P.S. : Et la raison pour laquelle j'ai été "inutilé" m'échappe totalement car je donne une piste (avec du code opérationnel), et que la seule autre réponse apportée n'apporte rien.
En dépit de ta bienveillance, tu tapes un peu à côté car tu proposes du code C++ et pas du C. Cela pourrait expliquer quelques moinsages.
autant la forme m'embête sur le fait d'associer automatiquement
C'est pas automatique, mais comme je ne suis pas attiré par les hommes, imaginer une séance de crac-crac collectif me fournissait un alibi plausible pour inviter ces deux oiseaux dans ma volière. J'aurais très certainement pu trouver d'autres subterfuges narratifs, j'ai juste pioché ce qui me passait sous la main.
Je vous écrit du supermarché où je suis entré il y a cinq jours. En découvrant qu'il y avait des recettes de cuisine rédigées par des cuisiniers, des informations nutritionnelles préparées par des diététiciens et des photos de destinations de rêve pour illustrer des tombolas, et même quelques livres, j'ai décidé de respecter le travail de tous ces gens, et de tout lire méthodiquement. Je suis déjà arrivé à l'huile d'olive, je suis impatient d'arriver aux produits ménagers car j'aime bien la poésie absconse de taxonomies chimiques.
Depuis qu'on parle de sexisme et de féminisme, j'ai pas remarqué que les rapports humains se portassent mieux, au contraire, et je suis attentif. Je vais le dire autrement : Le bilan est désastreux.
On vit pas dans le même monde je crois. J’avoue que je serais curieux de savoir ce que le féminisme a apporté de mauvais dans ce monde.
Sans faire de lien de cause à effet direct avec les discussions sur le féminisme et le sexisme, j'observe autour de moi que les questions d'identité sont abordée très différemment aujourd'hui par les étudiants qu'elles ne l'étaient il y a 20 ans quand j'ai commencé mes études. L'identité ne se vit pas seulement, elle se revendique et donne lieu à des regroupements de gens se reconnaissant sous telle ou telle identité, lorsque je vais à une soirée ce n'est pas complètement rare que j'entende “je suis polyamoriste et végétarien” ou bien “je suis bisexuelle” sans très bien comprendre pourquoi mes interlocuteurs tiennent absolument à partager ces aspects là de leur personnalité avec moi. (Si je les avais invités à un repas, une touze, ou aux deux à la fois, cela deviendrait tout à fait pertinent.) Quand je fais connaissance avec des gens, j'aime bien leur demander ce qu'ils font et leur parler de ce que je fais, plutôt que de ce qu'ils croient être et de ce que je crois être.
Je n'ai aucun doute sur le fait que les végétariens ou les polyamoristes aient tout autant besoin que les mathématiciens, les informaticiens, les anciens alcooliques, de former des groupes pour s'entraider ou échanger leurs expériences. Cependant, dans ce que j'observe, le caractère revendicatif de ces identités me semble plutôt donner lieu à un cloisonnement des intérêts et à du nombrilisme ou du commautarisme au lieu de devenir une expérience d'ouverture seine et épanouissante. (Encore une fois je parle de personnes que j'ai pu rencontrer, c'est donc un partage d'expérience, ne pas y voir de généralisation mondiale SVP.)
Notons que par exemple la France n'a pas été loin d'avoir une femme présidente. Ce n'est pas complètement négligeable non plus, pourtant la France n'a pas été dans le bloc communiste. Les États-Unis n'en semblent pas forcément très loin non plus, le FMI a accepté une femme (française) à sa tête, etc.
C'est vrai que les sociétés françaises et américaines semblent tout à fait prêtes à confier les responsabilités les plus importantes à des femmes, cependant, en Allemagne et en Ukraine il s'agit ou il s'est agit de réalité. En tout cas voire Ségolène Royal devenir présidente de la République deux ans après que Angela Merkel soit devenue chancelière, cela aurait eu une classe immense.
L'abandon la lutte des classes pour la lutte des sexes est donc non seulement une trahison de l'électorat de gauche, une vaste et navrante foutaise, mais en plus, un échec évident au plan de la protection de femmes les plus faibles (celle qui sont pauvres) CQFD.
Coincidence amusante, la semaine dernière je suis allé visiter la maison de l'Histoire à Bonn, un musée consacré à l'histoire de l'Allemagne de la fin de la première guerre mondiale à nos jours. La partie consacrée à la RDA montre un aspect méconnu de cet état: en ce qui concerne l'égalité femmes-hommes dans l'attribution de rôles sociaux, il semblait bien plus en avance que les autres états à la même époque.
