Obsidian a écrit 5299 commentaires

  • [^] # Re: Contrôle du chauffage et de la lumière

    Posté par  . En réponse au journal Angharad, mon système de domotique maison. Évalué à 7.

    Effectivement, toute l'astuce va consister à construire des périphériques qui, d'un côté, s'interfacent avec un ordinateur central et, de l'autre, sont capables de piloter des équipements existants.

    Pour la lumière, domotique ou pas, il existe déjà les télérupteurs. Il s'agit d'interrupteurs télécommandés qui viennent se placer directement sur le tableau électrique et qui fonctionnent comme des relais bistables. En fermant un circuit, on alimente un électro-aimant qui inverse la position du bouton, qui peut par ailleurs être manipulé à la main depuis le tableau. L'avantage est que tu peux alors mettre autant d'interrupteurs que tu veux dans tes pièces, là où un va-et-vient ordinaire se limite à deux. Du coup, il est très facile d'ajouter en parallèle un relais ou un triac pour obtenir le même effet mais à l'initiative de ta centrale.

    Pour le chauffage, la plupart des appareils électriques modernes sont équipés d'un fil pilote, qui en principe se passe dans la même gaine que l'alimentation. Lorsqu'il est utilisé, il permet au minimum de demander à l'appareil de basculer entre deux programmes (formellement jour ou nuit), ainsi que certains modes prédéfinis comme la mise hors-gel ou l'arrêt total : http://www.planete-domotique.com/blog/wp-content/uploads/2012/01/ordre_fil_pilote.jpg

    Là encore, ces fils pilotes sont faits pour être gérés par un équipement rudimentaire comme un détecteur d'heures creuses ou un thermostat, mais ils peuvent sans difficulté être exploités par la même centrale.

  • [^] # Re: C'est dredi alors...

    Posté par  . En réponse au journal Quel environnement de bureau par défaut pour Debian Jessie ?. Évalué à 5.

    Voir même une navette spatiale, en l'occurrence…

  • # Oui.

    Posté par  . En réponse au message comment installer linux sur pc fixe xp. Évalué à 4.

    Bonjour,

    Ça dépend de ce que tu veux faire. Si tu veux faire cohabiter les deux, il va falloir repartionner le disque, redimensionner les filesystems etc. Ça se fait beaucoup mais ce n'est pas trivial. Si, en revanche, tu te moques complètement de Windows XP et de ce qu'il y a sur le disque (à vérifier quand même), alors tu peux lancer une installation initiale qui effacera tout et utilisera automatiquement la totalité de ton disque.

    Tu peux installer Linux depuis une clé USB également, à condition de choisir la distribution appropriée et de bien préparer ta clé.

    Enfin, c'est mieux si tu peux avoir accès à Internet pendant l'installation (par câble Ethernet ou par Wifi). La majorité des packages sont rapatriés directement depuis les serveurs de l'éditeur de la distribution que tu auras choisie et les mises à jour pourront se faire également pendant cette phase.

  • [^] # Re: Pas tout compris

    Posté par  . En réponse au message ip fallback. Évalué à 5.

    Il explique que bien qu'on lui ait réservé une IP fixe, l'administrateur lui demande quand même de faire en sorte que ce soit le DHCP qui lui attribue, probablement pour pouvoir facilement en changer si le besoin s'en faisait sentir, sans avoir à intervenir sur la configuration d'un serveur tiers.

    Il explique également n'avoir aucune confiance dans le serveur DHCP et souhaiter mettre en place une procédure de fallback qui pour s'attribuer soi-même l'IP fixe par défaut si jamais le serveur est parti faire un tour au bistrot.

  • [^] # Re: 50% résolu !

    Posté par  . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 3.

    Je te suggère un petit coup de chkrootkit quand même. Je pense que ce n'est pas superflu dans ce genre de situation.

  • [^] # Re: 50% résolu !

    Posté par  . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 3.

    Fais un « mount | grep " /dev " » pour voir ce qui émule ton /dev mais, en principe, il s'agit d'un système de fichiers virtuel reconstruit à chaque redémarrage.

    À mon avis, techniquement, tu peux sans risque flanquer /dev2 aux oubliettes, à condition de bien vérifier qu'il n'y a rien d'autre dedans que ce qui ce se trouve déjà dans le /dev ordinaire. Mais avant de le faire, il faut quand même être certain de savoir ce qui l'a mis ici.

