On apprend dans Clone Wars qu'il y a un crystal au coeur de chaque sabre laser, 'faudrait peut-être creuser de ce coté.
Pour les tirs laser, en fait ce ne sont apparement pas des lasers ordinaires, du fait qu'on les voit se propager. C'est flagrant dans l'épisode II lors de la vue aérienne du champ de bataille.
C'est le bon moment pour ressortir la "lettre ouverte aux hobbyistes" écrite par Bill Gates lui-même en 1976. Il est effrayant de constater à quel point il est tourné vers lui-même et combien il croît à ses inepties :
Je plussoie ce journal avec véhémence car ce site est vraiment à faire connaître. D'ailleurs j'ai commencé.
Moi aussi, je suis passé récement à Ubuntu et je crois que j'ai vraiment trouvé la distrib' idéale. Je l'ai même installée sur les portables de ma famille puisque c'est moi qui en assure générale la maintenance. Moi qui était jusque là resté à Mandrake (parce que commencé avec une RedHat 5.1), j'ai eu Debian et Ubuntu en première et seconde position , et KUbuntu en troisième.
C'est énorme parce que même si je suis un adepte de la ligne de commande, j'aime tout de même les graphismes soignés et les interfaces graphiques propres et efficaces, et que même si j'ai beaucoup développé avec GTK, j'utilisais plutôt KDE que Gnome (même si je passe le plus clair de mon temps sous WindowMaker), ce qui tend à changer avec Gnome 2.
Impeccable. Un questionnaire de ce style manquait vraiment.
Tiens, puisque l'on parle d'intelligence artificielle brillante, je ressors « 20 questions », pour ceux et celles qui ne connaîtraient pas encore :
Désolé, mais je ne peux plus blairer les participes passés écrits à l'infinitif. Même en étant tolérant, c'est désagréable à lire. DLFP est un site à forte audience et doit montrer l'exemple (parce que l'orthographe vient majoritairement en lisant, quoique l'on en dise), et que c'est vraiment trop fréquent.
Ceci dit, ce n'était pas innocent : la man page est très détaillée et se réfère à de nombreux fichiers et appels système connexes. Ce n'est donc pas l'info recherchée au sens strict, mais c'est un bon point de départ (comparé à d'autres thèmes).
Bon, à l'époque j'avais acquis « Programmation Linux 2.0 » chez Eyrolles, d'Eric Dumas, Remy Card, et Frank Mével. Dommage qu'il n'y ait pas eu (à ma connaissance) de bouquin similaire sur les noyaux récents, mais je pense qu'on pourra y trouver exactement ce que le môssieur recherche.
Dans le même genre, il y a quelques années, j'avais vu une affiche en milieu semi-rural que j'avais trouvé excellente. Malheureusement, je n'avais rien pour la photographier à ce moment.
Tout le monde sait que les noms Unix, Linux, micro&soft, etc. ont été repris dans d'autres secteurs d'activité, notament le premier pour un fongicide. J'ai donc vu un beau champ de blé sur l'affiche en question, avec la mention :
Unix : La solution à tous vos programmes
J'aurais bien mis cette image en fond de bureau ! :-)
Tout d'abord, merci d'avoir fait un effort sur l'orthographe.
Pour le port série, il n'y a pas de « protocole » à proprement parler. Renseigne-toi un peu sur le fonctionnement d'une ligne série d'une manière générale et tu verras que c'est très simple.
Pour résumer, disons que le port maintient au repos sa ligne de transmission à l'état 1 (5V), ce qui lui permet éventuellement de détecter une rupture de câble. Ensuite, au moment de transmettre, le port série commence par émettre un « bit de start », c'est-à-dire un bit toujours à 0, pour indiquer qu'il commence la transmission d'un octet, puis il transmet les bits de l'octet proprement dit, en commençant par le bit de poids faible. Enfin, selon les configurations, il émet généralement un bit de parité (l'équivalent d'un checksum sur un seul bit) pour savoir rapidement si l'octet transmis l'a été sans erreur. Enfin, toujours optionellement, un voire deux bits de stop.
En outre, le port série est en général équipé de lignes RTS et CTS (man stty) pour Request To Send et Clear To Send. Tu peux demander à ton port série d'écouter ces lignes ou non. Par défaut, elles sont prise en compte. Cela sert à l'équipement terminal de transmission de données (typiquement le modem que tu lui mets au cul), pour pouvoir donner le feu vert au port lorsqu'il a établi la communication et qu'il est prêt à transmettre.
