Michaël a écrit 2935 commentaires

  • [^] # Re: Travail admirable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Joyce Reynolds est morte :-(. Évalué à 5.

    Intéressante contradiction que de déplorer la baisse des femmes en informatique tout en cherchant à conserver des mots masculins lorsque l'on parle de femmes.

    En gros, soit on pense tout exactement comme toi, soit tout exactement au contraire de toi, soit on vit dans la contradiction, c'est ça?

    C'est une imposture intellectuelle de faire croire aux gens que les usagers d'une langue confondent le genre grammatical et le genre, disons biologiques, des êtres qu'ils recouvrent.

    Sois moderne et fais vivre ta langue.

    Variante: “Sois moderne, utilise une machine à voter”. Cette injonction est tout en haut sur ma liste des artifices rhétoriques utilisés par les gens qui n'ont pas d'argument.

    Je suis moderne, je fais vivre ma langue, ma curiosité et mon intelligence et plein d'autres choses vachement bien. Bises.

  • [^] # Re: Verrouillage?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal CPython abandonne Mercurial et passe à Git et Github. Évalué à 3.

    étrangement, je ne considère pas que GitHub ait réussi le coté social

    Ce n'est pas super développé, mais on reçoit quand-même des messages à propos des dépôts marqués par tels et tels développeurs dans son réseau, ce qui pour moi est la fonction la plus intéressante du réseau social.

    • pas d'IM ou possibilité d'envoyer un message à un developper

    Pour ça j'utilise surtout l'adresse mail, on la trouve dans presque tous les projets – au pire dans les logs.

    • pas de fil d'actualité à la facebook ou linkedin, pour parler de l'actualité de ses projets, diffuser ses info.

    Pour cela il y a une bonne intégration avec Jekyll, je viens d'ailleurs d'y transférer mon blog.

  • [^] # Re: Commentaire consensuel !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Joyce Reynolds est morte :-(. Évalué à 4.

    Il a était montré plus haut que ce « groupuscule » est un peu plus grand et à un peu plus d'envergure et donc de légitimité que ce que tu semble croire.

    Je prendrai le temps de lire ça d'un peu plus près, la poignée de commentaires amorçant le gros fil de discussion précédent, ne laissait pas présager grand chose de bon.

    Le simple fait d'enrichir la langue française n'est pas suffisant ?

    Est-ce un enrichissement? Alors en première approche, on plaide pour avoir plus de mots, c'est vrai, mais au contraire d'un enrichissement, ce genre de débat me semble plutôt aller vers un appauvrissement – c'est pour ça que j'ai du mal à ne pas réagir. C'est un appauvrissement, parceque pour chaque utilisateur du français, chaque mot a un sens et des connotations qui sont plus personnelles – en dehors des communications professionnelles, qui essaient d'employer un langage plus formalisé – et oublier cela, c'est se retirer la possibilité de communiquer. Donc les gens qui me disent il faut dire auteure quand on parle d'une femme qui est auteur, semblent aussi vouloir me dire que j'ai tort de penser que le mot auteur peut désigner une femme autant qu'un homme et finalement me dicter que je dois employer les mots de notre langue avec le sens qu'ils leur donnent. C'est un acte de coercion injustifié doublé du refus de faire un effort pour comprendre ce qui dit l'autre. (Quand je parle du sens des mots, je ne pense pas à des jeux d'esprits comme le Humpty Dumpty de Lewis Caroll, mais juste au degré d'imprécision qui existe, disons naturellement, dans notre langue.) Je vois donc dans cette démarche un appauvrissement de la communication et pas du tout un enrichissement.

    Pourquoi est-ce accepté pour certains et pas pour d'autres ? Parce que j'ai aussi vu des « Madame le directeur » alors que « directrice » existe.

    Pour certains “directrice“ signifie “la femme du directeur“ et certaines femmes se sentent même insultées si on les appelle “madame la directrice“ parce qu'elles sont elles-mêmes le directeur et pas des “femmes de…”. Certains minsitres femmes, comme Christine Lagarde ou Michèle Alliot-Marie, insistaient pour être appelées “madame le ministre“ pour la même raison. Y-a-t'il une raison de ne pas respecter leur volonté? Probablement aucune, tout comme il n'y a probablement aucune raison de changer le mot “auteur” en ”auteure” dans le texte original, allant ainsi contre la volonté de l'auteur de ce texte – du moins de celle qu'il a manifestée en écrivant le mot ainsi.

