Tout est dans le titre... Ca se passe ici (et également en page d'accueil) :
http://toutpourlamicro.com/article.asp?id=310&ida=5776&a(...)
La configuration n'est pas boulversifiante mais elle peut largement satisfaire un usage basique et le prix est relativement intéressant. Au passage on a confirmation du prix des versions OEM de Vista...
Journal La Tribune est un repère de gauchistes !
Je suis tombé par hasard sur cet article de la Tribune et j'ai littéralement halluciné !
http://www.latribune.fr/Tribune/Articles.nsf/ArticlesWeb/IDC(...)
Sous la forme somme toute relativement convenue (c'est la Tribune, hein, pas l'Humanité), un tel réquisitoire contre la BSA et les éditeurs de logiciels propriétaires dans un journal habituellement plus enclin à vanter les mérites de l'économie libérale fait plaisir à voir !
http://www.latribune.fr/Tribune/Articles.nsf/ArticlesWeb/IDC(...)
Sous la forme somme toute relativement convenue (c'est la Tribune, hein, pas l'Humanité), un tel réquisitoire contre la BSA et les éditeurs de logiciels propriétaires dans un journal habituellement plus enclin à vanter les mérites de l'économie libérale fait plaisir à voir !
Journal Mandriva 2006 : lancement officiel le 15 octobre
La nouvelle Mandriva 2006 devrait être officiellement lancée le 15 octobre 2005 au Journées du Logiciel Libre à Lyon. Moi qui comptais aller y faire un tour, voilà une (bonne) raison de plus pour y aller ! Espérons qu'ils seront sympa chez Mandriva et qu'ils fileront quelques Cds, même si on est pas membre du Club ...
http://club.mandriva.com/xwiki/bin/view/Main/Calendar?month=9(...)
http://club.mandriva.com/xwiki/bin/view/Main/Calendar?month=9(...)
Journal Le geek sur France Info
Je suis tombé cet après midi sur la chronique de Brigitte Benkemoun sur France Info consacrée aujourd'hui à une étrange créature, le geek!
Interview d'une des fondatrices de copinedegeek.com à l'appui, la chroniqueuse tente, par trop maladroitement pour une fois, de cerner au plus près le sujet. Elle ne résiste pas au passage à un involontaire lancé de troll ("On ne comprend pas toujours ce qu'ils disent, surtout quand ils se lancent dans l'étude comparée de Linux, Debian ou (…)
Interview d'une des fondatrices de copinedegeek.com à l'appui, la chroniqueuse tente, par trop maladroitement pour une fois, de cerner au plus près le sujet. Elle ne résiste pas au passage à un involontaire lancé de troll ("On ne comprend pas toujours ce qu'ils disent, surtout quand ils se lancent dans l'étude comparée de Linux, Debian ou (…)
Journal KDE 3.4 est dans les bacs !
Ce n'est pas officiel, mais KDE 3.4 est disponible sur ftp://ftp.kde.org/pub/kde/stable/3.4/(...) et sur tous les bon miroirs. Des paquetages sont disponibles pour Fedora Core 3, Suse et Connectiva.
Reste à savoir si Mandrake, comme c'est devenu l'habitude, réservera ses paquetages aux membres du Club, ou les mettra également à disposition du grand public, à l'image de ce que font toutes les autres distributions, y compris commerciales ...
Reste à savoir si Mandrake, comme c'est devenu l'habitude, réservera ses paquetages aux membres du Club, ou les mettra également à disposition du grand public, à l'image de ce que font toutes les autres distributions, y compris commerciales ...
Entretien avec Michel Rocard dans "Le Monde" sur les brevets logiciels
Le Monde publie aujourd'hui un entretien avec Michel Rocard, député européen et rapporteur à la commission des affaires juridiques du Parlement, au sujet de la bataille autour des brevets logiciels. Dans cet entretien, M. Rocard fait le bilan de trois ans de combat acharné contre les instances européennes et les divers lobbies favorables à la brevetabilité des logiciels.
Après avoir rappelé clairement les enjeux de la brevetabilité, il revient sur les aspects financiers liés à ces brevets et sur les pressions exercées par les multinationales favorables aux brevets logiciels ainsi que sur les "coups bas" successifs qui ont émaillés le parcours législatif de la directive.