Evidement, tout cela est géré électroniquement. Même au niveau de l'assembleur, on ne voit que les ports I/O de l'interface et l'on reçoit l'octet tout fait.
C'est extrêmement simple, robuste, et cela n'a rien à voir par exemple avec le fonctionnement du bus USB, qui s'apparente plus à une sorte d'Ethernet, et dont les spécifications occupent un classeur de dix centimètres d'épaisseur. A l'époque du DOS, la plupart des programmes écrits en assembleur pilotait directement le port avec appels I/O plutôt que de passer par un pilote dédié, tellement c'était trivial.
Tapes « RS232 » (voire même RS232C) dans Google, qui décidément fait beaucoup pour toi :-), pour obtenir plus d'infos.
Pour ton problème, vérifie déjà le type de câble que tu utilises pour relier tes ports série. Il faut que ce soit un NULL-MODEM (soit un câble série croisé). Ensuite, vérifie que les ports soient réglés à la même vitesse de chaque coté.
Je suis d'accord avec ça, mais je pense que cela s'adresse à des codeurs déjà confirmés plutôt qu'à des débutants dans un langage particulier. Dans le premier cas, on parle d'optimisation, de relativisation des différentes méthodes, etc., dans le deuxième, on masque une lacune.
Update: « chaine » et « oss » sont en fait le même objet. J'ai écrit trop vite. « oss » est le nom que j'utilise habituellement quand je déclare un ostringstream. J'ai fait un copier-coller un peu rapide du code en tête de page au milieu de tout ça.
J'ai l'impression que cette methode tend a deconner en particulier lorsque la valeur de la chaine change dans une boucle.
En fait, il faut juste penser à utiliser l'objet qui convient et à vider la chaîne quand on a fini de s'en servir. J'ai mis du temps avant de y arriver parce que je n'ai pas trouvé d'exemple mettant ceci en évidence. Mais bon:
unsigned long int x,y; ostringstream oss;
for (x=0,y=50;x<100;++x)
{
chaine << " x vaut " << x << " et y vaut" << y;
cout << chaine; oss.str("");
}
Posté par Obsidian .
En réponse au message bonjour.
Évalué à 3.
Ce commentaire a un vague goût de troll, mais bon.
Le « truc comme le DOS », cela s'appelle le SHELL. La ligne de commande est probablement ce qu'il y a de plus puissant sous Unix, et crois-moi, cela n'a rien à voir avec DOS.
Bon si tu atterris à cet endroit, c'est qu'il y a de fortes chances que l'interface graphique ne soit pas lancée au démarrage. As-tu bien choisi le lancement automatique de X-Window à l'installation ?
Pour mémoire, Teaser, c'est moi qui l'ait créé avec JCM en 89 ;-) ... aka chip at teaser.fr since 1991
C'était dur de se tromper ! :-)
Trop de diplôme ne tue-t-il pas LE diplôme ? Que penser d'un patron de PME (dans le Libre qui plus est) qui va prendre des commandes de Dev pour les faire réaliser en Roumanie ?
Ça dépend. Être trop diplômé peut éventuellement nuire à l'embauche mais c'est un cas particulier, et pas insoluble. Maintenant, jusqu'à présent, le « diplômage » systématique des jeunes n'a pas nui à cette institution. Le seuil de recrutement a juste varié en fonction de l'offre et de la demande. C'est pas demain que notre pays changera de ce coté. À moins d'être entrepreneur, et d'en avoir sérieusement la fibre, il est de fait que seuls ces titres ouvrent des portes. S'autoformer et faire ses preuves en France restent malheureusement très difficile.
Je te fais LE baril d'ingé français contre SIX barils d'ingé roumain !
Jean-Rene Vidaud - aka chip at teaser.fr since 1991
YES ! Teaser ! Lovely !
Ce fût également mes premiers pas sur le net avec l'email en 80 colonnes sur Minitel-2. Cela faisait très wargames à l'époque. Et le BBT via la prise téléinformatique. Des bons souvenirs tout ça.
Dois-je lui conseiller d'apprendre le ROUMAIN pour aller s'installer à Bucarest afin de trouver du boulot ?