    Je pense également que ton « mv / /mnt/backup » n'a rien à voir dans tout cela. Je ne sais pas comment fonctionne Amanda Backup en particulier parce que je ne l'utilise pas, mais il est possible, bien que peu probable, qu'un système de backup quelconque ait voulu restaurer une ancienne copie et ai renommé le répertoire existant parce qu'il existait déjà. Ça paraît douteux quand même. Tu es sûr de ne plus te souvenir d'une opération particulière effectuée le 16 avril ?

  • [^] # Re: 50% résolu !

    Posté par  . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 2.

    Tu peux utiliser le lien « Répondre » en bas de chaque commentaire pour préserver le fil de la discussion.

    Pour /dev2, c'est assez étrange. Il n'est pas impossible qu'il s'agisse d'un rootkit, mais c'est un peu voyant tout de même. Le « ls » renvoie la date du 16 avril. Ça te dit quelque chose ?

  • # Curieux.

    Posté par  . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 4. Dernière modification le 21 juillet 2014 à 16:39.

    Que donne un « ls -ld /dev /dev2 » ?
    Que donne un « getfacl » sur /dev et /dev/null ?
    Que donne un « df -h /dev /dev2 » ?

  • [^] # Re: Quand je vois cela...

    Posté par  . En réponse au journal Le bureau de Linus. Évalué à 3.

    En tout cas, on sait maintenant qu'il est déjà prêt pour les tapis roulants…

  • [^] # Re: Même constats

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi un PC ralentit-il ?. Évalué à 10.

    Hélas, ce FS est mort et enterré.

    Mais personne ne sait où… /o\

    →[]

  • [^] # Re: ca ressemble à une connexion du modem en mode bridge

    Posté par  . En réponse au message Obtenir l'IP locale. Évalué à 6.

    S'il a une adresse en 82.226.xxx.yyy, c'est qu'il a une Freebox.

    C'est effectivement elle qu'il faut re-régler. Il arrive effectivement qu'elle repasse en mode bridge à la suite d'une mise à jour qui s'est mal passée ou si on l'a réinitialisée. Il faudrait connaître le modèle de sa boîte pour savoir s'il doit faire cela à travers sa console de gestion (jusqu'à la V5) ou intervenir directement sur la boîte.

  • [^] # Re: hop

    Posté par  . En réponse au journal Civ 5 sous Linux. Évalué à 3.

    Il y a aussi « Portal 2 » qui fonctionne en natif sous Linux depuis quelque temps sur cette même plateforme. Il est toujours marqué « Bêta » mais il semble tourner malgré tout sans problème. En fait, tous les jeux Steam que j'ai personnellement achetés et que je faisais fonctionner avec Wine sont désormais disponibles, à l'exception de « In Momentum » que je n'ai jamais réussi à lancer.

    Même d'anciens titres comme « System Shock 2 » sont disponibles également, et ça fait plaisir de voir ces jeux fonctionner directement sous Linux.

  • [^] # Re: Plein de tutoriels !

    Posté par  . En réponse au journal mooc edx introduction. Évalué à 2.

    Ah ! C'est dommage d'arriver à la dernière et de ne pas finir ! :-)

    Cette dernière tâche est néanmoins très intéressante parce qu'elle montre qu'en dépit de ce que l'on a pu faire en étant tenu par la main et qui n'était pourtant pas facile, faire du code Kernel propre et réellement utile reste très difficile. C'est une bonne chose pare qu'elle arrive à un moment où l'on a quand même accumulé suffisamment de connaissances pour avoir envie de s'en servir mais que cela pousse à être extrêmement circonspect au moment de la rédaction du moindre patch, ce qui est en somme ce que l'on attend le plus des développeurs noyau. Car autrement, cette vérification incombe au mainteneur, qui doit alors faire de même avec des centaines d'autres soumissions au même moment. Les témoignages de GKH à ce sujet sont parfois croustillants : https://www.youtube.com/watch?v=fMeH7wqOwXA

    On va passer sous silence le nombre total de tâches ainsi que le contenu de la dernière pour ne pas gâcher le plaisir aux concurrents, mais si tu as déjà soumis un premier résultat et qu'il a été retoqué, Little Penguin t'aura probablement indiqué des outils à utiliser pour vérifier tes opérations. Il se trouve que l'un d'eux est beaucoup plus tatillon que les autres et rend la tâche encore plus compliquée, au point qu'au bout de trois jours supplémentaires, j'ai fini par poser la question et demander si ça faisait vraiment partie du défi. Ce n'était pas le cas. Cela dit, cela demande quand même de poser les verrous au bon moment et de savoir jouer avec les différents buffers, mais ce n'est pas plus difficile que la tâche précédente.