C'est d'ailleurs intéressant de relever – et ces remarques semblent aller dans ton sens – d'une part que en Europe, deux femmes premier ministres très importantes ont grandi dans le bloc soviétique, Angela Merkel et Yulia Tymoschenko, et d'autre part que dans le mouvement hippie, le rejet de la culture capitaliste et bourgeoise se traduisait, sans s'y réduire, par un code vestimentaire peu différencié pour les femmes et pour les hommes.
J'ai toujours eu beaucoup de mal avec certaines sciences humaines, qui se drapent de la légitimité de la méthode scientifique sans jamais l'appliquer.
C'est un problème que tu as avec certains scientifiques, pas forcément ces sciences proprement dites. Les sciences qui ne sont pas expérimentales sont plus difficiles à approcher que d'autres corps de connaissances. Pour prendre le cas des sciences de l'éducation, lorsqu'on observe la manière de travailler des enseignants et des pédagogues en général et les résultats qu'ils obtiennent on peut (peut-être) s'apercevoir que sur un point particulier certains réussissent mieux que d'autres, et que cette différence de réussite est trop constante pour l'attribuer au hasard. Il est dès lors légitime de se demander ce que sait celui qui réussit mieux et qu'ignore l'autre. On reconnaît donc qu'il existe une connaissance en en voyant les effets et il nous revient de chercher à reconnaître les caractéristiques de cette connaissance et à l'organiser.
Pour les sciences de l'éducation en particulier, peut-être que tu pourrais vouloir lire les auteurs étrangers, la communauté française a la réputation d'être recroquevillée sur elle même, à deux doigts de sombrer dans l'anthropophagie.
Ça me semble aller de soi quand je dis vouloir "lire du TeX". Je ne vois pas ce qui te pose problème en fait…
Ce qui va de soi ici ou là ne va pas de soi ailleurs, certains diraient plutôt “interpréter du TeX” que le lire, mais en cas de doute on peut toujours poser des questions.
Tu en avais déjà fait la pub ici non ? Il me semble l'avoir découvert suite à un journal.
C'est tout à fait possible car je parle régulièrement de mes projets ici mais je n'en ai pas de souvenir précis.
En prenant d'autres exemples qui composent un paragraphe, il ne semble pas possible de produire une interpréteur TeX qui se comporte conformément à l'interpréteur original sans en réimplémenter tous les aspects. Est-ce donc ton but?
Si tu aimes les formats TeX qui ne sont pas LaTeX, j'en profite pour faire de la pub pour Cadet. :)
Tu n'as pas dit exactement ce que tu voulais faire avec ta bibliothèque, et un bref coup d'œil au Github du projet ne m'a pas beaucoup plus renseigné. Apparemment tu as au moins envie d'écrire un interpréteur de macros TeX – et il y a un point qui va rapidement t'embêter: que faire pour interpréter les commandes qui examinent l'état de la machine? Comme tu le remarques, on ne peut pas faire d'analyse lexicale ou syntaxique d'un programme TeX. Comme le programme s'écrit lui-même au fur et à mesure qu'on l'interprète on ne peut pas vraiment faire d'analyse a priori.
Un point capital que tu effleures sans vraiment énoncer – et que je veux donc souligner – est que TeX est un système de composition typographique tandis que LaTeX est un système de description de documents. Bien-sûr, strictement parlé, toutes les primitives TeX peuvent être utilisées dans un document LaTeX, mais il est recommandé d'utiliser LaTeX comme un système déclaratif en “oubliant” qu'il est écrit en TeX. Si tu t'intéresses à la manipulation des documents LaTeX sous forme symbolique, tu peux donc faire des hypothèses restrictives sur leur structure, qui te permettraient d'écrire un analyseur syntaxique.
Si tu es à la recherche de sources d'inspiration pour résoudre les problèmes que tu vas rencontrer, il y a littéralement des dizaines d'implémentations de TeX – ou de variantes – dans des languages divers, et je crois même qu'il existe une bibliothèque C encapsulant l'interpréteur TeX.
J'ai écrit Gasoline une bibliothèque pour OCaml qui fait exactement ça, peut-être que tu pourrais t'en inspirer si tu veux écrire ta propre bibliothèque.
