Il faut apparemment 100.000 signatures pour faire valider une telle pétition. Cela revient donc aux environs de 0,2 à 0,1% de la population. J'ai des doutes sur le fait qu'autant de gens en France pourraient se préoccuper d'ébranler le joug de mirosoft. Mais l'expérience est intéressante.
Remarquons au passage que la signature de la pétition se faisant potentiellement via impots.gouv.fr, cela semble réduire les possibilités de signature à une par foyer fiscal.
Au passage, voici le lien directe vers la page de la pétition sur le site du sénat.
Ce n'est pas limité a un signature par foyer fiscal, mais il faut s'identifier par Franceconnect. impots.gouv.fr est l'une des solutions mais ce n'est pas la seule. Le plus simple est sans doute avec son compte Ameli (encore faut il avoir compris que c'est ce qui se cache derrière l'etiquette assurance maladie).
Ceci étant, et vu le peu de publicité faite autour de cette pétition, je doute effectivement que l'on puisse atteindre la cible
C'est plus que nécessaire justement. Notamment pour savoir pourquoi Microsoft avait été retenu dans des conditions plus qu'à la limite de la légalité (pas d'appel d'offre il me semble).
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
Il ne faudrait pas beaucoup pousser les mauvaises langues pour qu’elles prétendent que les gouvernements ne sont en général pas si prompts à écouter des instances de contrôle — en particulier en matière de numérique — et que ce revirement pourrait surtout être lié à la crainte de l’ouverture d’une enquête sérieuse qui pourrait — rêvant un peu — tirer les fils de l’écheveau jusqu’aux pots de vins des contrats de l’armée et les dessous de table de ceux avec l’éducation nationale.
Les statistiques de consultations du site sont établis grâce au logiciel libre et auto-hébergé Matomo (anciennement appelé « Piwik »). L'instance de Matomo utilisée pour le site petitions.senat.fr est hébergé par la société Ikoula sur des serveurs situés en France.
Vous pouvez vous opposer au suivi de votre navigation sur ce site web. Cela protégera votre vie privée, mais empêchera également le propriétaire d'apprendre de vos actions et de créer une meilleure expérience pour vous et les autres utilisateurs.
Déjà que participer à une pétition en ligne c'est discutable pour le caractère secret du vote; mais quand en plus on arrose une société privée au passage…
À moins qu'on puisse être rassurés car un logiciel libre est employé et que les serveurs sont en France ?
aussi sur le salon xmpp:linuxfr@chat.jabberfr.org?join
# 0,2%
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 3.
Il faut apparemment 100.000 signatures pour faire valider une telle pétition. Cela revient donc aux environs de 0,2 à 0,1% de la population. J'ai des doutes sur le fait qu'autant de gens en France pourraient se préoccuper d'ébranler le joug de mirosoft. Mais l'expérience est intéressante.
Remarquons au passage que la signature de la pétition se faisant potentiellement via impots.gouv.fr, cela semble réduire les possibilités de signature à une par foyer fiscal.
Au passage, voici le lien directe vers la page de la pétition sur le site du sénat.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: 0,2%
Posté par 42nodid . Évalué à 2.
Ce n'est pas limité a un signature par foyer fiscal, mais il faut s'identifier par Franceconnect. impots.gouv.fr est l'une des solutions mais ce n'est pas la seule. Le plus simple est sans doute avec son compte Ameli (encore faut il avoir compris que c'est ce qui se cache derrière l'etiquette assurance maladie).
Ceci étant, et vu le peu de publicité faite autour de cette pétition, je doute effectivement que l'on puisse atteindre la cible
# peut-être plus besoin de cette commission d'enquête
Posté par mahikeulbody . Évalué à 3.
https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/ecoutant-la-cnil-cedric-o-ne-veut-finalement-plus-confier-nos-donnees-de-sante-a-microsoft-n155493.html
[^] # Re: peut-être plus besoin de cette commission d'enquête
Posté par Ysabeau 🧶 (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 5.
C'est plus que nécessaire justement. Notamment pour savoir pourquoi Microsoft avait été retenu dans des conditions plus qu'à la limite de la légalité (pas d'appel d'offre il me semble).
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
[^] # Re: peut-être plus besoin de cette commission d'enquête
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 3. Dernière modification le 09 octobre 2020 à 21:05.
Il ne faudrait pas beaucoup pousser les mauvaises langues pour qu’elles prétendent que les gouvernements ne sont en général pas si prompts à écouter des instances de contrôle — en particulier en matière de numérique — et que ce revirement pourrait surtout être lié à la crainte de l’ouverture d’une enquête sérieuse qui pourrait — rêvant un peu — tirer les fils de l’écheveau jusqu’aux pots de vins des contrats de l’armée et les dessous de table de ceux avec l’éducation nationale.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Logiciel libre et vie privée
Posté par anubis . Évalué à 1.
Au passage il est intéressant d'aller consulter https://petitions.senat.fr/pages/cookies .
Déjà que participer à une pétition en ligne c'est discutable pour le caractère secret du vote; mais quand en plus on arrose une société privée au passage…
À moins qu'on puisse être rassurés car un logiciel libre est employé et que les serveurs sont en France ?
aussi sur le salon xmpp:linuxfr@chat.jabberfr.org?join
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