Il évoque notamment les deux tentatives avortées de passage en force lors des conseils des ministres de l'agriculture consacrés à la pêche et souligne la passivité de la France.
On peut espérer que ce texte bien argumenté, publié dans le quotidien national de référence, aidera à la prise de conscience d'une partie des élites françaises et de l'opinion publique des enjeux liés à la brevetabilité des logiciels...
Après avoir rappelé clairement les enjeux de la brevetabilité, il revient sur les aspects financiers liés à ces brevets et sur les pressions exercées par les multinationales favorables aux brevets logiciels ainsi que sur les "coups bas" successifs qui ont émaillés le parcours législatif de la directive.
Il évoque notamment les deux tentatives avortées de passage en force lors des conseils des ministres de l'agriculture consacrés à la pêche et souligne la passivité de la France.
On peut espérer que ce texte bien argumenté, publié dans le quotidien national de référence, aidera à la prise de conscience d'une partie des élites françaises et de l'opinion publique des enjeux liés à la brevetabilité des logiciels...
Les logiciels libres au coeur de l'administration française
Sous le titre « Administration centrale : 225 chantiers ouverts », 01.net consacre un long et très intéressant article à la modernisation des systèmes informatiques de l'administration française.
L'article souligne en particulier la place de plus en plus importante que devrait occuper les logiciels libres au sein de ces systèmes.
Les divers responsables interrogés mettent en avant la fiabilité des logiciels à code source ouvert et leur souplesse d'adaptation, le coût nettement plus faible à fonctionnalités équivalentes (90% moins cher qu'une solution propriétaire) et l'indépendance vis à vis des fournisseurs (sans compter les problèmes de gestion des licences).
Pour l'anecdote, on apprend même au fil de l'article que les services du Premier Ministre vont passer à OpenOffice.org ! Comme quoi tout arrive...
L'article souligne en particulier la place de plus en plus importante que devrait occuper les logiciels libres au sein de ces systèmes.
Les divers responsables interrogés mettent en avant la fiabilité des logiciels à code source ouvert et leur souplesse d'adaptation, le coût nettement plus faible à fonctionnalités équivalentes (90% moins cher qu'une solution propriétaire) et l'indépendance vis à vis des fournisseurs (sans compter les problèmes de gestion des licences).
Pour l'anecdote, on apprend même au fil de l'article que les services du Premier Ministre vont passer à OpenOffice.org ! Comme quoi tout arrive...
Bruce Perens appelle les développeurs d'OpenOffice.org à ne plus fournir de code à Sun
Bruce Perens, directeur exécutif du Desktop Linux Consortium, appelle les développeurs contributeurs au projet Open Office à ne plus fournir de code à Sun, mais à en conserver le copyright en nom propre et à le mettre sous licence GPL uniquement.
Cet appel fait suite à l'accord passé entre Microsoft et Sun au mois d'avril, accord resté jusqu'à présent secret et révélé récemment dans le cadre du rapport annuel de Sun devant la Securities and Exchange Commision (équivalent de l'Autorité des Marchés Financiers en France).
Cet accord de licence croisé stipule noir sur blanc (au paragraphe IV) que celui-ci ne s'applique qu'aux produits propriétaires de Sun (en particulier Star Office) et non à sa version libre Open Office, qui est spécifiquement exclue de l'accord. De son côté, Sun affirme que rien n'est changé dans la protection offerte aux utilisateurs d'Open Office.
Cet accord illustre l'ambiguïté de la position de Sun, à la fois partenaire de circonstance de Microsoft face à IBM et contributeur principal d'Open Office, vis à vis du logiciel libre.
Cet appel fait suite à l'accord passé entre Microsoft et Sun au mois d'avril, accord resté jusqu'à présent secret et révélé récemment dans le cadre du rapport annuel de Sun devant la Securities and Exchange Commision (équivalent de l'Autorité des Marchés Financiers en France).
Cet accord de licence croisé stipule noir sur blanc (au paragraphe IV) que celui-ci ne s'applique qu'aux produits propriétaires de Sun (en particulier Star Office) et non à sa version libre Open Office, qui est spécifiquement exclue de l'accord. De son côté, Sun affirme que rien n'est changé dans la protection offerte aux utilisateurs d'Open Office.
Cet accord illustre l'ambiguïté de la position de Sun, à la fois partenaire de circonstance de Microsoft face à IBM et contributeur principal d'Open Office, vis à vis du logiciel libre.
