Je pense qu'il faut attendre la suite et voir si tout ça est bien vrai! Car ça serait vraiment incroyable?!?
Est-ce que quelqu'un connaîtrait le site de la cours où est jugé le cas, peut-être pourra-t'on y trouver plus d'informations?
Dans tous les cas j'attendrais de trouver l'information ailleurs avant de vouloir y croire!!!
En fait, il s'agirait d'une decision d'un magistrat demandant à IBM de montrer du code d'AIX et de Dynix (code proprio).
SCO accuse IBM d'avoir contribué à améliorer Linux avec ce code. (selon la fameuse license sur les droit Unix System V, IBM n'aurait pas le droit de faire ca).
Si j'ai bien compris une précision venant de grokster à ce sujet, le magistrat en question n'est pas le juge qui juge l'affaire mais un autre juge dont le boulot consiste à vérifier que toutes les cartes demandées par les joueurs sont sur la table avant de lancer la partie afin qu'un des 2 ne soient pas défavorisés.
En l'occurence, il n' a donné suite qu'à une partie de la demande: ils n'auront qu'une partie du code et qu'une partie des émails.
1°) c'est seulement un point de la procédure contradictoire qui vient d'être tranchée, tout à fait limité en réalité. par contre, les "spin-doctors", les "publicists" de SCO en profitent pour faire un maximum de bruit autour de ça. Et bien sûr les spéculateurs du Nasdq ou du Nyse ont plongé aussi sec...
Ceci étant dit, il s'agissait d'une demande de SCO pour obtenir communication de certains éléments du code (?? transmis aux développeurs du noyaux je présume ??) détenus par IBM. IBM refusait, ce qui est toujours maldroit (=soupçon de mauvaise foi) même si la réclamation de SCO était peut-être tout à fait abusoive (entendre par là : "je réclame des éléments qui n'ont rien à voir avec le schmilbblick pour provoquer un peu de confusion chez les juges chargés d'examiner le dossier. Iik-Iik, je suis un super Tort Attorney, je m'éclate dans ma vie ! Yiik-Yiik !!"). Au final, les avocats de SCO l'emportent : IBM devra communiquer ces éléments. Normal, je dirais, on règlera l'aspect abusif plus tard...
2°) Ne vous en déplaise, l'issue du procès SCO - IBM n'est absolument pas acquise (elle ne l' a jamais été et j'avais consterné un bon collègue en le lui expliquant à l'automne 2003...). Je frôle l'hérèsie BSDiste en le rappelant mais sur de nombreux aspects juridiques stricts, la GPL est *très* contestable.
Si les pièces de code que réclame SCO provienne bien d'un Unix propriètaire, la question a tranché sera simple : qui détient aujourd'hui après les transferts/cessions/rachats des années 1990 les droits sur ces parties de code particulière !! Et là encore, ça promet une jolie pagaille et un beau déballage...
Ceci dit : On note la date, on copie la dépêche et le communiqué et on le range dans le classeur "A remettre à la SEC :: Manipulation des cours par la Société SCO entre 2003 et 2005 sur le NYSE" qu'on se ressortira après le jugment de 1ère instance.
1°) La GPL pose des difficultés spécifiques (comme d'autres licenses libres ou non) par rapport au droit de la responsabilité contractuelle (en France mais également dans d'autre pays).
2°) La GPL ne proscrit pas la rémunération des détenteurs de droit de copyright sur un code source.
3°) La GPL n'est *absolument* pas auto-suffisante pour justifier les nombreuses positions prétendument juridiques de ces utilisateurs et prosélytes.
Je développe, très très vite, j'ai très sommeil :
1°) Le point 1, c'est celui qui a conduit quelques institutions sérieuses à confectionner la CeCill comme un démarquage de la GPL, retouchée pour être plus respectueuse du droit français.
On va faire rapide, la position des créateurs de la CeCill [1], les hurlements de la FSF [2]
2°) Pareil, fissa : toute propriété intellectuelle, tout "copyright" inclut le droit d'en tirer une rémunération. Ce droit d'auteur est classique, décrié le plus souvent à tort pour ne pas dire de travers. La GPL ne dissout pas le copyright (il n'est pas certain qu'une licence le puisse, le versement anticipé dans le domaine public ferait seulement disparaître l'aspect patrimonial du droit d'auteur), ce qui permet au détenteur du droit de changer la licence de son code-source s'il le souhaite.
( en France, on dissocie le droit moral du droit patrimonial. Cf. La suite apocryphe des Misérables (un cas abject de parasitisme commercial à mon goût), "Colette", les droits patrimoniaux des descendants Hugo sont échus, le droit moral était conservé dixit le Juge, sauf bourde grotesque de ma part. Qu'importe, l'exemple est peut-être mal choisi, le point de droit est avéré).
