh, oui, mais il faut quand même spécifier tes DNS à la main aussi dans ce cas-là ! Et il faut aussi spécifier l'adresse de ta passerelle par défaut, sinon tu ne sortira jamais du giron de ton LAN ...
Toutes ces infos sont aujourd'hui véhiculées par le DHCP au même moment que l'adresse IP du poste concerné. En configuration fixe, il faut se taper tout cela à la mano ...
C'est pas tant la « dernière feature » qui m'importe ... J'utilise linux depuis 1998 et j'ai toujours recompilé mon noyau moi-même. D'ailleurs, jusqu'à présent j'utilisais le 2.6.13.4.
De plus, utilisant les pilotes nVidia depuis le début et ayant essayé plusieurs distributions, les différents packages ne sont pas toujours disponibles et bien souvent, l'installation manuelle était le seul moyen de faire (ce qui n'a jamais été un problème jusqu'ici).
Si j'essaie de redescendre mon noyau vers la dernière version empaquetée, cela ne va pas résoudre les problèmes suivants :
- Cela ne va pas résoudre le problème de fond. Lorsque j'aurai besoin de changer de noyau soit pour en explorer les fonctionnalités, soit parce qu'il résoud d'autres problèmes sur mon architecture, je vais me retrouver dans le même cas de figure.
- Je ne sais absolument pas si le problème vient des fichiers mis en place par l'installeur nVidia, ou si c'est propre à ma config, auquel cas la mise en place des packages provoquera exactement le même phénomène ...
Lorsque cela arrive, c'est que le ou les premiers serveurs DNS spécifiés dans ton resolv.conf sont down ou devenus inacessibles (enfin « invisibles »). Dans ce cas, il faut attendre le timeout de ce ou ces premiers serveurs pour que le résolveur se décide à passer aux suivants.
Vérifie la disponibilité dedits serveurs de ton resolv.conf et comme ils vont en général toujours par deux, essaie d'échanger leurs places dans le fichier.
C'est techniquement vrai mais irrecevable dans ce contexte, car c'est une considération qui s'applique principalement à l'impression.
La résolution en DPI du meilleur écran du monde sera toujours autrement plus pauvre que celle d'une imprimante d'entrée de gamme et c'est normal, car ce sont deux choses complètement différentes. Un moniteur flirte avec les 72 à 80 pixels par pouce tandis qu'une imprimante descend rarement en dessous de 300 dpi.
Ceci interdit non seulement les approximations non anti-aliasées mais également, dans le cas des matrices LCD dont le nombre de pixels est fixe, de redescendre en résolution, l'interpolation la plus réussie dégradant toujours atrocement l'image.
Mais surtout, ce n'est absolument pas l'objectif recherché. Un moniteur ne sert pas à faire un rendu documentaire. C'est une ressource interactive, limitée, et utilisée par beaucoup d'applications à la fois. Lorsque que l'on monte en résolution, c'est bien pour avoir plus de place, pas pour que le rendu d'un même bureau aux dimensions identiques apparaisse globalement plus fin (ce qui serait idiot, de toute façons, puisque la majorité des décorations et des filets de séparation descendent encore au niveau du pixel individuel).
D'autre part, il faut se souvenir que si passer de 1280×1024 à 1600×1200 représente un gain de plus de 600 000 pixels (soit 25% de plus que ce qui est proposé en tout par par une résolution 800×600), cela n'apporte que 20% de pixels de plus en largeur et 17% en hauteur. Proportionnellement, cela revient à faire passer un caractère de 8 pixels de large à 10 pixels, huit pixels étant déjà relativement larges pour un caractère. Faites un xmag et mesurez un peu la taille moyenne des minuscules de votre fonte système, pour voir ... autant dire que l'on ne gagne pas vraiment assez de place pour faire des miracles.
De même, la quasi-totalité des composants graphiques d'un WM est orienté bitmap et heureusement. Essayez de trouver un joli favicon, par exemple, et redimensionnez-le de ses 16×16 pixels conventionnels vers 20×20 et admirez le résultat. Les couleurs de chaque pixel individuel sont choisies pour être suggestives et provoquer le souvenir chez l'utilisateur de ce que l'icône doit évoquer. L'image est donc intimement liée à sa résolution.
