La licence disait jusqu'içi:
"Redistribution and use in source and binary forms are permitted provided that this notice is preserved and due credit is given to the original author and the contributors."
La note suivante a été ajoutée:
"Yes, this means that derivative or modified works are not permitted without the author's prior consent."
Cette note a surpris de nombreux utilisateurs comme Theo de Raadt (OpenBSD) qui n'approuve pas cette nouvelle interprétation de la licence. OpenBSD distribue d'ailleurs une version modifiée de IP Filter. Les modifications effectuées seraient nécessaires pour le faire fonctionner correctement sur ce système.
Quant à Dareen Reed, il affirme qu'il n'a rien changé et que ces conditions existaient depuis toujours.
Note du modérateur: Limitez les trolls svp, c'est une réelle question sur cette licence "modifiée", et mattez un peu l'article du haut sur Linux Weekly News ;-)
Aller plus loin
- Linux Weekly News (2 clics)
- IP Filter (5 clics)
# La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Donc si il te plait pas IPfilter, ben ne te gene, reecris en un et mets le en licence BSD ou GPL.
Je ne vois pas ou est le probleme, le code de IPfilter est ouvert, tout le monde peut le lire, par contre pour distribuer des versions modifiees il faut lui demander la permission.
Il n'y a rien d'outrageux la dedans, il veut garder le controle sur le developpement de son soft plutot que voir 15 forks, et c'est son droit.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
Oui, ta raison: sans ce comique, il y aurait pas eu d'IPchose
Le probl, c'est qu'il existe, qu'il est pratique, et maintenant que beaucoup de monde l'utilise (avec des versions modifiéss), monsieur dit que non non non, on peut pas avoir des versions modifiées (pas celle que le monde à en tk).
Il rajoute 2 lignes à sa licence en disant que rien n'a changé.
Je ne sais pas, mais je vois vraiment pas dans la première version ce qui empêchait de modifier le code à notre guise.
En gros, si les 2 lignes aurait été là au départ, sont petit soft aurait eu bcp moin de distribution qu'aujourd'hui.
Ça ressemble même un peu au coup des GIFs...
En passant, est tu contre l'opensource?
Tout tes commentaires tendent vers "open-source=merde ; propirétaire=contrôle, plus de pognon donc mieux"
Closed-mind?
Tu as la liberté d'exprimer tes opinions, sauf que présentement, ça fait plus comme si tu étais le milliairdaire du pétrole qui tanne tout le monde pour faire un forage en alaska dans une réunion de greenpeace.
Le gars peut en discuter, sauf que la place est plutôt mal choisie à mon avis pour ça.
Puis-je dire "sincèrement" sans faire trop baveux?
pense pas...
donc, tout simplement:
yop
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Johann Deneux . Évalué à 1.
Je ne sais pas, mais je vois vraiment pas dans la première version ce qui empêchait de modifier le code à notre guise.
Par défaut, on n'a pas le droit de modifier une oeuvre protégée par les droits d'auteur. Comme effectivement il n'a jamais été dit qu'on pouvait modifier le source, ca a donc toujours été interdit. Enfin ca dépend de comment on comprend 'utiliser du code'.
En effet, la license précise que l'on peut 'utiliser le code', moyennant quelques restrictions (respect du copyright). On pouvait donc utiliser le code source sans lui demander son avis. Qu'est-ce qu'il entend par utiliser ? Dans tous les cas, il vient de lever l'ambiguité :(
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 1.
En droit français (et droit romain en fait), il était donc parfaitement autorisé de modifier le code.
Maintenant, tout les pays ne sont pas sous législation française (ou autre issue de la législation romaine).
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Pat Le Nain . Évalué à -1.
Ben yeupou, t'es en forme cette nuit (Guinness, sex ?) ;)
allez hop, -1
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Johann Deneux . Évalué à 1.
Pour les oeuvres artistiques, dont les logiciels font partie, le droit francais sur les droits d'auteur accorde a l'auteur d'une oeuvre quasiment tous les droits, dont les droits de reproduction. Le droit francais dit donc bien: a moins que l'auteur d'une oeuvre vous autorise explicitement a modifier et copier son oeuvre, vous (l'utilisateur) ne pouvez ni copier ni modifier l'oeuvre en question.