Même si c'est très probablement ironique, il y a quand même quelque chose qu'il faut pointer du doigt au cas où certaines personnes seraient déjà suffisament désespérées pour accepter un poste à 110 ¤ à des milliers de kilomètres de chez elles : C'est un voyage sans retour ! A ce prix-là, même en travaillant le reste de sa vie, on ne pourra jamais cumuler assez pour se payer son billet de retour et avoir rassemblé des provisions suffisantes pour subsister en France.
Il faut que nos Ingénieurs français commencent à s'inquiéter sérieusement
C'est bête à dire mais je le doigt dessus parce que j'en fais partie : Si les ingénieurs doivent s'inquiéter, ce sont surtout les autodidactes qui ont consacré une bonne partie de leur vie à cela et qui en général n'ont pas de diplôme officiel pour sanctionner tout cela qui sont en danger.
Ces gens-là sont en général très compétents, ne serait-ce que parce qu'en 1991, l'informatique n'était pas enseignée comme elle l'est aujourd'hui. En 1998-99, on voyait même apparaître des annonces écrites s'adressant à ce type de profil (« ... niveau BAC+2 ou complètement autodidacte ... »). Aujourd'hui, avec la dépression qui touche le secteur, les critères de recrutement ont évidement été revus à la hausse. On se retrouve aujourd'hui avec des jeunes adultes dans la même situation que certains ouvriers dépassant 30 ans d'usine. Inclassables du jour au lendemain, et obligés de reprendre une formation quasiment depuis le secondaire pour avoir une chance de retrouver un emploi.
Comme dit plus haut, soit tu veux trouver le moyen de lancer une application Windows depuis Linux, et dans ce cas il te faut un émulateur, soit tu cherches à lancer une application Linux qui se trouve dans un répertoire dédié et dans ce cas tu tapes « ./monapplication ».
En fait, Dos/Windows et Linux cherchent tous deux les applications dans les répertoires spécifiés dans la variable d'environnement $PATH . La différence, c'est que Dos/Windows recherche d'abord implicitement dans le répertoire courant. Comme le répertoire courant est désigné par « . », il suffirait de mettre ce caractère en début de la ligne dans la variable $PATH, mais ce serait prendre une très mauvaise habitude.
Par contre, si un chemin est spécifié lors de l'appel d'une commande (genre « /bin/ls » au lieu de « ls »), Unix cherchera ladite commande à cet emplacement.
D'où le préfixe « ./ » en début de ligne pour exécuter une commande dans un répertoire dédié.
Chaque fois que tu te poses une question sur une commande particulière, essaie toujours de consulter la page de manuel qui correspond avant de poster dans un forum. En général, tu obtiendras la réponse bien plus rapidement.
Chaque fichier sur un système Unix, quelque soit sa nature (fichier régulier, socket, tube nommé, fichier spécial (« /dev/ ») ou autre) est invariablement affecté à un propriétaire et un groupe. Ensuite, tu peux régler les droits en lecture, écriture et exécution pour le propriétaire, le groupe et les autres utilisateurs. Soit neuf bits en tout.
Tu règles donc ces permissions avec chmod.
Après, il y a le sticky bit bit et les s{u|g}id bits, mais tu découvriras tout cela tout seul.
Cela veut dire que tu n'as pas le droit d'écrire dans /dev/modem. Lance -exceptionellement- ton programme en root pour vérifier ton port. Ensuite, il vaudra mieux faire un chmod sur /devmodem, ou mettre ton compte utilisateur dans le bon groupe (en général tty sur Mandriva).
[^] # Re: et les capes ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Les lames des sabres laser ont-elles une masse ?. Évalué à 7.
[^] # Re: poids
Posté par Obsidian . En réponse au journal Les lames des sabres laser ont-elles une masse ?. Évalué à 3.
Pour les tirs laser, en fait ce ne sont apparement pas des lasers ordinaires, du fait qu'on les voit se propager. C'est flagrant dans l'épisode II lors de la vue aérienne du champ de bataille.
[^] # Re: ld
Posté par Obsidian . En réponse au message LD_LIBRARY_PATH. Évalué à 2.
Sous Solaris par exemple, rien de tout çà ...