Enfin, tout le monde n'a pas forcément la possibilité de monter en résolution (ni même d'en changer, dans le cas d'un portable ou d'une dalle LCD, soit 80% des utilisateurs), et tout le monde n'utilise pas non plus d'écran au format 4×3 classique. Le cas des PocketPC est l'archétype des produits à la mode dont la résolution est réduite ! (Imaginez un instant Évolution sur un PocketPC).
Bref, même si les ressources graphiques, comme le reste de l'informatique, sont en perpétuelle évolution, celle-ci reste beaucoup plus lente que celles de l'espace disque ou de la mémoire vive. Ne serait-ce, d'ailleurs, que parce qu'un écran a deux dimension, il impose une croissance exponentionnelle (au carré) aux cartes qui le pilotent.
Pour ces raisons, la conception et la réalisation d'interfaces, qui tend à devenir un métier à part entière, est un domaine où il est plus important qu'ailleurs d'être sobre dans son exploitation des ressources.
Oui, enfin, passer en grand écran c'est agréable (j'utilise d'ailleurs un 19 pouces pour développer, ce qui n'est pas du luxe), mais à condition de ne pas gaspiller immédiatement l'espace que l'on a gagné en fioritures !
Il n'y a pas si longtemps (à peine une dizaine d'années, encore), les standards de résolutions pour les bureaux étaient 640x480 et 800x600. Pourtant, on y fourrait déjà tout ce que l'on veut y mettre. Un W98 était tout à fait lisible dans ce mode. Je me souviens d'ailleurs du temps ou je bidouillais (entre 1992 et 1995) ma puissante carte svga en triturant ses registres depuis un programme assembleur lancé sous DOS, Bible du PC à la main, pour passer en 1024x768 et même 1280x1024 et y utiliser le mode texte. La puissance pure entre mes mains :-) La finesse des pixels et la densité des caractères donnait des airs de supercalculateur à mon 486DX33.
Je suis de ceux qui pensent qu'un bureau doit être aussi design que fonctionnel, étant donné le temps que l'on passe devant (et parce que c'est quand même cool), mais je peste sans arrêt contre le fait qu'Evolution, par exemple, ne soit pas capable d'afficher en entier sa barre de bouton sur un bureau 1024*768, fenêtre maximisée (en réalité, je ne suis même pas sur qu'il sache le faire en 1280). Non seulement les boutons sont trop larges en eux-mêmes mais les thèmes GTK rajoutent outrageusement un overhead de plusieurs pixels autour de chaque composant par les animations, la réception du focus, etc. Pareil pour les fontes. A une ou deux exceptions près, elles ne sont pas conçues pour être réduites. L'anti-aliasing et autres artifices font des miracles mais seulement à partir d'une 15aine de pixels de haut.
C'est agaçant. L'augmentation des ressources disponibles (dans tous les domaines en infromatique) ne profite que rarement à l'utilisateur final et quand elle le fait, ce n'est jamais pour longtemps.
L'ironie, c'est que les bureaux de ladite commission doivent être massivement équipés en logiciels Microsoft, et que ces logiciels ont d'ailleurs dû servir à rédiger l'acte de sanction. Ce serait drôle que Microsoft "ne concède plus à accorder de licence" à la commission européenne ... :-)
Mais bon, à mon avis ce sera "plutôt crever que de céder du terrain" ...
"Dans le monde la majorité des gens n'ont qu'un petit peut d'argent. L'important c'est de trouver comment prendre ce petit peut..." (c) World Compagy :p
Et surtout la suite :
Oh ! Il en avait eu, une bonne idée, Georges : des pauvres, il y en avait tout plein, c'est nous-mêmes qui les avions fabriqués
Je suppose que tout le monde connaît le principe de l'algo à sens unique mais si ce n'était pas le cas, il s'agit en fait de :
- Stocker les mots de passe sous forme codée
- Coder de la même manière le mot de passe entré par un utilisateur
- Comparer les deux chaînes codées.