Résultat, je suis SCO, j'ai délibérément et en toute connaissance de cause placé du code-source sous mon copyright dans un noyau Linux que je distribue comme d'autres. Passent les jours, passent les mois, Linux progresse et je décide de réclamer une rémunération à tous les utilisateurs de mon code source ! Scandale !! En fait, non, je n'ai rien trouvé dans le *texte* de la GPL qui s'y oppose.
Donc, fondamentalement, la réclamation de SCO pourraît être légitime.
Sauf que le procédé de refuser de communiquer les parties de Code concernées (qui aurait été réecrites sans délai , on s'en doute(on y viendra peut-être du fait des brevets ou ...pour d'autres raisons [3]) avec assignation et menaces à gogo, c'est plutôt digne d'un sous-maffioso calabrais en grosse panne d'imagination...
3°) Un texte de licence devrait être clair, intelligible et peu susceptible d'interprétations discordantes (on nage dans le théorique, je veux bien le concéder). Ce n'est absolument pas le cas de la GPL, le nombre de point faisant débat est considérable, ce qui a conduit à un pis-aller : une FAQ d'une longueur également considérable !! [3] (constaté lors du Blitzkrieg conte la licence 1.1 de Xfree86 l'an dernier : les exaltés qui venaient incendier les dév' deXfree86 sur la mailing-list citaient bien souvent une FAQ...sans aucune valeur !).
Hèlas, la FAQ n'est aucunement intégrée à la licence, vous n'y souscrivez pas lorsque vous installez un logiciel sous GPL, celle-ci a donc une vie propre, parfaitement indépendant de la préoccupation un peut totalitaire de ces promoteurs de contrôle..total ! Ce qui renvoie à l'interrogation cruciale : qui a vraiment autorité pour interpréter la GPL ? Certainement pas la FSF mais seulement le juge national ou l'arbitre compétent (cf. un post précédent à l'occasion de la sorite de Solaris 10 [4] )
A part ces deux-trois détails, moralement et politiquement, c'est une License superbe la GPL !!
Yojik ==> do-do !!
--
Scandale, ami lecteur, ce commentaire comprend un détournement de droit d'auteur non signalé typographiquement à l'endroit d'un grand poête français du début du XXème siècle, sauras-tu retrouver cet emprunt inexcusable ??
bon 1°) est de la bidouille juridique de responsabilité. Je n'y connais rien.
2) la point qui empèche cela est que dans la GPL tu t'engages à ne pas modifier cette licence retro activement. Et franchement, je n'ose pas imaginer qu'une licence accépter un temps puisse être changé retro-activement . Genre je créer un freeware, et 2 ans plus tard je réclame des sous ?
3) ça je veux bien te croire. Le problème fondamental est qu'il n'est pas clair ce que définie la viralité du code GPL (la fameux limite par link qui n'est pas dans la GPL mais dans la FAQ). m'enfin, il suffit de voir la version courte de la CC qui est très clair puis la version pour "juriste" pour comprendre que le problème vient des juristes qui se foute pas mal de l'idée général autour et reste coller au texte (alors que des explication sur les implication de la GPL ou de la CC, il y en a partout).
1) J'ai l'impression que les personnes qui ressorte le coup de la responsabilité de l'auteur n'ont jamais vraiment lu la GPL...
Mais qui avait lancé ce FUD en premier d'ailleurs ? Ca serait interressant de le retrouver.
11. BECAUSE THE PROGRAM IS LICENSED FREE OF CHARGE, THERE IS NO WARRANTY FOR THE PROGRAM, TO THE EXTENT PERMITTED BY APPLICABLE LAW.[...]
Ou est le problème ?
2) Résultat, je suis SCO, j'ai délibérément et en toute connaissance de cause placé du code-source sous mon copyright dans un noyau Linux que je distribue comme d'autres. Passent les jours, passent les mois, Linux progresse et je décide de réclamer une rémunération à tous les utilisateurs de mon code source ! Scandale !! En fait, non, je n'ai rien trouvé dans le *texte* de la GPL qui s'y oppose.
Impossible. La rémunération ne pourrait se faire qu'à l'aquisition de la license, donc une fois que tu l'a eu gratuitement on ne peut pas te la faire payer.
3) Un texte de licence devrait être clair, intelligible et peu susceptible d'interprétations discordantes
Sur le peu susceptible d'interprétations discordantes je suis d'accord, par contre je ne connais pas beaucoup de texte de licence clair et intelligible, et ce n'est en fait pas necessaire, il suffit d'un bon verroullage vis à vis du droit.
Concernant les interprétations, la GPL n'y est sujette que sur des points de détails extremement pointus.
