voleur et demi.
Dans un secteur qui affiche fièrement sa dépravation et où la corruption fait la loi (une pensée par exemple à la multiplication des festivals et à se relation avec la « compensation équitable » de la copie priver), il ne faut pas s'étonner de trouver des gens qui suivent l'exemple un peu trop bien — et finissent par montrer le chemin aux autres (ça c'est la suite).
Un élément m'intrigue tout de même dans l'article : en quoi un compte peut-il être un « faux compte » ? Y a-t-il vraiment des lois qui réglementent la nature de l'utilisation de ces choses ? En quoi une musique pourrait-elle être une « fausse musique » ? Est-ce qu'il ne serait pas légitime de défendre un autre point de vue : ce monsieur Smith a mis en évidence la propension d'un système délirant à rémunérer sans cause. Certes il s'est enrichi au passage. Mais ne rend-il pas un grand service en mettant ainsi un coup de pied dans la fourmilière ? Ce travail ne vaut-il pas salaire ? N'est-il pas grand temps de changer les pratiques du secteur ?
Oui, je trouve que cette "arnaque" pose multitude de questions… qu'est-ce qu'un compte ? qu'est-ce que le droit d'auteur sur une musique générée par IA ? Comment les artistes sont ils rémunérés ? , etc., etc.
Surtout que contrairement à d'autres domaines, la musique générée par IA est plutôt de qualité (par rapport à pleins de groupes humains mais moyennasses).
Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.
Pour moi le soucis n'est pas la musique ou son outil de création, mais plutôt la fraude aux écoutes via des utilisateurs fictifs. , puisque c'est elle qui a permis la rémunération.
C'est d'ailleurs ce que dit spotify en fin d'article.
# À voleur…
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 8.
voleur et demi.
Dans un secteur qui affiche fièrement sa dépravation et où la corruption fait la loi (une pensée par exemple à la multiplication des festivals et à se relation avec la « compensation équitable » de la copie priver), il ne faut pas s'étonner de trouver des gens qui suivent l'exemple un peu trop bien — et finissent par montrer le chemin aux autres (ça c'est la suite).
Un élément m'intrigue tout de même dans l'article : en quoi un compte peut-il être un « faux compte » ? Y a-t-il vraiment des lois qui réglementent la nature de l'utilisation de ces choses ? En quoi une musique pourrait-elle être une « fausse musique » ? Est-ce qu'il ne serait pas légitime de défendre un autre point de vue : ce monsieur Smith a mis en évidence la propension d'un système délirant à rémunérer sans cause. Certes il s'est enrichi au passage. Mais ne rend-il pas un grand service en mettant ainsi un coup de pied dans la fourmilière ? Ce travail ne vaut-il pas salaire ? N'est-il pas grand temps de changer les pratiques du secteur ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: À voleur…
Posté par omc . Évalué à 5.
Oui, je trouve que cette "arnaque" pose multitude de questions… qu'est-ce qu'un compte ? qu'est-ce que le droit d'auteur sur une musique générée par IA ? Comment les artistes sont ils rémunérés ? , etc., etc.
[^] # Re: À voleur…
Posté par devnewton 🍺 (site web personnel) . Évalué à 6.
Surtout que contrairement à d'autres domaines, la musique générée par IA est plutôt de qualité (par rapport à pleins de groupes humains mais moyennasses).
Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.
[^] # Re: À voleur…
Posté par Seb . Évalué à 5.
Pour moi le soucis n'est pas la musique ou son outil de création, mais plutôt la fraude aux écoutes via des utilisateurs fictifs. , puisque c'est elle qui a permis la rémunération.
C'est d'ailleurs ce que dit spotify en fin d'article.
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