Si les deux chaînes correspondent, on est (pour ainsi dire) sûr que les mots de passe concordent et que l'utilisateur a rentré le bon, sans pour autant que l'on ait besoin de le connaître.
D'un point de vue politique, le root ne doit jamais avoir besoin d'accéder aux mots de passe des utilisateurs, secrets par nature. En fait, et à la place, il a d'autres pouvoirs qui lui permettent de s'en passer ! Et si l'utilisateur perd son mot de passe, on lui en donne un autre. On n'essaie pas de le retrouver.
Récupérer le mot de passe d'un utilisateur est une mauvaise habitude prise surtout, il faut bien le dire, en environnement Windows lorsque l'on fait de l'assistance et du dépannage technique sur site.
Sous Unix, un bête su permet de prendre l'identité d'un utilisateur, de se placer dans son répertoire personnel et éventuellement d'y lancer une session si le besoin s'en fait sentir. La plupart du temps, on a même pas besoin de demander à l'utilisateur de se déloguer. Un terminal X, un changement local d'indentité, on fait la modif' sur le fichier concerné et c'est fini. L'environnement Windows, spécialement lorsqu'il est antérieur à XP, est beaucoup plus rigide et bien souvent, le technicien a besoin d'ouvrir une session sous le compte de l'utilisateur pour lui régler ses paramètres personnels.
Les collectes de mots de passe avant intervention se généralisent donc et les utilisateurs les donnent d'ailleurs bien volontiers, tant ils souhaitent (légitimement) être dépannés au plus vite.
Non, sans rire, les problèmes d'orthographe sont tellement fréquents qu'on ne peut plus décemment tous les relever. A la place, il faudrait mettre en place un système de notation dédié. Mais, une fois n'est pas coutume, je vais faire une exception.
Il parait que l'école court à sa perte et que les gens de plus de 25 ans ne peuvent se rendre compte à quel point, mais tout de même, la sempiternelle (le premier qui dit "la kernelle" prend la porte) confusion entre l'infinitif du premier groupe et son participe passé a toujours été un problème, mais je trouve qu'elle prend des proportions dramatiques ces derniers temps. Pourtant, tout le monde sait qu'il suffit de remplacer le verbe concerné par un verbe du deuxième ("bâtir") ou du troisème groupe ("mordre") pour lever toute ambigüité.
Alors, franchement, peux-tu nous éclairer un peu et nous dire d'où vient le problème (nonpadela) ? Qu'est-ce qui est à l'origine d'un tel massacre ? La méthode globale ? Les skyblogs ? Le coup de boule de Zidane ? Les carences de cerveau disponible ?
Les disque dur de portable ça existe en génerique ou je suis contraint d'en commander un a DELL uniquement ?
Ca existe en générique, heureusement. Et j'en ai déjà remplacé un sur un Dell. Ce sont les disques durs dits 2'5 pouces (par opposition aux 3 pouces et demi habituels). Si tu es sur Paris, tu en trouves à Montgallet pour des prix raisonnables.
Un conseil, choisis-en un dont le constructeur est sérieux. Le disque de mon portable Toshiba avait rendu l'âme après les grosses chaleurs de 2003, et ces génies n'avaient pas été fichus de me fournir un utilitaire de formatage bas-niveau (moyen réellement efficace de récupérer des secteurs défecteux lorsque la surface du disque n'est pas physiquement endommagée).
J'ai un IBM-Hitachi depuis. A part une certaine série maudite sur les 40Go, autant que je me souvienne, ils jouissent d'une très bonne réputation. Le mien est extrêmement silencieux et ne me cause aucun souci depuis.
Figer une langue naturelle n'est jamais bon, l'histoire l'a prouvé et je ne penses pas que tu t'y oppose. La langue est une expression du langage qui a pour but premier de communiquer si ce mot atteins son but et qu'il n'est pas choquant pour des natifs francophone alors il est correct.
