Il faut espérer de la DGCCRF craindra moins de se heurter à un obstacle insurmontable et comprendra qu'en intervenant, elle a maintenant toutes les chances de remporter un succès.
Ce dont j'ai peur, c'est qu'ATTAC prête à la communauté du libre des idées et des intentions qu'elle n'a pas forcément.
En fait, vouloir prêter des intentions politiques aux LL est tout simplement une erreur. Peut-être que ce n'est pas l'intention d'ATTAC, mais alors pourquoi font-ils un débat ?
Je suis très heureux qu'ATTAC en parle. Je suis aussi très heureux de parler Logiciels Libres avec des gens du PC, PS, UDF,....,FN. Chacun peut y trouver des choses qui lui conviennent selon sa sensibilité et ses centres d'intérêt.
En réalité, les logiciels libres ne sont pas sur le même plan que les partis politiques qui vont de la droite à la gauche (ou inversement). Ils représentent des valeurs universelles et fédératrices.
Je ne suis pas d'accord. Ce film a été très bien fait et ne se démodera pas de sitôt car il est essentiellement historique : il décrit la naissance des logiciels libres et explique leur raison d'être.
La technologie des amplificateurs HiFi est arrivée à sa pleine maturité entre 1970 et 1980. Depuis, les progrès ne sont plus significatifs quant à la qualité.
les positions sur l'interopérabilité de l'UFC sont déjà plus qu'intéressantes
As-tu un lien ? Je crois que c'est la clef du problème. Si on pouvait dire que lorsqu'on achète un produit ou une pièce détachée on a le droit d'en connaître tout le mode d'emploi et ses interfaces, on mettrait à mal bien des monopoles.
Comment faire comprendre à nos députés qu'ils se font manipuler par les puissants lobbys de la distribution musicale et cinématographique ?
Les députés européens qui semblent plus perspicaces et ont voté contre les brevets logiciels en juillet, viennent de voter une loi pour la protection de la santé et de l'environnement malgré les fortes pressions des lobbys de l'industrie chimique.
Faire voter une telle loi en urgence nous rappelle les man½uvres que nous avons vues lors de l'affaire des brevets logiciels.
Nuance, il le vend ! Je serais très surpris que Microsoft se soit lancé dans la fabrication des claviers et des souris. La fabrication est sous-traitée là où ce n'est pas cher. Il n'empêche que je reconnais que les souris optiques de marque Microsoft sont excellentes.
Je pense que cette ouverture d'esprit doit venir avec le temps à condition de l'aider. Il y a des idées bien fondées de l'extrême droite à l'extrême gauche. Souvent, les problèmes sont bien vus, mais c'est le mode de résolution qui laisse à désirer !
J'ai eu l'occasion de m'adresser à tous les partis politiques en prenant des arguments pour lesquels ils sont sensibles. Par exemple, pour le FN, j'insiste sur le fait que les logiciels libres permettent d'améliorer la dépendance de la France. Pour l'extrême gauche, je met en avant le travail en communauté.
Avec les logiciels libres, on dépasse complètement le clivage archaïque entre la gauche et la droite. Quand on me demande si je suis de gauche ou de droite, je réponds : ni de gauche, ni de droite mais de devant.
Pour faire un logiciel métier, il faut une double compétence. On peut aussi mettre ensemble un informaticien et un homme du métier ensemble, mais Il faudra attendre que chacun d'eux acquière des connaissances dans le domaine de l'autre, ensuite ils pourront travailler ensemble avec un vocabulaire et des concepts communs.
La double compétence ou la réunion de deux compétences dans un même lieu sont des choses assez rares lorsque les techniques sont éloignées. Les informaticiens ont su faire des logiciels pour eux-mêmes, mais pas pour les mécaniciens.
La nécessité de cette double compétence est de permettre à l'un et l'autre d'imaginer de nouvelles solutions. J'ai vu des gens faire des spécifications pour un logiciel, des informaticiens travailler 6 mois dessus et au final, le logiciel n'était pas utilisable. La raison est que le chef avait fait des spécifications pour un travail qu'il croyait connaître, et avait des connaissances obsolètes en informatique. L'informaticien avait exécuté le travail demandé et le logiciel avait été receptionné, parfaitement conforme aux spécifications.