Le Copyright est reconnu comme un droit d'auteur en France.
En particulier, ca veut dire que tu n'as pas le droit de modifier une toile que tu as acheter, quelque soit le prix auquel tu l'as achete.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 1.
Mais dans ce cas là, il ne fallait donner aucune licence, se contenter du copyright. Puisque la licence propose autre chose, fait sortir du cas prévu par la loi des droits d'auteur.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Johann Deneux . Évalué à 1.
Dans ce cas, il a donné le droit de copier et utiliser le code source à volonté.
Il existe des nuances entre le copyright strict et un copyright + une license, on est pas obligé de se limiter aux deux extrémités.
J'ai un peu de mal à comprendre le sens de tes deux dernières phrases.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
2) Son soft EST open source, tu as acces au code source, tu peux meme le modifier, par contre si tu veux redistribuer tes modifs, il faut lui demander la permission.
3) J'ai dit(explicitement ou implicitement) ou que open-source=merde ? T'as un exemple ?
J'ai toujours dit que GPL=pas rentable ECONOMIQUEMENT pour une ENTREPRISE, ca veut pas dire que open-source=merde. C'est pas parce que tu peux pas gagner (suffisament) d'argent avec un truc qu'il est pas bien.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Schwarzy . Évalué à 1.
putain t'es lourd comme mec. Si tu es OBLIGER de demander la permission pour rediffuser ta propre version du logiciel alors il n'est plus ouvert ! Ce n'est plus de l'open source.
Et c'est bizarre mais ta vision de l'ouverture correspond beaucoup au Shared Source de Microsoft. J'ai l'impression que c'est pas le fruit du hasard.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Chez MS, les gens peuvent regarder le code source mais pas le modifier, meme pour leur usage personnel.
Dans ce cas precis, tu peux tout a fait faire ton propre IPfilter et l'utiliser en interne sans rien demander a personne, tu peux tout a fait releaser un 'patch' pour IPfilter qui permet d'apporter tes modifs aux autres users.
Le truc etant que tu ne release pas un IPfilter complet avec tes modifs sans demander la permission de l'auteur.
Ce soft EST open source, par contre sa licence n'est pas LIBRE(au sens de la FSF), 2 choses differentes.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Vanhu . Évalué à 1.
SOit ce soft n'est pas Opensource, soit mon interprétation de l'opensource est très mauvaise...
Regarde en particulier la section 3.
Ca dit que la license doit autoriser les travaux dérivés. Or, la, les travaux dérivés sont autorisés "s'il veut bien".
A +
VANHU.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
"The license must allow modifications and derived works, and must allow them to be distributed under the same terms as the license of the original software."
IPFilter peut etre modifie pour faire d'autre choses, pour la redistribution, il faut que ce soient les memes termes que la licence originale, je ne vois pas en quoi ca pose probleme, pour les softs derives il faudra aussi demander la permission.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Vanhu . Évalué à 1.
Donc, cette licence et ce programme ne sont pas 'OpenSource'.
A +
VANHU.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 1.
Pbpg n'a pas tort, opensource fait penser à « pouvoir lire le code ». Ca ne fait rien penser aux libertés du logiciel libre.
C'est pour cela que le terme logiciel libre restera toujours bien plus explicite et moins manipulable.
[^] # Re: La vraie question est... -> opensource != GPL
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
> demander la permission pour rediffuser ta propre
> version du logiciel alors il n'est plus ouvert !
> Ce n'est plus de l'open source.
réponse simple (et résumé en gros) :
_ opensource != GPL
_ opensource = "Tout le monde a accès aux sources, mais on ne peux pas forcément les modifier."
_ GPL = "tout le monde à accès aux sources et peux les modifier mais doit les redistribuer si modification."
voila, c'est tout ce que je voulais dire.
Jesus, qui aime bien qu'on mélange pas tous les mots.
[^] # Re: La vraie question est... opensource != GPL
Posté par cornofulgur . Évalué à 1.
