Il est certain qu'en pareille situation, il faut faire preuve de sagesse et surtout pas entrer en guerre avec son administrateur système. Par contre, si les utilisateurs ne se plaignent pas, il n'y aucune raison pour que cela change spontanément.
A la place, il faudrait commencer à fédérer les différentes personnes qui peuvent avoir un intérêt à voir les machines Linux être officiellement prises en compte, multliplier les messages de demandes (justifiées et argumentées), attendre le mailing agacé de l'administrateur rapellant aux utilisateurs que ce n'est pas la politique de la maison, continuer les demandes argumentées, demander un rendez-vous avoir le directeur informatique, et commencer à planifier cela sérieusement. Au bout d'un moment cela va se faire.
Ceci dit, dans le cas présent, je comprends l'administrateur. J'ai personnement confiance dans les logiciels libres, mais pas dans Windows. Il est tout-à-fait possible que l'intégration dans un domaine Windows d'une machine dont le logiciel n'a pas été écrit par Microsoft, même s'il respecte les spécifications, puisse compromettre la base du domaine, parce qu'il y a fort à parier que les dernières versions intègrent tout un tas de caractéristiques non documentées servant en général de workaround à des bugs trop compliqués à corriger. Donc, sans soutien officiel de la maison mère et sans campagne de tests et de validation poussée, je ne le ferais pas non plus.
Il est par contre tout-à-fait envisageable de consacrer un serveur Windows spécial à l'installation d'un NFS et d'une liste de ressources partagées en SMB (Imprimantes, etc), qui lui pourrait être accessible à des machines Unix.
Essaie de transiger, les administrateurs systèmes sont parfois moins bornés qu'on le croit lorsqu'on leur propose un système garanti sans risque et qui ne leur apportera pas trop de boulot (loin de moi, d'ailleurs, l'idée de traiter les adminitrateurs de fainéants. Les problèmes inattendus survenant un permanence dans un parc de machines, même petit, censé fonctionner seul suffisent à justifier deux postes à temps plein).
Personnellement, je fais un rmmod de usb-uhci, ou tout autre nom de module en *hci, ce qui a pour effet de désinstaller le pilote du hub USB et donc, lorsque c'est possible, de le mettre hors-tension. Par là même, ce sont tous les périphériques qui y sont connectés qui seront mis hors-service. Un modprobe sur le même module et tout rentre dans l'ordre.
Ubuntu roulaize à fond, mais tu peux également essayer le Linux Distribution Chooser, sur http://www.zegeniestudios.net/ldc(...) , qui te permettra de trouver la distribution de tes rêves.
Posté par Thomas Walraet (page perso, envoyer un message privé) le 25/05/2005 à 12:57. (lien). Évalué à 3.
C'est sûr que si tu utilises des sites comme celui de Thomas Walraet ou de son frère comme référence, tu n'auras rapidement plus aucun problème. Ce sont des sites de malade. Une vraie tuerie.
J'ajouterais que nous avons nous même eu une grosse panne d'onduleur il y a 2 jours. C'est probablement dans l'air du temps.
En tout cas, une chose est sûre : Les onduleurs, c'est comme les disques durs. Ils sont chargés de conserver beaucoup de ressources précieuses, mais il finissent tous, tôt ou tard, par lacher.
Bref, un petit contrat de maintenance sur ces machines peut s'avérer rentable en fonction de nombre de machines que l'on administre.
Ben sans méchanceté, il faudrait que tu voies à faire moins de fautes de frappe. urpmi mibpcreposix ne risque pas de donner grand chose. urpmi libpcreposix a déjà plus de chances. Tu peux aussi donner un titre un peu plus explicite que "petit problème" à ta question.
Ensuite, il est quand même très étrange que ta lib soit dans /usr/bin. Moi je l'aurais mise dans /usr/lib.
Au fait, comment se fait-il que tu obtiennes de tels messages d'erreur sans avoir bidouillé ton système ?