Si on peut vérifier que le logiciel est conforme aux spécifications, il n'existe aucune preuve formelle pour démontrer que le logiciel est conforme aux besoins.
Et je me retrouvait donc uniquement avec une fenetre affichant la photo, sans aucune toolbar ou autre menu.
Et le clic droit sur la photo ? Il faut l'essayer. Il donne aussi les raccourcis clavier.
Dans la famille, nous utilisons tous kuickshow pour regarder nos photos. De plus, il permet d'ajouter des commentaires dans l'image en plus des EXIF. C'est vraiment pratique, car lorsqu'une image est isolée, on est sûr que les commentaires resteront avec elle.
Oui, il pourrait aussi faire le café... Plus sérieusement, ce que je trouve formidable, c'est que personne ne va en étudier la rentabilité. C'est pour cela que le logiciel libre progresse, progresse encore, inexorablement et sans aucune autre limite que celle de l'imagination.
Il:y a une grosse différence par rapport à la GPL, c'est le droit d'entrée :
Déposer un brevet international coûte vraiment très cher alors que mettre un logiciel sous licence GPL est gratuit.
Voici un exemple simple : Soit une base de données pour gérer les comptes des client d'une banque. Une table sert à déclarer les comptes (une ligne par client) et l'autre sert à déclarer les mouvements (crédit/débit).
Dans la table clients, chaque compte ne peut exister qu'une fois. Cette contrainte d'intégrité se nomme primary key ou clé primaire.
On ne peut faire des mouvements que sur des comptes existants. Donc dans la table des mouvements, on va déclarer que le numéro de compte doit exister dans la table des clients; on la nomme foreign key ou clé étrangère.
L'énorme intérêt d'une base de données avec des contraintes d'intégrité fortes, c'est que l'on peut modifier les données avec tous les outils que l'on veut sans risquer de perdre leur cohérence, même sur un bug de programmation.
L'intérêt des fonctions et des triggers est le même : on déclare que lorsqu'on insère/modifie/supprime quelque chose dans la base de données, on exécutera la fonction qui vérifiera/modifiera/archivera/etc les données. Par exemple, si je gère du matériel, le moteur A est dans le stock, casier X. Je le confie au labo d'essais.
Dans la base de données il y a le lien (moteurA)-(stockX) Je modifie avec (moteurA)-(labo essai). Le trigger va alors appeler une fonction qui va stocker dans une table historique que :
- (moteurA) est enlevé de (stockX) par Mr Machin à telle date.
- (moteurA) est associé à (labo essai) par Mr Machin à telle date.
- (stockX) a un (moteurA) de moins certifié par Mr Machin à telle date.
- (labo essai) possède (moteurA) certifié par Mr Machin à telle date.
Je peux vous assurer que lorsque l'on a des milliers d'éléments dans une base de données, un défaut d'intégrité tel que (moteurA) n'est pas à l'endroit indiqué, est bien plus difficile à corriger qu'un bug dans un programme.
J'espère que ces lignes permettront à ceux qui ne sont pas familiarisés avec les contraintes d'intégrité de mieux en percevoir l'intérêt.
Postgresql est maintenant le compétiteur d'Oracle. Il ne reste que très peu de niches où Oracle soit encore irremplaçable. Ingres qui n'a pas su lutter avec Oracle vient maintenant sur le terrain de Postgresql.
Ouvrir son code est une bonne stratégie à deux conditions ; que la licence soit libre (selon les 4 libertés de la FSF) et que ce soit fait à temps. On peut craindre qu'il ne soit déjà trop tard.
2003, c'était il y a deux ans ! Il a pu se passer bien des choses depuis ton voyage, ce qui ne remet nullement en cause depuis ton compte-rendu. Ce qui serait intéressant, ce serait une nouvelle visite dans les mêmes lieux et voir si les choses ont changé.
Comme vient de m'écrire André Pascual : "Finalement, il y a beaucoup de choses sous Linux. !".
Je crois qu'on ne peux que s'en réjouir. Mais ce qu'il n'y a pas, c'est la publicité pour le faire savoir.
Oui, je suis concerné par l'aspect financier des RMLL : ça m'a déjà coûté assez cher ;-)
Mais je ne sais pas combien et je ne veux même pas le savoir. Par contre, ce dont je suis certain, c'est que je ne le regrette absolument pas !