  • # Travail admirable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Joyce Reynolds est morte :-(. Évalué à 3.

    Je profite de cette triste nouvelle pour partager l'article When Women Stopped Coding (anglais) qui lie le déclin de la représentation des femmes dans les études d'informatique (computer science) à l'apparition de la micro-informatique personnelle et la construction du mythe “du petit garçon manipulant les ordinateurs” par les campagnes de publicité.

  • [^] # Re: Commentaire consensuel !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Joyce Reynolds est morte :-(. Évalué à 1.

    Je suis plutôt contre la féminisation des noms de professions, parceque c'est un putsch linguistique et une entreprise dont l'utilité me semble assez limitée. Les usagers de la langue française font très bien la différence entre genre grammatical et genre biologique (lorsque les deux sont applicables), je n'ai pas besoin qu'un groupuscule décide pour les autres usagers qu'il faille absolument que le genres grammaticaux reflètent les genres biologiques. (On peut très bien dire, mon enfant, mon chéri, mon coco, etc. à une fillette ou même une femme, etc. on pourrait écrire des pages d'exemples là dessus.)

    Il fallait bien un chevalier blanc du "politiquement pas correct" (brrrr, la rébellion contre la féminisation des noms de profession, quelle audace !) pour me rassurer !

    Si tu a des choses constructives et intéressantes à dire à tes contradicteurs, n'hésite pas. Mais là je ne vois que de la moquerie teintée de mépris. C'est tellement mieux.

  • [^] # Re: Commentaire consensuel !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Joyce Reynolds est morte :-(. Évalué à 1.

    On peut demander aux modérateurs de rajouter des fautes d'orthographes dans les articles maintenant?

  • [^] # Re: Verrouillage?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal CPython abandonne Mercurial et passe à Git et Github. Évalué à 5.

    La phrase originale est

    son système de gestion de bugs « verrouille » les projets sur cette plate-forme.

    et j'y comprends “verrouiller” plutôt comme dans l'expression “lock in” et que justement cela a bien à faire avec la plate-forme, dans les mots de l'OP.

    Ta description des limitations de GitHub est très exacte, la gestion des bugs dans GitHub est indéniablement rudimentaire. En ce qui concerne les migrations tu aussi raison: on peut s'attendre à ce qu'elles soient douloureuses. Mais ces deux choses sont indépendantes du caractère fermé ou ouvert de la plateforme, et pour être honnête, vu que toutes les informations sont exposées publiquement et proprement (sans scrapper) GitHub ne fait rien pour empêcher les gens de partir.

    Le monde du logiciel libre n'a pas du tout pris le virage des réseaux sociaux (je pense que c'est l'aspect principal qui explique le succès de GitHb) ce qu'on peut regretter, mais bon aujourd'hui c'est comme ça.

  • # Verrouillage?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal CPython abandonne Mercurial et passe à Git et Github. Évalué à 6.

    Github est connue pour l'excellence de son interface et de ses services, pour la taille de la communauté de contributeurs potentiels, mais également pour être propriétaire et pour le fait que son système de gestion de bugs « verrouille » les projets sur cette plate-forme.

    En quoi est-ce que le système de gestion de bugs verrouille-t-il quoique ce soit? Les données sont accessibles et exploitables automatiquement par l'API JSON/HTTPS et permettent si besoin de réaliser une migration de projet. Ou bien y-a-t'il d'autres points, qui restent problématiques?

  • # Intéressant mais passe toujours à côté de l'essentiel

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Slack remplace l'IRC, ou comment l'opensource qui ne réussit pas à se défaire de ses démons. Évalué à 6. Dernière modification le 01 janvier 2016 à 21:49.

    Penser que le problème est lié à la complexité d'utilisation est à mon avis une grave erreur. Utiliser un client IRC ou un client jabber est à la portée de quiconque en a le besoin, c'est même objectivement plus facile que de configurer son client mail. Pour démarrer il suffit de trouver la fiche recette “toi aussi utilise jabber“ qui explique en 6 étapes où il faut clicker et écrire son nom, etc.

    La principale différence entre un bon produit libre et un bon produit commercial, c'est que derrière ce dernier il y a une équipe de commerciaux qui se démène pour vendre le produit – alors que pour le libre, et bien personne ne s'occupe de ça. C'est une observation tellement banale qu'on ne peut que s'étonner de ne jamais la voir dans ce genre de discussion.

