Bruno « NoNo » Michel a présenté aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre à Mont de Marsan, devant une salle surpeuplée et deux caméras, une rétrospective sur le site LinuxFr.org.
Il a détaillé dix ans de questions techniques d'hébergement, de serveurs et de code, dix ans de contenus variés (dépêches, astuces, sondages, journaux, forums, suivi, entretiens, commentaires), dix ans de relations humaines (interne à l'équipe du site, avec et entre les visiteurs, etc.) et dix ans de tous ces petits quelques choses qui font que LinuxFr.org est ce qu'il est.
La présentation est truffée d'anecdotes, et la vidéo en contient bien plus encore.
Cette présentation est la première des actions (im)prévues pour marquer les 10 ans du site. D'autres sont en préparation et bien évidemment, on ne vous dira pas lesquelles, ou seulement si vous insistez suffisamment.
Sortie du logiciel libre WSO2 ESB en version 1.7
L'Enterprise Service Bus (ou ESB) de la société WSO2 est sorti en version 1.7.
Un ESB est un produit logiciel qui a pour but de faciliter la communication d'applications basées sur des technologies souvent différentes.
Les ESB s'inscrivent la plupart du temps dans une démarche d'architecture orientée services (ou SOA) pour un système d'informations d'une entreprise ou les applications disposent de points d'entrée servant de pilotage ou d'intégration de données et de points de sorties passifs (évènements internes exposés ou public) ou actifs (capables d'interroger d'autres sources de données).
WSO2 ESB permet de se connecter, d'administrer et de transformer différents type de services (Ws-*, REST/POX, Legacy...) sur différentes couches de transport (HTTP/HTTPS, JMS, système de fichier, mail).
Il supporte les normes WS-Security et WS-Reliable Messaging ainsi que plusieurs formats de message (SOAP 1.1/1.2, PoX/REST, Hessian, MTOM ou encore SwA).
Une interface graphique d'administration ainsi qu'une interface JMX permet de configurer et surveiller les différentes communications des services gérés par l'ESB.
NdM : cet ESB est publié sous licence Apache 2.0.
Un ESB est un produit logiciel qui a pour but de faciliter la communication d'applications basées sur des technologies souvent différentes.
Les ESB s'inscrivent la plupart du temps dans une démarche d'architecture orientée services (ou SOA) pour un système d'informations d'une entreprise ou les applications disposent de points d'entrée servant de pilotage ou d'intégration de données et de points de sorties passifs (évènements internes exposés ou public) ou actifs (capables d'interroger d'autres sources de données).
WSO2 ESB permet de se connecter, d'administrer et de transformer différents type de services (Ws-*, REST/POX, Legacy...) sur différentes couches de transport (HTTP/HTTPS, JMS, système de fichier, mail).
Il supporte les normes WS-Security et WS-Reliable Messaging ainsi que plusieurs formats de message (SOAP 1.1/1.2, PoX/REST, Hessian, MTOM ou encore SwA).
Une interface graphique d'administration ainsi qu'une interface JMX permet de configurer et surveiller les différentes communications des services gérés par l'ESB.
NdM : cet ESB est publié sous licence Apache 2.0.
LinuxFR.org a dix ans !
DLFP ou Da Linux French Page ou plus simplement Linuxfr ou LinuxFR.org fête aujourd'hui même, ce 28 juin son dixième anniversaire.
Dédié à l'actualité des logiciels libres et opensource et sujets afférents, ce site fonctionne sur le bénévolat et les contributions de ses visiteurs.
Après moultes péripéties, l'aventure continue !
Dédié à l'actualité des logiciels libres et opensource et sujets afférents, ce site fonctionne sur le bénévolat et les contributions de ses visiteurs.
Après moultes péripéties, l'aventure continue !
L'ICANN libère les extensions de domaines
Il sera bientôt possible d'acheter des noms du domaines avec l'extension de son choix. Jusqu'à présent, pour acheter (plus exactement louer pour une certaine durée) un nom de domaine, on n'avait guère de choix. Il fallait se contenter d'un .com, d'un .net ou d'un .org, voir dans certains cas d'un .fr, libérés depuis peu.