« par contre, les "spin-doctors", les "publicists" de SCO en profitent pour faire un maximum de bruit autour de ça. Et bien sûr les spéculateurs du Nasdq ou du Nyse ont plongé aussi sec... »
Hé oh, il faut garder les pieds sur Terre, là, il n'y a personne qui plonge aussi sec... Il y a juste eu récemment une augmentation de 67 cents pour arriver à $4,2... Histoire de recadrer un peu le contexte, l'action SCOX est partie de $500 en 2000 pour tomber en chute libre à $3, après un petit pic à $20 fin 2003. Alors bon $4,2... Les spéculateurs ne se sont donc pas du tout laissés abusé par cette mini victoire juridique.
Par contre, il me semble que toi tu t'es laissé un peu abusé par le ton de la dépèche qui semble faire grand cas d'un des derniers soubresauts de SCO :^)
Sincérement, j'ai la désagréable impression que tu veux me faire passer pour une truffe (l'autre option, c'est que tu ne maîtrises encore plus mal que moi les phénomènes boursiers...).
Alors je réitére :
"Et bien sûr les spéculateurs du Nasdq ou du Nyse ont plongé aussi sec... ".
Oui, j'ai parfaitement raison de dire cela. La dépèche de Reuters indiquait d'ailleurs bien :
"Shares in Lindon, Utah-based SCO were up 67 cents, or 19 percent, at $4.20 in early afternoon".
traduction : "...les actions progressaient de 67 cents, ou 19 pour cent...".
Et bien figures-toi que 19 pour cent de progression sur un marché réglementé, c'est considérable. Bien sûr tu es un grand manitou des marchés boursiers et tu vas m'affirmer le contraire...
...alors ça tombe bien, Grand Manitou, tu sais donc lire un histogramme boursier (je préfére en format montagne, jamaistrouvé le format "candélabre" très lisible perso) ; et tu vas donc jeter un oeil ici :
Le pic spéculatif (explosion en valeur et en volume) est parfaitement visible que tu réalises un historique ("Time frame") sur 6, 3, 2, 1 mois ou 10 jours...
Il est un peu écrasé sur la vue bimestrielle, et encore...
Alors qu'est-ce donc ton souci ? j'ai osé dire du mal de la GPL ? je suis pas un inconditionnel de la FSF ? je t'ai refusé une priorité récemment ? je t'ai mis mino sévère à une AG et le jour de ta vengeance est enfin arrivé ??
Blagueur va...
Yojik
--
qui connaît la musique et qui va se faire courageusement moinsser dans les jours à venir quand ces journaux seront "passés de mode"....
Rassure toi, je n'ai rien contre toi, et surtout pas parce que tu aurais critiqué la GPL (au contraire je prendrais ça comme une bouchée d'air pur sur linuxfr)... Il y a juste que tu traitais de gogos les spéculateurs qui ont investi dans SCO, et vu que ça me semblait assez abusif, ben oui je t'ai donc un peu fait passé pour une truffe... mais bon il ne faut pas s'emporter pour autant, ma remarque se voulait plutôt légère et en aucun cas offensante.
Et d'ailleurs moi aussi je réitère, le pic que vient de connaitre SCO n'est pas considérable du tout. Il est sans doute pas courant, mais il suffit de voir justement le graphique que tu donnes pour voir que il y a eu pas mal de pics et d'échanges du même ordre dans les 6 derniers mois. Si SCO avait vraiment gagné son procès et que tous les utilisateurs de Linux se seraient retrouvés obligé de leur acheter une licence, là on aurait vraiment assisté à quelque chose de considérable, et pas un pet de lapin comme il vient de se produire. C'est donc un assez mauvais exemple pour traiter les boursicoteurs d'imbéciles...
J'ai pas trouvé d'exemple d'actions qui prenaient 20% du jour au lendemain, mais j'en ai un avec un gain de... 100% (et 225% sur 4 jours). Il s'agit de PERFECT TECHNOLOGIES BSA, à partir du 5 janvier, date à laquelle l'action vallait... 0,04! (aucune idée de ce que ça peut bien être, j'ai pas beaucoup cherché). Alors oui, sur un exemple aussi extrême, c'est completement bidon vu que l'action rase le plancher... et c'est un peu ce que j'essaye de faire comprendre à propos de SCO...
d'après les brèves informations. Le Juge a demandé à IBM de révéler plus de code source sur ses OS c'est-à-dire (AIX et Dynix) pour qu'il puisse statuer.
Bref, pour véritablement savoir si IBM a mis du code appartenant à SCO dans linux il a besoin de faire une comparaison basique...
Donc, SCO a gagné une bataille. La guerre est encore longue.
Je trolle dès quand ça parle business, sécurité et sciences sociales
Il y a un truc qui m'échappe: SCO accuse Linux de contenir du code lui appartenant et se heurte à IBM et à d'autres d'où procés.