Certes, mais c'est souvent un piège !
On peut faire évoluer une langue sans la dénaturer, être rigoureux sans la figer, et l'enrichir n'implique pas d'accepter systématiquement une nouvelle entrée sans réfléchir sous le simple prétexte que c'est devenu l'usage à un moment donné.
C'est un problème car les éditeurs de dictionnaires entrent en compétition et sont tentés d'ajouter n'importe quel borborygme pour être les plus exhaustifs, quitte à les en retirer lorsqu'ils tombent en désuétude quelques années plus tard. C'est se trahir, car le dictionnaire ne remplit plus sa fonction d'autorité principale auprès du rédacteur.
Comme un dico est avant tout un recueil de définitions, l'exhaustivité est une chose appréciable, surtout pour capter toute l'évolution d'une langue à travers le temps (mais ceci implique l'interdiction des retraits ultérieurs), mais je dis que les néologismes devraient d'abord faire un séjour prolongé dans une annexe de l'ouvrage avant d'être insérés définitivement dans son corps.
D'autre part, la langue française est suffisamment bien construite pour ne pas avoir besoin de recourir aux anglicismes. Dans cet esprit, le terme logiciel (par opposition à matériel, avec l'introduction de la racine de « logique », puisque c'est bien de cela qu'il s'agit) est une réussite. Informatique est un mot que le monde nous envie, et ordinateur est particulièrement bien ciblé, bien plus que computer par exemple, qui se traduit le plus précisément par « calculateur ».
Par contre, mél et cédérom, par exemple, sont des âneries à bannir. Elles ont été introduites à la va-vite par les académiciens, et personne ne les utilise telles quelles.
D'autre part, l'intégration accélérée de néologismes tout comme les réformes successives de l'orthographe sont souvent des revendications d'informaticiens. Contrairement à un langage de programmation, l'aspect pratique n'est pas l'objectif premier d'une langue vivante. Celle-ci, au contraire, est, avec ses règles et son orthographe, un patrimoine qu'il convient de respecter.
Enfin, « supporter » n'est pas encore reconnu dans le sens que l'on discute ce soir par l'ensemble de la communauté francophone. C'est encore un anglicisme qui peut être interprété de manière complètement différente par quelqu'un qui parle un français strict . Par exemple, la proposition « ce système ne supporte pas cette version du pilote » signifie que la dernière version du pilote est notoirement dangereuse pour l'intégrité du système associé !
La laideur de ce mot est tout à fait subjective. Ceux qui l'emploient ne perçoivent pas cette laideur. Tu le trouves laid parce que tu penses que c'est un faux-ami, et bien le mot entrant en français avec le sens anglais il n'est plus un faux-ami et ne seras donc plus laid :)
C'est, malheureusement, la même chose que de voter des lois stupides. Une directive scélérate contre laquelle tout le monde s'élève ne devient pas un modèle de vertu dès lors qu'elle est validée par une poignée d'individus.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire par là, nierais-tu la présence énorme de mots de la langue anglaise en français , ou bien est-ce plutôt le fait que la langue française est une langue riche ?
Ni l'un, ni surtout l'autre. Au contraire, je trouve très osé d'affirmer que la langue française va devenir pauvre si elle n'intègre pas les anglicismes.
[^] # Re: Un moyen de transport
Posté par Obsidian . En réponse au journal L'été est manchot, extrême manchot !. Évalué à 1.
Et puis cela fait aussi partie du jeu d'essayer de retrouver le lien en question ...
[^] # Re: Un moyen de transport
Posté par Obsidian . En réponse au journal L'été est manchot, extrême manchot !. Évalué à 2.
A toi.
# Un moyen de transport
Posté par Obsidian . En réponse au journal L'été est manchot, extrême manchot !. Évalué à 3.
[^] # Re: Petite précision
Posté par Obsidian . En réponse au journal Une amende pour avoir interpreté une chanson.... Évalué à 1.
http://bmarcore.club.fr/paillardes//P-P002-A-E.html
[^] # Re: On sait :)
Posté par Obsidian . En réponse au journal Une amende pour avoir interpreté une chanson.... Évalué à 7.