# Le retour du Jedi^W^W des Hobbyistes
Posté par Obsidian . En réponse au journal Voleurs de pensée : nouveau FUD de Microsoft. Évalué à 3.
http://www.blinkenlights.com/classiccmp/gateswhine.html(...)
http://www.freescape.eu.org/biblio/article.php3?id_article=155(...)
Les gallolinuxéistes les plus assidus auront bien sûr tous remarqué son coté "Jayce" ( http://linuxfr.org/~petit/5133.html(...) ).
# Pareil !
Posté par Obsidian . En réponse au journal Quelle est la distribution qu'il te faut ?. Évalué à 3.
Moi aussi, je suis passé récement à Ubuntu et je crois que j'ai vraiment trouvé la distrib' idéale. Je l'ai même installée sur les portables de ma famille puisque c'est moi qui en assure générale la maintenance. Moi qui était jusque là resté à Mandrake (parce que commencé avec une RedHat 5.1), j'ai eu Debian et Ubuntu en première et seconde position , et KUbuntu en troisième.
C'est énorme parce que même si je suis un adepte de la ligne de commande, j'aime tout de même les graphismes soignés et les interfaces graphiques propres et efficaces, et que même si j'ai beaucoup développé avec GTK, j'utilisais plutôt KDE que Gnome (même si je passe le plus clair de mon temps sous WindowMaker), ce qui tend à changer avec Gnome 2.
Impeccable. Un questionnaire de ce style manquait vraiment.
Tiens, puisque l'on parle d'intelligence artificielle brillante, je ressors « 20 questions », pour ceux et celles qui ne connaîtraient pas encore :
http://y.20q.net(...)
[^] # Re: Stats
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche Une émission de télé en direct sur le libre. Évalué à 3.
Ou linux-frisage à la limite ...
# Essaie leconjugueur.com
Posté par Obsidian . En réponse au message Graver un cd protéger!. Évalué à 6.
http://www.leconjugueur.com/(...)
Désolé, mais je ne peux plus blairer les participes passés écrits à l'infinitif. Même en étant tolérant, c'est désagréable à lire. DLFP est un site à forte audience et doit montrer l'exemple (parce que l'orthographe vient majoritairement en lisant, quoique l'on en dise), et que c'est vraiment trop fréquent.
[^] # Re: Apparement...
Posté par Obsidian . En réponse au journal "Tony Blair part en guerre contre Microsoft". Évalué à 2.
[^] # Re: MAN
Posté par Obsidian . En réponse au message socket linux. Évalué à 3.
Ceci dit, ce n'était pas innocent : la man page est très détaillée et se réfère à de nombreux fichiers et appels système connexes. Ce n'est donc pas l'info recherchée au sens strict, mais c'est un bon point de départ (comparé à d'autres thèmes).
Bon, à l'époque j'avais acquis « Programmation Linux 2.0 » chez Eyrolles, d'Eric Dumas, Remy Card, et Frank Mével. Dommage qu'il n'y ait pas eu (à ma connaissance) de bouquin similaire sur les noyaux récents, mais je pense qu'on pourra y trouver exactement ce que le môssieur recherche.
Je vérifie en rentrant à la maison.
# MAN
Posté par Obsidian . En réponse au message socket linux. Évalué à 0.
# Logo
Posté par Obsidian . En réponse au journal Les brevets logiciels, trop cool. Évalué à 3.
[^] # Re: une photo...
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le Loiret fait un clin d'oeil aux linuxiens. Évalué à 2.
Tout le monde sait que les noms Unix, Linux, micro&soft, etc. ont été repris dans d'autres secteurs d'activité, notament le premier pour un fongicide. J'ai donc vu un beau champ de blé sur l'affiche en question, avec la mention :
J'aurais bien mis cette image en fond de bureau ! :-)
[^] # Re: vive le pas graphique
Posté par Obsidian . En réponse au message Ecran de veille figé ?. Évalué à 3.
# Port série
Posté par Obsidian . En réponse au message lecture d'un port. Évalué à 9.
Pour le port série, il n'y a pas de « protocole » à proprement parler. Renseigne-toi un peu sur le fonctionnement d'une ligne série d'une manière générale et tu verras que c'est très simple.