Mais il était impossible d'obtenir un extension particulière. Par exemple, il était impossible d'obtenir un .linux. L'an prochain, soit en 2009, il sera possible d'acheter une extension racine. En effet, l'ICANN prévoit d'autoriser l'achat de n'importe quelle extension. On imagine assez facilement les grandes entreprises utiliser leur propre extension pour peu qu'elles soient assez connues, par exemple .redhat ou .suse pour les deux entreprises.
On imagine tous les problèmes de cyber-squatting que cela risque de générer. Déjà qu'actuellement avec les .com et .net cela arrive de temps en temps. Beaucoup de grandes sociétés vont devoir acheter rapidement beaucoup de ces nouvelles extensions, pour éviter tout problème de cyber-squatting. Sans parler de toutes les entreprises qui voudront acquérir les .achat, .vente, .bay, etc.
NdM : une entreprise (libre ou proprio, ou encore ambivalente) cyber-squattée peut toujours négocier, racheter ou attaquer un cyber-squatteur, les projets libres plus difficilement...
Mais il était impossible d'obtenir un extension particulière. Par exemple, il était impossible d'obtenir un .linux. L'an prochain, soit en 2009, il sera possible d'acheter une extension racine. En effet, l'ICANN prévoit d'autoriser l'achat de n'importe quelle extension. On imagine assez facilement les grandes entreprises utiliser leur propre extension pour peu qu'elles soient assez connues, par exemple .redhat ou .suse pour les deux entreprises.
On imagine tous les problèmes de cyber-squatting que cela risque de générer. Déjà qu'actuellement avec les .com et .net cela arrive de temps en temps. Beaucoup de grandes sociétés vont devoir acheter rapidement beaucoup de ces nouvelles extensions, pour éviter tout problème de cyber-squatting. Sans parler de toutes les entreprises qui voudront acquérir les .achat, .vente, .bay, etc.
NdM : une entreprise (libre ou proprio, ou encore ambivalente) cyber-squattée peut toujours négocier, racheter ou attaquer un cyber-squatteur, les projets libres plus difficilement...
Vers un filtrage de masse du web français
Profitant de la tenue des assises du numérique, le gouvernement a décidé de réunir les FAI le 10 juin pour leur demander de signer une « charte de confiance en ligne ». Le but avoué est de développer « la civilité et la sécurité de l'Internet », notamment en imposant aux fournisseurs d'accès un filtrage actif du réseau et une démarche proactive.
Derrière quelques points de bon sens faisant consensus et de toute façon déjà développés par les FAI (aider les utilisateurs à lutter contre le spam et le phishing), c'est un aspect bien plus inquiétant qui se dessine. Non satisfait de vouloir contraindre les FAI à un rôle de gendarme, ce texte cherche à faciliter le contrôle du législateur et des ayants-droits sur le contenu en ligne en court-circuitant le pouvoir judiciaire.
Derrière quelques points de bon sens faisant consensus et de toute façon déjà développés par les FAI (aider les utilisateurs à lutter contre le spam et le phishing), c'est un aspect bien plus inquiétant qui se dessine. Non satisfait de vouloir contraindre les FAI à un rôle de gendarme, ce texte cherche à faciliter le contrôle du législateur et des ayants-droits sur le contenu en ligne en court-circuitant le pouvoir judiciaire.
JeuxDeMots : un jeu en ligne pour produire des données lexicales libres
JeuxDeMots est un jeu en ligne développé au sein du Laboratoire d'Informatique Robotique Micro-électronique de Montpellier (LIRMM), par Mathieu Lafourcade. Ce jeu fait jouer des joueurs sur un terme précis (par exemple "chat") et une consigne précise (par exemple "trouver des synonymes"). Une telle partie est proposée à deux joueurs tirés au hasard, et les points gagnés sont proportionnels au nombre de mots trouvés qu'ils ont en commun.