J'ai pas vu la norme, mais pour avoir souvent croisé ces définitions, il me semble que _t est utilisé pour indiquer qu'il s'agit justement d'un type (donc, en C, soit un typedef, soit une structure, souvent les deux à la fois).
Je ne pense pas qu'il ait d'obligation dans ce domaine, toutefois.
Je ne sais pas trop où tu en es, mais à mon avis, c'est surtout chroot qu'il te faut. Ensuite, n'importe quel langage interprété devrait faire l'affaire.
Là encore, tu mélanges un peu toutes les couches !
Tu veux faire quoi avec ton port parallèle ? Ecrire dessus pour causer à ton imprimante ? Envoie tes caractère vers /dev/lp0, tout simplement.
Tu veux gérer les lignes de ton port une à une pour piloter une interface bricolée ? Vois plutôt du coté de /dev/parport. Il faudra se plonger un peu dans les sources car on manque de détails sur ce fichier spécial, mais bon. (J'ai le même problème en ce moment : http://linuxfr.org/forums/19/8431.html(...) )
Tu veux apprendre comment fonctionne un PC (en bas niveau), faire un peu d'assembleur ? Tu peux utiliser ioperm(), inb(), outb() si tu veux travailler sous Linux mais sache qu'une mauvaise valeur déposée au mauvais endroit peut planter ta machine en une seule opération. Bref, apprends déjà l'assembleur et renseigne-toi sur le fonctionnement d'une machine. Tu peux aussi utiliser quelques disquettes DOS, voire pourquoi une petite partition dédiée (quelques Mo). C'est archaïque pour une utilisation de bureau, par contre énormément de logiciels l'utilisaient il n'y a pas si longtemps, et surtout c'est complètement monotâche et en mode réel : Tu peux désactiver les interruptions à volonté, compter les cycles machines d'une routine, et écrire comme un porc dans tous les devices qui t'intéressent :Tu es tout seul.
Je pense que la première chose qu'il faut que tu éclaircisses est ce que tu veux faire au final. Ensuite tu pourras commencer à réfléchir aux moyens à mettre en oeuvre pour y parvenir.
Moi, à chaque fois que cela se produit, je saoule mes amis et mettant en évidence le fait qu'il y a des systèmes sur lesquels toutes ces contraintes sont parfaitement inutiles. Cela ne les fait pas migrer, mais au bout d'un moment, on me demande moins souvent de réparer les dégats.
Je viens de le faire. Je suis passé de Mandrake 9.2 à Ubuntu 5.04 et ... ça va ! :-)
Bon mêmes commentaires qu'au dessus. Si tu as une partition /home, cela marchera comme sur des roulettes car comme on fonctionne toujours en mode user sauf exception, c'est le seul endroit où tes fichiers de préférences peuvent aller se loger.
Si tu es anxieux, tu peux éventuellement sauvegarder le contenu de /etc avant de réinstaller ta machine, pour pouvoir t'y référer ensuite (mais pas en recopier intégralement le contenu vers ta nouvelle distribution).
Ubuntu est vraiment très bien intégrée et je pense que l'on peut dire que Linux est prêt pour le Desktop à partir de ce genre de distributions. Ceci dit, n'espère pas une migration totalement "zero-conf". Il y aura toujours quelques aménagement mineurs à faire pour retrouver un environnement parfait.
Il te faudra aussi une ligne à haut débit et une connexion à Internet, si possible pendant l'installation (pour aller chercher les packages locaux), et en tout cas pour rappatrier tous les logiciels dont tu as besoin (apt-get roulaize). Synaptic, l'outil graphique qui fait les apt-get pour toi, est très intuitif et fonctionne très bien. J'ai fait une sélection massive, je l'ai laissé tourner une nuit et je me suis réveillé avec un ordinateur configuré tout seul et prêt à être utilisé !
Bref j'ai testé pour toi (avec une freebox derrière), et la migration s'est passée sans douleur.