... et moins sur les mots qui le composent ? :-)
[^] # Re: Tsss...
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche Magrathea ou le Système Solaire en 3D. Évalué à 2.
# La distribution ?
Posté par Obsidian . En réponse au message [X-Window] Quand vous appuyez sur ² vous avez ½ ?. Évalué à 2.
La configuration du clavier dépend principalement du type de clavier précisé dans le fichier de config de XFree86 ou X.org, mais également de ce qui est automatiquement passé à xmodmap par les différentes couches du bureau graphique proposé par la distribution, et c'est surtout là qu'il faut agir ...
[^] # Re: typiquement...
Posté par Obsidian . En réponse au message resolution DNS lente sous mode d'adressage static. Évalué à 2.
Toutes ces infos sont aujourd'hui véhiculées par le DHCP au même moment que l'adresse IP du poste concerné. En configuration fixe, il faut se taper tout cela à la mano ...
[^] # Re: typiquement...
Posté par Obsidian . En réponse au message resolution DNS lente sous mode d'adressage static. Évalué à 2.
[^] # Re: je ne repond pas à ta question ...
Posté par Obsidian . En réponse au message Xorg 7.0 et pilotes nVidia => Plantage !. Évalué à 3.
De plus, utilisant les pilotes nVidia depuis le début et ayant essayé plusieurs distributions, les différents packages ne sont pas toujours disponibles et bien souvent, l'installation manuelle était le seul moyen de faire (ce qui n'a jamais été un problème jusqu'ici).
Si j'essaie de redescendre mon noyau vers la dernière version empaquetée, cela ne va pas résoudre les problèmes suivants :
- Cela ne va pas résoudre le problème de fond. Lorsque j'aurai besoin de changer de noyau soit pour en explorer les fonctionnalités, soit parce qu'il résoud d'autres problèmes sur mon architecture, je vais me retrouver dans le même cas de figure.
- Je ne sais absolument pas si le problème vient des fichiers mis en place par l'installeur nVidia, ou si c'est propre à ma config, auquel cas la mise en place des packages provoquera exactement le même phénomène ...
# Un DNS down.
Posté par Obsidian . En réponse au message resolution DNS lente sous mode d'adressage static. Évalué à 3.
Vérifie la disponibilité dedits serveurs de ton resolv.conf et comme ils vont en général toujours par deux, essaie d'échanger leurs places dans le fichier.
[^] # Re: Gni ???
Posté par Obsidian . En réponse au message Comment installer une clé USB ?. Évalué à 4.
[^] # Re: Représentation publique...
Posté par Obsidian . En réponse au journal Coup de gueule pour une chanson.... Évalué à 10.
[^] # Re: Félicitations à vous deux...
Posté par Obsidian . En réponse au journal Enterrement de vie de jeune moule .... Évalué à 10.
Trop gros, passera pas ... :-)
[^] # Re: Pixel Inflation
Posté par Obsidian . En réponse au journal Regrouper les fonctionnalités sous la souris. Évalué à 6.
La résolution en DPI du meilleur écran du monde sera toujours autrement plus pauvre que celle d'une imprimante d'entrée de gamme et c'est normal, car ce sont deux choses complètement différentes. Un moniteur flirte avec les 72 à 80 pixels par pouce tandis qu'une imprimante descend rarement en dessous de 300 dpi.
Ceci interdit non seulement les approximations non anti-aliasées mais également, dans le cas des matrices LCD dont le nombre de pixels est fixe, de redescendre en résolution, l'interpolation la plus réussie dégradant toujours atrocement l'image.
Mais surtout, ce n'est absolument pas l'objectif recherché. Un moniteur ne sert pas à faire un rendu documentaire. C'est une ressource interactive, limitée, et utilisée par beaucoup d'applications à la fois. Lorsque que l'on monte en résolution, c'est bien pour avoir plus de place, pas pour que le rendu d'un même bureau aux dimensions identiques apparaisse globalement plus fin (ce qui serait idiot, de toute façons, puisque la majorité des décorations et des filets de séparation descendent encore au niveau du pixel individuel).