Faux. une licence opensource doit permettre la modification des travaux dérivés. C'est justement ce chapitre que remet en cause Reed par son amendement.
--
3. Derived Works
The license must allow modifications and derived works, and must allow them to be distributed under the same terms as the license of the original software.
Rationale: The mere ability to read source isn't enough to support independent peer review and rapid evolutionary selection. For rapid evolution to happen, people need to be able to experiment with and redistribute modifications.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
Apache tu ne peut pas le redistribuer modifie sous le nom "Apache" sans une autorisation expresse...
Je vois pas en qui IPF serait moins libre.
--
Gilbou
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Wawet76 . Évalué à 1.
Sérieux ?
--
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Jar Jar Binks (site web personnel) . Évalué à 1.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par cornofulgur . Évalué à 1.
D'après les deux lignes rajoutées, tout code modifié qui n'est pas approuvé est interdit. Point. Reed ne parle pas d'usage privé ou de redistribution.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Johann Deneux . Évalué à 1.
Si, c'était dit:
* Redistribution and use in source and binary forms are permitted
* provided that this notice is preserved and due credit is given
* to the original author and the contributors.
* Redistribution and use in source and binary forms are permitted
* provided that this notice is preserved and due credit is given
Par contre, il était ambigu par ce qu'il entendait par use in source [...] form. Je comprend que les gens d'OpenBSD se sentent trahis. Il aurait du être clair dès le début. Malveillance ou négligence ? Comment savoir ?
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
---
Je pense que ca merite plus ample discution. La ou je bosse en ce moment, je developpe des programmes qui seront open source dans un futur proche, ce qui ne nous empeche pas de les vendre a nos clients.
L'histoire, c'est qu'il suffit de faire un developpement particulier, de combler un vide, et les clients sont prets a payer le devellopement. Par contre, c'est clair que faire un nieme editeur, ca va pas rapporter grand chose.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
De meme, les clients vont pas se casser la tete, ils t'achetent un exemplaire et l'installent partout ou ils veulent, donc la vente te rapporte beaucoup moins qu'un soft proprietaire standard, tu dois donc compter sur les services pour combler le trou, hors les services ca coute en infrastructure,... surtout quand tu as un soft grand public qui touche des millions de gens.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Johann Deneux . Évalué à 1.
Une partie du bénéfice éventuellement généré par la distribution d'un soft sous JPL doit être reversée à l'auteur et les contributeurs successifs. On pourrait même appliquer le même principe à l'utilisation.
En principe, c'est joli tout plein, mais les détails pratiques doivent pas être évidents à régler.
Quelqu'un saurait-il si ce type de licence existe déjà ?
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par woof . Évalué à 1.
La nouvelle license ne s'applique que aux nouvelles versions, a moins que ca soit explicitement spécifié, non?
Donc la version < "license de merde" est toujours redistribuable et modifiable a souhait.. non?
Sortez vos haches et bouffez du troll!
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
Un contrat (donc une licence) ne peut pas etre retroactif.*
Cette nouvelle disposition ne s'applique donc qu'aux nouvelles versions du logiciel.
* C'est d'ailleurs pour cela que la clause "la version 2 de la GPL ou une version posterieure" me semble loin d'avoir un sens au regard de la loi.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Manuel Menal . Évalué à 1.
Enfin, concernant la version 2 de la GPL ou une version postérieure, je ne vois pas trop ce qui pose problème là-dedans (maintenant, je peux me tromper, je ne connais pas grand chose en droit): Est-ce que quelque chose interdit à l'auteur d'un soft de faire confiance en la FSF à tel point qu'il permet à l'utilisateur d'utiliser son soft dans les termes de toute nouvelle GPL, en étant persuadé qu'une GPL v3 ne pourrait qu'être bénéfique ? Je ne pense pas qu'il soit interdit de préciser qu'il souhaite que seule la GPL v2 soit utilisée comme licence pour son soft, si ?
