Pierre Jarillon a écrit 5761 commentaires

Les spécifications incomplètes sont une spécialité de Microsoft et ça ne date pas d'aujourd'hui !
J'ai imprimé il y a une dizaine d'années les spécifications de RTF (Rich Text File), ce format qui devait permettre de communiquer les documents entre Mac et Word. Ce document est incomplet et un document fait selon cette spécification n'est pas correctement lu par Microsoft.

Je ne vois pas pourquoi on pourrait faire confiance à ceux qui nous ont toujours menti.

Attention, le lien sur wikipedia comporte deux caractères en trop. Le bon lien est http://fr.wikipedia.org/wiki/SSH_file_transfer_protocol

C'est ce qui a été fait par l'excellent Kmail et c'est très commode :
- mdir (un fichier par mail) c'est idéal pour les dossiers vivants
- mbox (tous les mails dans un seul fichier) c'est idéal pour l'archivage.

Ce n'est pas vrai, le but d'une entreprise, c'est de gagner le plus d'argent possible. Le problème vient du fait que tout système a besoin d'un système de régulation et ce dernier domaine est le rôle des États.

La corruption ou la naïveté des hommes politiques fait que le système de contre-réaction ne fonctionne plus et le système en boucle ouverte part en butée.

La prise de pouvoir par les multinationales n'est plus un risque, c'est maintenant un futur proche.

Comme dit plus haut, tu peux t'inspirer de http://abul.org

Merci Scara ! C'est normal que le site http://abul.org/ soit bien fait, vu qu'il a été fait par de vrais professionnels. Le potentiel humain de l'ABUL est fabuleux !
Bon, il y a tellement de professionnels bidons dans le milieu du web, que le mot professionnel sans adjectif ne signifie pas grand chose et beaucoup d'amateurs éclairés sont capables de faire mieux qu'eux et surtout plus valide.

Lorsque SUN a acheté StarOffice, le plus gros du travail de décodage était fait mais comme chacun le sait, le dernier pourcent coûte plus cher que les 99 précédents. Un représentant de SUN nous avait confirmé à l'UEC d'Hourtin (vers 2002) que ce travail d'ingénierie inverse était un gros chantier et d'une grande difficulté.
Maintenant que ce travail est terminé, Microsoft ne peut plus freiner la concurrence en cachant ses spécifications. Alors autant donner l'impression d'ouverture ... Ça va va attirer de nombreux crédules.

Il est certain que Microsoft s'aperçoit que son "business model" arrive à péremption. Toutefois, on ne peut que se montrer réservé face à cette nouvelle qui arrive beaucoup trop tard alors que OpenOffce.org a terminé tout le travail d'ingénierie inverse.

C'est après être venu aux RMLL en 2000 que Nicolas Pettiaux a eu l'idée de faire la même chose à Bruxelles.

RMLL à Amiens, c'est 4000 personnes.

Tous les ans, le nombre de participants aux RMLL augmente. Amiens a été une réussite remarquable et Mont-de Marsan promet d'être encore mieux.
Par ailleurs les RMLL ont plusieurs aspects : il y a bien entendu les rencontres entre les développeurs et les contributeurs de nombreux projets, mais il y a aussi des conférences et des ateliers destinés à un public beaucoup plus large : entreprises, enseignement, grand public. Ces derniers aspects nous ont été imposés dès le départ par nos partenaires institutionnels.

Nous espérons avoir de nombreux participants venant de la péninsule ibérique.
Je suis allé à la réunion Hispalinux à Caceres (Extramadura) pour établir des contacts avec des gens très actifs mais restant entre eux. L'une des raisons à cela est le piètre enseignement des langues étrangères qui est encore pire que ce qui est pratiqué en France.

J'aimerais bien que nos voisins italiens participent aussi en plus grand nombre et je fais appel à tous ceux qui seraient capables de contribuer à ce rapprochement.

FOSDEM est le plus grand évènement pour les développeurs de logiciels libres en Europe.

Il ne faut quand même pas abuser, ce sont les RMLL qui sont les plus importantes ! Le FOSDEM n'en est qu'une copie. C'est ce que je disais tout à l'heure à Mont-de-Marsan.
Je rappelle quand même que c'est environ 300 conférences qui ont lieu aux RMLL et que ça dure 5 jours.

Avec xals, nous avions récupéré un disque dur en train de mourir. Nous avions travaillé sur une image du disque de façon à réduire au maximum le nombre de lectures et la dégradation du disque.
Cette méthode peut être un complément bien utile : http://abul.org/Recuperation-de-donnees-sur-une.html . De plus, on conserve les noms de fichiers quand ils existent encore.

