Posté par Obsidian .
En réponse au message Unix.
Évalué à 5.
J'aime beaucoup l'arbre généalogique d'Éric Lévénez, c'est tout de suite beaucoup plus clair ! Clique sur la frise en tête de document pour savoir exactement où se situe chaque clône dans la filiation. Si tu regardes la droite du graphique, tu t'apercevras également qu'il en reste beaucoup moins aujourd'hui.
Pour le Wikipédia, voici la page qui traite de ce système d'exploitation :
En ce qui concerne BSD, il faut savoir qu'il y a dans le monde Unix deux grandes tendances : le style SysV et le style BSD. Cela est dù à un fork très précoce, lorsque la très prolifique université de Berkeley a produit sa propre distribution du système, la Berkeley Software Distribution (BSD). Cette distribution a intégré nombre de fonctions logicielles fort intéressantes, leurs ambassadeurs étant les célèbres sockets, qui ont été progressivement repris par les autres grandes branches, et qui ne seront intégrés dans le système de Redmond qu'à partir de Windows 95.
C'est ce qui fait que globalement les Unix se ressemblent mais que certaines fonctions ne soient historiquement disponibles (en standard) que sur certaines « saveurs » d'Unix et pas sur d'autres, qui utilisent des systèmes légèrement différents.
On explique souvent cela en prenant en comparaison Debian et Redhat, deux distributions majeures du système Linux, qui ont chacune engendré une descendance de distributions basées sur elles, Knoppix, Ubuntu, etc. pour la première, et Mandrake et compagnie pour la deuxième.
D'ailleurs, pour éviter de voir se reproduire le fork des années 70 et ses conséquences facheuses (incompatibilités), on a créé le Linux Standard Base (LSB) sur http://www.linuxbase.org/(...) , qui tente de définir ce que doit être une distribution minimum de Linux, et ce que chaque distributeur doit au moins proposer.
Enfin, il est important de noter que si chaque distribution de Linux a ses propres caractéristiques (qui la distinguent des autres), le noyau Linux lui-même reste le même. Les différents Unices cités dans cet historique proposaient eux-mêmes (en général commercialement) tant le noyau que la suite logicielle qui l'entoure (soit GNU en ce qui concerne Linux), ce qui fait que même les appels systèmes (et pas seulement la façon d'utiliser les commandes) présentaient des caractéristiques particulières selon les systèmes.
Enfin, il est important de signaler qu'en ces temps reculés, le système était souvent intimement lié à sa machine, qui avait ses propres atoûts, elle-aussi, ce qui faisait souvent la différence. Le système était alors conçu pour la piloter. On était loin du temps où 95% des gens utilisent des PCs.
N'empêche que ça colle ! J'habite en banlieue parisienne (91) et je suis sous Ubuntu ! Et avant ça, j'étais sous Mandrake, mais ce n'était pas autant urbanisé par chez moi ...
en remplaçant le « -h » par « -k », on obtient toujours la taille occupée en kilo-octets, ce qui est beaucoup plus adapté à une utilisation par un script.
Ton programme n'est pas entièrement mauvais, mais tu ne gères pas du tout les événements renvoyés par X-Window. L'idée générale est de configurer ta connexion au serveur X de façon à ce que celui-ci ne t'envoie que les événements qui t'intéressent, ici les mouvements de souris. Cette première phase rendra déjà beaucoup de temps au système. Ensuite tu te mets en attente d'un signe du serveur X avec XNextEvent().
C'est en fait comme cela que fonctionnent tous les programmes X-Window, et d'une manière générale tous ceux qui utilisent une interface graphique commune. Une boucle principale, un test de la nature de l'événement avant d'appeler la routine correspondante, avant de retourner dans la boucle et attendre le prochain événement.
Encore faut-il que tous ces procédés soient de réputation publiques. Jusqu'à la publication de ce journal, je n'étais pas au courant. Je connaissais les watermarks, mais je ne savais pas que les grands noms de l'industrie avaient déjà intégré ce genre de choses dans les machines de tout un chacun.
Combien d'autres filouteries se cachent encore dans nos machines ?
If the practice disturbs you, don't bother trying to disable the encoding mechanism--you'll probably just break your printer.