Ce qui m'a le plus intrigué dans cette étude, ce sont les disparités entre certains pays. De la page 49 à la page 58 du rapport original, on peut se demander si les gens des différents pays parlent du même sujet. Cela provient sans doute d'un manque criant d'information dans certains pays ou d'expériences plus ou moins heureuses avec certains logiciels.
Je pense donc qu'il faut être très prudent pour exploiter ces chiffres. Toutefois, je crois qu'il serait très intéressant de refaire la même étude statistique plusieurs années de suite pour en connaître l'évolution. L'étude de l'évolution serait beaucoup plus intéressante que ces chiffres qui, vraisemblablement dûs à des raisons locales, ne peuvent que difficilement être interprétés.
Pour l'instant, on peut quand même voir la progression inexorable des logiciels libres qui, en 1995, étaient connus de quelques initiés, en 2000 étaient connus des experts et maintenant, en 2005 sont utilisables par tous. C'est vrai qu'avec de 300000 à 500000 contributeurs dans le monde, même à raison d'une heure par semaine, cela équivaut à une entreprise de plus de 10000 personnes (sans compter l'encadrement, les commerciaux et les services généraux).
Dans le cas que j'ai exposé, il ne s'agit pas d'un NDA ! Le "Non Disclosure Agreement" s'applique aux sources, il interdit leur accès et est bien incompatible avec la GPL.
Je peux utiliser des briques GPL pour faire un logiciel classifié "Secret Défense" ou "Confidentiel Défense" si ça m'arrange et mon logiciel sera aussi couvert par la GPL. Mais je n'aurai pas le droit de diffuser le code binaire à des personnes non habilitées, car ce serait puni par une peine de prison. Pour mon client, ce serait pareil. Un logiciel classifié sous GPL est possible, il implique que tous les utilisateurs habilités ont accès au code source.
Si un développeur s'y met, un rapprochement des logiciels vectoriels libres est toujours possible. Celui ou ceux qui voudront s'atteler à la tâche auront de l'occupation pendant quelques années... et un CV en or !
Je voudrais aussi rappeler que les RMLL ont pour but de favoriser les rencontres entre différents projets. Il suffit que quelqu'un veuille bien s'en occuper. Il n'est pas nécessaire d'être développeur pour celà.
# La brêche est ouverte.
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Journées Détaxe 2005. Évalué à 7.
Même si ces annonces sont relatives aux filiales françaises des grandes firmes sont timides, le mouvement est engagé. D'inexistante, l'offre est maintenant d'une poignée de machines.
Il faut espérer de la DGCCRF craindra moins de se heurter à un obstacle insurmontable et comprendra qu'en intervenant, elle a maintenant toutes les chances de remporter un succès.
[^] # Re: Open-source et politique
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche "Nom de code : LINUX", projection-débat. Évalué à 5.
En fait, vouloir prêter des intentions politiques aux LL est tout simplement une erreur. Peut-être que ce n'est pas l'intention d'ATTAC, mais alors pourquoi font-ils un débat ?
Je suis très heureux qu'ATTAC en parle. Je suis aussi très heureux de parler Logiciels Libres avec des gens du PC, PS, UDF,....,FN. Chacun peut y trouver des choses qui lui conviennent selon sa sensibilité et ses centres d'intérêt.
En réalité, les logiciels libres ne sont pas sur le même plan que les partis politiques qui vont de la droite à la gauche (ou inversement). Ils représentent des valeurs universelles et fédératrices.
[^] # Re: Un rapport ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche "Nom de code : LINUX", projection-débat. Évalué à 4.
[^] # Re: Outil de désinstallation troué :-D
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Du code de VLC dans le rootkit de Sony. Évalué à 6.
[^] # Re: Manipulation
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Projet de loi DADVSI: EUCD.INFO publie un dossier d'information complet et un appel. Évalué à 3.
As-tu un lien ? Je crois que c'est la clef du problème. Si on pouvait dire que lorsqu'on achète un produit ou une pièce détachée on a le droit d'en connaître tout le mode d'emploi et ses interfaces, on mettrait à mal bien des monopoles.
# Manipulation
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Projet de loi DADVSI: EUCD.INFO publie un dossier d'information complet et un appel. Évalué à 10.