Mais Linux étant libre et donc le code source étant disponible, SCO devrait pouvoir facilement dire où, dans le noyau, se trouve le code incriminé, pas besoin d'une décision de justice pour obtenir le source de Linux, et surtout, inutile de demander à voir le code des OS IBM pour comparer le code venant de SCO et celui venant de LInux.
J'ai de plus en plus de mal à suivre.
La question est à mon avis plus fourbe que celle là.
TSG à tenté de montrer que son code était dans Linux : coup foireux qui est tombé de lui même lorsque les gens ont vu les soit disantes preuves.
Du même coup, TSG contre attaque en voulant prouver qu'IBM à mis du code sous License UNIX( qui est dans ses Codes (AIX / ...)) pour faire la comparaison avec le code source de Linux. Elle tente ainsi de prouver que certe du code de TSG n'est pas dans Linux, mais du code UNIX issu d'IBM est dans le noyau Linux ... d'où problème car ce code est sensé être sous License TSG (d'après eux :). Ils espèrent ainsi (je suppose) pouvoir démontrer qu'ils sont dans leur bon droit. (Mais Novell est aussi dans le coin :).
Ben c'est ce que je me disais aussi, mais c'est tout de même étonnant (ou je n'ai absolument rien compris, ce qui est tout à fait possible).
Est-ce que la license unix d'origine est restrictive au point que du code développé par IBM pour AIX (dérivé d'unix donc sous licence qui va avec, dans AIX) ne puisse être relicencier par IBM lui même pour l'utiliser dans un autre logiciel sous license différente?
Le Juge a demandé à IBM de révéler plus de code source sur ses OS c'est-à-dire (AIX et Dynix) pour qu'il puisse statuer.
Bizarre, Aix étant par définition même un dérivé d'Unix, on sait déjà à l'avance qu'il y a du "code de chez SCO" dans Aix. Pas besoin d'aller chercher le code source pour ça.
Le Juge a demandé à IBM de révéler plus de code source sur ses OS c'est-à-dire (AIX et Dynix) pour qu'il puisse statuer.
C'est assez surprenant comme mode d'enquête : On demande à la défense de fournir des éléments qui peuvent se retourner contre elle. Je pensais que c'était à l'accusation de se débrouiller pour présenter des preuves.
Bref, pour véritablement savoir si IBM a mis du code appartenant à SCO dans linux il a besoin de faire une comparaison basique...
La encore je m'interroge : Le code de Linux est librement accessible de même que l'historiques des archivages (dont ceux faits par des developpeurs de chez IBM). SCO n'a qu'à fournir _son_ code source et comparer avec les archivages des mecs d'IBM. Je ne vois pas pourquoi on vient demander à IBM de livrer son code.
J'vais sûrement dire ma grosse clownerie du WE, mais une des différences entre le droit outre atlantique et le notre n'est-elle pas qu'ici on est présumé inocent jusqu'à preuve du contraire, alors que de l'autre côté on est coupable d'office jusqu'à preuve du contraire ?
Ce sont deux approches différentes du même problème, il me semble, diamétralement opposées, certes, mais théoriquement menant au même point.
Enfin, si je suis hors propos, y'en aura bien un pour confirmer/infirmer mes dires....
Sur ces bonnes paroles, bon WE à tous...
>J'vais sûrement dire ma grosse clownerie du WE, mais une des différences entre
> le droit outre atlantique et le notre n'est-elle pas qu'ici on est présumé inocent
> jusqu'à preuve du contraire, alors que de l'autre côté on est coupable d'office
> jusqu'à preuve du contraire ?
Arff, arff, arff, non le Patriot Act est certes un texte effroyable, il n'a pas renversé le principe fondamental en Démocratie qu'est la présomption d'innocence. *En* *Droit* s'entend, parce qu'il y aurait peut-être à redire sur l'application musclée des dernière slégislations Etats-Uninienes.
Non la vraie différence, c'est qu'en tradition romano-germanique (France, Alleamgne, Espagne, Italie et d'autres), le Juge joue le plus souvent un rôle actif. Il conduit les débats, soulève les questions, diligente les moyens utiles à la manifestation de la vérité (enquêtes, expertises, injonctions, visites sur les lieux). Par une référence de sinistre mémoire, on parle de "procédure inquisitoire".
Dans les pays de common-law, c'est-à-dire la plupart des pays anglophones (...et le Japon depuis 1945 me semble-t-il ?!), le rôle du juge est minuscule pendant le débat contradictoire. Les parties s'échangent des invectives, produisent tous les documents utiles, bref, ce sontr eux qui mènent un peu la barque du procès, le juge ayant au cours de cette phase un rôle de modérateur . Il conserve son entier pouvoir de décision mais il n'anime pas l'audience.
Sauf néfastre influence Hollywoodienne, il me semble que les parties sont autorisés à produire des éléments de preuves obtenus de façon extérieure aux services de police (le famuex P.E., le /private eye/ : le privé !!) (techniquement, c'est aussi admissible en France mais c'est plus rare et moins favorablement considéré).
