Bonjour journal
Petite idée qui m'est venue...
Voici LA preuve que les logiciels libres sont et seront toujours meilleurs que les autres qui ont un prix...
1 - On considère la qualité d'un logiciel sur une échelle de 1 à 1000
2 - On considère qu'un logiciel non libre a un coût infime due aux restrictions de licences et qu'un logiciel libre a un coût qui tend vers 0
Maintenant, prenons 2 logiciels, un libre et un pas libre.
Calculons leurs rapports qualité/prix :
- Le pas libre a un rapport de q/p avec q la qualité et p le prix
- Le libre a un rapport de q'/p'. Comme p' tend vers 0 et que q' >= 1, on a le rapport qualité/prix d'un logiciel libre qui tend vers +infini.
CQFD !
# foireux
Posté par TImaniac (site web personnel) . Évalué à 6.
LL ne signifies pas gratuit (cf support, formation, etc.)
[^] # Re: foireux
Posté par Pinaraf . Évalué à 0.
[^] # Re: foireux
Posté par TImaniac (site web personnel) . Évalué à 8.
C'est un petit peu comme quand tu achètes une voiture, il y a le prix de départ, qui admettons pourrait être nul si tu l'avais gagné, dans un cas tu as un contrat restrictif qui t'interdit de prêter ta voiture, t'indique qu'il faut mettre du sans plomb acheté chez Total, etc. Dans l'autre cas tu as une voiture avec le plan pour te permettre d'en comprendre le fonctionnement, de faire des modifications comme par exemple installer un moteur qui roule au GPL. Mais dans les 2 cas faudra bien que tu paies l'essence, que tu paies les réparations si tu n'es pas mécano (tu paie un prestataire de service), que tu paies les révisions (tu paie un développeur pour faire une amélioration), que tu paies aussi ton permis (la formation). Bref, il faut prendre le coût total pour juger sur la durée, c'est à dire principalement le coût d'utilisation, de maintenance.
[^] # Re: foireux
Posté par TImaniac (site web personnel) . Évalué à 5.
bon faut que j'arrête de triper moa...
[^] # Re: foireux
Posté par Pierre Tramal (site web personnel) . Évalué à 0.
Le coût d'un LL peut être considéré comme faible mais non nul (c'est une hypothèse discutable, car libre!=gratuit, etc.. cf. les autres commentaires) et dans ce cas là le rapport qualité/prix est _fini_, donc il peut être dépassé par un autre rapport q/p d'un logiciel non libre...
Et si on le considère comme nul on ne peut pas définir la quantité q/p sur lequel ta "démonstration" se base.
Ton "artifice" consistant à "passer à la limite" sur q/p n'a aucun sens car "p" est une constante (non nulle, sinon q/p n'est pas défini), ce n'est donc pas une "suite" qui peut "tendre vers 0" comme tu l'affirmes...
Voilà, c'était le ====> Moment <==== enc*lage de mouches du jour.
[^] # Re: foireux
Posté par Ramso . Évalué à 1.
# Le vrai coût de l'Open Source
Posté par plagiats . Évalué à 3.
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2.4 D'un point de vue économique
D'un point de vue économique, et sans établir une complète étude des coûts liés à l'OpenSource, nous pouvons dresser un portrait des enjeux globaux et identifier les points positifs comme négatifs d'une migration. L'article « Le vrai coût de l'OpenSource » paru dans le magazine « Le Monde informatique » du 30 janvier 2004 nous servira notamment de base et de référence.
Par de là les simples coûts de licence, l'article identifie clairement quatre sources majeures de coûts d'une migration:
Les coûts matériels dépendent de la plateforme éxistantes. Les migrations d'Unix vers Linux sous-entendent un changement de matériel extrèmement avantageux pour l'investisseur sans changement radical de logiciels (ceux-ci sont compatibles: Unix et Linux sont deux systèmes basés sur la même norme: POSIX). Les gains en coûts matériels sont annulés lorsque la migration s'effectue depuis Microsoft® Windows®: les plateformes matérielles sont identiques.
Les coûts logiciels ne s'estiment pas qu'aux simples licences. Ils englobent également la facilité de développement de nouvelles applications et de leur déploiement. Dans une structure exclusivement Linux, les coûts logiciels chutent. Mais dans un environnement mixte (Linux/Microsoft® Windows®), ceux ci sont difficilement arbitrables et dépendent notamment du système d'information de la société: sur quelle application repose-t-il? Comment circule l'information et comment est elle traitée? Dans le cas d'une migration de Microsoft® Windows® vers Linux, la recherche d'équivalence joue un rôle majeur. Si chaque application utilisée trouve son pendant, les coûts logiciels sont réduits. On assistera alors à un « déplacement des coûts » vers les coûts de formation. Ceux ci sont considérés comme étant « de migration propre ».
Les coût de migration propre sont principalement constitués par la formation. Celle ci est doublement coûteuse : elle n'est que rarement gratuite et nécessite du temps. La SSLL Net2S « estime qu'il faut cinq jours pour former à Linux des professionnels certifiés sur Windows ». Cinq jours à temps plein pour un personnel qualifié et qualifiable.