D'autre part, il faut se souvenir que si passer de 1280×1024 à 1600×1200 représente un gain de plus de 600 000 pixels (soit 25% de plus que ce qui est proposé en tout par par une résolution 800×600), cela n'apporte que 20% de pixels de plus en largeur et 17% en hauteur. Proportionnellement, cela revient à faire passer un caractère de 8 pixels de large à 10 pixels, huit pixels étant déjà relativement larges pour un caractère. Faites un xmag et mesurez un peu la taille moyenne des minuscules de votre fonte système, pour voir ... autant dire que l'on ne gagne pas vraiment assez de place pour faire des miracles.
De même, la quasi-totalité des composants graphiques d'un WM est orienté bitmap et heureusement. Essayez de trouver un joli favicon, par exemple, et redimensionnez-le de ses 16×16 pixels conventionnels vers 20×20 et admirez le résultat. Les couleurs de chaque pixel individuel sont choisies pour être suggestives et provoquer le souvenir chez l'utilisateur de ce que l'icône doit évoquer. L'image est donc intimement liée à sa résolution.
Enfin, tout le monde n'a pas forcément la possibilité de monter en résolution (ni même d'en changer, dans le cas d'un portable ou d'une dalle LCD, soit 80% des utilisateurs), et tout le monde n'utilise pas non plus d'écran au format 4×3 classique. Le cas des PocketPC est l'archétype des produits à la mode dont la résolution est réduite ! (Imaginez un instant Évolution sur un PocketPC).
Bref, même si les ressources graphiques, comme le reste de l'informatique, sont en perpétuelle évolution, celle-ci reste beaucoup plus lente que celles de l'espace disque ou de la mémoire vive. Ne serait-ce, d'ailleurs, que parce qu'un écran a deux dimension, il impose une croissance exponentionnelle (au carré) aux cartes qui le pilotent.
Pour ces raisons, la conception et la réalisation d'interfaces, qui tend à devenir un métier à part entière, est un domaine où il est plus important qu'ailleurs d'être sobre dans son exploitation des ressources.
# Pixel Inflation
Posté par Obsidian . En réponse au journal Regrouper les fonctionnalités sous la souris. Évalué à 10.
Il n'y a pas si longtemps (à peine une dizaine d'années, encore), les standards de résolutions pour les bureaux étaient 640x480 et 800x600. Pourtant, on y fourrait déjà tout ce que l'on veut y mettre. Un W98 était tout à fait lisible dans ce mode. Je me souviens d'ailleurs du temps ou je bidouillais (entre 1992 et 1995) ma puissante carte svga en triturant ses registres depuis un programme assembleur lancé sous DOS, Bible du PC à la main, pour passer en 1024x768 et même 1280x1024 et y utiliser le mode texte. La puissance pure entre mes mains :-) La finesse des pixels et la densité des caractères donnait des airs de supercalculateur à mon 486DX33.
Je suis de ceux qui pensent qu'un bureau doit être aussi design que fonctionnel, étant donné le temps que l'on passe devant (et parce que c'est quand même cool), mais je peste sans arrêt contre le fait qu'Evolution, par exemple, ne soit pas capable d'afficher en entier sa barre de bouton sur un bureau 1024*768, fenêtre maximisée (en réalité, je ne suis même pas sur qu'il sache le faire en 1280). Non seulement les boutons sont trop larges en eux-mêmes mais les thèmes GTK rajoutent outrageusement un overhead de plusieurs pixels autour de chaque composant par les animations, la réception du focus, etc. Pareil pour les fontes. A une ou deux exceptions près, elles ne sont pas conçues pour être réduites. L'anti-aliasing et autres artifices font des miracles mais seulement à partir d'une 15aine de pixels de haut.