On parle de procédure ...heu.. j'ai un trou là ?? (-contadictoire ?? elles le sont forcément toutes les deux ??! gratt-gratt !! Eureka !! Accusatoire !) on parle alors de procédure accusatoire !
Deux liens pour nuancer ce distingo brossé à gros traits :
# Incroyable mais...
Posté par Jean-Christophe Berthon (site web personnel) . Évalué à 1.
Est-ce que quelqu'un connaîtrait le site de la cours où est jugé le cas, peut-être pourra-t'on y trouver plus d'informations?
Dans tous les cas j'attendrais de trouver l'information ailleurs avant de vouloir y croire!!!
Jean-Christophe
# plus d'infos sur /.
Posté par TemPi . Évalué à 2.
[^] # Re: plus d'infos sur /.
Posté par TemPi . Évalué à 2.
SCO accuse IBM d'avoir contribué à améliorer Linux avec ce code. (selon la fameuse license sur les droit Unix System V, IBM n'aurait pas le droit de faire ca).
[^] # Re: plus d'infos sur /.
Posté par imr . Évalué à 1.
En l'occurence, il n' a donné suite qu'à une partie de la demande: ils n'auront qu'une partie du code et qu'une partie des émails.
[^] # Re: plus d'infos sur /.
Posté par imr . Évalué à 1.
# on se calme et on respire un grand coup...
Posté par yojik77 . Évalué à 8.
Ceci étant dit, il s'agissait d'une demande de SCO pour obtenir communication de certains éléments du code (?? transmis aux développeurs du noyaux je présume ??) détenus par IBM. IBM refusait, ce qui est toujours maldroit (=soupçon de mauvaise foi) même si la réclamation de SCO était peut-être tout à fait abusoive (entendre par là : "je réclame des éléments qui n'ont rien à voir avec le schmilbblick pour provoquer un peu de confusion chez les juges chargés d'examiner le dossier. Iik-Iik, je suis un super Tort Attorney, je m'éclate dans ma vie ! Yiik-Yiik !!"). Au final, les avocats de SCO l'emportent : IBM devra communiquer ces éléments. Normal, je dirais, on règlera l'aspect abusif plus tard...
2°) Ne vous en déplaise, l'issue du procès SCO - IBM n'est absolument pas acquise (elle ne l' a jamais été et j'avais consterné un bon collègue en le lui expliquant à l'automne 2003...). Je frôle l'hérèsie BSDiste en le rappelant mais sur de nombreux aspects juridiques stricts, la GPL est *très* contestable.
Si les pièces de code que réclame SCO provienne bien d'un Unix propriètaire, la question a tranché sera simple : qui détient aujourd'hui après les transferts/cessions/rachats des années 1990 les droits sur ces parties de code particulière !! Et là encore, ça promet une jolie pagaille et un beau déballage...
Ceci dit : On note la date, on copie la dépêche et le communiqué et on le range dans le classeur "A remettre à la SEC :: Manipulation des cours par la Société SCO entre 2003 et 2005 sur le NYSE" qu'on se ressortira après le jugment de 1ère instance.
Yoj'
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . Évalué à -2.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par tramoster2 . Évalué à 0.
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par Guillaume Knispel . Évalué à 3.
Précise
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par plagiats . Évalué à 2.
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par yojik77 . Évalué à 8.
1°) La GPL pose des difficultés spécifiques (comme d'autres licenses libres ou non) par rapport au droit de la responsabilité contractuelle (en France mais également dans d'autre pays).
2°) La GPL ne proscrit pas la rémunération des détenteurs de droit de copyright sur un code source.
3°) La GPL n'est *absolument* pas auto-suffisante pour justifier les nombreuses positions prétendument juridiques de ces utilisateurs et prosélytes.
Je développe, très très vite, j'ai très sommeil :
1°) Le point 1, c'est celui qui a conduit quelques institutions sérieuses à confectionner la CeCill comme un démarquage de la GPL, retouchée pour être plus respectueuse du droit français.
On va faire rapide, la position des créateurs de la CeCill [1], les hurlements de la FSF [2]
[1] http://www.inria.fr/presse/pre119.fr.html(...)
[2] http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39160467,00.(...)
2°) Pareil, fissa : toute propriété intellectuelle, tout "copyright" inclut le droit d'en tirer une rémunération. Ce droit d'auteur est classique, décrié le plus souvent à tort pour ne pas dire de travers. La GPL ne dissout pas le copyright (il n'est pas certain qu'une licence le puisse, le versement anticipé dans le domaine public ferait seulement disparaître l'aspect patrimonial du droit d'auteur), ce qui permet au détenteur du droit de changer la licence de son code-source s'il le souhaite.
