Lien Liberapay peut être utilisé à nouveau via Stripe (cartes de crédits pour l'instant, SEPA plus tard)
Journal Possible coupure de service sur Liberapay
Liberapay risque de fermer le 26 juillet 2018 suite à des décisions de l'opérateur de paiement Mangopay.
Bien que Liberapay soit une association sans but lucratif, elle doit s'appuyer sur certaines structures pour fonctionner. Parmi celles-ci, Mangopay, filiale de Leetchi, est un de nos partenaires majeurs depuis le début : c'est notre opérateur de paiement, qui s'occupe des transactions financières, prélevant une commission au passage. Sans Mangopay, impossible de mettre de l'argent sur Liberapay ou d'en retirer.
Liberapay est (…)
Résumé des nouveautés dans LibraZiK-2 depuis fin janvier 2018
LibraZiK studio audio est (toujours) un système audio‐numérique complet et libre pour les ouvrages musicaux. LibraZiK est un projet qui a pour objectif de fournir un système robuste, prêt à l’emploi et avec une documentation à jour, aux francophones souhaitant faire de la musique assistée par ordinateur (MAO).
Un mois est passé depuis le résumé des nouveautés dans LibraZiK-2 depuis fin décembre 2017 publié sur LinuxFr.org. Je vous propose dans cette nouvelle de survoler un peu les évolutions ayant eu lieu dans LibraZiK-2.
La deuxième année de Liberapay
Avant‐hier était le deuxième anniversaire du lancement de Liberapay ! Faisons un bilan de l’année passée et regardons vers l’avenir. Cette dépêche est une traduction de The second year of Liberapay.
N. D. M. : L’auteur est le fondateur de Liberapay, un service permettant de faire des dons récurrents afin d’assurer aux créateurs un revenu stable. Liberapay se démarque des autres plates‐formes en se finançant sur son propre modèle et non par prélèvements sur les transactions — et en étant libre.
Résumé des nouveautés dans LibraZiK-2 depuis fin décembre 2017
LibraZiK studio audio est un système audio‐numérique complet et libre pour les ouvrages musicaux. LibraZiK est un projet qui a pour objectif de fournir un système robuste, prêt à l’emploi et avec une documentation à jour, aux francophones souhaitant faire de la musique assistée par ordinateur (MAO).
Depuis la précédente dépêche concernant LibraZiK-2, le 27 décembre 2017, des nouveautés sont arrivées dont voici un résumé. Vous pouvez retrouver des explications plus complètes sur le blog de LibraZiK si vous le souhaitez.
Suivez‐moi en Si, regardez‐moi pour les changements et essayez de suivre, OK ?
Un point-image pour celles et ceux qui trouveront la référence.
Journal Vent de révolte sur Patreon qui profite à Liberapay
Patreon, c'est le principal site de mécénat en ligne, où des "créateurs" de toute sorte—dont des libristes—se font payer un peu d'argent, soit chaque mois, soit à chaque "production", par des utilisateurs donateurs. Hier, les gens de Patreon ont changé leur calcul des commissions, en expliquant qu'ils voulaient simplifier la façon dont ils prélèvent leurs frais de fonctionnement. Une conséquence de ce changement est l'ajout d'une part fixe, un coût de 0.35€ sur chaque don, qui pèse de manière (…)
Journal Gratipay ferme ; l'avenir du financement du libre
C'est officiel : Gratipay ferme.. Ce projet, originellement baptisé Gittip, avait pour vocation de rémunérer les créateurs en invitant chacun à verser un "pourboire" à des gens et des équipes.
Le projet a évolué au fil des ans ; il a permis à certains de gagner des sous. Il a aussi traversé des crises complexes.
Gratipay continuera d'assurer les paiements existants jusqu'au 28 décembre 2017 ; ils invitent à migrer vers d'autres plates-formes, comme Liberapay (dont je suis membre), Patreon (…)
Campagne de financement pour GtkSourceView
GtkSourceView est une bibliothèque GNOME qui étend GtkTextView, le widget GTK+ standard pour l’édition de texte sur plusieurs lignes.
La fonctionnalité principale de GtkSourceView est la coloration syntaxique, mais il y a de nombreuses autres fonctionnalités : le chargement et la sauvegarde de fichiers, la recherche et remplacement, l’auto‐complétion, le « annuler / refaire », afficher les numéros de ligne, etc.
C’est une bibliothèque largement utilisée. Par exemple dans Debian, GtkSourceView est utilisée par plus de cinquante applications, dont notamment gedit et GNOME Builder.
Si vous voulez donner un coup de pouce au projet, il y a maintenant une campagne de financement !
La première année de Liberapay
Aujourd’hui nous célébrons le premier anniversaire du lancement de Liberapay ! Pour l’occasion nous avons amélioré l’apparence de la plate‐forme et compilé une petite rétrospective de sa première année de fonctionnement.
Le haut de la page d’accueil française de Liberapay, le 3 février 2017
Journal La première année de Liberapay
(Ce journal est une traduction du billet The First Year of Liberapay.)
Aujourd’hui nous célébrons le premier anniversaire du lancement de Liberapay ! Pour l’occasion nous avons amélioré l’apparence de la plateforme et compilé une petite rétrospective de sa première année de fonctionnement.
Le haut de la page d’accueil française de Liberapay, 3 février 2017
Rétrospective
Le moins que l’on puisse dire c’est que l’année a été riche !
Commençons par les soucis : à peine 3 mois après (…)
Journal [HS] Des disruptifs à la pointe... Dans le mélange des genres
Dans l'anti-Paypal assez classique ici, certains conseillent une alternative "disruptive" (pas US, "gratuit" enfin pour des petits trucs, etc), ici, là ou là, mais ça manque de suivi quand même, car pas de news de leur argent… Bloqué depuis 10 jours.
En effet, leur super entité disruptive a confondu son propre compte avec les comptes des clients, en leur prenant 500 k€ (mais sans dire aux clients que leur sous étaient maintenant nanti et servait de caution (…)
Liberapay, plate‐forme libre de dons récurrents
Liberapay est un service permettant de faire des dons récurrents, acceptant des dons à partir de 0,01 € par semaine, afin d’assurer aux créateurs un revenu stable, tout en offrant aux contributeurs la possibilité de payer suivant leurs moyens. Liberapay se démarque des autres plates‐formes de ce type en se finançant sur son propre modèle, et non pas par prélèvements sur les transactions.