Au départ, les informaticiens faisaient des logiciels libres tout comme Monsieur Jourdain faisait de la prose... sans le savoir !

Richard Stallman a eu l'immense mérite de fixer la définition des logiciels libres, de créer avec Eben Moglen la licence GPL et d'avoir lancé le projet GNU.

Le paumé, au fin fond de nulle part, c'est celui qui n'est jamais sorti de son trou, fusse-t-il parisien.
Arrêtez de tenir un propos aussi désobligeant pour ceux qui ont une vraie qualité de vie et qui, grâce à cela, ont la possibilité et le cran d'organiser les RMLL. Pour ma part, je pense que seules les villes moyennes sont capables de les organiser.

Pour le voyage, il est prévu de mettre en place des navettes pour faciliter le trajet. C'est à suivre sur le site http://rmll.info

Oui, et ça explique pourquoi les hommes politiques achètent des machines à voter : comme ils sont totalement incompétents, ils font confiance au premier camelot venu, croyant naïvement que "ça fait moderne" et donc que c'est bien.

Des machines toutes fabriquées à l'étranger, ça ne crée pas beaucoup d'emplois en France que je sache !
De toutes façons, transformer un processus simple et limpide en un processus complexe et opaque, où est le progrès ?

Non, il est formellement impossible de réaliser une machine de vote électronique en laquelle on puisse avoir confiance. C'est une impossibilité de principe.

Pour être sûr d'une machine, il faudrait :
- que je puisse voir et vérifier le code source
- que je puisse le compiler
- que le compilateur n'ajoute aucun code
- que personne n'approche de la machine
- qu'il n'y a pas une ROM cachée dans le hardware
- que personne n'intervienne sur le matériel
- que chacun puisse en faire autant...
- que la machine ne puisse pas avoir de défaillance,
et malgré tout ça, il serait impossible de recompter les bulletins en cas de doute. En effet, le but de la machine étant de dématérialiser le vote, toute vérification ultérieure est alors totalement et définitivement exclue.

Il n'y a vraiment aucune raison de faire confiance aux machines à voter. Pourtant, je suis friand de nouveautés techniques et j'ai toujours eu la réputation d'être trop en avance sur mon temps, mais pour les machines à voter, je ne marche pas car je ne veux pas être complice.

Tu es largement cité dans le livre, comme quoi ton travail est devenu une référence incontournable.
Benoît Sibaud apparaît aussi plusieurs fois, en particulier à cause de son action à Issy-les-Moulineaux.

Heureusement, il y a de gentils relecteurs qui prennent le temps de fignoler la mise en forme des articles.
Je peux même dire que baud123 est le champion des liens sur wikipedia.

7/ Contraintes d'intégrité
8/ Procédures et fonctions stockées.
...

Radio Classique n'est pas parfait, certes, mais j'ai découvert des auteurs et des morceaux grâce à cette radio. Quand je mets (rarement) les pieds chez un marchand de disques, je suis chaque fois un peu plus déçu par le manque de diversité de l'offre.
Sur Radio Classique on peut écouter de la musique alors que sur France Musique, on en parle...

Tu m'as donné envie de réécouter le Padre Antonio Soler par Scott Ross : Il y a longtemps que je ne l'avais pas fait. Le fandango endiablé du début est excellent pour démarrer une journée.
Je ne me souvenais plus d'avoir cité ce disque. Je suis heureux que tu l'aies apprécié.
Dans un autre genre (opéra) connais-tu le très surprenant Treemonisha de Scott Jopplin ?

Je n'aime pas les variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach interprétées par Glenn Gould, elles évoquent pour moi l'ennui et je n'aime pas m'ennuyer.
Il est possible que la version que l'on entend souvent sur Radio Classique soit celle de 1955 et que ce soit la cause de mon opinion négative.

C'est quand même un petit exploit que d'avoir fait paraître la nouvelle avant tout le monde ! Rien n'arrête Linuxfr...
En plus nos sources sont fiables, mais comme le ferait un journaliste, je ne donnerai pas les noms de nos informateurs. Par contre, je peux vous dire que j'avais rédigé la nouvelle sur une feuille de papier sur un coin de table au salon Solutions Linux. Florent a participé à sa rédaction et a pu la mettre sur le site grâce à Denis Bodor des éditions Diamond.