Ici le problème vient du fait qu'il faut utiliser l'option « -o loop » si l'on veut utiliser un fichier régulier comme un fichier spécial (/dev) et pouvoir ainsi le monter. L'astuce est donnée un peu plus bas.
'faut quand même saluer le travail de Maître Eolas qui fait honneur à sa profession et qui permet quand même d'avoir une vision objective des choses, et de tordre le cou à pas mal d'idée reçues. Une bouffée d'air frais.
--
Euh,sinon, Eolas, c'est pas ceux qui avaient attaqué Microsoft pour violation de brevet ? :-)
Tout dépend de la limite maximum de n. Si c'est neuf, pas de problème ça tient sur un seul caractère. Si c'est au dessus, tu vas avoir des problèmes car le nombre de caractères est variable. Bon sous bash, tu peux essayer ceci :
$ for i in *.png ; [ $i == 5.png ] || rm -f $i ; done
Cela devrait épargner ton fichier 5.png, et fonctionner pour n'importe quel autre motif.
A une époque, j'avais la Bible Linux chez Micro Applications (j'ai naïvement cru y trouver l'équivalent de la Bible PC), dans laquelle les plus grandes facettes du système sont toutes présentées dans un chapitre à elles. Intéressant pour le débutant, mais on reste vite sur sa faim. La liste des commandes résumée dans les deuxième et troisème de couverture est intéressante.
Coté Web, je te recommande "Comment Ca Marche", très populaire également, complète, très pédagogique, et qui ne dit pas de conneries, ce qui tend à se faire rare de nos jours. Tu trouveras un historique d'Unix et des principales commandes (ce qui est une bonne chose,: commencer directement avec un terminal) ici:
Pour le fichier /dev, c'est que touche là l'un des fondements de la philosophie UNIX : tout est fichier. C'est-à-dire qu'en principe, l'intégralité des ressources de ton système doit être accessible à travers le système de fichier.Et pour ce faire, il en existe plusieurs types :
- Les fichiers réguliers (ceux dont tu as l'habitude)
- Les répertoires (ou directory, soit dossier sous Win)
- Les liens durs
- Les liens symboliques
- Les sockets
- Les tubes nommés.
- Les fichiers spéciaux (les fameux /dev pour device)
Windows ne propose que les deux premiers types (les raccourcis ne sont en fait que des fichiers réguliers qui contiennent des informations exploitées par l'explorateur).
- Les liens durs ne sont pas à proprement parler des fichiers, mais les systèmes de fichiers Unix offrent la possibilité à l'utilisateur de déclarer LE MEME FICHIER à plusieurs endroits différents. Ainsi, tu peux copier un fichier type dans les répertoires personnels de tous les utilisateurs, et faire malgré tout en sorte que ce fichier n'existe qu'une seule fois sur le disque dur.
- Les liens symboliques ressemblent aux raccourcis Windows, mais il ne contiennent que le chemin vers le fichier de destination, et sont pris en charge directement par le noyau. Ils sont donc complètement transparents pour les applications et peuvent servir à créer des aliases ou faire des redirections (un raccourci Windows, la seule chose que l'on puisse faire avec, c'est cliquer dessus).
- Les sockets sont des connexions réseau ou internes aux systèmes, mais ils ont la possibilité d'être liés à un nom de fichier. Ainsi, tout ce qui sera écrit dans ce fichier (même depuis la ligne de commande) partira sur le réseau.
- Les tubes nommés (named pipes) te permettent de réaliser ce qui est en principe effectué par le caractère "|" (pipe) depuis la ligne de commande. Un programme qui écrit dans ce fichier sera mis en attente jusqu'à ce qu'un autre processus aille lire le fichier et récupérer les données (à aucun moment celles-ci ne sont écrites sur le disque).
- Les fichiers spéciaux sont une grande force d'Unix. Tout ce qui y est écrit est envoyé non pas vers le disque mais vers une routine spéciale du noyau, destinée à piloter un périphérique (en principe). Ainsi, et pour faire simple, tout ce que tu écriras dans /dev/dsp sera directement envoyé à la carte son (provoquant un bruit assez désagréable) et tout ce que tu en liras proviendra du micro.