C'est agaçant. L'augmentation des ressources disponibles (dans tous les domaines en infromatique) ne profite que rarement à l'utilisateur final et quand elle le fait, ce n'est jamais pour longtemps.
[^] # Re: Abonnement
Posté par Obsidian . En réponse au journal 280.5 millions d'euros d'amende pour Microsoft. Évalué à 4.
Mais bon, à mon avis ce sera "plutôt crever que de céder du terrain" ...
[^] # Re: si j'ai bien compris
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le gouvernement veut démocratiser internet en France. Évalué à 5.
Et surtout la suite :
Il n'y a pas a dire, ça nous manque ! :-)
[^] # Re: Non
Posté par Obsidian . En réponse au message liste des passwords. Évalué à 4.
- Stocker les mots de passe sous forme codée
- Coder de la même manière le mot de passe entré par un utilisateur
- Comparer les deux chaînes codées.
Si les deux chaînes correspondent, on est (pour ainsi dire) sûr que les mots de passe concordent et que l'utilisateur a rentré le bon, sans pour autant que l'on ait besoin de le connaître.
D'un point de vue politique, le root ne doit jamais avoir besoin d'accéder aux mots de passe des utilisateurs, secrets par nature. En fait, et à la place, il a d'autres pouvoirs qui lui permettent de s'en passer ! Et si l'utilisateur perd son mot de passe, on lui en donne un autre. On n'essaie pas de le retrouver.
Récupérer le mot de passe d'un utilisateur est une mauvaise habitude prise surtout, il faut bien le dire, en environnement Windows lorsque l'on fait de l'assistance et du dépannage technique sur site.
Sous Unix, un bête su permet de prendre l'identité d'un utilisateur, de se placer dans son répertoire personnel et éventuellement d'y lancer une session si le besoin s'en fait sentir. La plupart du temps, on a même pas besoin de demander à l'utilisateur de se déloguer. Un terminal X, un changement local d'indentité, on fait la modif' sur le fichier concerné et c'est fini. L'environnement Windows, spécialement lorsqu'il est antérieur à XP, est beaucoup plus rigide et bien souvent, le technicien a besoin d'ouvrir une session sous le compte de l'utilisateur pour lui régler ses paramètres personnels.
Les collectes de mots de passe avant intervention se généralisent donc et les utilisateurs les donnent d'ailleurs bien volontiers, tant ils souhaitent (légitimement) être dépannés au plus vite.
[^] # Re: Article libre ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Il n'a de libre que le nom. Évalué à 6.
[^] # Re: ==> Moment Coup de Gueule <==
Posté par Obsidian . En réponse au journal Phishing que faire ?. Évalué à 4.
-->[] (<- Notez le gag récursif)
[^] # Re: ==> Moment Coup de Gueule <==
Posté par Obsidian . En réponse au journal Phishing que faire ?. Évalué à 3.
[^] # ==> Moment Coup de Gueule <==
Posté par Obsidian . En réponse au journal Phishing que faire ?. Évalué à 9.
duper !
Non, sans rire, les problèmes d'orthographe sont tellement fréquents qu'on ne peut plus décemment tous les relever. A la place, il faudrait mettre en place un système de notation dédié. Mais, une fois n'est pas coutume, je vais faire une exception.
Il parait que l'école court à sa perte et que les gens de plus de 25 ans ne peuvent se rendre compte à quel point, mais tout de même, la sempiternelle (le premier qui dit "la kernelle" prend la porte) confusion entre l'infinitif du premier groupe et son participe passé a toujours été un problème, mais je trouve qu'elle prend des proportions dramatiques ces derniers temps. Pourtant, tout le monde sait qu'il suffit de remplacer le verbe concerné par un verbe du deuxième ("bâtir") ou du troisème groupe ("mordre") pour lever toute ambigüité.
Alors, franchement, peux-tu nous éclairer un peu et nous dire d'où vient le problème (nonpadela) ? Qu'est-ce qui est à l'origine d'un tel massacre ? La méthode globale ? Les skyblogs ? Le coup de boule de Zidane ? Les carences de cerveau disponible ?