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
dans la loi française, la rétroactivité n'existe pas. donc, on peut modifier à volonté le code de la version 'n-1' et le redistribuer. le blocage intervient sur la version 'n'. celà serait amusant de voir l'évolution des 2 versions : une 'officiellement' supportée par Dareen Reed, et l'autre totalement libre que nous, users, utilisons et souhaitons modifier en fonctions de nos envies...
à voir...
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Claveras Manu . Évalué à 1.
Tout de suite les grands mots ! IpFilter te plait ? Il fonctionne bien et rien ne t'empeche de l'utiliser donc tu n'es pas fait comme un rat.
Si maintenant tu trouves qu'il manque une fonctionnalité et bien tu peux toujours l'ajouter pour l'utiliser chez toi. Même l'envoyer à l'auteur qui se fera surement un plaisir de l'ajouter.
Franchement, en faire toute une histoire, personnellement je trouve que c'est couper les poils de cul en quatre. Pour un logiciel aussi important qu'un firewall, je comprend qu'on ait pas envie d'avoir son nom associé à des versions douteuses modifiées de façon folklorique. Je comprends qu'il souhaite garder le contrôle de son logiciel. Et puis même si ce n'est pas exactement pareil, ça ne gène personne d'envoyer son bout de code à Linus Torvald pour qu'il soit mis dans le noyau, donc ...
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par JSL . Évalué à 1.
[^] # Re: La vraie question est...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
# Quelques réfléxions...
Posté par William Steve Applegate (site web personnel) . Évalué à 1.
Première chose qui me vient à l'esprit : s'agissant de quelque chose d'aussi important qu'un firewall, comment se fait-il que les dévéloppeurs de BSD n'ayent pas pensé à vérifier que ce logiciel était bien livré sous une licence acceptable (à l'évidence, puisque l'auteur n'a fait que « clarifier », il ne s'agissait pas de la licence BSD). À mon sens, c'est profondement stupide, ça participe de la logique « occupons-nous du code, et laissons les problèmes juridiques aux autres », qui est de moins en moins valable au vu des convoitises que suscite le logiciel libre...
Deuxième chose : maintenant qu'ils se sont faits avoir, il faut trouver une solution. Trois possibilités me viennent à l'esprit :
J'ai volontairement exclu la solution « Theo de Raadt colle un procès à Darren Reed » parce qu'il me semble que les chances de gagner un tel procès sont minimes. Si quelqu'un a des arguments contraires, je serais heureux de les entendre...
Enfin, troisième chose : cette affaire devrait enfin ouvrir les yeux de la « communauté » et l'inciter à mieux regarder où elle met les pieds. Personnellement, je me suis déjà fait avoir (un logiciel qui me semblait être sous licence Artistic est en fait sous une version modifiée, et je me demande comment faire pour switcher sans perdre les données), il est probable que la valse des licences va continuer. Aussi, la première chose à faire en trouvant un nouveau logiciel ne va bientôt plus être de regarder le README mais bien le COPYING/LICENSE, et très attentivement ! Cela n'est malheureusement pas encore entré dans les mœurs hélas...
Voilà, ce sont bien sûr des réfléxions à chaud, n'hésitez pas à corriger les erreurs que j'ai pu faire, et à amener des idées, je serais heureux d'avoir un Avoiding-Tricky-Software-Licenses-HOWTO (et je pense que je ne suis pas le seul dans ce cas)...
Envoyé depuis mon PDP 11/70
[^] # Re: Quelques réfléxions...
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
Le seul truc qui est dit dans la licence est qu'il ne faut pas distribuer des versions modifiess sans son consentement, rien ne dit que la version incluse dans BSD ne sera pas acceptee.
Maintenant si ils ne veulent mettre que du code sous licence BSD dans l'OS, ca devient un autre probleme.
[^] # Re: Quelques réfléxions...
Posté par William Steve Applegate (site web personnel) . Évalué à 1.
Envoyé depuis mon PDP 11/70
# où est le problème ?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par cornofulgur . Évalué à 1.
- Je m'en fous. Ca ne me concernera plus.
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
"je legue tous mes droits concernant ipfilter a la fsf"
pt1, c'est vraiment grave ces histoires de licenses... d'autant qu'il n'y a pas de documents au monde qui soient plus chiants a lire & a comprendre
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par cornofulgur . Évalué à 1.