En outre, tu peux régler les droits d'accès sur tous ces fichiers comme tu le ferais sur des fichiers ordinaires. Tu peux ainsi en une seule commande autoriser l'accès à ta carte son à certaines personnes, et l'interdire à d'autre.
Bon, visiblement, tu adoptes d'emblée les bonnes méthodes : Beaucoup de motivation, des recherches personnelles menées avant de poster, une orthographe propre, un énoncé clair, et des problèmes légitimes. Je pense que tu pourras vite te débrouiller seul.
Pour connaître la version du noyau Linux utilisé, tu peux taper uname -a dans une console. Pour connaître la version de ta distribution, la méthode est propre à chacune d'elle mais RedHat et Mandrake écrivent cela dans un fichier, respectivement /etc/redhat-release et /etc/mandrake-release.
Pour la mise à jour en ligne, presque toutes les distributions proposent cela. Tu peux utiliser urmpi pour mettre à jour des packages au cas par cas, sinon il existe un utilitaire dans les menus de configuration.
Pour la carte son, utilise l'utilitaire de configuration de ta distribution (en général drakconf sur une Mandrake) qui doit aussi se trouver dans les menus. Mais en général, il existe un lien symbolique dans /dev, en général /dev/sound ou /dev/dsp, qui pointe le périphérique à utiliser. Il suffit de modifier ce lien.
Enfin, quelques conseils :
Ne prends jamais Windows en référence pour arriver à tes fins ("Où se trouve le poste de travail ?", etc). Unix est un système complètement indépendant, plus matûre, et ses points forts ne sont pas du tout les mêmes.
Sache qu'au contraire de Windows, où tout semble être architecturé autour de l'interface graphique, et où le système forme un tout unique , issu d'une seule source, la plupart des nombreuses interfaces graphiques proposées par les distributions de Linux ne sont que des front-ends pour accéder aisément aux fontions systèmes que l'on modifie généralement soit en éditant un fichier de configuration (texte), soit avec des commandes en ligne. Donc chaque fois que tu effectues une opération via une GUI, efforce-toi de trouver l'équivalent en ligne de commande, et bientôt , tu pourras profiter de toute la souplesse et de la puissance de ton système.
Le mieux que tu puisses faire enfin est de contacter ton LUG local et de participer à des install parties, où tu trouveras plein de gens qui seront ravis de te faire une démonstration.
Ben le plus simple, c'est encore de récupérer le CD depuis le site officiel. Ceci nécessite toutefois une connexion haut débit et un graveur de CD (avec un CD vierge).
Ensuite le secteur de boot, cela n'a rien à voir avec le système de fichier. Si tu copies tous les fichiers vers un répertoire de destination, ton CD ne sera pas amorçable pour autant.
Maintenant, si tu as un lecteur de DVD, un câble croisé, une carte réseau sur chaque ordinateur, un système d'exploitation digne de ce nom et que tu aimes résoudre des casse-têtes, tu peux essayer de faire un serveur BOOTP ... nan. tout compte fait, oublie ça :-)
Oui, enfin XP n'est pas vraiment une machine virtuelle dans le sens Java du terme, ni gros systèmes. Si tu veux « émuler » Windows (bien que le logiciel s'en défende), on utilise wine.
[^] # Re: Emulation du SID ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Partager son compte de machine entre windows et linux. Évalué à 3.
Combien d'administrateurs et de développeurs Windows ont vu leur vie sauvée par les freewares de cette sympatique structure ...
[^] # Re: Partager son compte de machine entre windows et linux
Posté par Obsidian . En réponse au journal Partager son compte de machine entre windows et linux. Évalué à 5.