[Peter] Crean describes the device as a chip located "way in the machine, right near the laser" that embeds the dots when the document "is about 20 billionths of a second" from printing.
soit :
« Si cette pratique vous gène, ne vous ennuyez même pas à essayer de désactiver le mécanisme de codage : Vous n'arriveriez qu'à casser votre imprimante. [Peter] Crean décrit l'appareil comme une puce située profondément dans la machine, juste à coté du laser, et qui intègre le point lorsque le document est à un vingt-millionnème de seconde d'être imprimé. »
Pour moi, c'est donc à priori une puce, probablement un FPGA ou quelque chose d'assimilé, qui insère un point tout les n points transmis, en fonction de la résolution de l'imprimante, et ce après toutes les phases du traitement du document, au moment où il n'est plus qu'un gros bitmap et qu'il est envoyé séquentiellement au laser.
La première question qui me vient à l'esprit est : Est-ce flashable ? À mon avis, ce n'est pas impossible, mais il y a fort à parier que la puce en question ne soit pas destinée qu'à cette tâche précise. Retrouver le code intégral risque d'être difficile.
Étant donné que l'on t'a déjà fait pas mal de propositions de configs un peu plus haut, j'ai envie de m'attaquer un peu plus aux fondements de la chose.
Que recherches-tu dans Linux ?
Si tu es un Windowsien pur souche, il te faut avant tout savoir que GNU/Linux n'est pas un « compatible Windows ». Le fonctionnement est complètement différent et les objectifs ne sont pas non plus les mêmes.
Certes, tu trouveras des interfaces et des environnements comme les bureaux Gnome ou KDE qui y ressembleront beaucoup, mais cette similitude est volontaire pour que le débutant ne soit pas trop perdu. Si tu t'en tiens à cela, tu auras l'impression que Linux est une vague imitation, tu ne retrouveras pas tes marques et finalement tu abandonneras en étant passé à coté de la quasi-totalité des avantages du système.
Qu'entends-tu par « vieux » Windowsien ? Si tu as travaillé sur Windows 3.xx, tu auras probablement moins de mal à t'adapter à des environnements complètement différents, mais si tu as commencé avec Win95 ou supérieur, alors l'absence de barre des tâches sous WindowMaker risque d'être très déstabilisant ! :-)
D'autre part, Linux sera probablement bien plus performant sur de vieilles machines que pourrait l'être un Windows, mais pas dans les domaines où on l'attend. Cela veut dire facilement exploiter la moëlle de ton vieux bouzin en pilotant le moindre de ses ports avec une ligne de commande, mais les bureaux graphiques confortables n'ont été développés que relativement tardivement sous Linux et consomment par conséquent beaucoup de mémoire. Exit les dernières générations de GNOME/KDE, donc, mais les anciennes devrait encore fonctionner. Dans tous les cas, WindowMaker ou FVWM devraient fonctionner sans problème. Un Blackbox ou assimilé aussi d'ailleurs, s'il est seul.
En revanche, tu peux travailler très confortablement avec 15Go de disque dur. La totalité de mon système (Ubuntu 5.04 avec un max d'apt-gets derrière) plus le contenu de mon home dir tient actuellement en à peine plus de 10Go.
Le mieux que tu aies à faire à mon goût est d'utiliser ton disque de 15Go sur une de tes machines récentes. De cette manière, tu pourras faire tes tests en situation sans avoir à exproprier ton Windows. Colle-z-y une Ubuntu ou une Mandrake, et fais tes essais.
Parce que les outils que l'on utilise courament pour ce genre de travail ne sont pas indisponibles sous GIMP, mais difficilement accessibles du fait que les opérations qu'ils effectuent sont peu courantes en retouche d'image.
Pour tracer une ligne droite, tout le monde sait maintenant qu'il suffit de maintenir la touche shift enfoncée lorsque l'on utilise un outil graphique, mais pour tracer un carré ou un rectangle, on doit d'abord créer sélectionner une zone puis soit convertir son périmètre en « chemin » pour faire ensuite suivre celui-ci par un outil donné, soit utiliser une fonction d'agrandissement/réduction pour encadrer la zone à entourer, soit utiliser la fonction « bordure » du menu Sélection, disponible dans les versions récente, et qui créera une bordure chatoyante avec de beaux dégradés, mais pas à proprement parler un rectangle de base.
Autre exemple : Créer une brosse. Possible avec GIMP également, mais au prix de nombreux efforts. Dans DeluxePaint que je cite dans mon post initial, la sélection courante devenait automatiquement la brosse par défaut, laquelle pouvait éventuellement être conservée. On pouvait donc immédiatement peindre avec n'importe quel motif, en utilisant celui-ci avec tous les instruments disponibles, et ce en trois clics maximum.