Et il se fit hélas écraser par un bus ce soir là... ;)
Il est quand même préferable d'utiliser les licences plutôt que les testaments pour protéger son travail.
Cependant si Reed ne considère pas les objections des users suffisament, il s'expose à un fork.
Peut être que le fork pourrait partir de la version précédente d'ipfilter (sans les 2 lignes) puisqu'il y a un état de fait.
(C'est juste une hypothèse, hein? pas un appel au fork ;)
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
m'enfin, d'autres personnes écriront un autre firewall pour *BSD, voyons. Et pourquoi ne pourrait-il pas en exister plusieurs ?
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
La stupide histoire de Stalleman avec son imprimante marcherait ici
meme s'il aurait les sources des pilotes, ça l'avancerait pas à grand chose s'il ne peut les modifier.
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
ce soft n'est PLUS libre. point.
Maintenant, je doute fortement que tu puisses changer une license APRES avoir accordé une utilisation sous une autre license et que ce changement de license soit rétroactif.[attention ce commentaire vient d'un pays 100% 'millenium act' free]
cf ssh et openssh
par contre, les gens de bsd ont un probléme à partir de maintenant. Plus question de trafiquer le code qui vient du monsieur en étant pas au courant. Ce code n'est PLUS libre et dépend du bon vouloir de ce monsieur, bon vouloir trés relatif vu ses réparties.
Si ca se trouve ils vont se beurrer la gueule ensemble et tomber dans les bras en pleurant
"chuis un sale con!!! excuse moi théo !!!! beuhhheueuehehueueu"
"mais non c 'est moi jai pas fait attention, t'étais seul, tu souffrais, tout ca c 'est la faute à linux , bouhouououou!!!"
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par Wawet76 . Évalué à 1.
Pour le noyau Linux, un changement de licence est peu probable car il faudrait l'approbation de tous les contributeurs. (enfin... C'est probable que ca puisse changer si c'est dans le "bon" sens)
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par pasBill pasGates . Évalué à 1.
A mon avis, il serait possible de changer la licence si une grande majorite est d'accord, car personne ne voudrait alors etre designe comme "la" personne qui bloque le changement de la licence.
[^] # Re: où est le problème ?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
# Tiens tiens, ca me rappelle quelque chose...
Posté par Philippe Martin . Évalué à 3.
Je résume : A. Tanenbaum a écrit le système d'exploitation Minix à des fins d'enseignement. Beaucoup d'étudiants ont apprécié le système, surtout le fait qu'il tourne sur des petits ordis à prix abordables, et l'ont adopté.
Un problème survint : Tanenbaum distribuait les sources pour qu'on les étudie, supportait qu'on les modifie et que l'on distribue des patchs, mais ne voulait pas que l'on distribue de version modifiée. De plus, il ne voulait pas ajouter trop de fonctionnalités de peur de rebuter les nouveaux étudiants devant un système devenu trop complexe.
Minix est donc resté un système minimal, avec des patchs qui couraient dans tous les sens pour le rendre plus intéressant, ce qui devint vite un bord*l infernal...
Pour abréger, lorsque Linus a pondu Linux-0.0.1 (sur comp.os.minix !), Minix c'est peu à peu fait oublier <meditation>...</meditation>
Toute l'histoire @ :
http://www.oreilly.fr/divers/tribune-libre/fr-appa.html(...)
[^] # Re: Tiens tiens, ca me rappelle quelque chose...
Posté par cornofulgur . Évalué à 2.
- d'assurer un maximum de contrôle pour asseoir le serieux de PGP en terme de bug, de sécurité, de backdoor. cf les rumeurs autour de PGP : http://www.geocities.com/openpgp/rumeurs.htm(...)
- de libérer à tout vent son soft, parce que plus l'usage en serait répandu et plus il serait solide et incontournable.
Il semble que Zimmermann est trouvé un équilibre. Le logiciel est aujourd'hui diffusé à la fois en open-source et en closed-source. Et le contrôle est assuré par des standards IETF avec une autorité collégiale (openPGP Alliance).