[^] # Re: Backup conseillé
Posté par Obsidian . En réponse au message Problème ( hard ) de disque dur. Évalué à 2.
Ca existe en générique, heureusement. Et j'en ai déjà remplacé un sur un Dell. Ce sont les disques durs dits 2'5 pouces (par opposition aux 3 pouces et demi habituels). Si tu es sur Paris, tu en trouves à Montgallet pour des prix raisonnables.
Un conseil, choisis-en un dont le constructeur est sérieux. Le disque de mon portable Toshiba avait rendu l'âme après les grosses chaleurs de 2003, et ces génies n'avaient pas été fichus de me fournir un utilitaire de formatage bas-niveau (moyen réellement efficace de récupérer des secteurs défecteux lorsque la surface du disque n'est pas physiquement endommagée).
https://linuxfr.org/~Obsidian/13535.html
J'ai un IBM-Hitachi depuis. A part une certaine série maudite sur les 40Go, autant que je me souvienne, ils jouissent d'une très bonne réputation. Le mien est extrêmement silencieux et ne me cause aucun souci depuis.
[^] # Re: mouaip...
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche Microsoft se met à l'Open Document. Évalué à 3.
Certes, mais c'est souvent un piège !
On peut faire évoluer une langue sans la dénaturer, être rigoureux sans la figer, et l'enrichir n'implique pas d'accepter systématiquement une nouvelle entrée sans réfléchir sous le simple prétexte que c'est devenu l'usage à un moment donné.
C'est un problème car les éditeurs de dictionnaires entrent en compétition et sont tentés d'ajouter n'importe quel borborygme pour être les plus exhaustifs, quitte à les en retirer lorsqu'ils tombent en désuétude quelques années plus tard. C'est se trahir, car le dictionnaire ne remplit plus sa fonction d'autorité principale auprès du rédacteur.
Comme un dico est avant tout un recueil de définitions, l'exhaustivité est une chose appréciable, surtout pour capter toute l'évolution d'une langue à travers le temps (mais ceci implique l'interdiction des retraits ultérieurs), mais je dis que les néologismes devraient d'abord faire un séjour prolongé dans une annexe de l'ouvrage avant d'être insérés définitivement dans son corps.
D'autre part, la langue française est suffisamment bien construite pour ne pas avoir besoin de recourir aux anglicismes. Dans cet esprit, le terme logiciel (par opposition à matériel, avec l'introduction de la racine de « logique », puisque c'est bien de cela qu'il s'agit) est une réussite. Informatique est un mot que le monde nous envie, et ordinateur est particulièrement bien ciblé, bien plus que computer par exemple, qui se traduit le plus précisément par « calculateur ».
http://fr.wiktionary.org/wiki/ordinateur
Par contre, mél et cédérom, par exemple, sont des âneries à bannir. Elles ont été introduites à la va-vite par les académiciens, et personne ne les utilise telles quelles.
D'autre part, l'intégration accélérée de néologismes tout comme les réformes successives de l'orthographe sont souvent des revendications d'informaticiens. Contrairement à un langage de programmation, l'aspect pratique n'est pas l'objectif premier d'une langue vivante. Celle-ci, au contraire, est, avec ses règles et son orthographe, un patrimoine qu'il convient de respecter.
Enfin, « supporter » n'est pas encore reconnu dans le sens que l'on discute ce soir par l'ensemble de la communauté francophone. C'est encore un anglicisme qui peut être interprété de manière complètement différente par quelqu'un qui parle un français strict . Par exemple, la proposition « ce système ne supporte pas cette version du pilote » signifie que la dernière version du pilote est notoirement dangereuse pour l'intégrité du système associé !
C'est, malheureusement, la même chose que de voter des lois stupides. Une directive scélérate contre laquelle tout le monde s'élève ne devient pas un modèle de vertu dès lors qu'elle est validée par une poignée d'individus.
Ni l'un, ni surtout l'autre. Au contraire, je trouve très osé d'affirmer que la langue française va devenir pauvre si elle n'intègre pas les anglicismes.