  • # Plein de tutoriels !

    Posté par  . En réponse au journal mooc edx introduction. Évalué à 2.

    Effectivement, ça a l'air d'être un cours pour ceux qui découvrent le système d'exploitation, voire se mettent tout juste à l'informatique. Ça reste une très bonne chose, surtout si ça permet d'entrée d'emblée dans la manipulation de Linux, voire d'Unix directement, sans être dépendant des interfaces propres à certaines distributions. Je me souviens avoir touché à quelques Linux courant 1996 et avoir sérieusement commencé en 1998 quand j'ai eu un PC à temps plein pour l'installer et travailler avec. À l'époque, il y avait encore pas mal de choses à configurer soi même pour que tout marche, et on pouvait encore avoir un aperçu des fondamentaux. Configurer un kernel était effectivement un passage obligé à plus ou moins court terme, comme on le précisait dans une autre discussion, justement concernant Eudyptula : http://linuxfr.org/users/edb/journaux/devenez-un-developpeur-linux

    Et puisqu'on en parle, j'ai récemment fini le défi Eudyptula et ça m'a vraiment rendu très enthousiaste ! Contribuer au noyau Linux est devenu un processus difficile à appréhender alors qu'il reste essentiel. Je trouve les tâches très bien construites et ordonnées, même s'il faut une certaine dose de motivation parce que personne n'a dit que ce serait facile… :-) Il faut être patient parce qu'en dépit de ce qui est écrit, il y a quand même au moins une personne qui supervise les scripts et les réponses soumises. Ça doit demander beaucoup de travail.

  • [^] # Re: Et vice versa

    Posté par  . En réponse au journal Le Web comme un learning machine. Évalué à 3.

    Une learning machine pour moi c'était ça

    Ça, c'est une « teaching machine » :-)

  • # Ingénieux

    Posté par  . En réponse au message Écriture manuscrite avec latex ou libreoffice. Évalué à 4.

    Je ne sais pas si c'est très clair.

    Très clair ou pas, c'est idéal pour boucler rapidement les punitions reçues en classe ! :-)

  • [^] # Re: LOPPSI 2

    Posté par  . En réponse au message Pointeur Laser Vert - Technique et Législation Française ?. Évalué à 2.

    Les lasers ça sert à pointer des choses sur une toile de projection, lors d'une conférence par exemple.

    Un trait d'ironie s'est caché dans le commentaire auquel tu as répondu. Sauras-tu le retrouver ? :-)

  • [^] # Re: Faut pas rêver

    Posté par  . En réponse au journal devenez un développeur linux. Évalué à 2.

    Il s'agit de parvenir à avoir un patch qui soit accepté dans la branche principale….et pas de devenir mainteneur.

    Et c'est tant mieux parce qu'être mainteneur est loin d'être le boulot le plus sympa quand on veut contribuer au noyau…

  • # LOPPSI 2

    Posté par  . En réponse au message Pointeur Laser Vert - Technique et Législation Française ?. Évalué à 6.

    Question 3 : Peut-on importer des Pointeur de Laser Vert de classe supérieure (l'importation n'incluant pas l'utilisation, on peut très bien acheter un sabre à condition de le garder chez soi)

    Malheureusement, la LOPPSI 2 est passée par là entre temps, votée par de sympathiques et responsables personnes qui n'ont eu de cesse de vouloir nous protéger contre nous même :

    Article 68 de la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011

    Le fait d'acheter, de détenir ou d'utiliser un appareil à laser non destiné à un usage spécifique autorisé d'une classe
    supérieure à 2 est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende.
    Est puni des mêmes peines le fait de fabriquer, importer, mettre à disposition à titre gratuit ou onéreux, détenir en vue de
    la vente ou de la distribution gratuite, mettre en vente, vendre ou distribuer à titre gratuit ces mêmes matériels.
    La liste des usages spécifiques autorisés pour les appareils à laser sortant d'une classe supérieure à 2 est fixée par décret.

    Vous aviez acheté jadis des diodes laser 5 mW en magasin d'électronique ? Vous risquez six mois de prison du simple fait de les avoir chez vous aujourd'hui. De toutes façons, les lasers ça ne sert à rien. Un particulier qui en détient un ne peut être qu'un dangereux délinquant avec l'intention de pointer ça sur les avions…

  • [^] # Re: Greg KH

    Posté par  . En réponse au journal devenez un développeur linux. Évalué à 2.

    En effet, et rien ne permet de l'affirmer avec certitude (il ne vaudrait mieux pas pour lui, d'ailleurs).