    Deuxième point important expliquant l'adoption, pour une entreprise, l'intérêt de passer par un prestataire externe au lieu de monter son propre serveur jabber est qu'elle crée ainsi une abstraction complète autour de l'outil de communication: elle a un truc qui marche sans avoir besoin de s'occuper des compétences internes nécessaires à la gestion du serveur c'est peut-être pas bien compliqué à apprendre d'administrer son serveur jabber, mais dans une entreprise on a déjà assez de problèmes avec la gestion des compétences de cœur de métier lui-même pour qu'une offre qui propose une solution de communication clef en main pour un prix raisonnable soit une solution acceptable. “Suzanne a été débauchée en mai et Polo est en congé paternité, du coup plus personne ne sait comment marche le bouzin.” Quand on doit s'occuper de dizaines problèmes de ce genre, et bien c'est pas complètement idiot de se dire qu'on préfère payer ses 10€ par mois que d'avoir un n+1 ème problème à gérer. Je ne dis pas que c'est toujours la meilleure solution, par exemple accumuler les prestataires externes a aussi ses inconvénients, je dis juste que c'est une vraie approche pour résoudre le problème.

    Voici enfin une petite liste d'objets de la vie de tous les jours qui sont inutilement complexes et pourtant largement adopté (comme tout le monde je suis content d'utiliser des choses simples d'emploi et bien faites, mais une relative complexité n'est presque jamais une condition rédhibitoire)

    1. La voiture

    La voiture

    1. Le clavier de piano, qui est fait pour jouer en Do majeur, pour le reste, il faut s'adapter! Une guitare, un violoncelle ou une trompette ont quand même une interface mieux branlée.

    le clavier de piano

    1. Les ouvres boîtes “facile à utiliser” presque tout le monde a ce genre de truc chez soi, même si personne n'arrive à utiliser ces machins dès la première fois, surtout parcequ'il n'y en a jamais deux pareils.

    l'ouvre boîte

  • [^] # Re: Cookie

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Facebook. Évalué à 4.

    Oh surprise, Facebook lui suggère d'ajouter des "amis" que nous connaissons, mais aussi la voisine de dessous, avec qui nous n'avons pas de lien particuliers…

    Il y a environ 6000 explications plausibles, par exemple les amis de ta compagne ont peut-être cherché si elle avait un compte Facebook, du coup, pas besoin de magie noire pour que que Facebook demande à ta compagne si elle connaît ces personnes lorsqu'elle crée son compte!

  • [^] # Re: The scene

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La scène et le P2P. Évalué à 6.

    Euh je ne les connais pas tous, mais Skidrow était actif au début de années 90, tout comme Paradox. :) Je laisse tout à d'autres le soin de tirer les conclusions qui s'imposent! ;)

  • [^] # Re: Pour tout vous dire...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage J'utilise les touches "Arrêt Défil" et/ou "Pause/Attn". Évalué à 3.

    Mais où se trouve la touche F13 ?

    J'ai seulement entendu parler d'un F16, mais il est à la frontière turco-syrienne, probablement assez loin de ton clavier.

  • # Git bundle

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message GitHub Like : possibilité de ne pas diffuser les versions/branches de travail d'un projet. Évalué à 2. Dernière modification le 26 novembre 2015 à 21:13.

    Tu peux utilise la commande git bundle pour faire une archive fichier avec ta branche, que tu peux envoyer par email, en cryptant le cas échéant. L'archive peut ensuite être importée dans un repo normal. En pratique, tu utilises git bundle à répétition pour exporter tes modifications, ce qui te donne une suite de fichiers totof2000.1, totof2000.2 etc. Tes correspondants ont défini un remote avec

    % git remote add totof2000 file://${HOME}/Download/totof2000
    

    Lorsqu'ils reçoivent ton archive totof2000.n, il la sauvent sous le nom de ${HOME}/Download/totof2000 et un simple git fetch totof2000 ou bien git pull --ff-only totof2000 importe les nouvelles références. En écrivant un petit script pour t'aider à préparer tes archives, tu obtiens une solution avec une intendance raisonnable.

  • [^] # Re: Méconnaissance

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Compilateur et Monad Reader. Évalué à 2.

    Désolé j'ai oublié cette partie

    Pour le coup je ne comprend pas à quoi les lens peuvent servir. Je n'ai jamais vraiment touché aux lens, mais ce n'est pas plus dans l'idée de modifier une structure compliquée en appliquant des modificateurs/lecteurs aux différentes parties ? Si tu pouvais éclaircir ce point j'en serais ravi.