Bref, tout cela pour dire que GIMP est un logiciel de retouche d'images très performant mais pas adapté par défaut à ce genre de traitement (pas plus que Photoshop, d'ailleurs), et c'est normal.
Par contre, la majorité des infrastructures nécessaires à un tel logiciel sont déjà implémentés dans GIMP depuis longtemps, et avec brio. Ce serait vraiment idiot de tout réinventer. De plus, les fonctions de retouche et de traitement (en particulier la gestion de la transparence et de l'opacité des outils de traçage) sont vraiment très appréciables même en phase de création. Avec cela, GIMP est une institution : le logiciel est extrêmement complet, on ne présente plus GTK, il est parfaitement documenté ce qui est très rare, il s'intègre à GNOME naturellement, et peut vraiment être désigné comme l'outil graphique de référence dans la mesure où l'on ne le pirate pas (le concurrent de chez Adobe coûte 1075,20 ¤ en CD, soit plus de 7000 francs).
Je pense donc à réaliser une suite d'outils qui viendraient enrichir la palette par défaut du GIMP et qui seraient axés autour du dessin. La seule chose qui m'étonne est que cela n'existe pas déjà.
J'ajouterais en premier lieu que déclarer une fonction dans le corps d'une autre (je parle de getipaddress), c'est peu courant ! Déplace ce truc au dessus du « int main() ».
D'autre part, la solution que l'on t'a donné fonctionne, certes, mais ne met pas tellement en évidence ton erreur. J'ai l'impression que ton confonds les variables de type char * avec les objets Strings d'autres langages.
Es-tu sûr d'avoir bien compris comment fonctionne un pointeur ?
Si ce n'est pas le cas, sache que tous les ordinateurs fonctionnent comme cela en interne (au niveau du langage machine), que c'est relativement simple, contrairement à ce que pensent beaucoup d'étudiants en informatique, que cela correspond à quelque chose de très concret, et qu'en tout les cas ce n'est pas une bizarrerie du C inventée spécialement pour tourmenter les débutants. Quand tu auras maîtrisé ce truc, tu auras maîtrisé tout le reste.
Ce n'est même pas certain. Faire un vectoriel qui rende proprement lorsqu'il est comprimé à l'extrême est une opération très difficile. C'est le même problème lorsque l'on conçoit des polices de caractères, d'ailleurs.
En outre, l'objectif final est de faire un joli jeu de plateforme, donc les éléments doivent être soignés au pixel près pour donner soit un aspect très propre, en ajoutant des effets de lumière, des ombres, des reflets, soit au contraire légèrement déteriorés en jouant sur la granularité des textures du bitmap. À l'inverse, je n'aurai probablement jamais à zoomer, et c'est heureux parce que je crains qu'en zoomant, on fasse apparaître justement la manière dont le dessin original a été construit. Tant qu'un sprite bitmap n'excède pas une certaine taille, c'est surtout l'imaginaire du joueur qui travaille.
Ce n'est guère encourageant, d'ailleurs. J'aime bien le vectoriel en lui-même, mais deux réponses sur ce type de dessin quand mon post concernait la technique opposée, cela ne me laisse que peu d'espoir. En revanche, c'est une bonne occasion pour se plonger dans les plug-ins de GIMP 2. D'ailleurs je m'y mets dès maintenant.
Tu peux aussi utiliser les objets STL si tu veux faire du C++ pour le C++ :
#include <iostream>
#include &mt;sstream>
using namespace std;
puis
int p;
stringstream oss;
(++p);
oss << dec << p;
affiche->setText (oss.str());
oss.str("");
Tu peux utiliser oss.str().c_str() si l'objet instancié en affiche ne connait pas les chaînes STL. La ligne d'après sert à vider l'objet ostringstream pour pouvoir le réutiliser sans avoir à le détruire puis le recréer (ça a l'air bête comme çà, mais j'ai beaucoup trainé sur Google avant de trouver).
Mais c'est tellement lourd que je n'ai jamais eu le temps de finaliser l'installation et donc je n'ai pas encore de retour. En outre, lorsque tu auras fini de construire ton compilo, il te faudra encore un environnement Windows installé (toutes les lib, les headers qui vont bien) pour pouvoir compiler sans problème. Pas facile à trouver.