Mandrakesoft retenue pour le développement d'un système d'exploitation ouvert de haute sécurité
La société Mandrakesoft a été retenue par le Ministère de la Défense français pour participer à un consortium, incluant Bertin Technologies, Surlog, Jaluna et Oppida, chargé de développer un système d'exploitation ouvert de haute sécurité. Ce système devra répondre à la certification CC-EAL5 (« Common Criteria Evaluation Assurance Level 5 »). Le montant du contrat est de 7 millions d'euros sur trois ans, dont 1 million pour Mandrakesoft.
La tache principale de Mandrakesoft sera d'adapter sa distribution et de mobiliser les ressources de la communauté du logiciel libre autour de ce projet. À terme, les résultats de ce projet seront publiés sous licence Open Source (NdM : libre ?).
François Bancilhon, directeur général de Mandrakesoft, indique : « C'est [...] notre projet le plus important à ce jour, et un événement majeur pour notre entreprise.» C'est incontestablement un bonne nouvelle pour Mandrakesoft, qui engrange un gros contrat et renforce par la même occasion sa crédibilité vis à vis des grands comptes, mais également pour l'ensemble de la communauté du logiciel libre, qui voit ici reconnue la supériorité du modèle open source en matière de sécurité des systèmes informatiques.
La tache principale de Mandrakesoft sera d'adapter sa distribution et de mobiliser les ressources de la communauté du logiciel libre autour de ce projet. À terme, les résultats de ce projet seront publiés sous licence Open Source (NdM : libre ?).
François Bancilhon, directeur général de Mandrakesoft, indique : « C'est [...] notre projet le plus important à ce jour, et un événement majeur pour notre entreprise.» C'est incontestablement un bonne nouvelle pour Mandrakesoft, qui engrange un gros contrat et renforce par la même occasion sa crédibilité vis à vis des grands comptes, mais également pour l'ensemble de la communauté du logiciel libre, qui voit ici reconnue la supériorité du modèle open source en matière de sécurité des systèmes informatiques.
Microsoft face aux logiciels libres
Le Monde a consacré aujourd'hui un article à la contre-attaque qu'entend mener Microsoft face à la progression des logiciels libres. Il évoque notamment la récente annonce de Microsoft de l'ouverture du code source d'Office à destination des gouvernements de plus de 60 pays, ouverture qui s'intègre dans son programme « Government Security Program » et suit une précédente mise à disposition du code source de Windows (NdM. : accès aux codes source en lecture seule).
L'article évoque également la concurrence de plus en plus pressante des logiciels libres, citant la popularité croissante d'OpenOffice et Mozilla et la place de plus en plus importante occupée par Linux sur les serveurs. Il note que l'offre commerciale autour des logiciels libres est maintenant de plus en plus structurée autour de grands acteurs comme RedHat, Novell, Mandrake ou IBM, qui sont capable de fournir des prestations complètes d'installation, de maintenance et d'assistance technique, avec un avantage concurrentiel certain sur le plan des coûts de licences, ainsi qu'en terme de sécurité face à un code source fermé.
L'article évoque également la concurrence de plus en plus pressante des logiciels libres, citant la popularité croissante d'OpenOffice et Mozilla et la place de plus en plus importante occupée par Linux sur les serveurs. Il note que l'offre commerciale autour des logiciels libres est maintenant de plus en plus structurée autour de grands acteurs comme RedHat, Novell, Mandrake ou IBM, qui sont capable de fournir des prestations complètes d'installation, de maintenance et d'assistance technique, avec un avantage concurrentiel certain sur le plan des coûts de licences, ainsi qu'en terme de sécurité face à un code source fermé.
PhoneGaim, le téléphone sous GNU/Linux !
Linspire, alias Lindows, vient de mettre à disposition une version modifiée de Gaim qui combine les fonctionnalités d'origine de Gaim (messagerie instantanée) et un support de voix sur IP basé sur SIP !
PhoneGaim permet de téléphoner gratuitement de PhoneGaim à PhoneGaim, ainsi que vers tout poste équipé d'un logiciel compatible SIP, mais également vers un poste fixe en souscrivant aux services de la société SIPphone (dont le PDG de Linspire est comme par hasard propriétaire ...).