# OT plug in konqueror babelfish:: trop trop drole !!!
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
Addition by Anonymity - Friday 25 Mai? 20:08
... until? which point the whim of this cretin goes emmerder everyone? Because that is likely to cut the legs to the developments of these syst?mes, not?
[ To answer ]
Re: The true question is... (Score: 1 -)
Addition by pasBill pasGates (#3372) - Friday 25 Mai? 21:02
Ben you see, without this cretin it would not have had there of IPFilter.
Therefore if it did not plait you IPfilter, Ben gene, reecris in one and put in licence BSD or LPG.
I do not see or is the problem, the code of IPfilter is opened, everyone can read it, on the other hand to distribute versions modifiees it is necessary to ask him for the permission.
There is nothing outrageux it inside, it wants to rather keep control on the development of its software than to see 15 forks, and it is its right.
[ To answer ]
Re: The true question is... (Score: 0 -)
Addition by Anonymity - Friday 25 Mai? 21:33
Be to you really emmerdant you.
Yes, your reason: without this comic, there would not have been of IPchose
The probl, it is that there exists, that it is practical, and now that many people use it (with versions modifiéss), Mister says that not not not, one cannot have modified versions (not that which the world? in tk).
It adds 2 lines? its licence by saying that nothing changed.
I do not know, but I really do not see in the premi?re version what emp?chait to modify the code? our own way.
Approximately, if the 2 lines would have been L? at the beginning, are small software would have had bcp moin distribution that today.
?a resembles a little m?me the blow of GIFs...
While passing, is you counters the opensource?
All your comments tend towards " open-source=merde; propirétaire=contrôle, more dough thus better "
Closed-mind?
You have freedom to express your opinions, except that at present?a makes more as if you were the milliairdaire oil which tans everyone to make a drilling in Alaska in a meeting of greenpeace.
Can the guy discuss it, except that the place is rather badly selected? my opinion for?a.
Can I say " sinc?rement " without making too slobbery?
do not think...
thus, quite simply:
yop
[^] # Merci...
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
[^] # Re: Merci...
Posté par Anonyme . Évalué à 1.
ou -> or
où -> where
# et finalement..
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
La GPL, elle, n'offre aucune ambiguité de ce type possible.
Je crois que tout est dit.
Je ne vois pas l'interet de faire sa propre licence quasi-identique à la GPL si ce n'est pour éventuellement se laisser la possibilité de pratiquer ce type d'entourloupes.
[^] # Re: et finalement..
Posté par Manuel Menal . Évalué à 1.
Cependant, je rappellerais que la GPL n'est pas un modèle de clarté et certains points restent quand même ambigus. L'exemple le plus évident est le cas de KDE jusqu'au passage de Qt en QPL/GPL.A ce moment, la clause de la GPL (ici la traduction non-officielle en français trouvée à l'adresse http://www.linuxfr-france.org.invalid/article/these/licence/gpl/(...) ):
Toutefois, l'environnement standard de développement du système d'exploitation mis en oeuvre (source ou binaire) -- compilateurs, bibliothèques, noyau, etc. -- constitue une exception, sauf si ces éléments sont diffusés en même temps que le Programme exécutable.
... avait donné lieu à de nombreux débats : dans
le cadre de CLOS (Corel Linux OS), par exemple, il est très dur de ne pas avoir la bibliothèque Qt étant donné que KDE est à la base de la distribution... Est-ce que Qt est alors une bibliothèque système, au même titre qu'on peut le penser de l'API graphique Win32 ? (ça ne veut pas dire que je partage cet avis).
En effet, contrairement à de nombreuses licences, la GPL ne donne pas de définition précise des mots qu'elle emploie, même si les auteurs ont bien essayé de rester très précis dans la plupart des cas...
Ceci dit, il est clair qu'il est en général plus sain de mettre son soft sous une licence connue et approuvée, d'autant plus qu'aujourd'hui il en existe un grand panel...
# Meilleure centralisation du developement?
Posté par Anonyme . Évalué à 0.
C'est quoi le probleme exactement alors?
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