OPTIONS POSIX
-a Modifier l’heure du dernier accès au fichier
-c Ne pas créer les fichiers n’existant pas.
-m Changer l’heure de dernière modification du fichier
-r fichier_référence Utiliser les horodatages du fichier_référence à la place de l’heure actuelle.
-t date Utiliser la date indiquée à la place de la date actuelle.
Si tu ne l'as pas déjà fait, regarde plus haut : il faut taper la commande lilo en root pour regénérer un MBR valide à partir du fichier de configuration que tu viens de modifier.
Il faut d'ailleurs souligner que les mode 788, 792, etc. fonctionnent en frame buffer, et qu'il faut donc pour cela que le noyau prenne ce mode en charge (à priori c'est toujours le cas sur une Mandriva).
Ce qui est relativement inquiétant, c'est que l'on commence à trouver beaucoup de jeunes étudiants en informatiques qui ne savent plus du tout ce qu'est le mode texte.
Il est problable que le BIOS de ta machine ou celui de ta carte graphique choisisse lui-même une résolution particulière et que Linux n'y soit pour rien (compromis entre netteté et largeur d'affichage).
Bref, le mode frame buffer satisfera tes besoins, mais c'est quand même utile de savoir comment tout cela fonctionne.
Oui enfin avant eux, IBM avait déjà arobasifié le « e » minuscule pour vendre son e-business. Et à peu près au même moment, les magasins Leclerc avaient fait la même chose avec le « c » minuscule lors d'une opération multimédia ...
C'est-à-dire que je parle anglais couramment, mais c'est un anglais plus américain que britannique ! Autant j'arrive à suivre CNN, les séries américaines en VO, les paroles des jazz-men à la limite, voire même un peu d'australien quand c'est nécessaire, autant pour les anglais, il faut que je m'accroche ! :-)
[^] # Re: Va voir ici
Posté par Obsidian . En réponse au message Unix. Évalué à 5.
Pour le Wikipédia, voici la page qui traite de ce système d'exploitation :
http://fr.wikipedia.org/wiki/UNIX(...)
En ce qui concerne BSD, il faut savoir qu'il y a dans le monde Unix deux grandes tendances : le style SysV et le style BSD. Cela est dù à un fork très précoce, lorsque la très prolifique université de Berkeley a produit sa propre distribution du système, la Berkeley Software Distribution (BSD). Cette distribution a intégré nombre de fonctions logicielles fort intéressantes, leurs ambassadeurs étant les célèbres sockets, qui ont été progressivement repris par les autres grandes branches, et qui ne seront intégrés dans le système de Redmond qu'à partir de Windows 95.
C'est ce qui fait que globalement les Unix se ressemblent mais que certaines fonctions ne soient historiquement disponibles (en standard) que sur certaines « saveurs » d'Unix et pas sur d'autres, qui utilisent des systèmes légèrement différents.
On explique souvent cela en prenant en comparaison Debian et Redhat, deux distributions majeures du système Linux, qui ont chacune engendré une descendance de distributions basées sur elles, Knoppix, Ubuntu, etc. pour la première, et Mandrake et compagnie pour la deuxième.
D'ailleurs, pour éviter de voir se reproduire le fork des années 70 et ses conséquences facheuses (incompatibilités), on a créé le Linux Standard Base (LSB) sur http://www.linuxbase.org/(...) , qui tente de définir ce que doit être une distribution minimum de Linux, et ce que chaque distributeur doit au moins proposer.
Enfin, il est important de noter que si chaque distribution de Linux a ses propres caractéristiques (qui la distinguent des autres), le noyau Linux lui-même reste le même. Les différents Unices cités dans cet historique proposaient eux-mêmes (en général commercialement) tant le noyau que la suite logicielle qui l'entoure (soit GNU en ce qui concerne Linux), ce qui fait que même les appels systèmes (et pas seulement la façon d'utiliser les commandes) présentaient des caractéristiques particulières selon les systèmes.
Enfin, il est important de signaler qu'en ces temps reculés, le système était souvent intimement lié à sa machine, qui avait ses propres atoûts, elle-aussi, ce qui faisait souvent la différence. Le système était alors conçu pour la piloter. On était loin du temps où 95% des gens utilisent des PCs.
[^] # Re: Un article... trollesque
Posté par Obsidian . En réponse au journal La geek attitude : enfin un article qui a tout compris.... Évalué à 3.
