Obsidian a écrit 5299 commentaires

Il y a trois ans et demi, ce genre de considération avait donné naissance à cela :

http://linuxfr.org/2001/09/14/4955.html(...)

Le code qui était capable de lire DeCSS n'était même plus considéré comme une suite d'octets mais comme un nombre premier ! Et là, il devient difficile de déclarer illégale une valeur entière arithmétique :-)

Je n'ai pas fait de traitement du signal dans le sens mathématique du terme, donc ce n'est pas moi qui étalerai ma science ici, mais il me semble tout de même que tout ceci n'est valable que dans la mesure où l'on a une idée générale de l'allure du signal que l'on récupère, et de la bande passante dans laquelle les données collectées sont encore pertinentes. Dans le même esprit, échantillonner un signal audio standard, par exemple, avec une profondeur supérieure à 19 ou 20 bits ne doit pas servir à grand chose non plus car la différence d'ampitude entre deux « marches d'escalier » est largement inférieure à celle du bruit de la meilleure des chaînes de transmission.

Si c'est une sinusoïde pure que l'on numérise, il est clair que l'on peut rapidement en estimer la nature, la période et l'amplitude. Resynthétiser le signal à partir de ces trois grandeurs est alors élémentaire.

Par contre, si l'information présente des caractéristiques que l'on ne peut prévoir à l'avance, typiquement des pics, il me semble qu'une fréquence élevée de mesure permet justement d'empêcher ceux-ci de passer au travers des mailles du filet, à défaut de pouvoir les restituer parfaitement.

De deux choses l'une :

Ou il y avait déjà une partition de 5,8 déclarée dessus avant que tu soumettes ton disque à Mandrake, et dans ce cas, ton système s'est contenté de la monter proprement.

Ou le disque est réellement vu comme étant un 5,8Go (voir le nombre de blocs avec fdisk, au dessus des stats des partitions proprement dites), et dans ce cas il se peut que ton disque soit muni d'un cavalier servant à brider volontairement ton disque, parce que certains systèmes d'exploitation n'étaient tout bonnement pas capable de prendre correctement en charge un gros disque (pas même les premiers secteurs). C'était le cas sur mon IBM de 30Go, il y a quelques temps.

Bon courage.

C'est quand même fortement gruikeske dans la mesure où fdisk peut échouer à une des étapes, voire réclamer des informations supplémentaires, et là, la suite des commandes risque de provoquer des résultats imprévisibles.

Je trouve que c'est remettre au goût du jour le principe des jeux d'arcades où l'on introduisait la pièce de 25 cents pour jouer à Pac Man, Gallaga ou Pole Position.

Sauf que booter sous Windows sur une X-Box, à domicile, avec un compte à préalimenter ne rendra jamais l'ambiance que l'on trouvait dans une salle de jeux ...

Je n'ai pas eu de problème non plus, avec Firefox et Mandrake 9.2. Par contre, il fallait être un minimum geek pour penser au fait que la bibiliothèque de cryptage en Java que le site va tenter d'installer le sera dans un répertoire qui en principe n'est accessible à l'utilisateur qu'en lecture seule. Donc, à ouvrir puis refermer une fois la manip' faite. Il faut aussi faire en sorte que le plugin Java fonctionne sous Firefox si ce n'est pas déjà le cas. Un petit lien symbolique dans /opt/Firefox1.0/plugins pointant vers /usr/java/jre1.5.0_02/plugin/i386/ns7/libjavaplugin_oji.so , un petit redémarrage de Firfox et tout rentre dans l'ordre.

En revanche, j'ai tenté exactement la même chose sur une autre machine, plus vieille (PII/350Mhz) mais équipé de la même suite logicielle et là, le site reste bloqué sur une des étapes de la saisie, et je n'ai vraiment pas compris pourquoi (eu égard à la conformité des logiciels). Ce n'est qu'au bout d'un moment que j'ai réalisé qu'il y avait un iptables proprement configuré sur cette machine. Désactiver ces règles n'a rien changé, mais peut-être que l'application Java a besoin de relancer la procédure depuis le début dans de tels cas.

Sur un TO9, peut-être. Avec un TO9+ tu aurais pu goûter aux joies du moderne Bitmap16, en 160x200, avec 16 couleurs parmi 4096 !

Je n'ai aucun message, hormis le "One moment please". Le programme semble rester figé à cette étape. Je fais un Ctrl-C pour sortir. A ce moment, je n'ai pas de notification supplémentaire mais la curseur revient en haut à gauche de la console, et surimprime ce qui se trouvait en dessous (ncurse capricieux ?).

Je travaille sous un xterm.

Merci.