( en France, on dissocie le droit moral du droit patrimonial. Cf. La suite apocryphe des Misérables (un cas abject de parasitisme commercial à mon goût), "Colette", les droits patrimoniaux des descendants Hugo sont échus, le droit moral était conservé dixit le Juge, sauf bourde grotesque de ma part. Qu'importe, l'exemple est peut-être mal choisi, le point de droit est avéré).
Résultat, je suis SCO, j'ai délibérément et en toute connaissance de cause placé du code-source sous mon copyright dans un noyau Linux que je distribue comme d'autres. Passent les jours, passent les mois, Linux progresse et je décide de réclamer une rémunération à tous les utilisateurs de mon code source ! Scandale !! En fait, non, je n'ai rien trouvé dans le *texte* de la GPL qui s'y oppose.
Donc, fondamentalement, la réclamation de SCO pourraît être légitime.
Sauf que le procédé de refuser de communiquer les parties de Code concernées (qui aurait été réecrites sans délai , on s'en doute(on y viendra peut-être du fait des brevets ou ...pour d'autres raisons [3]) avec assignation et menaces à gogo, c'est plutôt digne d'un sous-maffioso calabrais en grosse panne d'imagination...
[3] http://linuxfr.org/2005/01/19/18113.html(...)
3°) Un texte de licence devrait être clair, intelligible et peu susceptible d'interprétations discordantes (on nage dans le théorique, je veux bien le concéder). Ce n'est absolument pas le cas de la GPL, le nombre de point faisant débat est considérable, ce qui a conduit à un pis-aller : une FAQ d'une longueur également considérable !! [3] (constaté lors du Blitzkrieg conte la licence 1.1 de Xfree86 l'an dernier : les exaltés qui venaient incendier les dév' deXfree86 sur la mailing-list citaient bien souvent une FAQ...sans aucune valeur !).
Hèlas, la FAQ n'est aucunement intégrée à la licence, vous n'y souscrivez pas lorsque vous installez un logiciel sous GPL, celle-ci a donc une vie propre, parfaitement indépendant de la préoccupation un peut totalitaire de ces promoteurs de contrôle..total ! Ce qui renvoie à l'interrogation cruciale : qui a vraiment autorité pour interpréter la GPL ? Certainement pas la FSF mais seulement le juge national ou l'arbitre compétent (cf. un post précédent à l'occasion de la sorite de Solaris 10 [4] )
[4] http://www.fsf.org/licenses/gpl-faq.html(...)
[5] http://linuxfr.org/comments/474160.html#474160(...)
***
***
A part ces deux-trois détails, moralement et politiquement, c'est une License superbe la GPL !!
Yojik ==> do-do !!
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Scandale, ami lecteur, ce commentaire comprend un détournement de droit d'auteur non signalé typographiquement à l'endroit d'un grand poête français du début du XXème siècle, sauras-tu retrouver cet emprunt inexcusable ??
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . Évalué à 3.
2) la point qui empèche cela est que dans la GPL tu t'engages à ne pas modifier cette licence retro activement. Et franchement, je n'ose pas imaginer qu'une licence accépter un temps puisse être changé retro-activement . Genre je créer un freeware, et 2 ans plus tard je réclame des sous ?
3) ça je veux bien te croire. Le problème fondamental est qu'il n'est pas clair ce que définie la viralité du code GPL (la fameux limite par link qui n'est pas dans la GPL mais dans la FAQ). m'enfin, il suffit de voir la version courte de la CC qui est très clair puis la version pour "juriste" pour comprendre que le problème vient des juristes qui se foute pas mal de l'idée général autour et reste coller au texte (alors que des explication sur les implication de la GPL ou de la CC, il y en a partout).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par Guillaume Knispel . Évalué à 2.
Mais qui avait lancé ce FUD en premier d'ailleurs ? Ca serait interressant de le retrouver.
11. BECAUSE THE PROGRAM IS LICENSED FREE OF CHARGE, THERE IS NO WARRANTY FOR THE PROGRAM, TO THE EXTENT PERMITTED BY APPLICABLE LAW.[...]
Ou est le problème ?
2)
Résultat, je suis SCO, j'ai délibérément et en toute connaissance de cause placé du code-source sous mon copyright dans un noyau Linux que je distribue comme d'autres. Passent les jours, passent les mois, Linux progresse et je décide de réclamer une rémunération à tous les utilisateurs de mon code source ! Scandale !! En fait, non, je n'ai rien trouvé dans le *texte* de la GPL qui s'y oppose.
Impossible. La rémunération ne pourrait se faire qu'à l'aquisition de la license, donc une fois que tu l'a eu gratuitement on ne peut pas te la faire payer.