Je définis un type pour les “sources de paramètres” comme la ligne de commande, l'environnement ou des fichiers de configuration. Ensuite le driver de la fonction principale du programme se charge d'analyser toutes ces sources et de les hiérarchiser pour déterminer les paramètres du programme. Du côté application on définit simplement des variables fontionnelles qui sont ensuite examinées par la procédure principale.
…sauf à imposer une seule image en cours de création à un instant T…
C'est effectivement l'hypothèse implicite que je fais dans cette phrase, mais comme tu le soulignes, ce n'est pas particulièrement réaliste en production.
Et si je suis complètement à côté de la plaque,
non, non tu es au bon endroit! :)
Ou encore mieux… fournir une image docker de ton programme (dans le style docker-in-docker)
Cela fait partie des mes projets, ce sera effectivement plus facile à utiliser pour ceux qui ne sont pas encore familiers avec OCaml et son écosystème.
Oui, j'aurais dû mentionner leur travail, qui est à ma connaissance le seul programme remplissant cette tâche. C'est un script shell, qui a donc l'avantage de la portabilité et de la facilité de déploiement, mais rend la généralisation de la tâche particulièrement ardue. J'ai donc écrit un autre ramasse miette, qui est un chouette petit projet de ouiquende! :)
C'est putain de tellement compliqué de dire qu'un pdf qu'on distribue à la population se fait avec times (sérif) ou helvetica (sans sérif) et exceptionnellement courrier (chasse fixe) ?
PDF est parfaitement capable d'embarquer les fontes pas standard dont il a besoin. Le programme qui le génère contient probablement une option à cocher.
Parce que le péquin de base doit connaître tous les textes lorsqu'il veut faire une VAE, lorsqu'il veut ajouter un velux chez lui, enterrer une piscine, planter une haie, déclarer ses frais fixe, créer une entreprise, mais le fonctionnaire de base il peut pas savoir que pour distribuer un pdf il y a des polices qui sont obligatoirement incluse dans tous les lecteurs ? C'est pas comme si on se foutait de la gueule du monde, mais ça y ressemble un tout petit peu.
C'est plus facile de dire que les fonctionnaires ne connaissent rien à rien, socialement mieux accepté. Merci de le relever pour nous!
Perso quand je parts vers un script shell, c'est pour un besoin identifié où celui-ci sera bien adapté, typiquement des séquences de commandes de manipulations de fichiers ou de process avec de le logique autour. Et une fois écrit et fonctionnel, on laisse tourner.
Pour beaucoup de tâches d'administration le shell est un choix naturel pour écrire un prototype, car il permet d'obtenir des résultats très rapidement (la fameuse loi du 80/20 qui dit qu'on développe 80% des fonctionnalités en 20% du temps de développement). Ensuite lorsqu'il s'agit de maintenir, améliorer, etc. ce prototype, cela peut-être utile de passer à un langage plus évolué.
Cela veut dire que les programmes écrits pout le shell sont – sauf rare exception – des prototypes qui ont vocation å être transposé dans un autre langage pour être pérennisés.
Dans la pratique, quand on écrit de relativement gros (2kloc) programmes en shell, la gestion des erreurs pose beaucoup de problèmes, non seulement à cause de pipes mais aussi des sous-shells, etc. Le shell est à mes yeux essentiellement un langage de prototypage.
Dans le cas particulier que je cite, je ne peux de toutes façons pas utiliser bash parceque sa gestion du job control est trop bugguée.
C'est pas une problématique facile, il y a pas mal de recherche sur le sujet.
Je suppose que c'est comme dans la théorie des votes, où la méthode de vote a une influence parfois prépondérante sur les résultats du vote. Il n'y a guère que les confrontations entre deux possibilités dont l'issue est claire.
[^] # Re: question pas très élégante
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au message Shell script-->langage C. Évalué à 2.
En dépit de ta bienveillance, tu tapes un peu à côté car tu proposes du code C++ et pas du C. Cela pourrait expliquer quelques moinsages.
[^] # Re: Sont-elles forcément harcelées ou mal vues ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 3. Dernière modification le 20 novembre 2015 à 19:21.
C'est pas automatique, mais comme je ne suis pas attiré par les hommes, imaginer une séance de crac-crac collectif me fournissait un alibi plausible pour inviter ces deux oiseaux dans ma volière. J'aurais très certainement pu trouver d'autres subterfuges narratifs, j'ai juste pioché ce qui me passait sous la main.