A la place, il faudrait commencer à fédérer les différentes personnes qui peuvent avoir un intérêt à voir les machines Linux être officiellement prises en compte, multliplier les messages de demandes (justifiées et argumentées), attendre le mailing agacé de l'administrateur rapellant aux utilisateurs que ce n'est pas la politique de la maison, continuer les demandes argumentées, demander un rendez-vous avoir le directeur informatique, et commencer à planifier cela sérieusement. Au bout d'un moment cela va se faire.
Ceci dit, dans le cas présent, je comprends l'administrateur. J'ai personnement confiance dans les logiciels libres, mais pas dans Windows. Il est tout-à-fait possible que l'intégration dans un domaine Windows d'une machine dont le logiciel n'a pas été écrit par Microsoft, même s'il respecte les spécifications, puisse compromettre la base du domaine, parce qu'il y a fort à parier que les dernières versions intègrent tout un tas de caractéristiques non documentées servant en général de workaround à des bugs trop compliqués à corriger. Donc, sans soutien officiel de la maison mère et sans campagne de tests et de validation poussée, je ne le ferais pas non plus.
Il est par contre tout-à-fait envisageable de consacrer un serveur Windows spécial à l'installation d'un NFS et d'une liste de ressources partagées en SMB (Imprimantes, etc), qui lui pourrait être accessible à des machines Unix.
Essaie de transiger, les administrateurs systèmes sont parfois moins bornés qu'on le croit lorsqu'on leur propose un système garanti sans risque et qui ne leur apportera pas trop de boulot (loin de moi, d'ailleurs, l'idée de traiter les adminitrateurs de fainéants. Les problèmes inattendus survenant un permanence dans un parc de machines, même petit, censé fonctionner seul suffisent à justifier deux postes à temps plein).
[^] # Re: lecon de piano
Posté par Obsidian . En réponse au journal Quel est ce morceau de Piano ?. Évalué à 1.
"Michael Nyman - The Heart Asks Pleasure First"
Il est notament sur la compilation "Zen" Volume 1
# Démonter le hub
Posté par Obsidian . En réponse au message Reseter un périphérique USB. Évalué à 3.
[^] # Re: ok
Posté par Obsidian . En réponse au message Quelle distribution adaptée ?. Évalué à 2.
[^] # Re: Avec les bon liens
Posté par Obsidian . En réponse au journal Ajouter à un Window manager à Ubuntu. Évalué à 3.
Il y en a qui n'ont pas besoin de compliment :-)
# Et WindowMaker ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Ajouter à un Window manager à Ubuntu. Évalué à 3.
Et je confirme que le package Ubuntu configure gdm correctement.
[^] # Re: ondulateur +fs
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le jour de la panne électrique. Évalué à 4.
En tout cas, une chose est sûre : Les onduleurs, c'est comme les disques durs. Ils sont chargés de conserver beaucoup de ressources précieuses, mais il finissent tous, tôt ou tard, par lacher.
Bref, un petit contrat de maintenance sur ces machines peut s'avérer rentable en fonction de nombre de machines que l'on administre.
[^] # Re: un peu plus de precisions svp
Posté par Obsidian . En réponse au message petit problème. Évalué à 2.
Ensuite, il est quand même très étrange que ta lib soit dans /usr/bin. Moi je l'aurais mise dans /usr/lib.
Au fait, comment se fait-il que tu obtiennes de tels messages d'erreur sans avoir bidouillé ton système ?
[^] # Re: bah
Posté par Obsidian . En réponse au message suffixe des variables ?. Évalué à 3.
Je ne pense pas qu'il ait d'obligation dans ce domaine, toutefois.
# Chroot
Posté par Obsidian . En réponse au message language de script en environnement restreint pour mon application. Évalué à 3.
# Masquez-moi ce « Masqué » que je ne saurais voir
Posté par Obsidian . En réponse au message Masqué les PIDs users. Évalué à 3.
[^] # Re: La PS3 explose les ------------- !!
Posté par Obsidian . En réponse au journal Les nouvelles consoles. Évalué à 10.