3) Un texte de licence devrait être clair, intelligible et peu susceptible d'interprétations discordantes
Sur le peu susceptible d'interprétations discordantes je suis d'accord, par contre je ne connais pas beaucoup de texte de licence clair et intelligible, et ce n'est en fait pas necessaire, il suffit d'un bon verroullage vis à vis du droit.
Concernant les interprétations, la GPL n'y est sujette que sur des points de détails extremement pointus.
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par calandoa . Évalué à 2.
Hé oh, il faut garder les pieds sur Terre, là, il n'y a personne qui plonge aussi sec... Il y a juste eu récemment une augmentation de 67 cents pour arriver à $4,2... Histoire de recadrer un peu le contexte, l'action SCOX est partie de $500 en 2000 pour tomber en chute libre à $3, après un petit pic à $20 fin 2003. Alors bon $4,2... Les spéculateurs ne se sont donc pas du tout laissés abusé par cette mini victoire juridique.
Par contre, il me semble que toi tu t'es laissé un peu abusé par le ton de la dépèche qui semble faire grand cas d'un des derniers soubresauts de SCO :^)
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par yojik77 . Évalué à 4.
Alors je réitére :
"Et bien sûr les spéculateurs du Nasdq ou du Nyse ont plongé aussi sec... ".
Oui, j'ai parfaitement raison de dire cela. La dépèche de Reuters indiquait d'ailleurs bien :
"Shares in Lindon, Utah-based SCO were up 67 cents, or 19 percent, at $4.20 in early afternoon".
traduction : "...les actions progressaient de 67 cents, ou 19 pour cent...".
Et bien figures-toi que 19 pour cent de progression sur un marché réglementé, c'est considérable. Bien sûr tu es un grand manitou des marchés boursiers et tu vas m'affirmer le contraire...
...alors ça tombe bien, Grand Manitou, tu sais donc lire un histogramme boursier (je préfére en format montagne, jamaistrouvé le format "candélabre" très lisible perso) ; et tu vas donc jeter un oeil ici :
http://www.investor.reuters.com/Charts.aspx?ticker=SCOX.O&targe(...)
Le pic spéculatif (explosion en valeur et en volume) est parfaitement visible que tu réalises un historique ("Time frame") sur 6, 3, 2, 1 mois ou 10 jours...
Il est un peu écrasé sur la vue bimestrielle, et encore...
Alors qu'est-ce donc ton souci ? j'ai osé dire du mal de la GPL ? je suis pas un inconditionnel de la FSF ? je t'ai refusé une priorité récemment ? je t'ai mis mino sévère à une AG et le jour de ta vengeance est enfin arrivé ??
Blagueur va...
Yojik
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qui connaît la musique et qui va se faire courageusement moinsser dans les jours à venir quand ces journaux seront "passés de mode"....
[^] # Re: on se calme et on respire un grand coup...
Posté par calandoa . Évalué à 2.
Et d'ailleurs moi aussi je réitère, le pic que vient de connaitre SCO n'est pas considérable du tout. Il est sans doute pas courant, mais il suffit de voir justement le graphique que tu donnes pour voir que il y a eu pas mal de pics et d'échanges du même ordre dans les 6 derniers mois. Si SCO avait vraiment gagné son procès et que tous les utilisateurs de Linux se seraient retrouvés obligé de leur acheter une licence, là on aurait vraiment assisté à quelque chose de considérable, et pas un pet de lapin comme il vient de se produire. C'est donc un assez mauvais exemple pour traiter les boursicoteurs d'imbéciles...
J'ai pas trouvé d'exemple d'actions qui prenaient 20% du jour au lendemain, mais j'en ai un avec un gain de... 100% (et 225% sur 4 jours). Il s'agit de PERFECT TECHNOLOGIES BSA, à partir du 5 janvier, date à laquelle l'action vallait... 0,04! (aucune idée de ce que ça peut bien être, j'ai pas beaucoup cherché). Alors oui, sur un exemple aussi extrême, c'est completement bidon vu que l'action rase le plancher... et c'est un peu ce que j'essaye de faire comprendre à propos de SCO...
# Hmm
Posté par passant·e . Évalué à 2.
Bref, pour véritablement savoir si IBM a mis du code appartenant à SCO dans linux il a besoin de faire une comparaison basique...
Donc, SCO a gagné une bataille. La guerre est encore longue.
Je trolle dès quand ça parle business, sécurité et sciences sociales
[^] # Re: Hmm
Posté par Rin Jin (site web personnel) . Évalué à 3.
Mais Linux étant libre et donc le code source étant disponible, SCO devrait pouvoir facilement dire où, dans le noyau, se trouve le code incriminé, pas besoin d'une décision de justice pour obtenir le source de Linux, et surtout, inutile de demander à voir le code des OS IBM pour comparer le code venant de SCO et celui venant de LInux.
J'ai de plus en plus de mal à suivre.
