Piqûre de rappel sur les « risques » de la surveillance

Vous excuserez peut-être ce journal marque-page, mais je ne peux m’empêcher de partager avec vous deux brèves[*] lectures édifiantes.

La première paraît un un peu anecdotique. Après-tout qui emploierait une IA comme psychanalyste ? Mais elle a le bon goût de rappeler que les grandes entreprises, et en particulier celles de l'IA mentent plus souvent qu'à leur tour quand il s'agit de la gestion des données. Allez-donc leur confier vos secrets les plus intimes…

Elle peut en tout cas éveiller l'intérêt pour la seconde. Ici il ne s'agit plus d'IA (ouf) où d'avertissements spéculatifs, mais d'un retour arrière sur ce qui paraissait des objurgations un tantinet spéculatives à beaucoup, moi le premier. Quand on me parlait d'opposition aux technologies de surveillance, j'en voyais aussi le bon côté (une aide pour les enquêtes de police, par exemple), et les dérives paraissaient lointaines.
Mais nos devanciers des USA, vivent eux, d'ores et déjà et depuis belle lurette, moult dérives concrètes à la Big Brother. L'article en fait une recension. De quoi se réveiller avec un frisson. Et malheureusement pas un mot sur des problèmes de poisson, malgré la date.

[*] Il vaut mieux le préciser car ma source est occasionnellement plus prolixe que moi.