[^] # Re: Hum
Posté par Obsidian . En réponse au message calcul de la taille d'un répertoire. Évalué à 2.
[^] # Re: Hum
Posté par Obsidian . En réponse au message calcul de la taille d'un répertoire. Évalué à 2.
[^] # Re: wikipédia
Posté par Obsidian . En réponse au message Quelle distribution linux choisir?. Évalué à 4.
http://www.zegeniestudios.net/ldc/(...)
# XEvent
Posté par Obsidian . En réponse au message Xlib - bords actifs - demande conseils. Évalué à 2.
Ton programme n'est pas entièrement mauvais, mais tu ne gères pas du tout les événements renvoyés par X-Window. L'idée générale est de configurer ta connexion au serveur X de façon à ce que celui-ci ne t'envoie que les événements qui t'intéressent, ici les mouvements de souris. Cette première phase rendra déjà beaucoup de temps au système. Ensuite tu te mets en attente d'un signe du serveur X avec XNextEvent().
C'est en fait comme cela que fonctionnent tous les programmes X-Window, et d'une manière générale tous ceux qui utilisent une interface graphique commune. Une boucle principale, un test de la nature de l'événement avant d'appeler la routine correspondante, avant de retourner dans la boucle et attendre le prochain événement.
[^] # Re: Incrustation d'un code d'identification via les Laser Couleur
Posté par Obsidian . En réponse au journal Incrustation d'un code d'identification via les Laser Couleur. Évalué à 5.
Combien d'autres filouteries se cachent encore dans nos machines ?
[^] # Re: Incrustation d'un code d'identification via les Laser Couleur
Posté par Obsidian . En réponse au journal Incrustation d'un code d'identification via les Laser Couleur. Évalué à 7.
soit :
« Si cette pratique vous gène, ne vous ennuyez même pas à essayer de désactiver le mécanisme de codage : Vous n'arriveriez qu'à casser votre imprimante. [Peter] Crean décrit l'appareil comme une puce située profondément dans la machine, juste à coté du laser, et qui intègre le point lorsque le document est à un vingt-millionnème de seconde d'être imprimé. »
Pour moi, c'est donc à priori une puce, probablement un FPGA ou quelque chose d'assimilé, qui insère un point tout les n points transmis, en fonction de la résolution de l'imprimante, et ce après toutes les phases du traitement du document, au moment où il n'est plus qu'un gros bitmap et qu'il est envoyé séquentiellement au laser.
La première question qui me vient à l'esprit est : Est-ce flashable ? À mon avis, ce n'est pas impossible, mais il y a fort à parier que la puce en question ne soit pas destinée qu'à cette tâche précise. Retrouver le code intégral risque d'être difficile.
[^] # Re: M'en fous
Posté par Obsidian . En réponse au sondage La sécurité de mon WLAN. Évalué à 6.
[^] # Re: M'en fous
Posté par Obsidian . En réponse au sondage La sécurité de mon WLAN. Évalué à 2.
http://www.bashfr.org/?528(...)
# Linux, oui, mais pourquoi ?
Posté par Obsidian . En réponse au message Quel Linux pour un vieux PC ??. Évalué à 4.
Que recherches-tu dans Linux ?
Si tu es un Windowsien pur souche, il te faut avant tout savoir que GNU/Linux n'est pas un « compatible Windows ». Le fonctionnement est complètement différent et les objectifs ne sont pas non plus les mêmes.
Certes, tu trouveras des interfaces et des environnements comme les bureaux Gnome ou KDE qui y ressembleront beaucoup, mais cette similitude est volontaire pour que le débutant ne soit pas trop perdu. Si tu t'en tiens à cela, tu auras l'impression que Linux est une vague imitation, tu ne retrouveras pas tes marques et finalement tu abandonneras en étant passé à coté de la quasi-totalité des avantages du système.
Qu'entends-tu par « vieux » Windowsien ? Si tu as travaillé sur Windows 3.xx, tu auras probablement moins de mal à t'adapter à des environnements complètement différents, mais si tu as commencé avec Win95 ou supérieur, alors l'absence de barre des tâches sous WindowMaker risque d'être très déstabilisant ! :-)
D'autre part, Linux sera probablement bien plus performant sur de vieilles machines que pourrait l'être un Windows, mais pas dans les domaines où on l'attend. Cela veut dire facilement exploiter la moëlle de ton vieux bouzin en pilotant le moindre de ses ports avec une ligne de commande, mais les bureaux graphiques confortables n'ont été développés que relativement tardivement sous Linux et consomment par conséquent beaucoup de mémoire. Exit les dernières générations de GNOME/KDE, donc, mais les anciennes devrait encore fonctionner. Dans tous les cas, WindowMaker ou FVWM devraient fonctionner sans problème. Un Blackbox ou assimilé aussi d'ailleurs, s'il est seul.