Outre son aspect ludique, l'intérêt de JeuxDeMots réside dans le fait qu'il produit un réseau lexical en fonction des réponses données par les joueurs. Un réseau lexical permet de représenter des relations entre des termes (exemple "matou" est synonyme de "chat", "haine" est le contraire de "amour"). Le réseau lexical produit par JeuxDeMots est placé sous licence Creative Commons by-sa. Plusieurs API (python, Java) permettent ensuite de pouvoir exploiter ce réseau dans des applications.
NdM : pour l'instant le code est propriétaire « mais le choix d'une licence finale se fera quand toutes les fonctionnalités du site auront été développées ». En revanche, les données produites sont sous une licence Creative Commons, la licence libre by-sa 2.0 (Attribution - Share Alike) et les API sont libres sous GPLv3.
Outre son aspect ludique, l'intérêt de JeuxDeMots réside dans le fait qu'il produit un réseau lexical en fonction des réponses données par les joueurs. Un réseau lexical permet de représenter des relations entre des termes (exemple "matou" est synonyme de "chat", "haine" est le contraire de "amour"). Le réseau lexical produit par JeuxDeMots est placé sous licence Creative Commons by-sa. Plusieurs API (python, Java) permettent ensuite de pouvoir exploiter ce réseau dans des applications.
NdM : pour l'instant le code est propriétaire « mais le choix d'une licence finale se fera quand toutes les fonctionnalités du site auront été développées ». En revanche, les données produites sont sous une licence Creative Commons, la licence libre by-sa 2.0 (Attribution - Share Alike) et les API sont libres sous GPLv3.
DMOZ a 10 ans
En juin 1998, deux ingénieurs de Sun lançaient GnuHoo, un répertoire du web élaboré en mode collaboratif. Le projet suscita rapidement la controverse à cause de son nom rappelant celui du projet GNU et de l'absence de licence libre. Il fut renommé en NewHoo et c'est ensuite Yahoo! qui exprima son mécontentement. Quelques mois plus tard, Netscape rachète le projet et l'héberge sur les serveurs de Mozilla : http://directory.mozilla.org. L'Open Directory Project est ensuite surnommé D(irectory)MOZ(illa) et devient accessible via l'url http://www.dmoz.org.
Dès 2000, DMOZ dispose de plus de références que Yahoo! mais ce dernier est devenu bien plus qu'un simple répertoire. Les portails incluant un répertoire et d'autres services ont le vent en poupe pendant que Google prend doucement de l'ampleur.
L'année suivante, DMOZ annonce son contrat social inspiré par celui de Debian et une licence Open Directory indiquant les conditions de réutilisation des données (cette licence est considérée comme non-libre par la FSF). Google va aussitôt intégrer le répertoire - et continue toujours de le proposer dans ses services.
Une décennie s'est donc écoulée. Le projet est formellement une réussite puisqu'il est rapidement devenu le plus grand répertoire de site web (4,5 millions de sites web classés dans 500 000 catégories ) et continue de fonctionner en mode collaboratif (80 000 éditeurs). Cependant, DMOZ est bien moins populaire que Wikipédia, et comme l'a souligné un des fondateurs "aujourd'hui tout le monde utilise Google n'est-ce pas ?". Mais qui n'a pas déjà été agacé par les résultats des moteurs de recherche, encombrés de liens commerciaux ou de fausses références chargées en mots clés judicieusement choisis ? Un annuaire humain, c'est plus malin...
Mozilla tente d'établir un record du monde des téléchargements
Dans le cadre du lancement prochain de Firefox 3, Mozilla tente d'établir un "Guinness World Record" du logiciel le plus téléchargé sur une période de 24 heures en s'appuyant sur sa communauté d'utilisateurs.
Pour participer, il suffit de visiter la page "Download Day" de SpreadFirefox.com et de s'enregistrer en s'engageant à télécharger Firefox 3 le jour où il sortira. Cette opération est une belle occasion de donner de la visibilité au logiciel libre destiné aux utilisateurs finaux à travers le très célèbre livre des records Guinness (pour les buveurs de bière, rappelons qu'il y a bien un rapport avec la brasserie du même nom, d'après Wikipédia).
NdM : et Firefox 3 RC1 est disponible depuis une dizaine de jours... (suivre les deux derniers liens pour plus d'information).
