Le logiciel libre serait menacé par l'extension de la nouvelle manie de
devenir propriétaire des découvertes intellectuelles.
Cette fois se serait l'université de Paris VI ("la plus grosse usine à
thèses de France") qui voudrait s'approprier les "découvertes" de ses
étudiants en leur faisant signer un engagement de confidentialité même si
elle (la thèse) n'est pas financée par un industriel.
Ensuite… même chose pour le personnel?
Breveter les logiciels, les algorithmes et bientôt quoi?
Attention à vos "bon mots" certains pourraient déposer le brevet et vous
les faire payer très cher ensuite.
Dommage, moi j'aurai bien voulu y croire à l'Europe!
NdM. : cette dépêche a été initialement publiée le 29/09/1999 à 23h23, perdue lors d'une migration du site, retrouvée et remise en ligne le 1er mai 2012 (les éventuels commentaires initiaux ont été perdus).