Hier soir, la télévision publique suisse a diffusé un reportage portant sur le problème des systèmes privateurs en matière de santé. Je vais citer le résumé, pour planter le décor :
Il ne dort plus, il meurt à petit feu à cause de lʹalarme stridente de son dispositif cardiaque qui stimule son ventricule gauche. Cette machine sonne jour et nuit et tout le monde se renvoie la balle, le fabricant, la justice et les tribunaux. Enquête sur ces implants qui (…)