[^] # Re: Pourquoi ce moinssage ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Et si l'on pensai ? Enfin je veux dire et si l'on pensai par soi même, ça donnerai quoi ? . Évalué à 6.
Je vous écrit du supermarché où je suis entré il y a cinq jours. En découvrant qu'il y avait des recettes de cuisine rédigées par des cuisiniers, des informations nutritionnelles préparées par des diététiciens et des photos de destinations de rêve pour illustrer des tombolas, et même quelques livres, j'ai décidé de respecter le travail de tous ces gens, et de tout lire méthodiquement. Je suis déjà arrivé à l'huile d'olive, je suis impatient d'arriver aux produits ménagers car j'aime bien la poésie absconse de taxonomies chimiques.
[^] # Re: Esthétique de l’écrit
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Et si l'on pensai ? Enfin je veux dire et si l'on pensai par soi même, ça donnerai quoi ? . Évalué à 1.
Tu viens de franchir seize degrés sur l'échelle de Jacob avec ce commentaire! :)
[^] # Re: Sont-elles forcément harcelées ou mal vues ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 5. Dernière modification le 20 novembre 2015 à 18:18.
Sans faire de lien de cause à effet direct avec les discussions sur le féminisme et le sexisme, j'observe autour de moi que les questions d'identité sont abordée très différemment aujourd'hui par les étudiants qu'elles ne l'étaient il y a 20 ans quand j'ai commencé mes études. L'identité ne se vit pas seulement, elle se revendique et donne lieu à des regroupements de gens se reconnaissant sous telle ou telle identité, lorsque je vais à une soirée ce n'est pas complètement rare que j'entende “je suis polyamoriste et végétarien” ou bien “je suis bisexuelle” sans très bien comprendre pourquoi mes interlocuteurs tiennent absolument à partager ces aspects là de leur personnalité avec moi. (Si je les avais invités à un repas, une touze, ou aux deux à la fois, cela deviendrait tout à fait pertinent.) Quand je fais connaissance avec des gens, j'aime bien leur demander ce qu'ils font et leur parler de ce que je fais, plutôt que de ce qu'ils croient être et de ce que je crois être.
Je n'ai aucun doute sur le fait que les végétariens ou les polyamoristes aient tout autant besoin que les mathématiciens, les informaticiens, les anciens alcooliques, de former des groupes pour s'entraider ou échanger leurs expériences. Cependant, dans ce que j'observe, le caractère revendicatif de ces identités me semble plutôt donner lieu à un cloisonnement des intérêts et à du nombrilisme ou du commautarisme au lieu de devenir une expérience d'ouverture seine et épanouissante. (Encore une fois je parle de personnes que j'ai pu rencontrer, c'est donc un partage d'expérience, ne pas y voir de généralisation mondiale SVP.)
[^] # Re: Sont-elles forcément harcelées ou mal vues ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 1.
C'est vrai que les sociétés françaises et américaines semblent tout à fait prêtes à confier les responsabilités les plus importantes à des femmes, cependant, en Allemagne et en Ukraine il s'agit ou il s'est agit de réalité. En tout cas voire Ségolène Royal devenir présidente de la République deux ans après que Angela Merkel soit devenue chancelière, cela aurait eu une classe immense.
[^] # Re: Sont-elles forcément harcelées ou mal vues ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 5.
Coincidence amusante, la semaine dernière je suis allé visiter la maison de l'Histoire à Bonn, un musée consacré à l'histoire de l'Allemagne de la fin de la première guerre mondiale à nos jours. La partie consacrée à la RDA montre un aspect méconnu de cet état: en ce qui concerne l'égalité femmes-hommes dans l'attribution de rôles sociaux, il semblait bien plus en avance que les autres états à la même époque.
C'est d'ailleurs intéressant de relever – et ces remarques semblent aller dans ton sens – d'une part que en Europe, deux femmes premier ministres très importantes ont grandi dans le bloc soviétique, Angela Merkel et Yulia Tymoschenko, et d'autre part que dans le mouvement hippie, le rejet de la culture capitaliste et bourgeoise se traduisait, sans s'y réduire, par un code vestimentaire peu différencié pour les femmes et pour les hommes.
[^] # Re: Sciences de l'éducation ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les informaticiennes, de la dominance de classe aux discriminations de sexe le 24/11/2015 à Paris. Évalué à 3.