Les députés européens qui semblent plus perspicaces et ont voté contre les brevets logiciels en juillet, viennent de voter une loi pour la protection de la santé et de l'environnement malgré les fortes pressions des lobbys de l'industrie chimique.
Faire voter une telle loi en urgence nous rappelle les man½uvres que nous avons vues lors de l'affaire des brevets logiciels.
[^] # Re: les potes a MISC
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 2.
[^] # Re: Un petit constructeur méritant
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de Presse - Novembre 2005. Évalué à 5.
Nuance, il le vend ! Je serais très surpris que Microsoft se soit lancé dans la fabrication des claviers et des souris. La fabrication est sous-traitée là où ce n'est pas cher. Il n'empêche que je reconnais que les souris optiques de marque Microsoft sont excellentes.
[^] # Re: et le parti socialiste
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche EUCD/DADVSI : des contrefacteurs partout ?. Évalué à 2.
J'ai eu l'occasion de m'adresser à tous les partis politiques en prenant des arguments pour lesquels ils sont sensibles. Par exemple, pour le FN, j'insiste sur le fait que les logiciels libres permettent d'améliorer la dépendance de la France. Pour l'extrême gauche, je met en avant le travail en communauté.
Avec les logiciels libres, on dépasse complètement le clivage archaïque entre la gauche et la droite. Quand on me demande si je suis de gauche ou de droite, je réponds : ni de gauche, ni de droite mais de devant.
[^] # Re: Toujours pas de modeleur ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche CAELinux: une distribution LiveDVD pour l'ingénierie et la simulation numérique. Évalué à 3.
La double compétence ou la réunion de deux compétences dans un même lieu sont des choses assez rares lorsque les techniques sont éloignées. Les informaticiens ont su faire des logiciels pour eux-mêmes, mais pas pour les mécaniciens.
La nécessité de cette double compétence est de permettre à l'un et l'autre d'imaginer de nouvelles solutions. J'ai vu des gens faire des spécifications pour un logiciel, des informaticiens travailler 6 mois dessus et au final, le logiciel n'était pas utilisable. La raison est que le chef avait fait des spécifications pour un travail qu'il croyait connaître, et avait des connaissances obsolètes en informatique. L'informaticien avait exécuté le travail demandé et le logiciel avait été receptionné, parfaitement conforme aux spécifications.
Si on peut vérifier que le logiciel est conforme aux spécifications, il n'existe aucune preuve formelle pour démontrer que le logiciel est conforme aux besoins.
[^] # Re: Bof bof
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Ksquirrel : nouvelle visionneuse pour KDE. Évalué à 2.
Et le clic droit sur la photo ? Il faut l'essayer. Il donne aussi les raccourcis clavier.
Dans la famille, nous utilisons tous kuickshow pour regarder nos photos. De plus, il permet d'ajouter des commentaires dans l'image en plus des EXIF. C'est vraiment pratique, car lorsqu'une image est isolée, on est sûr que les commentaires resteront avec elle.
[^] # Re: comme iPhoto?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Ksquirrel : nouvelle visionneuse pour KDE. Évalué à 2.
[^] # Re: GPL ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création de l'Open Invention Network (OIN). Évalué à 4.
Déposer un brevet international coûte vraiment très cher alors que mettre un logiciel sous licence GPL est gratuit.
[^] # Re: La seule solution
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Création de l'Open Invention Network (OIN). Évalué à 4.
[^] # Re: Avantage pour un néophyte ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche PostgreSQL 8.1 disponible. Évalué à 10.
Dans la table clients, chaque compte ne peut exister qu'une fois. Cette contrainte d'intégrité se nomme primary key ou clé primaire.
On ne peut faire des mouvements que sur des comptes existants. Donc dans la table des mouvements, on va déclarer que le numéro de compte doit exister dans la table des clients; on la nomme foreign key ou clé étrangère.
L'énorme intérêt d'une base de données avec des contraintes d'intégrité fortes, c'est que l'on peut modifier les données avec tous les outils que l'on veut sans risquer de perdre leur cohérence, même sur un bug de programmation.
L'intérêt des fonctions et des triggers est le même : on déclare que lorsqu'on insère/modifie/supprime quelque chose dans la base de données, on exécutera la fonction qui vérifiera/modifiera/archivera/etc les données. Par exemple, si je gère du matériel, le moteur A est dans le stock, casier X. Je le confie au labo d'essais.