Pour participer, il suffit de visiter la page "Download Day" de SpreadFirefox.com et de s'enregistrer en s'engageant à télécharger Firefox 3 le jour où il sortira. Cette opération est une belle occasion de donner de la visibilité au logiciel libre destiné aux utilisateurs finaux à travers le très célèbre livre des records Guinness (pour les buveurs de bière, rappelons qu'il y a bien un rapport avec la brasserie du même nom, d'après Wikipédia).
NdM : et Firefox 3 RC1 est disponible depuis une dizaine de jours... (suivre les deux derniers liens pour plus d'information).
Un fork de PunBB ? FluxBB
Voilà déjà plusieurs semaines que la communauté de PunBB, un des plus célèbres forum en PHP, est divisée, précisément depuis le rachat de celui-ci il y a quelques mois. Plusieurs développeurs ont alors décidé de recréer un fork FluxBB dans l'optique totalement open-source afin de contrer le « possible » passage de PunBB au payant. Reprenant évidemment la base de PunBB, ce fork reprend aussi le développement de la version 1.3 qui était en préparation depuis plusieurs mois (années).
La communauté francophone a déjà annoncé vouloir s'occuper des deux forums puis, si la tendance de confirme, uniquement du totalement libre. FluxBB contient aussi le hdiff (fichier montrant les différences entre les versions) permettant de migrer simplement depuis PunBB
FluxBB est le fruit du mécontentement général, et risque bien d'entraîner PunBB vers le fond, comme le résume l'administrateur de Fluxbb.fr : « PunBB et FluxBB sont dans un bateau... le premier tombe à l'eau, reste le second. ». Cet évènement nous prouve une fois encore que les communautés sont très sensibles à l'évolution de leur projet, et n'hésitent pas à engager de gros "travaux" pour maintenir leurs idéaux.
La communauté francophone a déjà annoncé vouloir s'occuper des deux forums puis, si la tendance de confirme, uniquement du totalement libre. FluxBB contient aussi le hdiff (fichier montrant les différences entre les versions) permettant de migrer simplement depuis PunBB
FluxBB est le fruit du mécontentement général, et risque bien d'entraîner PunBB vers le fond, comme le résume l'administrateur de Fluxbb.fr : « PunBB et FluxBB sont dans un bateau... le premier tombe à l'eau, reste le second. ». Cet évènement nous prouve une fois encore que les communautés sont très sensibles à l'évolution de leur projet, et n'hésitent pas à engager de gros "travaux" pour maintenir leurs idéaux.
Évolutions sur LinuxFr
Quelques évolutions sur le site ont récemment été réalisées par Oumph :
Le nombre d'entrées dans le système de suivi est à 93 ouvertes sur 790 (rappel : vous pouvez voter pour les tâches que vous jugez prioritaires). Le temps moyen de résolution est de 167 jours. La moitié des entrées fermées ont été traitées en moins de 6 jours.
Par ailleurs, NoNo interviendra en juillet, durant les RMLL 2008 à Mont-de-Marsan, sur le thème « 10 ans de LinuxFr.org ».
- Les astuces ont été migrées vers un forum (l'interface d'administration était trop pauvre et les astuces trop peu utilisées pour être gérées à part). Les anciens liens directs vers les astuces (/tips/###.html) sont redirigés. Les forums accueilleront donc à la fois des questions/réponses et des astuces.
- Un nouveau type de contenu a fait son apparition : les propositions d'entretien. L'objectif est de permettre à la communauté de visiteurs du site de poser les questions qu'ils souhaitent à des personnes, entreprises, projets de développement, etc. Voir la description sur la page des propositions d'entretien.
- Des statistiques ont été ajoutées sur les auteurs de contenus.
- Suite au journal Toi aussi, tu en as marre d'oublier le https, nous rappelons qu'il suffit de se loguer en https (pour ne pas transmettre en clair son mot de passe et son cookie de session) pour que tous les accès au site se fassent ensuite en https.
Le nombre d'entrées dans le système de suivi est à 93 ouvertes sur 790 (rappel : vous pouvez voter pour les tâches que vous jugez prioritaires). Le temps moyen de résolution est de 167 jours. La moitié des entrées fermées ont été traitées en moins de 6 jours.