[^] # Re: 2 solutions
Posté par Obsidian . En réponse au message port parallele. Évalué à 2.
Tu veux faire quoi avec ton port parallèle ? Ecrire dessus pour causer à ton imprimante ? Envoie tes caractère vers /dev/lp0, tout simplement.
Tu veux gérer les lignes de ton port une à une pour piloter une interface bricolée ? Vois plutôt du coté de /dev/parport. Il faudra se plonger un peu dans les sources car on manque de détails sur ce fichier spécial, mais bon. (J'ai le même problème en ce moment : http://linuxfr.org/forums/19/8431.html(...) )
Tu veux apprendre comment fonctionne un PC (en bas niveau), faire un peu d'assembleur ? Tu peux utiliser ioperm(), inb(), outb() si tu veux travailler sous Linux mais sache qu'une mauvaise valeur déposée au mauvais endroit peut planter ta machine en une seule opération. Bref, apprends déjà l'assembleur et renseigne-toi sur le fonctionnement d'une machine. Tu peux aussi utiliser quelques disquettes DOS, voire pourquoi une petite partition dédiée (quelques Mo). C'est archaïque pour une utilisation de bureau, par contre énormément de logiciels l'utilisaient il n'y a pas si longtemps, et surtout c'est complètement monotâche et en mode réel : Tu peux désactiver les interruptions à volonté, compter les cycles machines d'une routine, et écrire comme un porc dans tous les devices qui t'intéressent :Tu es tout seul.
Je pense que la première chose qu'il faut que tu éclaircisses est ce que tu veux faire au final. Ensuite tu pourras commencer à réfléchir aux moyens à mettre en oeuvre pour y parvenir.
[^] # Re: nettoyage
Posté par Obsidian . En réponse au message Linux m'aidera-t-il ????. Évalué à 2.
# Ca marche.
Posté par Obsidian . En réponse au message migrer de mdk10.1 à ubuntu. Évalué à 2.
Bon mêmes commentaires qu'au dessus. Si tu as une partition /home, cela marchera comme sur des roulettes car comme on fonctionne toujours en mode user sauf exception, c'est le seul endroit où tes fichiers de préférences peuvent aller se loger.
Si tu es anxieux, tu peux éventuellement sauvegarder le contenu de /etc avant de réinstaller ta machine, pour pouvoir t'y référer ensuite (mais pas en recopier intégralement le contenu vers ta nouvelle distribution).
Ubuntu est vraiment très bien intégrée et je pense que l'on peut dire que Linux est prêt pour le Desktop à partir de ce genre de distributions. Ceci dit, n'espère pas une migration totalement "zero-conf". Il y aura toujours quelques aménagement mineurs à faire pour retrouver un environnement parfait.
Il te faudra aussi une ligne à haut débit et une connexion à Internet, si possible pendant l'installation (pour aller chercher les packages locaux), et en tout cas pour rappatrier tous les logiciels dont tu as besoin (apt-get roulaize). Synaptic, l'outil graphique qui fait les apt-get pour toi, est très intuitif et fonctionne très bien. J'ai fait une sélection massive, je l'ai laissé tourner une nuit et je me suis réveillé avec un ordinateur configuré tout seul et prêt à être utilisé !
Bref j'ai testé pour toi (avec une freebox derrière), et la migration s'est passée sans douleur.
[^] # Re: Pfff ! Ca sert à rien !
Posté par Obsidian . En réponse au journal Les nouvelles consoles. Évalué à 5.
[^] # Re: graver ?
Posté par Obsidian . En réponse au message lire un fichier iso ?. Évalué à 3.
Ici le problème vient du fait qu'il faut utiliser l'option « -o loop » si l'on veut utiliser un fichier régulier comme un fichier spécial (/dev) et pouvoir ainsi le monter. L'astuce est donnée un peu plus bas.
# Il est fort ce Eolas
Posté par Obsidian . En réponse au journal Il est fort ce Guillermito.... Évalué à 7.