    Les lens permettent, lorsqu'on travaille avec des niveaux d'organisation imbriqués de réduire la dépendance entre les modules. Par exemple si on écrivait

    x.A.y.B.z.C.t

    on a une dépendance des modules, car A connaît à la fois B et C et B connaît C. Si on a des empilements plus grands, la chaîne de dépendance à un nombre quadratique en le nombre de modules qui apparaissent – parceque 1 + 2 + … + n ~ 1/2 n2 pour n grand. Si on utilise de lens on peut faire en sorte que chaque module ne connaisse que ses voisins, on a fortement réduit le couplage de notre programme car la taille des la chaîne de dépendances passe de quadratique à linéaire. Cela signifie que le coût des modifications devient linéaire au lieu de quadratique (imaginions qu'on change la définition du type de C.t par exemple) ce qui est bien.

    Pour la monade Reader on peut utiliser les lens pour composer un environnement de plus en plus riche, au lieu d'empiler des monades liées à différents environnements.

  • [^] # Re: Méconnaissance

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Compilateur et Monad Reader. Évalué à 3.

    En effet, c'est assez joli, mais quand tu fais bind tu dois préciser depuis quel module visiblement (j'ai parcouru très rapidement la doc) ? Si on utilise une unique monade (comme dans mon cas) un open ou un renommage peut faire l'affaire, mais sinon, ne trouves-tu pas ça un peu lourd ?

    C'est exact. En pratique j'utilise un renommage pour les monades sans paramètre (module Maybe = Lemonade_Maybe) ou un nom assez court pour les applications de foncteur (module Success = Lemonade_Success.Make(struct type t = string end)). Ensuite j'emploie toujours le nom qualifié – l'autocomplétion fournie par merlin marche à merveille – et j'ouvre le sous-module Infix qui définit les opérateurs infixes. En général j'utilise let open Maybe.Infix in dans mes fonctions par exemple, ou bien utilise la syntaxe Maybe.Infix.(m >>= f >>= g).

    Limiter le nombre de modules ouverts dans un projet augmente la lisibilité du code, même si on peut facilement utiliser merlin pour lever l'ambiguïté sur un type.

    Il y a un projet de recherche – malheureusement j'ai perdu les références – qui implémente des modules disons semi-ouverts pour OCaml, qui permettrait au compilateur de choisir un module en fonction du type des arguments d'une fonction pour résoudre la fonction, ce qui serait très intéressant pour le code monadique ainsi que les fonctions de persistance notamment. J'ai cru comprendre que ce travail devrait être intégré au code officiel. Est-ce que quelqu'un a plus de précisions?

  • [^] # Re: Correctif

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Compilateur et Monad Reader. Évalué à 3.

    Je vais passer pour un inculte, …

    Mais non enfin, pourquoi donc?

    L'opérateur >|= est souvent défini comme map pour la monade, avec un order des arguments qui permet de le composer. Ainsi une définition possible est

    let map m f =
      bind m (fun x -> return (f x))
    
    let ( >|= ) f m =
      map f m

    Une manière classique, dans un contexte fonctionnel, de transformer une évaluation stricte en évaluation paresseuse est de la suspendre dans une fermeture, l'expression expr devient fun () -> expr. Ainsi l'opérateur de séquence qui en Haskell a la signature

    val ( >> ) : 'a t -> 'b t -> 'b t

    est plus communément définit en OCaml avec la signature

    val (  >> ) : 'a t -> (unit -> 'b t) -> 'b t

    qui permet d'implémenter effectivement la séquence – l'ordre des évaluations des arguments d'une fonction ou d'un opérateur n'est pas spécifié – sauf pour les raccourcis booléens, c'est la même convention que le C si je ne me trompe pas – de sorte que la première définition ne garantirait pas que la première valeur dans l'ordre de lecture soit effectivement calculée la seconde.

    On pourrait aussi bien choisir la signature

    val (  >> ) : 'a t -> 'b t lazy -> 'b t

    mais en pratique c'est la première option qui est retenue, sûrement parceque le code monadique contient beaucoup de fonctions anonymes, et que les suspensions de type fun () -> x s'y intègrent bien.

  • [^] # Re: Un traître ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Bassel Khartabil, développeur du libre, secrètement condamné à mort par le gouvernement syrien. Évalué à 6.

    Merci de ta réponse argumentée (et bourrée d'infos au fait, merci) et apaisante :)

  • [^] # Re: Sont-elles forcément harcelées ou mal vues ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 5.