« J'ai des petits problèmes à la compilation, pourquoi ça compile pas » (en musique).

J'ai téléchargé et décomprimé l'archive, lancé le .configure en root comme indiqué ( :-( ), et le processus reste en attente après le "One moment please", et la compilation.

J'ai oublié quelque chose ?

Génial !

Merci énormément pour le boulot fourni, cela va intéresser beaucoup de monde, je crois. Allez hop, un bookmark de plus !

Merci ! Je tombe sur ton journal à l'instant et j'ai juste eu temps de la voir se lever au Nord-Ouest, et traverser le zénith avant de disparaitre sous la brume !

A quand le prochain passage ?

Ce qui m'a le plus fait bondir, c'est le « premier programme non-trivial » : Une addition à remplir correctement pour qu'un skieur passe une porte. Extactement à la même époque, j'avais écrit pour mon frangin qui révisait ses tables de multiplication un petit programme en BASIC dans lequel il fallait donner le produit de deux chiffres dans un temps imparti pour qu'un avion en approche se pose sans encombre (avec le crash qui allait bien en cas d'erreur ! :-) ).

Tout le monde a donc suivi le même chemin ?

Cette fois ci, son logiciel se nomme PyMusique.

Moi, rien que pour le fun, je l'aurais appelé ApplePy ! :-)

C'était pas plutôt :

- Par Thor !
- Par Odin !
- Par exemple !

?

C'est vrai que de prime abord ça ne sert pas à grand chose mais c'était un des voeux les plus demandés.

Cela signifie aussi que la philosophie de la plupart des nouveaux utilisateurs est « Je me mettrai à Linux le jour où il ressemblera à Windows ».

Pas très encourageant, à dire vrai ...

Méfiance avec l'ACPI. D'abord, même si son histoire avec Linux a débuté avec la branche 2.4, elle n'est prise correctement en charge que par les noyaux très récents.

Ensuite il arrive que certains ordinateurs n'en soient toujours pas équipés, comme mon portable (Toshiba Satellite 2410) qui a deux ans et demi et qui fonctionne toujours à l'APM.

Bref, quand ça marche, ça roulaize, mais cela reste à conseiller avec prudence.

A la base, les administrateurs souhaitaient que ce système soit utilisé pour mettre en évidence les commentaires qui contenaient une véritable information et passer en arrière-plan les bruits générés par la discussion, pour pouvoir facilement faire le tri.

Il est clair que c'est un échec, d'abord parce que les gens font ce qui leur est demandé : ils donnent leur avis, et je trouve cette manière de faire plutôt saine, ensuite parce qu'il est très rare que l'on trouve un scoop, quelque chose de complètement nouveau au sein d'une discussion sur un thème, qui ne soit pas déjà proposé par la dépêche de départ. Et si c'est le cas, celui-ci fait plutôt et en général l'objet d'un journal sur la page personnelle du lecteur (voir l'onglet « Journaux » en tête de page).

Par contre, cela permet de cacher très rapidement un commentaire délibérément déposé pour perturber. Autre avantage qui existait il y a encore peu de temps et que je regrette personnellement : Il était possible de savoir combien de personnes avaient voté pour toi. Cela permettait de savoir si ton commentaire avait été descendu en flammes ou si au contraire il divisait l'opinion. Malheureusement, tout ceci a fini par être caché à l'utilisateur parce qu'il ne passait pas une semaine sans que quelqu'un émette un nouveau journal pour se plaindre du système ou pour en vanter les mérites.

Dans tous les cas, ce système de vote a au moins l'avantage de pouvoir refléter la popularité d'une intervention sans avoir à remplir le forum de messages de réponses du style « oui », « bien dit » ou « moi aussi ». Et en ce sens-là, c'est un succès.

Sache également qu'actuellement, la note initiale d'un commentaire est fonction de la moyenne de celles des commentaires que tu as posté durant les derniers jours, et que cette note est forcément comprise entre -2 et 2. Donc tu commences à zéro, et très vite tes commentaires vont démarrer à une note plus élevée.

Détail important : Linuxfr est un site à forte audience et très bien référencé. Ce qui tu vas y écrire aura donc toujours de l'influence sur quelque chose, et donc les gens sont incités de différentes manières à respecter une certaine qualité. Notament, beaucoup de personnes ici, moi le premier, sont titilleuses au niveau de l'orthographe. Un petit effort ne coûte pas grand chose, et c'est tellement plus agréable pour ton lecteur ... Ceci peut faire toute la différence concernant la manière dont tes propos vont être perçus !

Et pour finir:

Sois le bienvenu sur DLFP :-)

Avec le temps, tu vas acquérir un certain nombre de points par jour qui te permettront de voter, ou plutôt de « donner ton avis » sur les commentaires que tu rencontres.