En revanche, tu peux travailler très confortablement avec 15Go de disque dur. La totalité de mon système (Ubuntu 5.04 avec un max d'apt-gets derrière) plus le contenu de mon home dir tient actuellement en à peine plus de 10Go.
Le mieux que tu aies à faire à mon goût est d'utiliser ton disque de 15Go sur une de tes machines récentes. De cette manière, tu pourras faire tes tests en situation sans avoir à exproprier ton Windows. Colle-z-y une Ubuntu ou une Mandrake, et fais tes essais.
[^] # Re: ??
Posté par Obsidian . En réponse au message Le dessin en bitmap sous Linux. Évalué à 2.
Un exemple parlant : http://linuxfr.org/comments/519746.html#519746(...)
Pour tracer une ligne droite, tout le monde sait maintenant qu'il suffit de maintenir la touche shift enfoncée lorsque l'on utilise un outil graphique, mais pour tracer un carré ou un rectangle, on doit d'abord créer sélectionner une zone puis soit convertir son périmètre en « chemin » pour faire ensuite suivre celui-ci par un outil donné, soit utiliser une fonction d'agrandissement/réduction pour encadrer la zone à entourer, soit utiliser la fonction « bordure » du menu Sélection, disponible dans les versions récente, et qui créera une bordure chatoyante avec de beaux dégradés, mais pas à proprement parler un rectangle de base.
Autre exemple : Créer une brosse. Possible avec GIMP également, mais au prix de nombreux efforts. Dans DeluxePaint que je cite dans mon post initial, la sélection courante devenait automatiquement la brosse par défaut, laquelle pouvait éventuellement être conservée. On pouvait donc immédiatement peindre avec n'importe quel motif, en utilisant celui-ci avec tous les instruments disponibles, et ce en trois clics maximum.
Bref, tout cela pour dire que GIMP est un logiciel de retouche d'images très performant mais pas adapté par défaut à ce genre de traitement (pas plus que Photoshop, d'ailleurs), et c'est normal.
Par contre, la majorité des infrastructures nécessaires à un tel logiciel sont déjà implémentés dans GIMP depuis longtemps, et avec brio. Ce serait vraiment idiot de tout réinventer. De plus, les fonctions de retouche et de traitement (en particulier la gestion de la transparence et de l'opacité des outils de traçage) sont vraiment très appréciables même en phase de création. Avec cela, GIMP est une institution : le logiciel est extrêmement complet, on ne présente plus GTK, il est parfaitement documenté ce qui est très rare, il s'intègre à GNOME naturellement, et peut vraiment être désigné comme l'outil graphique de référence dans la mesure où l'on ne le pirate pas (le concurrent de chez Adobe coûte 1075,20 ¤ en CD, soit plus de 7000 francs).
Je pense donc à réaliser une suite d'outils qui viendraient enrichir la palette par défaut du GIMP et qui seraient axés autour du dessin. La seule chose qui m'étonne est que cela n'existe pas déjà.
# Strings et C
Posté par Obsidian . En réponse au message Probleme de memoire, sprintf. Évalué à 5.
D'autre part, la solution que l'on t'a donné fonctionne, certes, mais ne met pas tellement en évidence ton erreur. J'ai l'impression que ton confonds les variables de type char * avec les objets Strings d'autres langages.
Es-tu sûr d'avoir bien compris comment fonctionne un pointeur ?
Si ce n'est pas le cas, sache que tous les ordinateurs fonctionnent comme cela en interne (au niveau du langage machine), que c'est relativement simple, contrairement à ce que pensent beaucoup d'étudiants en informatique, que cela correspond à quelque chose de très concret, et qu'en tout les cas ce n'est pas une bizarrerie du C inventée spécialement pour tourmenter les débutants. Quand tu auras maîtrisé ce truc, tu auras maîtrisé tout le reste.
[^] # Re: pourtant
Posté par Obsidian . En réponse au journal Loft story version Geek !. Évalué à 4.