    Oui et non. Est-ce que tu as compris au moins en quoi ton raccourci pouvait être enfermant ?

    Oui, et non: c'est toi qui veut y voir un raccourci, et ce ne serait enfermant que dans la mesure où je tiendrais de façon récurrente ce genre de propos.

    en renvoyant toi-même les gens à des cases et des expériences qu'ils ne revendiquent pas eux-même pour la plupart. C'est bizarre, non ?

    Pour quelqu'un qui écrit ça “Ça n'en reste pas moins des préjugés et une projection de l'esprit du beauf moyen. Ça ne vole pas plus haut que celui du linuxien communiste.” après m'avoir fait une psychanalyse complète à partir de 66 bits d'information, c'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité!

  • [^] # Re: Sont-elles forcément harcelées ou mal vues ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 2.

    C'est toi qui choisi de l'interpréter comme cela!

  • # Correctif

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Compilateur et Monad Reader. Évalué à 4.

    En dépit de ce que tu sembles croire, les monades sont plutôt bien supportées en OCaml. La différence majeures avec Haskell est que, OCaml utilisant l'évaluation stricte là où Haskell est paresseux, la définition de l'opérateur >> est essentiellement équivalente à la comoposition >|= ignore >>=.

  • [^] # Re: Méconnaissance

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Compilateur et Monad Reader. Évalué à 2. Dernière modification le 22 novembre 2015 à 16:45.

    En gros, cette article montre seulement que tu ne sais pas définir un opérateur infixe en OCaml […]

    Au lieu de le faire à la main, il peut aussi utiliser, lemonade la bibliothèque de monades pétillante dont je suis l'humble auteur. ☺ On peut l'instsaller avec opam et il y a même une documentation en ligne.

    Ensuite il faudrait aussi lui conseiller d'utiliser une extension de syntaxe pour les monades, mais je n;en ai pas encore trouvé qui me plaisait tout à fait. Quelqu'un a-t-il une suggestion?

    Il pourrait aussi trouver les lens intéressantes, au lieu d'emboîter des monad reader les uns dans les autres!

  • [^] # Re: question pas très élégante

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Shell script-->langage C. Évalué à 2.

    Donc pour ce qui est de ce code, si on enlève Qt alors tout marche parfaitement en C.

    Je te crois sur parole, cependant ça reste du C++ et l'OP demande du C — et vu la question cela m'étonnerait qu'il soit assez autonome pour faire la traduction tout seul.

    Ensuite si tu veux savoir précisément pourquoi les gens ont moinssé, il faudra attendre que les moinsseurs répondent eux-même à ta question! ☺

    Je t'avoue être quelque peu vexé (ouais puéril, toussa toussa)

    Boh alors? Qu'est-ce qui t'arrive? ☺ Qu'est-ce qu'il a de vexant dans cette affaire?

  • [^] # Re: Magnifique comparaison

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Dans lequel on met un service caché Tor pour le site sauf.ca. Évalué à 2.

    Je trouve que ce que fait l'Huma', en faisant de la publicité à Hitler

    Dire que cet article de l'Huma fait de la pub à Hitler montre que tu ne l'as certainement pas lu (il suffit de lire 8 lignes pour trouver une mise en perspective peu amène de l'œuvre). Ensuite interdire la diffusion des œuvres pénalise aujourd'hui plus le travail des contradicteurs que la diffusion de ces œuvres — celui qui s'intéresse au contenu le trouvera en quelques secondes grâce à son moteur de recherche.

    Qu'est-ce qui te permet d'affirmer que son édition serait illégale? La fiche Wikipédia affirme le contraire, citant des jugements précis. As-tu des informations plus actuelles?

  • [^] # Re: la bonne vielle règle a calcul

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calculatrice : matériel et logiciel ouverts ?. Évalué à 2.

    perso j'en ai jamais eu (un peu trop jeune) mais j'aimerais bien savoir en utiliser une, par curiosité.

    Est-ce qu'on utilise des tables de logarithmes pour faire les multiplications?

  • # Qu'est-ce qui te bloque?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Shell script-->langage C. Évalué à 4.

    Si tu veux obtenir de l'aide, c'est bien de montrer ce que tu as essayé. Qu'est-ce qui coince? Je ne vois que des entrées-sorties pas très compliquées, donc si tu ne nommes pas de problème précis, tout le monde va croire que tu veux laisser quelqu'un d'autre faire tes devoirs à ta place!