Pour résumer, disons que le port maintient au repos sa ligne de transmission à l'état 1 (5V), ce qui lui permet éventuellement de détecter une rupture de câble. Ensuite, au moment de transmettre, le port série commence par émettre un « bit de start », c'est-à-dire un bit toujours à 0, pour indiquer qu'il commence la transmission d'un octet, puis il transmet les bits de l'octet proprement dit, en commençant par le bit de poids faible. Enfin, selon les configurations, il émet généralement un bit de parité (l'équivalent d'un checksum sur un seul bit) pour savoir rapidement si l'octet transmis l'a été sans erreur. Enfin, toujours optionellement, un voire deux bits de stop.
En outre, le port série est en général équipé de lignes RTS et CTS (man stty) pour Request To Send et Clear To Send. Tu peux demander à ton port série d'écouter ces lignes ou non. Par défaut, elles sont prise en compte. Cela sert à l'équipement terminal de transmission de données (typiquement le modem que tu lui mets au cul), pour pouvoir donner le feu vert au port lorsqu'il a établi la communication et qu'il est prêt à transmettre.
Evidement, tout cela est géré électroniquement. Même au niveau de l'assembleur, on ne voit que les ports I/O de l'interface et l'on reçoit l'octet tout fait.
C'est extrêmement simple, robuste, et cela n'a rien à voir par exemple avec le fonctionnement du bus USB, qui s'apparente plus à une sorte d'Ethernet, et dont les spécifications occupent un classeur de dix centimètres d'épaisseur. A l'époque du DOS, la plupart des programmes écrits en assembleur pilotait directement le port avec appels I/O plutôt que de passer par un pilote dédié, tellement c'était trivial.
Tapes « RS232 » (voire même RS232C) dans Google, qui décidément fait beaucoup pour toi :-), pour obtenir plus d'infos.
Pour ton problème, vérifie déjà le type de câble que tu utilises pour relier tes ports série. Il faut que ce soit un NULL-MODEM (soit un câble série croisé). Ensuite, vérifie que les ports soient réglés à la même vitesse de chaque coté.
[^] # Re: Pourquoi faire compliqué quand ....
Posté par Obsidian . En réponse au message Des Chiffres et des Lettres. Évalué à 2.
[^] # Re: Des strings et des lettres
Posté par Obsidian . En réponse au message Des Chiffres et des Lettres. Évalué à 2.
[^] # Re: Pourquoi faire compliqué quand ....
Posté par Obsidian . En réponse au message Des Chiffres et des Lettres. Évalué à 3.
# Des strings et des lettres
Posté par Obsidian . En réponse au message Des Chiffres et des Lettres. Évalué à 4.
En fait, il faut juste penser à utiliser l'objet qui convient et à vider la chaîne quand on a fini de s'en servir. J'ai mis du temps avant de y arriver parce que je n'ai pas trouvé d'exemple mettant ceci en évidence. Mais bon:
unsigned long int x,y;
ostringstream oss;
for (x=0,y=50;x<100;++x)
{
chaine << " x vaut " << x << " et y vaut" << y;
cout << chaine;
oss.str("");
}
Le compte est bon.
[^] # Re: Shell
Posté par Obsidian . En réponse au message bonjour. Évalué à 2.
J'allais lui conseiller de faire la même chose, mais arrivé à vi, j'ai décidé d'abandonner le post ! :-)
# Shell
Posté par Obsidian . En réponse au message bonjour. Évalué à 3.
Le « truc comme le DOS », cela s'appelle le SHELL. La ligne de commande est probablement ce qu'il y a de plus puissant sous Unix, et crois-moi, cela n'a rien à voir avec DOS.
Bon si tu atterris à cet endroit, c'est qu'il y a de fortes chances que l'interface graphique ne soit pas lancée au démarrage. As-tu bien choisi le lancement automatique de X-Window à l'installation ?
[^] # Re: Roumanie ? :-(
Posté par Obsidian . En réponse au message Conseil pour mon fils. Évalué à 2.
C'était dur de se tromper ! :-)
Ça dépend. Être trop diplômé peut éventuellement nuire à l'embauche mais c'est un cas particulier, et pas insoluble. Maintenant, jusqu'à présent, le « diplômage » systématique des jeunes n'a pas nui à cette institution. Le seuil de recrutement a juste varié en fonction de l'offre et de la demande. C'est pas demain que notre pays changera de ce coté. À moins d'être entrepreneur, et d'en avoir sérieusement la fibre, il est de fait que seuls ces titres ouvrent des portes. S'autoformer et faire ses preuves en France restent malheureusement très difficile.