Par ailleurs, NoNo interviendra en juillet, durant les RMLL 2008 à Mont-de-Marsan, sur le thème « 10 ans de LinuxFr.org ».
Riposte graduée : la résistance s'organise à l'international
La Quadrature du Net annonce le soutien de 14 organisations non gouvernementales françaises, européennes et internationales. L'April, Big Brother Awards France, Creative Commons France, French Data Network, Globenet, MarsNet, Musique Libre et Qwartz, une association allemande, une danoise, une anglaise, une espagnole mais aussi l'Electronic Frontier Foundation, l'Open Society Institute et Privacy International soutiennent le collectif français.
La nature des soutiens montre l'importance des enjeux qui dépassent largement l'Hexagone. Le collectif craint particulièrement que la France pousse la riposte graduée pendant sa présidence de l'Union Européenne, qui débute le 1er juillet. Il faut dire que l'industrie du disque s'est récemment félicitée dans l'International Herald Tribune que Nicolas Sarkozy soit son meilleur porte-parole à l'international, et que la ministre de la Culture, Christine Albanel insiste pour faire adopter la riposte graduée avant l'été, malgré l'avis défavorable du Parlement européen.
Le collectif a donc écrit au Premier Ministre pour qu'il ne dépose pas le projet de Christine Albanel devant le Parlement Français et fasse en sorte que les Assises du numérique récemment lancées soient réellement utiles. Les fondateurs du collectif appellent toutes les associations et entreprises à les rejoindre. Ils invitent les citoyens à contacter les élus pour qu'ils interpellent le Premier Ministre, et à afficher sur leurs sites les logos, bannières et dessins de la semaine du collectif.
La nature des soutiens montre l'importance des enjeux qui dépassent largement l'Hexagone. Le collectif craint particulièrement que la France pousse la riposte graduée pendant sa présidence de l'Union Européenne, qui débute le 1er juillet. Il faut dire que l'industrie du disque s'est récemment félicitée dans l'International Herald Tribune que Nicolas Sarkozy soit son meilleur porte-parole à l'international, et que la ministre de la Culture, Christine Albanel insiste pour faire adopter la riposte graduée avant l'été, malgré l'avis défavorable du Parlement européen.
Le collectif a donc écrit au Premier Ministre pour qu'il ne dépose pas le projet de Christine Albanel devant le Parlement Français et fasse en sorte que les Assises du numérique récemment lancées soient réellement utiles. Les fondateurs du collectif appellent toutes les associations et entreprises à les rejoindre. Ils invitent les citoyens à contacter les élus pour qu'ils interpellent le Premier Ministre, et à afficher sur leurs sites les logos, bannières et dessins de la semaine du collectif.
Piwik : une alternative open source à Google Analytics
Piwik est une application libre de statistiques et de mesure d'audience de sites Internet développée en PHP/MySQL. Il s'agit en fait de la nouvelle version de phpMyVisites. Piwik se veut être une alternative solide Open source à Google Analytics et présente d'ores et déjà une bonne communauté de développeurs.
La démonstration présente sur le site web est très prometteuse. Même si ce n'est actuellement qu'une version beta, elle est tout à fait utilisable. Un des atouts de Piwik est une API très riche et facilement utilisable (possibilité d'exporter les données dans des formats divers, d'exporter des graphes etc.)
La démonstration présente sur le site web est très prometteuse. Même si ce n'est actuellement qu'une version beta, elle est tout à fait utilisable. Un des atouts de Piwik est une API très riche et facilement utilisable (possibilité d'exporter les données dans des formats divers, d'exporter des graphes etc.)
Le Parlement Européen rejette la riposte graduée
Le Parlement Européen a adopté jeudi 10 avril 2008 une résolution qui montre qu'une large majorité de députés européens considère la riposte graduée comme contraire aux droits fondamentaux (voir le communiqué et la revue de presse de la Quadrature du Net).
