aujourd'hui, dans Libération, a côté d un article plutot encourageant sur le prise de conscience autour des brevets logiciels, un petit encadré de la spedidam, qui représente 25 000 artites interprete, et qui fustige l'attitude des majors, les accusants d'avoir tardé a vouloir se lancer dans la musique en ligne, et de chercher à cacher les véritables raisons de leurs mauvais résultats
a lire normalement sur http://www.spedidam.fr(...)
# Enfin
Posté par Martin (site web personnel) . Évalué à 3.
Il etait temps de dennoncer les attaques des grosses Majors. Celles ci oublient peut etre qu'elles ne nous servent plus que de la "merde" de musique de real TV ??? Elles preferent signer des contrats avec des Staracs, des nouvelles stars, ou autres conneries que d'investir pour ceux qui se font ch*er a faire de la vrai musique et pas des reprises au fond de leurs garages ...
je retournerai acheter un CD quand j'aurrai un bonne raison de le faire. Pour l'instant ce n'est pas la cas !
Voici le communiqué en question : http://img13.imageshack.us/img13/3677/spedidam.png(...)
# Mouais bof, voire mm : non.
Posté par Julien Portalier . Évalué à 5.
Personnellement je trouve qu'un système type allofmp3.com est bien plus envisageable. C'est-à-dire un site qui devient distributeur de musique dans différents formats (au choix du client, tel du Ogg Vorbis 128k ou un codec lossless). Le prix variant en fonction du téléchargement (prix au Mo), et avec une base de rémunération directe en droit d'auteur. L'avantage est bien entendu que ne sont payés en droit d'auteur que ce qui est véritablement téléchargé (et acheté), et pas une base inconnue qui participe à une redistribution pas forcément équitable. De plus, cela ne légalise pas
- au nom d'un abonnement forfaitaire - une attitude illégale. De plus, les P2P ne servent pas qu'à diffuser de la musique. Et heureusement. Le principe de base est le partage, pas le piratage. Mais finalement on va finir par payer des abonnements sur le téléchargement de musique et le téléchargement de vidéo, et le téléchargement de <put here what you get illegally>, etc.
De plus, avec un petit fichier texte par album téléchargé, indiquant que l'achat s'est fait sur tel site, et a été vendu à machin. Le tout avec un bon gros fichier .sig qui contient une signature GnuPG (de ts les fichiers, dont le txt) histoire d'identifier le tout (et prouver l'achat). Du coup : pas besoin de DRM, et on n'empêche pas la copie privée ni l'écoute sur n'importe quel matériel. Tout en préserrvant un système de preuve d'achat et de possession. Le problème pouvant naître à la revente. À la rigueur onpeut singer un autre .txt en plus histoire de prouver qu'on a revendu le truc...
Seulement un truc pareil ça ne peut pas plaire. Parce qu'elles servent à quoi du coup les majors dans un cas pareil ? Ben faut qu'elles évoluent, ou sinon elles foncent droit dans le mur. De toute façon c'est déjà fait (et tant mieux).
Nota: je ne dis pas que ce serait un système parfait, ni même ce qu'il faut vraiment mettre en place, mais ce serait (pour moi) un système plaisant. Par contre la "solution" de Spedidam ne me plaît absolument pas, et n'est même pas envisageable (à mon avis).
# Petite anecdote amusante
Posté par o°Oo°Oo°o°O°Oo°Oo°Oo°Oo°o°O°O o° . Évalué à 7.
Bilan des courses : ma mère n'achètera plus de CD audio, elle qui pourtant était une grande consommatrice. D'ailleurs, je l'entend encore pester contre ces maudites protections :)
[^] # Re: Petite anecdote amusante
Posté par totof2000 . Évalué à 1.
1/ Dans quelques temps tu sera hors la loi (contournement d'une mesure de protection)
2/ c'est par ce genre d'attitude que tu favorise la prolifération de ces protections.
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