Comme ceux-ci ? :-)
http://www.koreus.com/files/200407/linux_lessive.jpg(...)
http://www.koreus.com/files/200407/microsoft_lessive.jpg(...)
# Roumanie ? :-(
Posté par Obsidian . En réponse au message Conseil pour mon fils. Évalué à 4.
YES ! Teaser ! Lovely !
Ce fût également mes premiers pas sur le net avec l'email en 80 colonnes sur Minitel-2. Cela faisait très wargames à l'époque. Et le BBT via la prise téléinformatique. Des bons souvenirs tout ça.
Même si c'est très probablement ironique, il y a quand même quelque chose qu'il faut pointer du doigt au cas où certaines personnes seraient déjà suffisament désespérées pour accepter un poste à 110 ¤ à des milliers de kilomètres de chez elles : C'est un voyage sans retour ! A ce prix-là, même en travaillant le reste de sa vie, on ne pourra jamais cumuler assez pour se payer son billet de retour et avoir rassemblé des provisions suffisantes pour subsister en France.
C'est bête à dire mais je le doigt dessus parce que j'en fais partie : Si les ingénieurs doivent s'inquiéter, ce sont surtout les autodidactes qui ont consacré une bonne partie de leur vie à cela et qui en général n'ont pas de diplôme officiel pour sanctionner tout cela qui sont en danger.
Ces gens-là sont en général très compétents, ne serait-ce que parce qu'en 1991, l'informatique n'était pas enseignée comme elle l'est aujourd'hui. En 1998-99, on voyait même apparaître des annonces écrites s'adressant à ce type de profil (« ... niveau BAC+2 ou complètement autodidacte ... »). Aujourd'hui, avec la dépression qui touche le secteur, les critères de recrutement ont évidement été revus à la hausse. On se retrouve aujourd'hui avec des jeunes adultes dans la même situation que certains ouvriers dépassant 30 ans d'usine. Inclassables du jour au lendemain, et obligés de reprendre une formation quasiment depuis le secondaire pour avoir une chance de retrouver un emploi.
# $PATH ?
Posté par Obsidian . En réponse au message Lancer un executable. Évalué à 4.
En fait, Dos/Windows et Linux cherchent tous deux les applications dans les répertoires spécifiés dans la variable d'environnement $PATH . La différence, c'est que Dos/Windows recherche d'abord implicitement dans le répertoire courant. Comme le répertoire courant est désigné par « . », il suffirait de mettre ce caractère en début de la ligne dans la variable $PATH, mais ce serait prendre une très mauvaise habitude.
Par contre, si un chemin est spécifié lors de l'appel d'une commande (genre « /bin/ls » au lieu de « ls »), Unix cherchera ladite commande à cet emplacement.
D'où le préfixe « ./ » en début de ligne pour exécuter une commande dans un répertoire dédié.
[^] # Re: re
Posté par Obsidian . En réponse au message Mode graphiqur et port com. Évalué à 2.
Alors ça, c'est pas une bonne idée, par contre.
man chmod est ton ami.
Chaque fois que tu te poses une question sur une commande particulière, essaie toujours de consulter la page de manuel qui correspond avant de poster dans un forum. En général, tu obtiendras la réponse bien plus rapidement.
Chaque fichier sur un système Unix, quelque soit sa nature (fichier régulier, socket, tube nommé, fichier spécial (« /dev/ ») ou autre) est invariablement affecté à un propriétaire et un groupe. Ensuite, tu peux régler les droits en lecture, écriture et exécution pour le propriétaire, le groupe et les autres utilisateurs. Soit neuf bits en tout.
Tu règles donc ces permissions avec chmod.
Après, il y a le sticky bit bit et les s{u|g}id bits, mais tu découvriras tout cela tout seul.
[^] # Re: re
Posté par Obsidian . En réponse au message Mode graphiqur et port com. Évalué à 2.
Cela veut dire que tu n'as pas le droit d'écrire dans /dev/modem. Lance -exceptionellement- ton programme en root pour vérifier ton port. Ensuite, il vaudra mieux faire un chmod sur /devmodem, ou mettre ton compte utilisateur dans le bon groupe (en général tty sur Mandriva).