À ce jour DimDim était une des solutions permettant de réaliser des présentations, formations, réunions à distance sur une base de logiciels libres. Les alternatives propriétaires limitent pour la plupart l'utilisation d'OS libres, le plus souvent en ne proposant pas leur utilisation pour les postes « maîtres » (par exemple Adobe Connect).
WebHuddle reste une solution totalement libre, mais qui n'évolue plus depuis plusieurs années. BigBlueButton est une autre alternative libre, mais plus orientée sur le monde universitaire.
Aller plus loin
- L'annonce officielle (65 clics)
- La FAQ sur DimDim (27 clics)
- DimDim sur Sourceforge (311 clics)
- Webhuddle (71 clics)
- BigBlueButton (75 clics)
# Open Source ...
Posté par Mr Kapouik (site web personnel) . Évalué à 5.
En gros j'en été arrivé à : sans le support officiel on peut se gratter pour l'utiliser comme on veut car pas de doc.
J'aurais préféré qu'un rachat améliore ce côté là car il semble mériter à être connu plutôt que de repousser les admins qui veulent le mettre en place.
[^] # Re: Open Source ...
Posté par feth . Évalué à 6.
[^] # Re: Open Source ...
Posté par Sébastien Wilmet . Évalué à 4.
http://www.framablog.org/index.php/post/2009/11/12/fauxpen-s(...)
Un autre exemple avec Paint.NET qui était aussi libre et est devenu propriétaire :
http://www.framablog.org/index.php/post/2009/12/20/paint-net(...)
# L'open source n'a pas besoin de Dimdim
Posté par Julien04 (site web personnel) . Évalué à 4.
[http://code.google.com/p/openmeetings/]
Conférence vidéo, tableau blanc.... Testé et approuvé.
[^] # Re: L'open source n'a pas besoin de Dimdim
Posté par Alexandre COLLIGNON (site web personnel) . Évalué à 3.
Alexandre COLLIGNON
[^] # Re: L'open source n'a pas besoin de Dimdim
Posté par taupette . Évalué à 0.
# y aura t il un fork ?
Posté par taupette . Évalué à 1.
# GPL etc
Posté par arnaudus . Évalué à 3.
Avoir un soft disponible sous GPL n'implique pas que son développement soit communautaire, il implique qu'on ait accès aux sources et qu'on ait le droit de le forker. En fait, je n'arrive pas à imaginer un cas où une entreprise libère un logiciel et que le développement devienne communautaire. À mon avis, on ne peut avoir un développement communautaire que si ce modèle existe depuis le début du développement. Et je pense qu'on ne puisse pas exiger d'une entreprise qu'elle adopte un développement communautaire. Une entreprise peut très bien publier le code, fournir une intreface pour les rapports de bugs, et garder le développement en interne. Le logiciel n'en est pas moins libre, il est juste développé de manière centralisée. D'ailleurs, pas besoin d'entreprises, il y a de nombreux logiciels libres qui sont développés de cette manière.
Ce qui est plus inquiétant à mon avis, ce n'est pas le développement centralisé, c'est le changement de licence. Le logiciel libre est censé apporter de nombreux avantages, parmi lesquels la pérénnité du modèle de développement. Imaginons un appel d'offre, la licence libre est évidemment mise en avant; si d'un coup le logiciel se ferme, un organisme peut rester bloqué sur une solution propriétaire (ou sur une version qui n'évolue plus). Ça veut dire qu'il faut penser à blinder les contrats pour pouvoir le rompre avec éventuellement une pénalité et un préavis si la licence du logiciel change; au niveau d'une petite entreprise par exemple ca représente des détails juridiques en plus à devoir prendre en compte, et ça peut être lourd.
Ce genre de situation met bien en évidence l'importance de ne JAMAIS céder ses droits d'auteur à un organisme centralisateur, même si c'est pour le bien du soft. Une fois le code bourré de patchs d'auteurs différents, le mode de développement peut changer, mais plus la licence. Je pense que la communauté se doit de se protéger de cette manière, si on demande son aide une fois, il ne faut pas qu'une marche arrière soit possible. Après tout, dans cette affaire, l'entreprise n'avait jamais rien exigé de personne, elle peut changer d'avis. Mais les systèmes de cession des droits d'auteur ont l'effet pervers de rendre possible les décisions arbitraires, et c'est inacceptable.
D'ailleurs, l'exemple du tr\es ingénieux changement de licence de Wikipédia montre qu'il est tout à fait possible de changer une licence dans l'esprit du libre sans avoir à centraliser les contributions.
[^] # Re: GPL etc
Posté par Sébastien Wilmet . Évalué à 1.
C'est une solution dans le cas où il y a beaucoup de contributions, sinon il est facile à l'entreprise de réécrire les quelques bouts de code dont ils ne sont pas propriétaires du copyright.
Aussi, ça peut être embêtant si on a pas spécifié « version un-telle ou supérieure ». Par exemple certaines parties du noyau Linux sont en GPL 2 only, et certains dev ne sont plus joignables, donc impossible de passer à la GPL 3+. Enfin bon de toute façon Linus n'aime pas la GPL v3 (c'est peut-être juste un prétexte pour ne pas devoir réécrire du vieux code que plus personne ne comprend ->[]).
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