C'est un problème que tu as avec certains scientifiques, pas forcément ces sciences proprement dites. Les sciences qui ne sont pas expérimentales sont plus difficiles à approcher que d'autres corps de connaissances. Pour prendre le cas des sciences de l'éducation, lorsqu'on observe la manière de travailler des enseignants et des pédagogues en général et les résultats qu'ils obtiennent on peut (peut-être) s'apercevoir que sur un point particulier certains réussissent mieux que d'autres, et que cette différence de réussite est trop constante pour l'attribuer au hasard. Il est dès lors légitime de se demander ce que sait celui qui réussit mieux et qu'ignore l'autre. On reconnaît donc qu'il existe une connaissance en en voyant les effets et il nous revient de chercher à reconnaître les caractéristiques de cette connaissance et à l'organiser.
Pour les sciences de l'éducation en particulier, peut-être que tu pourrais vouloir lire les auteurs étrangers, la communauté française a la réputation d'être recroquevillée sur elle même, à deux doigts de sombrer dans l'anthropophagie.
[^] # Re: Objectifs de la bibliothèque?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche TeX et traitement de données par flot e01 : lire du TeX. Évalué à 4.
Ce qui va de soi ici ou là ne va pas de soi ailleurs, certains diraient plutôt “interpréter du TeX” que le lire, mais en cas de doute on peut toujours poser des questions.
C'est tout à fait possible car je parle régulièrement de mes projets ici mais je n'en ai pas de souvenir précis.
[^] # Re: Objectifs de la bibliothèque?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche TeX et traitement de données par flot e01 : lire du TeX. Évalué à 2. Dernière modification le 18 novembre 2015 à 13:33.
Comment est-ce que tu peux “lire” ou interpréter le code suivant par exemple?
En prenant d'autres exemples qui composent un paragraphe, il ne semble pas possible de produire une interpréteur TeX qui se comporte conformément à l'interpréteur original sans en réimplémenter tous les aspects. Est-ce donc ton but?
Si tu aimes les formats TeX qui ne sont pas LaTeX, j'en profite pour faire de la pub pour Cadet. :)
# Objectifs de la bibliothèque?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse à la dépêche TeX et traitement de données par flot e01 : lire du TeX. Évalué à 4.
Tu n'as pas dit exactement ce que tu voulais faire avec ta bibliothèque, et un bref coup d'œil au Github du projet ne m'a pas beaucoup plus renseigné. Apparemment tu as au moins envie d'écrire un interpréteur de macros TeX – et il y a un point qui va rapidement t'embêter: que faire pour interpréter les commandes qui examinent l'état de la machine? Comme tu le remarques, on ne peut pas faire d'analyse lexicale ou syntaxique d'un programme TeX. Comme le programme s'écrit lui-même au fur et à mesure qu'on l'interprète on ne peut pas vraiment faire d'analyse a priori.
Un point capital que tu effleures sans vraiment énoncer – et que je veux donc souligner – est que TeX est un système de composition typographique tandis que LaTeX est un système de description de documents. Bien-sûr, strictement parlé, toutes les primitives TeX peuvent être utilisées dans un document LaTeX, mais il est recommandé d'utiliser LaTeX comme un système déclaratif en “oubliant” qu'il est écrit en TeX. Si tu t'intéresses à la manipulation des documents LaTeX sous forme symbolique, tu peux donc faire des hypothèses restrictives sur leur structure, qui te permettraient d'écrire un analyseur syntaxique.
Si tu es à la recherche de sources d'inspiration pour résoudre les problèmes que tu vas rencontrer, il y a littéralement des dizaines d'implémentations de TeX – ou de variantes – dans des languages divers, et je crois même qu'il existe une bibliothèque C encapsulant l'interpréteur TeX.
Cf. https://en.wikipedia.org/wiki/New_Typesetting_System, https://www.ctan.org/tex-archive/systems/ant?lang=en
[^] # Re: Volumes?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Un ramasse-miette pour docker. Évalué à 2.
Excellent idée, j'ai ouvert un ticket! Merci pour la référence.
# J'ai écrit cette bibliothèque… pour OCaml
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au message lib pour parser les options (command-line & config-file). Évalué à 2.
J'ai écrit Gasoline une bibliothèque pour OCaml qui fait exactement ça, peut-être que tu pourrais t'en inspirer si tu veux écrire ta propre bibliothèque.