Dans la base de données il y a le lien (moteurA)-(stockX) Je modifie avec (moteurA)-(labo essai). Le trigger va alors appeler une fonction qui va stocker dans une table historique que :
- (moteurA) est enlevé de (stockX) par Mr Machin à telle date.
- (moteurA) est associé à (labo essai) par Mr Machin à telle date.
- (stockX) a un (moteurA) de moins certifié par Mr Machin à telle date.
- (labo essai) possède (moteurA) certifié par Mr Machin à telle date.
Je peux vous assurer que lorsque l'on a des milliers d'éléments dans une base de données, un défaut d'intégrité tel que (moteurA) n'est pas à l'endroit indiqué, est bien plus difficile à corriger qu'un bug dans un programme.
J'espère que ces lignes permettront à ceux qui ne sont pas familiarisés avec les contraintes d'intégrité de mieux en percevoir l'intérêt.
[^] # Re: Logo ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Install-Party du 19 novembre 2005 à l'ESPCI - Paris. Évalué à 1.
# Ingres : trop tard ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche PostgreSQL 8.1 disponible. Évalué à 10.
Ouvrir son code est une bonne stratégie à deux conditions ; que la licence soit libre (selon les 4 libertés de la FSF) et que ce soit fait à temps. On peut craindre qu'il ne soit déjà trop tard.
[^] # Re: Naif
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Voyage dans un pays libéré. Évalué à 2.
[^] # Re: Animation sousLInux
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Synfig passe sous licence GPL. Évalué à 2.
Comme vient de m'écrire André Pascual : "Finalement, il y a beaucoup de choses sous Linux. !".
Je crois qu'on ne peux que s'en réjouir. Mais ce qu'il n'y a pas, c'est la publicité pour le faire savoir.
[^] # Re: 8,5%
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse au sondage Linuxfr manque de matos. Évalué à 8.
[^] # Re: Rapprochement ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Synfig passe sous licence GPL. Évalué à 3.
Mais je ne sais pas combien et je ne veux même pas le savoir. Par contre, ce dont je suis certain, c'est que je ne le regrette absolument pas !
[^] # Re: appels d'offre: plusieurs fournisseurs
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les collectivités locales européennes veulent plus de libre. Évalué à 3.
# Disparités
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les collectivités locales européennes veulent plus de libre. Évalué à 10.
Je pense donc qu'il faut être très prudent pour exploiter ces chiffres. Toutefois, je crois qu'il serait très intéressant de refaire la même étude statistique plusieurs années de suite pour en connaître l'évolution. L'étude de l'évolution serait beaucoup plus intéressante que ces chiffres qui, vraisemblablement dûs à des raisons locales, ne peuvent que difficilement être interprétés.
Pour l'instant, on peut quand même voir la progression inexorable des logiciels libres qui, en 1995, étaient connus de quelques initiés, en 2000 étaient connus des experts et maintenant, en 2005 sont utilisables par tous. C'est vrai qu'avec de 300000 à 500000 contributeurs dans le monde, même à raison d'une heure par semaine, cela équivaut à une entreprise de plus de 10000 personnes (sans compter l'encadrement, les commerciaux et les services généraux).
[^] # Re: Explication
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Xara Xtreme passe sous GPL et se rapproche d'Inkscape. Évalué à 3.
Je peux utiliser des briques GPL pour faire un logiciel classifié "Secret Défense" ou "Confidentiel Défense" si ça m'arrange et mon logiciel sera aussi couvert par la GPL. Mais je n'aurai pas le droit de diffuser le code binaire à des personnes non habilitées, car ce serait puni par une peine de prison. Pour mon client, ce serait pareil. Un logiciel classifié sous GPL est possible, il implique que tous les utilisateurs habilités ont accès au code source.
[^] # Re: Rapprochement ?
Posté par Pierre Jarillon (site web personnel) . En réponse à la dépêche Synfig passe sous licence GPL. Évalué à 5.
Je voudrais aussi rappeler que les RMLL ont pour but de favoriser les rencontres entre différents projets. Il suffit que quelqu'un veuille bien s'en occuper. Il n'est pas nécessaire d'être développeur pour celà.