Ce vote est une claque cinglante pour le gouvernement français, d'autant plus que ce dernier a vainement tenté de convaincre les eurodéputés que son approche respectait les droits fondamentaux. Le Secrétariat des Affaires Générales Européennes (SGAE), service sous l'autorité directe du Premier Ministre, François Fillon, a ainsi envoyé mardi matin, une note aux eurodéputés (probablement en réplique à la lettre envoyée la veille par la Quadrature du Net).
Le cabinet de Christine Albanel, ministre de la culture et de la communication, explique cependant à la presse que les eurodéputés sont « hors sujet », et annonce que « le projet va être présenté en conseil des ministres fin mai, et examiné par le Parlement pendant une session extraordinaire cet été, en juin ou juillet ».
Ce vote est une claque cinglante pour le gouvernement français, d'autant plus que ce dernier a vainement tenté de convaincre les eurodéputés que son approche respectait les droits fondamentaux. Le Secrétariat des Affaires Générales Européennes (SGAE), service sous l'autorité directe du Premier Ministre, François Fillon, a ainsi envoyé mardi matin, une note aux eurodéputés (probablement en réplique à la lettre envoyée la veille par la Quadrature du Net).
Le cabinet de Christine Albanel, ministre de la culture et de la communication, explique cependant à la presse que les eurodéputés sont « hors sujet », et annonce que « le projet va être présenté en conseil des ministres fin mai, et examiné par le Parlement pendant une session extraordinaire cet été, en juin ou juillet ».
Émission Symbiose du 6 avril
Dimanche 6 avril 2008 à 14H, Symbiose recevra Philippe Aigrain chercheur, informaticien, dont les idées sur les biens communs et les abus de la propriété intellectuelle (NdM : droit d'auteur, brevets, droits des marques) sont bien connues. L’auteur de "Cause commune" abordera à l’occasion de l’émission l’un de ses sujets du moment, à savoir :
Les nouveaux mécanismes de mutualisation de ressources pour le financement de la création ou de l’innovation : de la licence globale aux mécanismes de prix pour la R&D médicale en passant par la reconnaissance (fiscale) des contributions aux biens communs
Symbiose est diffusée sur radio libertaire 89.4 en région parisienne, audible également en streaming :
MP3 qualité ADSL : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib.m3u
MP3 qualité modem : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib-modem.m3u
OGG qualité ADSL : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib.ogg.m3u
OGG qualité modem : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib-low.ogg.m3(...)
Les nouveaux mécanismes de mutualisation de ressources pour le financement de la création ou de l’innovation : de la licence globale aux mécanismes de prix pour la R&D médicale en passant par la reconnaissance (fiscale) des contributions aux biens communs
Symbiose est diffusée sur radio libertaire 89.4 en région parisienne, audible également en streaming :
MP3 qualité ADSL : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib.m3u
MP3 qualité modem : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib-modem.m3u
OGG qualité ADSL : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib.ogg.m3u
OGG qualité modem : http://ecoutez.radio-libertaire.org:8080/radiolib-low.ogg.m3(...)
PasseraLinux.fr mis à jour et lancé sur son petit bout de chemin
L'association GNU/Linux Matters, dédiée à la promotion du logiciel libre sur Internet, vient de mettre à jour le site PasseraLinux.fr. Dans un communiqué de presse, elle fait part de son intention de diriger un million d'utilisateurs Windows sur ses sites, qui leur sont destinés.
Pour atteindre cet objectif ambitieux, l'organisation compte sur de nombreux liens et de nouvelles traductions. Elle a pour cela internationalisé son projet principal, le site GetGNULinux.org, maintenant aisément traduisible en ligne. L'association à but non lucratif veut ainsi promouvoir le système GNU/Linux dans son ensemble, sans se focaliser sur une distribution en particulier.
Pour atteindre cet objectif ambitieux, l'organisation compte sur de nombreux liens et de nouvelles traductions. Elle a pour cela internationalisé son projet principal, le site GetGNULinux.org, maintenant aisément traduisible en ligne. L'association à but non lucratif veut ainsi promouvoir le système GNU/Linux dans son ensemble, sans se focaliser sur une distribution en particulier.