Cette version modifiée de Gaim semble en tous cas être la première offre réellement mature (et libre) de téléphonie sous GNU/Linux, avec Skype, qui est lui propriétaire.
NDM: On notera cependant que Linspire a "forké" gaim sans contacter les développeurs originaux alors qu'il existe déjà un fork amical nommé gaim-vv (voice and video) qui semble avoir un but similaire. Le développement de gaim-vv est très actif et il est prévu une intégration avec le système multimédia Gstreamer pour la prochaine version (d'après leur nouveau site). Les améliorations développées pour le projet gaim-vv seront à terme réintégrées dans gaim.
PhoneGaim permet de téléphoner gratuitement de PhoneGaim à PhoneGaim, ainsi que vers tout poste équipé d'un logiciel compatible SIP, mais également vers un poste fixe en souscrivant aux services de la société SIPphone (dont le PDG de Linspire est comme par hasard propriétaire ...).
Cette version modifiée de Gaim semble en tous cas être la première offre réellement mature (et libre) de téléphonie sous GNU/Linux, avec Skype, qui est lui propriétaire.
NDM: On notera cependant que Linspire a "forké" gaim sans contacter les développeurs originaux alors qu'il existe déjà un fork amical nommé gaim-vv (voice and video) qui semble avoir un but similaire. Le développement de gaim-vv est très actif et il est prévu une intégration avec le système multimédia Gstreamer pour la prochaine version (d'après leur nouveau site). Les améliorations développées pour le projet gaim-vv seront à terme réintégrées dans gaim.
Flash Player 7 pour Linux disponible
Macromedia vient d'annoncer la sortie de la version 7 de son lecteur Flash pour Linux (la version équivalente pour Windows et MacOS X est sortie depuis septembre 2003). Les détails sur les améliorations apportées par cette nouvelle version figurent dans l'annonce officielle.
Comme à l'habitude, le plugin pour Mozilla, Firefox, Konqueror et autres Opera (qui vient d'ailleurs de sortir en version 7.50 pour Linux) est disponible sous forme d'un installeur ou directement sous forme de paquetages disponibles pour la majorité des "grandes" distributions.
Au niveau des nouveautés, on peut citer :
- support de CSS
- support SOAP pour les webservices
- nouvelle version de leur langage de script Actionscript v2.0
- amélioration des performances et de la sécurité
NdM : et c'est toujours diffusé sous une licence propriétaire
NdM 2 : et merci également à Yannig pour la dépêche (et les fautes)
NdM 3 : et c'est toujours seulement pour Linux x86
Comme à l'habitude, le plugin pour Mozilla, Firefox, Konqueror et autres Opera (qui vient d'ailleurs de sortir en version 7.50 pour Linux) est disponible sous forme d'un installeur ou directement sous forme de paquetages disponibles pour la majorité des "grandes" distributions.
Au niveau des nouveautés, on peut citer :
- support de CSS
- support SOAP pour les webservices
- nouvelle version de leur langage de script Actionscript v2.0
- amélioration des performances et de la sécurité
NdM : et c'est toujours diffusé sous une licence propriétaire
NdM 2 : et merci également à Yannig pour la dépêche (et les fautes)
NdM 3 : et c'est toujours seulement pour Linux x86
Vers un noyau Linux d'origine contrôlée ?
Décidemment, la traçabilité est à la mode ! Suite à l'affaire SCO et à la récente polémique sur la paternité de Linux, Linus Torvalds a décidé de créer un certificat d'origine afin de protéger Linux de toute contestation sur l'origine et les auteurs des lignes de code du noyau Linux : les contributeurs du noyau Linux devront désormais signer leur code et garantir son origine via un certificat ad hoc, prénommé Developer's Certificate of Origin.
Le but est de renforcer le suivi et le contrôle de qui fait quoi et de pouvoir dire rapidement qui a fourni tel patch et dans quelles conditions, sans avoir à rechercher dans les listes de diffusion comme l'a fait Linus pour l'affaire SCO.
Ndm : Merci également à Mark Havel, Colin Leroy et Pireer Mtora
Le but est de renforcer le suivi et le contrôle de qui fait quoi et de pouvoir dire rapidement qui a fourni tel patch et dans quelles conditions, sans avoir à rechercher dans les listes de diffusion comme l'a fait Linus pour l'affaire SCO.
Ndm : Merci également à Mark Havel, Colin Leroy et Pireer Mtora