L'un des avantages de Linux énoncé dans l'article est sa liberté de téléchargement: le personnel peut télécharger Linux et s'y entrainer seul (parfois sans même l'installer), contrairement à d'autres outils de travail spécifique et propriétaire. Pour que cela fonctionne, il est important d'être ferme quant à l'instauration de l'outil, c'est à dire « ne pas laisser d'autre choix » à l'employé. La formation est un passage nécessaire de la vie d'entreprise qui se rentabilise dans le temps mais aussi et surtout dans l'usage. Plus la migration sera effectuée de façon complète, et plus cette phase sera rentable. Au magazine de citer Dave Dargo, vice-président du programme Linux d'Oracle : « Les clients qui adoptent simplement Linux aux côtés de leurs autres OS ne feront probablement aucune économie ».
L'article du « Monde informatique » intègre aux coûts de migration l'ensemble des « coûts cachés » qui peuvent surgir lors d'une migration. Par nature, ceux ci ne peuvent être listés, toutefois on peut les prévoir budgétairement. David Margulus et Reynald Fléchaux (auteurs de l'article) citent en exemple « Le code qu'il faudra peut être récrire, les données à migrer, les travaux d'intégration ».
Les coûts d'administration ramenés simplement aux salaires et aux dépenses de l'administrateur système, auxquels pourront être ajoutés les budgets de sécurité informatique. Sur ces points, la tendance actuelle du marché est favorable à une migration vers Linux. L'administration du système a plus d'un point commun avec les services de support : pouvant être externalisée comme traitée en interne, elle ne fait appel qu'au savoir et au savoir-faire.
Les coûts de support, enfin, représentent une démarcation forte entre Linux et Microsoft® Windows®. Car il s'agit de méthode: si une entreprise peut sous-traiter le support sur plateforme Microsoft® Windows®, elle ne pourra réclamer de « modification à la demande » du système. Les solutions à ses problèmes ne peuvent intervenir qu'en surcouche du système. Linux appartenant à la fois à tous et à personne, une entreprise migrante nécessitant du support n'aurait que l'embarras du choix dans le prestataire de service de support. Contrairement au cas précédent, l'ensemble des outils y compris le système lui-même peut être directement modifié selon les souhaits du client. Une entreprise peut même aller jusqu'à se doter de son propre support en interne, seul les compétences (et donc la formation) y sont nécessaires.
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plagiats
[^] # Re: Le vrai coût de l'Open Source
Posté par GuebN . Évalué à 2.
[^] # Re: Le vrai coût de l'Open Source
Posté par Snark_Boojum . Évalué à 2.
Ensuite il faudra vérifier les pluriels, parce qu'à ce niveau-là aussi il y a des choses pas très jolies...
C'est quand même mieux écrit que la plupart des choses qu'on trouve sur linuxfr, mais il y a encore trop de charabia vocal...
Snark
[^] # Re: Le vrai coût de l'Open Source
Posté par plagiats . Évalué à 1.
# Les logiciels proprios sont forcément mieux !
Posté par Pierre Tramal (site web personnel) . Évalué à 1.
Voici LA preuve que les logiciels libres sont et seront toujours meilleurs que les autres qui ont un prix...
1 - On considère la qualité d'un logiciel sur une échelle de -1000 à -1
2 - On considère qu'un logiciel non libre a un coût infime due aux restrictions de licences et qu'un logiciel libre a un coût qui tend vers 0
Maintenant, prenons 2 logiciels, un libre et un pas libre.
Calculons leurs rapports qualité/prix :
- Le pas libre a un rapport de q/p avec q la qualité et p le prix
- Le libre a un rapport de q'/p'. Comme p' tend vers 0 et que q' <= -1, on a le rapport qualité/prix d'un logiciel libre qui tend vers -infini.
CQFD !
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Désolé
[^] # Re: Les logiciels proprios sont forcément mieux !
Posté par allcolor (site web personnel) . Évalué à 1.
[^] # Re: Les logiciels proprios sont forcément mieux !
Posté par GuebN . Évalué à 1.
# Piles Duracell
Posté par philz . Évalué à 2.
D'ailleurs, ça devient de plus en plus difficile de trouver des piles "salines" pour faire la comparaison.
# le coût d'un logiciel libre proche de 0 ?
Posté par TazForEver . Évalué à 3.
Alors comprends bien que les LL disponibles gratuitement sur le marché, en quantité phénoménale, ont une valeur gigantesque.
l'avantage économique d'unLL c'est le coût des licences mais aussi la possibilité pour chacun (et donc pour chaque entreprise qui l'utilise) d'employer quelqu'un pour adapter le logiciel à ses besoins spécifiques, etc, et de ne pas être pris en otage par l'éditeur du logiciel.
[^] # Re: le coût d'un logiciel libre proche de 0 ?
Posté par Pinaraf . Évalué à -1.
Oui cette démonstration est vraiment.... nase on va dire, mais c'était "just for fun" !
(et bravo pour le superbe gdesklets)
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