Hahaha ! « Si le problème persiste, contactez votre revendeur informatique ». Ils ont tout prévu, ne cherche pas. Ils sont pas fous ...
[^] # Re: [HS... enfin pas tout a fait]
Posté par Obsidian . En réponse au message Le dessin en bitmap sous Linux. Évalué à 2.
Ce n'est même pas certain. Faire un vectoriel qui rende proprement lorsqu'il est comprimé à l'extrême est une opération très difficile. C'est le même problème lorsque l'on conçoit des polices de caractères, d'ailleurs.
En outre, l'objectif final est de faire un joli jeu de plateforme, donc les éléments doivent être soignés au pixel près pour donner soit un aspect très propre, en ajoutant des effets de lumière, des ombres, des reflets, soit au contraire légèrement déteriorés en jouant sur la granularité des textures du bitmap. À l'inverse, je n'aurai probablement jamais à zoomer, et c'est heureux parce que je crains qu'en zoomant, on fasse apparaître justement la manière dont le dessin original a été construit. Tant qu'un sprite bitmap n'excède pas une certaine taille, c'est surtout l'imaginaire du joueur qui travaille.
Ce n'est guère encourageant, d'ailleurs. J'aime bien le vectoriel en lui-même, mais deux réponses sur ce type de dessin quand mon post concernait la technique opposée, cela ne me laisse que peu d'espoir. En revanche, c'est une bonne occasion pour se plonger dans les plug-ins de GIMP 2. D'ailleurs je m'y mets dès maintenant.
Merci quand même.
# Faute de tueur !
Posté par Obsidian . En réponse au message Faut-il se mefiez des distribs Linux !. Évalué à 3.
puis
désolé pour le titre un rien accrocheur !
Y a pas à dire, c'est excellent ! :-)
[^] # Re: itoa.h
Posté par Obsidian . En réponse au message Convertir int en char. Évalué à 2.
#include <iostream>
#include &mt;sstream>
using namespace std;
puis
int p;
stringstream oss;
(++p);
oss << dec << p;
affiche->setText (oss.str());
oss.str("");
Tu peux utiliser oss.str().c_str() si l'objet instancié en affiche ne connait pas les chaînes STL. La ligne d'après sert à vider l'objet ostringstream pour pouvoir le réutiliser sans avoir à le détruire puis le recréer (ça a l'air bête comme çà, mais j'ai beaucoup trainé sur Google avant de trouver).
# Oui, c'est possible.
Posté par Obsidian . En réponse au message gcc cross compil ada unix ->windows. Évalué à 3.
https://linuxfr.org/forums/19/3922.html(...)
Mais c'est tellement lourd que je n'ai jamais eu le temps de finaliser l'installation et donc je n'ai pas encore de retour. En outre, lorsque tu auras fini de construire ton compilo, il te faudra encore un environnement Windows installé (toutes les lib, les headers qui vont bien) pour pouvoir compiler sans problème. Pas facile à trouver.
[^] # Re: Man ls
Posté par Obsidian . En réponse au message mtime ctime atime. Évalué à 1.
# On l'a retrouvé ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Un développeur en puissance?. Évalué à 10.
[^] # Re: Les photos ne sont pas très à jour, c'est tout
Posté par Obsidian . En réponse au journal Je suis le maître du monde.... Évalué à 6.
[^] # Re: toujours pas de solutions...
Posté par Obsidian . En réponse au message résolution d'écran en mode console. Évalué à 4.
[^] # Re: résolution d'écran en mode console
Posté par Obsidian . En réponse au message résolution d'écran en mode console. Évalué à 3.
Ce qui est relativement inquiétant, c'est que l'on commence à trouver beaucoup de jeunes étudiants en informatiques qui ne savent plus du tout ce qu'est le mode texte.
Il est problable que le BIOS de ta machine ou celui de ta carte graphique choisisse lui-même une résolution particulière et que Linux n'y soit pour rien (compromis entre netteté et largeur d'affichage).
Bref, le mode frame buffer satisfera tes besoins, mais c'est quand même utile de savoir comment tout cela fonctionne.
[^] # Re: Moi je vais breveter la lettre 'e'
Posté par Obsidian . En réponse au journal Breveter l'insertion d'un blanc.... Évalué à 2.
[^] # Re: Lecture rapide
Posté par Obsidian . En réponse au journal Lire devient facile. Évalué à 3.