    Par contre, au fur et à mesure que l'on avance au sein des différentes « tâches », un faisceau de présomptions commence à se former… :-)

  • [^] # Re: domain public

    Posté par  . En réponse au journal Show us the code! Les sources de Microsoft Word enfin dispo !. Évalué à 5.

    C'était justement l'origine de la blague. Word n'a pas 50 ans, Microsoft non plus.

  • [^] # Re: c'est probablement stupide

    Posté par  . En réponse au message débugguer un CGI avec GDB ( sous apache2 ). Évalué à 3.

    Au fait, en quel langage ton programme a-t-il été écrit ?

    Comme dit plus haut, il y a des chances pour que ton application déclenche une segfault dès le départ (relativement courant avec les CGI). Le mieux est de provoquer le dépôt d'un fichier « core » (fonctionnalité proposée par Unix et pas simplement par Apache) qui sert à cela. Regarde la directive CoreDumpDirectory pour voir où le générer.

    Une fois que tu l'as, tu l'ouvres avec « gdb  ».

    Tu retrouveras alors l'environnement du programme tel qu'il était au moment du déclenchement, avec notamment la pile des appels, et tu seras plus à même de localiser l'erreur.

  • [^] # Re: Levons le voile : premier exercice !

    Posté par  . En réponse au journal devenez un développeur linux. Évalué à 4.

    Je me suis dit la même chose en effet, et je suis bien content d'avoir débuté avec Linux à cette époque !

  • # Pas forcément difficile mais…

    Posté par  . En réponse au journal Posture de travail et mal de dos. Évalué à 3.

    Il y a une demande similaire sur le site il n'y a pas très longtemps et on avait déjà donné pas mal de conclusions mais pour ma part, l'idéal est

    – Un bureau d'une hauteur d'environ 70 cm (à ajuster éventuellement de quelques centimètres selon ta taille). ← C'est important ;
    — Un fauteuil à accoudoirs, lequels doivent être légèrement plus haut que la table (c'est chiant pour ranger le fauteuil sous la table, mais bon). J'ai personnellement trouvé, à l'époque, un fauteuil cuir chez Office Dépôt en promotion à 55 €. Le stock est parti en trois ou quatre jours mais j'ai pu en avoir un et c'est jusque là le siège sur lequel j'ai été le mieux assis ;
    — Un écran EN FACE de toi ! Ça c'est primordial. Si ta machine est dans un coin de ton bureau pour voir tes interlocuteurs et, pire, que le clavier, se trouve le côté, tu vas te pencher en permanence pour l'atteindre et, à la fin de la journée, tu auras l'impression d'avoir reçu un coup de poignard dans le dos. Ça pourrait presque t'empêcher de te lever. J'avais expérimenté cela étant pourtant jeune (18 ans) quand je faisais de la saisie pour un service des redevances aériennes à Orly pendant un mois. J'ai vite réaménagé ma station et ça a été tout de suite nettement mieux ;
    — Normalement, avec un bureau de la bonne hauteur et les accoudoirs au bon niveau, tes pieds doivent naturellement toucher par terre. Je me suis ajouté en plus un tabouret au fond de mon bureau pour pouvoir étendre les jambes. Tu peux te prévoir un repose-pied devant si tu en as besoin (j'ai un palonnier d'aviation pour la simulation, qui en fait office en temps normal) ;
    — De la place devant toi ! Il faut prévoir 50 cm devant le bord du bureau et ton moniteur, de sorte que ce soit le clavier qui s'adapte à ta morphologie et pas l'inverse. Ça te permet aussi de le pousser pour placer une feuille devant toi au besoin ;
    – Même chose pour la souris : c'est l'avant-bras entier, et pas seulement le poignet, qui doit reposer sur ta table quand tu manipules ta souris. Si tes accoudoirs sont bien réglés, ton avant bras doit reposer dessus et se prolonger naturellement sur la table.

    Surtout bannir totalement les mini-bureaux, type tablettes ou console, que l'on utilise souvent quand on habite un appartement exigü.

  • [^] # Re: process séparé ?

    Posté par  . En réponse au message débugguer un CGI avec GDB ( sous apache2 ). Évalué à 3.

    C'est ce que je ferais également dans un premier temps.

    Sinon, la solution universelle est de configurer ton environnement et/ou ton serveur Apache pour que ton exécutable produise un fichier core. C'est à cela qu'ils servent. Tu le débugues ensuite à tête reposée dans ton coin. Même si ta machine ne dumpe qu'un seul thread, au moins tu sauras immédiatement où cela se passe.