[^] # Re: Hmm
Posté par Caeies . Évalué à 5.
TSG à tenté de montrer que son code était dans Linux : coup foireux qui est tombé de lui même lorsque les gens ont vu les soit disantes preuves.
Du même coup, TSG contre attaque en voulant prouver qu'IBM à mis du code sous License UNIX( qui est dans ses Codes (AIX / ...)) pour faire la comparaison avec le code source de Linux. Elle tente ainsi de prouver que certe du code de TSG n'est pas dans Linux, mais du code UNIX issu d'IBM est dans le noyau Linux ... d'où problème car ce code est sensé être sous License TSG (d'après eux :). Ils espèrent ainsi (je suppose) pouvoir démontrer qu'ils sont dans leur bon droit. (Mais Novell est aussi dans le coin :).
Mes 2¤ d'analyse sur le tas.
Caeies
[^] # Re: Hmm
Posté par Ozz . Évalué à 1.
Est-ce que la license unix d'origine est restrictive au point que du code développé par IBM pour AIX (dérivé d'unix donc sous licence qui va avec, dans AIX) ne puisse être relicencier par IBM lui même pour l'utiliser dans un autre logiciel sous license différente?
[^] # Re: Hmm
Posté par Jllc . Évalué à 2.
Bizarre, Aix étant par définition même un dérivé d'Unix, on sait déjà à l'avance qu'il y a du "code de chez SCO" dans Aix. Pas besoin d'aller chercher le code source pour ça.
[^] # Re: Hmm
Posté par Croconux . Évalué à 1.
C'est assez surprenant comme mode d'enquête : On demande à la défense de fournir des éléments qui peuvent se retourner contre elle. Je pensais que c'était à l'accusation de se débrouiller pour présenter des preuves.
Bref, pour véritablement savoir si IBM a mis du code appartenant à SCO dans linux il a besoin de faire une comparaison basique...
La encore je m'interroge : Le code de Linux est librement accessible de même que l'historiques des archivages (dont ceux faits par des developpeurs de chez IBM). SCO n'a qu'à fournir _son_ code source et comparer avec les archivages des mecs d'IBM. Je ne vois pas pourquoi on vient demander à IBM de livrer son code.
[^] # Re: Hmm
Posté par Gyro Gearllose . Évalué à 0.
Ce sont deux approches différentes du même problème, il me semble, diamétralement opposées, certes, mais théoriquement menant au même point.
Enfin, si je suis hors propos, y'en aura bien un pour confirmer/infirmer mes dires....
Sur ces bonnes paroles, bon WE à tous...
[^] # Re: Hmm
Posté par yojik77 . Évalué à 4.
> le droit outre atlantique et le notre n'est-elle pas qu'ici on est présumé inocent
> jusqu'à preuve du contraire, alors que de l'autre côté on est coupable d'office
> jusqu'à preuve du contraire ?
Arff, arff, arff, non le Patriot Act est certes un texte effroyable, il n'a pas renversé le principe fondamental en Démocratie qu'est la présomption d'innocence. *En* *Droit* s'entend, parce qu'il y aurait peut-être à redire sur l'application musclée des dernière slégislations Etats-Uninienes.
Non la vraie différence, c'est qu'en tradition romano-germanique (France, Alleamgne, Espagne, Italie et d'autres), le Juge joue le plus souvent un rôle actif. Il conduit les débats, soulève les questions, diligente les moyens utiles à la manifestation de la vérité (enquêtes, expertises, injonctions, visites sur les lieux). Par une référence de sinistre mémoire, on parle de "procédure inquisitoire".
Dans les pays de common-law, c'est-à-dire la plupart des pays anglophones (...et le Japon depuis 1945 me semble-t-il ?!), le rôle du juge est minuscule pendant le débat contradictoire. Les parties s'échangent des invectives, produisent tous les documents utiles, bref, ce sontr eux qui mènent un peu la barque du procès, le juge ayant au cours de cette phase un rôle de modérateur . Il conserve son entier pouvoir de décision mais il n'anime pas l'audience.
Sauf néfastre influence Hollywoodienne, il me semble que les parties sont autorisés à produire des éléments de preuves obtenus de façon extérieure aux services de police (le famuex P.E., le /private eye/ : le privé !!) (techniquement, c'est aussi admissible en France mais c'est plus rare et moins favorablement considéré).
On parle de procédure ...heu.. j'ai un trou là ?? (-contadictoire ?? elles le sont forcément toutes les deux ??! gratt-gratt !! Eureka !! Accusatoire !) on parle alors de procédure accusatoire !
Deux liens pour nuancer ce distingo brossé à gros traits :
http://www.crdp-montpellier.fr/ressources/99/99jf_a3_27.html(...)
http://www.ladocfrancaise.gouv.fr/revues/ra/edito/editorial300.shtm(...)
Yojik
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