--
Euh,sinon, Eolas, c'est pas ceux qui avaient attaqué Microsoft pour violation de brevet ? :-)
# n ?
Posté par Obsidian . En réponse au message question con sur le shell. Évalué à 2.
$ for i in *.png ; [ $i == 5.png ] || rm -f $i ; done
Cela devrait épargner ton fichier 5.png, et fonctionner pour n'importe quel autre motif.
[^] # Re: Précision
Posté par Obsidian . En réponse au message Pb pilote nvidia. Évalué à 2.
/var/log/Xorg.0.log
ou dans
/var/log/XFree.0.log
Fais un "grep EE le_fichier_en_question" et donne nous le résultat.
[^] # Re: Quelques indices.
Posté par Obsidian . En réponse au message Plein de question. Évalué à 4.
Introduction à Unix, chez O'Reilly (les livres O'Reilly sont assez populaires dans le milieu). Je ne l'ai pas lu.
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2841772098/402-4597509-666891(...)
A une époque, j'avais la Bible Linux chez Micro Applications (j'ai naïvement cru y trouver l'équivalent de la Bible PC), dans laquelle les plus grandes facettes du système sont toutes présentées dans un chapitre à elles. Intéressant pour le débutant, mais on reste vite sur sa faim. La liste des commandes résumée dans les deuxième et troisème de couverture est intéressante.
Coté Web, je te recommande "Comment Ca Marche", très populaire également, complète, très pédagogique, et qui ne dit pas de conneries, ce qui tend à se faire rare de nos jours. Tu trouveras un historique d'Unix et des principales commandes (ce qui est une bonne chose,: commencer directement avec un terminal) ici:
http://cogito.meca.polymtl.ca/CCM/unix/unixintro.htm(...)
Pour le fichier /dev, c'est que touche là l'un des fondements de la philosophie UNIX : tout est fichier. C'est-à-dire qu'en principe, l'intégralité des ressources de ton système doit être accessible à travers le système de fichier.Et pour ce faire, il en existe plusieurs types :
- Les fichiers réguliers (ceux dont tu as l'habitude)
- Les répertoires (ou directory, soit dossier sous Win)
- Les liens durs
- Les liens symboliques
- Les sockets
- Les tubes nommés.
- Les fichiers spéciaux (les fameux /dev pour device)
Windows ne propose que les deux premiers types (les raccourcis ne sont en fait que des fichiers réguliers qui contiennent des informations exploitées par l'explorateur).
- Les liens durs ne sont pas à proprement parler des fichiers, mais les systèmes de fichiers Unix offrent la possibilité à l'utilisateur de déclarer LE MEME FICHIER à plusieurs endroits différents. Ainsi, tu peux copier un fichier type dans les répertoires personnels de tous les utilisateurs, et faire malgré tout en sorte que ce fichier n'existe qu'une seule fois sur le disque dur.
- Les liens symboliques ressemblent aux raccourcis Windows, mais il ne contiennent que le chemin vers le fichier de destination, et sont pris en charge directement par le noyau. Ils sont donc complètement transparents pour les applications et peuvent servir à créer des aliases ou faire des redirections (un raccourci Windows, la seule chose que l'on puisse faire avec, c'est cliquer dessus).
- Les sockets sont des connexions réseau ou internes aux systèmes, mais ils ont la possibilité d'être liés à un nom de fichier. Ainsi, tout ce qui sera écrit dans ce fichier (même depuis la ligne de commande) partira sur le réseau.
- Les tubes nommés (named pipes) te permettent de réaliser ce qui est en principe effectué par le caractère "|" (pipe) depuis la ligne de commande. Un programme qui écrit dans ce fichier sera mis en attente jusqu'à ce qu'un autre processus aille lire le fichier et récupérer les données (à aucun moment celles-ci ne sont écrites sur le disque).
