eric gerbier a écrit 311 commentaires

Une norme, c'est quelque chose de très formel : ISO, ANSI …

Pour les commandes unix, il y a un eu un gros travail de standardisation qui a amené les normes POSIX. On peut voir dans les pages de man si les commandes respectent POSIX.

Et puis il y a des machins qui ne respectent pas les convention, j'aime bien prendre pour cela la commande java : pour obtenir la version il faut taper "java -version" , et "java --version" renvoie : "Error: A fatal exception has occurred. Program will exit"

Comme indiqué par les autres contributeurs, Mint est basé sur Ubuntu : les logiciels installés seront donc les mêmes, ainsi que les performances.

La seule différence notable sera sur la reconnaissance de périphériques et l'installation de pilotes propriétaires qui est plus automatisée (donc plus facile pour un utilisateur débutant) avec Mint.

oui, très intéressant, mais il n'y a pas trop eu d'évolution depuis (malheureusement)

je viens d'avoir la réponse : C'est en effet du latex+beamer, avec la package animate :

\animategraphics[controls]{3}{figures/TC/animIrma/animIrma}{00}{30}

le code tex complet est disponible sur https://www.umr-cnrm.fr/test_animation.tex

va expliquer ça à un chercheur : il te réponds que ça marche sous windows … :)

il y a un fichier de test sur https://www.umr-cnrm.fr/test_animation.pdf

la vidéo est sur la deuxième page.

C'est le problème de la poule et de l’œuf : pour démarrer, on a besoin de modules, pour accéder aux modules, on a besoin de lire un système de fichier, donc d’accéder aux disques, et les pilotes disques sont parfois … en module.

Un exemple : dans le monde pro, on utilise assez souvent des volumes RAID, avec une carte matérielle et donc des pilotes spécifiques. L'initrd permet d'embarquer ces pilotes et donc de pouvoir lire les systèmes de fichiers.

Red Hat Enterprise, c'est un peu comme une debian stable : les logiciels ne sont vraiment pas de la dernière fraîcheur. Tout dépends des besoins des utilisateurs.
A mon travail, ils veulent les mêmes versions de logiciel que ce qu'ils ont à la maison (souvent une ubuntu).

Effectivement, une solution à base de git pourrait être une solution simple et viable :
- exclusions dans le .gitignore
- sauvegarde par : git commit -a; git push

d'ailleurs, ça existe déjà, et le projet s'appelle bup, mais plutôt orienté unix (bsd, linux)

Red Hat Enterprise est une distribution plutôt orientée serveur, alors l'environment graphique …
En tout cas sur les miens, il n'y a ni gnome, ni kde, ni même X11, je réserve cela aux postes de travail (desktop, laptop).

et comment tu fais pour conserver un certain nombre des sauvegardes (par exemple 7 journalières, 3 hebdo, 12 mensuelles, 5 annuelles), sans exploser les volumes de stockage ?

je viens de regarder : il y a un client windows, mais il faut un serveur sous linux, non ?
( ça sort de mon cahier des charges)

Je connais FreeFileSync, mais je ne vois pas trop comment faire pour conserver plusieurs sauvegardes ( 7 journalières, 3 hebdomadaires, 12 mensuelles, 5 annuelles ) , avec de-duplication (je n'ai pas un espace de stockage 25 x volume initial) ?

ça fait longtemps qu'il n'y en pas eu sur un sujet aussi technique …

Les messages du type "Could not resolve host: …; Nom ou service inconnu" indiquent un problème de résolution de nom.

Je viens d'essayer sur ma machine, le nom indiqué existe :
$ host repo.mysql.com
repo.mysql.com is an alias for repo.mysql.com.edgekey.net.
repo.mysql.com.edgekey.net is an alias for e7528.d.akamaiedge.net.
e7528.d.akamaiedge.net has address 23.212.225.186

donc je soupçonne une mauvaise configuration de ta machine :
- soit un souci dans la config dns
- soit un souci dans la config réseau

Si on veut un vrai langage, puppet est peut-être une meilleure solution : les template se codent en ruby.

Sur un serveur linux, il y a plusieurs types de fichiers :
1 des logiciel
2 de la configuration
3 des données

Pour les types 2 et 3 : des sauvegardes, avec une profondeur dans le temps !!
Les autres contributeurs en parlent. Personnellement, j'utilise rsnapshot, c'est simple et efficace.

Pour les types 1 et 2, je rajouterais un logiciel de gestion de configuration : puppet, ansible, chef, salt … . Cela permet de remonter un serveur identique (en terme logiciel) en cas de crash. Et l'investissement (humain) est amorti dès que l'on gère un petit parc de machines.

Je vois 3 opérations à faire. Tout d'abord, il te faut une clef usb bootable avec un linux de récupération, par exemple sytemrescuecd ( http://www.system-rescue-cd.org/ ).
Tu démarre ton ordinateur sur la clef, et tu lance fsck sur toutes tes partitions. Cela doit être rapide et permettre d'avoir des système de fichiers propres.

Tu peux ensuite tester s'il y a des secteurs défectueux avec la commande badblocks ( ou e2fsck -c ). Attention, c'est beaucoup plus long.

Dernière commande utile : smartctl.

idem : shinken pour 2 raisons
- la base de module nagios
- la facilité de changement d'échelle si le parc augmente

et thruk pour le dashboard : ça ressemble beaucoup à celui de nagios

par défaut oui, mais ça se modifie avec la ligne de configuration
dont_blame_nrpe=1

Pour préciser, sous linux, la limite d'un chemin complet est 4096 :
grep PATH_MAX /usr/include/linux/limits.h

La limite est 255, tu peux la trouver dans le fichier /usr/include/linux/limits.h avec la commande :
grep NAME_MAX /usr/include/linux/limits.h

La doc, c'est fait pour l'utilisateur, et lui, il a besoin de savoir quelle doc lire.
Pas forcément la dernière, s'il utilise un paquet fourni par sa distribution.
Donc, une doc par version, c'est pas mal.

Parce ce que si ton installation mets à jour un module installé et utilisé par le système,
et qu'il n'y a pas compatibilité ascendante totale, tu as un risque non négligeable de te retrouver avec un système instable.
Ceux qui ont connu windows 95 comprendront …

Pour faire de l'isolation, le plus simple à mettre en œuvre est à mon avis les containers, par exemple lxc.