La note d'un commentaire peut osciller entre +10 et -10 en fonction des votes des lecteurs. Lorsqu'un commentaire passe en dessous de 1, il est automatiquement masqué. C'est un système d'automodération. Si les admins devaient contrôler tous les commentaires postés ici il leur faudrait 10 vies à chacun.

Ensuite, tu peux changer le seuil de visibilité des commentaires pour ne faire apparaître que les plus intéressants, mais il est rare que l'on change la valeur par défaut (1).

Dans le cas présent, ce n'est pas tout-à-fait la même chose. Bon j'imagine que le chocolat « Milka » a été officiellement déclaré en France bien avant 1988 (ce serait intéressant de savoir quand, d'ailleurs), mais dans le cas de Coca-Cola, il s'agit d'un nom composé pour l'occasion, déposé sous sa forme intégrale, ce qui permet à d'autres marques comme Pepsi ou Virgin de proposer leur *Cola sans être inquiétées mais surtout, il ne s'agit pas d'un nom propre porté par un particulier (qui dans notre affaire l'a sans doute reçu avant la création de la marque, mais c'est à vérifier aussi).

Et si par malchance, un type se prénomait vraiment Coca-Cola, et bien là encore, j'estime qu'il aurait tout-à-fait le droit de jouir légitimement de son nom de domaine, peu importe la réputation qu'a la multinationale éponyme ...

Les règles de nommage de la zone fr ont toujours protégé les marques commerciales déposées.

Dans l'article, on lit :

Son magasin «Milka Couture» est enregistré sous ce nom à la Chambre des métiers depuis 1988.

C'est pas suffisant ?

Elle a fait partie du dernier plan social ...

Donc si je comprends bien, une personne dont « Milka » est le vrai prénom est tenue par la justice française de transférer le nom de domaine qu'elle possède légitimement (en plus de sa marque déposée en 1988 à la Chambre du Commerce) à une multinationale étrangère dont le nom de produit découle de la contraction de « Milk » et « Kakao » ?

J'espère bien qu'elle peut faire appel. Si on laissait passer cela, ce serait non seulement une injustice inqualifiable, mais également un précédent, une brèche dans lequel toutes les grandes compagnies risquent de s'engouffrer.

Il est d'utilité publique de ne pas laisser passer ce genre d'affaire ...

Eh les gars, je n'ai vu encore personne faire état de la pile !

Comme dit plus haut, on inclue les symboles de debuggage en compilant avec "-g", on lance gdb ./testwin, on fait run et on attend le segfault.

crashme.c

int main (void)
{
char * ptr =0;
* ptr = '-';

return 0;
}

$ gcc -g crashme.c -o crashme
$ gdb crashme
(gdb) run
Program received signal SIGSEGV, Segmentation fault.
0x08048346 in main () at crashme.c:5
5 * ptr = '-';

Et quand on veut savoir d'où on vient, on explore la pile avec un backtrace :
(gdb) bt
#0 0x08048346 in main () at crashme.c:5
#1 0x40043c57 in __libc_start_main () from /lib/i686/libc.so.6


Après il existe "b" pour placer un breakpoint, "s" (step) pour avancer d'une instruction, "n" (next) pour sortir de la fonction en cours, etc. et surtout "help".


Enfin un conseil : Lâche KDevelop un moment ou l'on va croire que tu es perdu sans Visual Studios. Habitues-toi un moment à la ligne de commande, et reviens-y - si tu y tiens encore - quand tu seras devenu un guru ! :-)

Sinon il n'y a pas un script qui est exécuté dès que X est arrêté? De cette manière je mettrais cette commande dedans et adieu les caractères invisibles!

C'est-à-dire que, de cette manière, tu contournes le problème mais ne le résouds pas. En fait, la désactivation de l'écho caractère est une des facilités offertes par les terminaux compatibles ANSI ou VTxxx. Il est possible que le responsable de cette modification soit invoqué avant même le lancement de X. De plus, X étant censé s'allouer une console virtuelle bien à lui, s'il s'agissait d'un programme lancé depuis une session X, son action n'aurait pas d'effet sur celle depuis depuis laquelle tu travailles.

Si le problème se reproduit, essaie d'abord de changer de console avec Alt-F1, Alt-F2, etc. pour voir s'il se présente sur toutes ces consoles.

Un petit:

$ stty echo

à l'aveugle devrait refaire paraitre la lumière. Il y a probablement un programme qui désactive ceci sur le terminal sur lequel il travaille et qui n'a pas le temps de le remettre en place car il meurt avant, pour une raison ou une autre ...