- Les fichiers spéciaux sont une grande force d'Unix. Tout ce qui y est écrit est envoyé non pas vers le disque mais vers une routine spéciale du noyau, destinée à piloter un périphérique (en principe). Ainsi, et pour faire simple, tout ce que tu écriras dans /dev/dsp sera directement envoyé à la carte son (provoquant un bruit assez désagréable) et tout ce que tu en liras proviendra du micro.
En outre, tu peux régler les droits d'accès sur tous ces fichiers comme tu le ferais sur des fichiers ordinaires. Tu peux ainsi en une seule commande autoriser l'accès à ta carte son à certaines personnes, et l'interdire à d'autre.
Prochain cours: l'utilisateur root !
Amuse-toi bien.
# Quelques indices.
Posté par Obsidian . En réponse au message Plein de question. Évalué à 4.
Bon, visiblement, tu adoptes d'emblée les bonnes méthodes : Beaucoup de motivation, des recherches personnelles menées avant de poster, une orthographe propre, un énoncé clair, et des problèmes légitimes. Je pense que tu pourras vite te débrouiller seul.
Pour connaître la version du noyau Linux utilisé, tu peux taper uname -a dans une console. Pour connaître la version de ta distribution, la méthode est propre à chacune d'elle mais RedHat et Mandrake écrivent cela dans un fichier, respectivement /etc/redhat-release et /etc/mandrake-release.
Pour la mise à jour en ligne, presque toutes les distributions proposent cela. Tu peux utiliser urmpi pour mettre à jour des packages au cas par cas, sinon il existe un utilitaire dans les menus de configuration.
Pour la carte son, utilise l'utilitaire de configuration de ta distribution (en général drakconf sur une Mandrake) qui doit aussi se trouver dans les menus. Mais en général, il existe un lien symbolique dans /dev, en général /dev/sound ou /dev/dsp, qui pointe le périphérique à utiliser. Il suffit de modifier ce lien.
Enfin, quelques conseils :
Ne prends jamais Windows en référence pour arriver à tes fins ("Où se trouve le poste de travail ?", etc). Unix est un système complètement indépendant, plus matûre, et ses points forts ne sont pas du tout les mêmes.
Sache qu'au contraire de Windows, où tout semble être architecturé autour de l'interface graphique, et où le système forme un tout unique , issu d'une seule source, la plupart des nombreuses interfaces graphiques proposées par les distributions de Linux ne sont que des front-ends pour accéder aisément aux fontions systèmes que l'on modifie généralement soit en éditant un fichier de configuration (texte), soit avec des commandes en ligne. Donc chaque fois que tu effectues une opération via une GUI, efforce-toi de trouver l'équivalent en ligne de commande, et bientôt , tu pourras profiter de toute la souplesse et de la puissance de ton système.
Le mieux que tu puisses faire enfin est de contacter ton LUG local et de participer à des install parties, où tu trouveras plein de gens qui seront ravis de te faire une démonstration.
Et sans oublier : http://www.lea-linux.org(...)
Bienvenue dans la communauté et bon courage.
# Et pourquoi pas le CD ?
Posté par Obsidian . En réponse au message ubuntu et armada e500. Évalué à 2.
Ensuite le secteur de boot, cela n'a rien à voir avec le système de fichier. Si tu copies tous les fichiers vers un répertoire de destination, ton CD ne sera pas amorçable pour autant.
Maintenant, si tu as un lecteur de DVD, un câble croisé, une carte réseau sur chaque ordinateur, un système d'exploitation digne de ce nom et que tu aimes résoudre des casse-têtes, tu peux essayer de faire un serveur BOOTP ... nan. tout compte fait, oublie ça :-)
[^] # Re: heu...
Posté par Obsidian . En réponse au message ouvrir Windows XP dans une session Linux !!. Évalué à 3.
Oui, enfin XP n'est pas vraiment une machine virtuelle dans le sens Java du terme, ni gros systèmes. Si tu veux « émuler » Windows (bien que le logiciel s'en défende), on utilise wine.
http://www.winehq.com/(...)
En principe, c'est livré par défaut avec ta distribution.