Je définis un type pour les “sources de paramètres” comme la ligne de commande, l'environnement ou des fichiers de configuration. Ensuite le driver de la fonction principale du programme se charge d'analyser toutes ces sources et de les hiérarchiser pour déterminer les paramètres du programme. Du côté application on définit simplement des variables fontionnelles qui sont ensuite examinées par la procédure principale.
[^] # Re: 4 ans pour la Syrie
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal C’est toujours la guerre en Syrie. Évalué à 4.
Les hommes sexistes et de couleur ne font pas des concours de grosse kékétte? Allons donc! :)
# Ici c'est le carneval
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal C’est toujours la guerre en Syrie. Évalué à -1. Dernière modification le 11 novembre 2015 à 09:16.
Bon, cela n'a absolument rien à voir, mais ici le 11 novembre (à 11:11) c'est le début du carnaval:
ensuite la partie principale se déroule avant le carême, où pendant une petite semaine, la ville ressemble à ça!
(Cologne! :) )
[^] # Re: race condition?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Un ramasse-miette pour docker. Évalué à 4.
C'est effectivement l'hypothèse implicite que je fais dans cette phrase, mais comme tu le soulignes, ce n'est pas particulièrement réaliste en production.
non, non tu es au bon endroit! :)
Cela fait partie des mes projets, ce sera effectivement plus facile à utiliser pour ceux qui ne sont pas encore familiers avec OCaml et son écosystème.
[^] # Re: Alternative de chez Spotify
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Un ramasse-miette pour docker. Évalué à 6.
Oui, j'aurais dû mentionner leur travail, qui est à ma connaissance le seul programme remplissant cette tâche. C'est un script shell, qui a donc l'avantage de la portabilité et de la facilité de déploiement, mais rend la généralisation de la tâche particulièrement ardue. J'ai donc écrit un autre ramasse miette, qui est un chouette petit projet de ouiquende! :)
[^] # Re: Plus on est de fous ;-)
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Un ramasse-miette pour docker. Évalué à 3.
Ça m'étonnerait bien que ce soit la seule faute d'orthographe! :D Merci!
[^] # Re: Efficacité
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au message Suite fibonnaci. Évalué à 2.
Ce n'est pas très facile de paralléliser des appels récursifs! :)
[^] # Re: Déjà ils proposent un PDF ..;
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal À quoi sert le RGI ?. Évalué à 5.
PDF est parfaitement capable d'embarquer les fontes pas standard dont il a besoin. Le programme qui le génère contient probablement une option à cocher.
C'est plus facile de dire que les fonctionnaires ne connaissent rien à rien, socialement mieux accepté. Merci de le relever pour nous!
[^] # Re: Exagération
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Rashell, bibliothèque de programmation shell résiliante pour OCaml. Évalué à 1.
Pour beaucoup de tâches d'administration le shell est un choix naturel pour écrire un prototype, car il permet d'obtenir des résultats très rapidement (la fameuse loi du 80/20 qui dit qu'on développe 80% des fonctionnalités en 20% du temps de développement). Ensuite lorsqu'il s'agit de maintenir, améliorer, etc. ce prototype, cela peut-être utile de passer à un langage plus évolué.
[^] # Re: Exagération
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Rashell, bibliothèque de programmation shell résiliante pour OCaml. Évalué à 1.
Cela veut dire que les programmes écrits pout le shell sont – sauf rare exception – des prototypes qui ont vocation å être transposé dans un autre langage pour être pérennisés.
[^] # Re: Exagération
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Rashell, bibliothèque de programmation shell résiliante pour OCaml. Évalué à 3.
Dans la pratique, quand on écrit de relativement gros (2kloc) programmes en shell, la gestion des erreurs pose beaucoup de problèmes, non seulement à cause de pipes mais aussi des sous-shells, etc. Le shell est à mes yeux essentiellement un langage de prototypage.
Dans le cas particulier que je cite, je ne peux de toutes façons pas utiliser bash parceque sa gestion du job control est trop bugguée.
[^] # Re: Code le plus court
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Clash of Code - Feedback. Évalué à 2.
Je suppose que c'est comme dans la théorie des votes, où la méthode de vote a une influence parfois prépondérante sur les résultats du vote. Il n'y a guère que les confrontations entre deux possibilités dont l'issue est claire.
[^] # Re: Le web
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Qui fait des trucs "cools" en France et en Europe?. Évalué à 5.
Merci beaucoup pour cet euphémisme. ;)