Aïe aïe aïe ! Cà, ce sont les signes annonciateurs du syndrôme de l'IOCCC ! :-(
En général, on commence par voir des petits lutins, et on finit comme çà :
Oui, mais pas à la même époque, et pas non plus sur la même machine !
Dans le même esprit, j'ai essayé hier soir sur mon PII/Mdk9.2 avec un gcc pas trop vieux le programme qu'il donne en exemple tout en haut de son exposé. Là où son exécutable commence à 8Ko, le mien atteint déjà 11Ko ! Après strip, en revanche, les tailles redeviennent comparables.
Un programme vide de 6Ko il y a 10/12 ans, c'est un peu comme si le même programme vide aujourd'hui atteignait 100 à 300 Ko ! :-)
Oui, merci en effet !
Dommage que le « plussage » soit plafonné à 10 points.
Il est agréable de voir qu'il y a encore des gens qui se soucient de ce genre de chose à notre époque. D'ailleurs, à la mienne (il y a un peu plus de 10 ans :-) ), j'avais lancé le même genre de débat sur une messagerie Minitel à caractère informatique :
Question : Quelle est la taille minimum d'un fichier exécutable (sous DOS) ?
En utilisant un fichier *.COM, J'avais réussi à descendre à deux octets : CD 20
Cela codait l'instruction "INT 20h", vieil appel système mais toujours implémenté à l'époque pour terminer une application avant que le célèbre B8 00 4C CD 21 (pour MOV ax,4c00h; int 21h ) n'implémente le code de retour.
Je me suis quand même fait battre.
Un connecté m'a fait remarquer qu'en utilisant simplement "RET" (1 octet), on provoquait un retour depuis la pile, qui pointait la fin de l'unique segment du programme, laquelle était par convention initialisée à 00 00. Or, tout au début du même segment (donc en 00 00) se trouvait le PSP, qui par norme commençait toujours par un magic number invariable : CD 20 (ce qui bien sûr n'était probablement pas un hasard) !
Ensuite on s'est amusé à essayer de compiler un programme vide à l'aide de tous les compilateurs qui nous tombaient sous la main. La palme revenait au Turbo Pascal qui dépassait les 6Ko pour exécuter un programme strictement vide ! :-)
C'était beaucoup lorsque l'on avait l'habitude de s'échanger les fichiers par disquette, que les graveurs de CD étaient extrêmement rares et que les disques durs n'atteignaient pas 1Go.
J'ai envie de dire que si tu as des Pentiums II à disposition, il y a peut-être mieux à en faire que des terminaux : Moi, par exemple, je fais fonctionner une Mandrake 9.2 dessus. C'est un tout petit peu long au démarrage de Firefox et des applis KDE, mais cela reste très utilisable.
Si c'est la communauté du logiciel libre, c'est clair que non. Si c'est Microsoft, un bon accord bilatéral bien arrosé de dollars suffira à régler cette formalité ... et à se garantir le champ libre vis-à-vis de la concurrence.
Si ton noyau n'est pas trop gros ni très récent, tu peux essayer de le mettre sur une disquette et de démarrer sur celle-ci : $ cat /boot/vmlinuz > /dev/fd0
Comme le noyau (au moins jusqu'au 2.4) est équipé d'un bootstrap dans ses 512 premiers octets, il suffit de le copier sur un médium bootable pour qu'il démarre tout seul. Le résultat sera exactement le même que si c'était LILO qui l'avait lancé.
Sinon, tu peux te contenter d'y copier le MBR : dd if=/dev/hda of=/dev/fd0 bs=512 count=1
Le résultat devrait être sensiblement le même : Tu démarres sur la disquette au lieu du disque dur, et le secteur d'amorce que tu viens de copier ira chercher LILO comme un grand.
A condition de disposer d'une disquette vierge, tu peux faire ces tests de manière tout-à-fait sûre avant de reformatter ta partition FAT. Par la suite, tu relances la commande lilo
... sous root et tout rentre dans l'ordre.
J'ajouterai que « comment faire ? » n'est pas un titre recevable pour une entrée de forum ! :-)
Une bonne manière de faire serait de résumer clairement ton problème en une ligne. Le fait de te livrer à cet exercice te forcera déjà à avoir une vue globale de ton problème, ce qui te conduira dans une bonne partie des cas à trouver la solution avant même de commencer à rédiger le corps de ton message !
Euh, à mon avis, je n'ai pas dù saisir toute la substance de ton post parce que si WM n'est pas parfait, la majorité des points que tu cites peuvent être très facilement résolus :
- le bouton pour fermer la ffenêtre est à droite et je le veux à gauche
Rhoo ... vas-y que je chipotte :-)
- pas de racourcis clavier pour mettre la fenêtre en plein écran comme avec metacity
Si. Tu peux gérer tous ces événements et leur associer des raccourcis claviers en utilisant l'outil de conf standard de WindowMaker, "WPrefs.app". En principe, il est mappé sur l'icône principale du dock, sinon il se trouve souvent dans "/usr/X11R6/lib/GNUstep/Apps/WPrefs.app/WPrefs". Ok, je reconnais que c'est bien planqué, mais un coup d'oeil à ses packages suffit pour le retrouver.
- pas de bouton pour iconifier la fenêtre (la réduire)
Si. C'est celui de gauche, justement. En plus, tu peux également associer une touche ou une combinaison de touches.
- pas de possibilité de rendre le dock horizontal (pour avoir plus d'icones)
Utilise le clip. Tu peux mettre des icônes tout autour, en cumuler autant que tu veux, et en plus elles se masquent automatiquement quand tu double-cliques sur le trombonne.
- pas de menu applications (sachant que j'utilise le Desktop de GNUStep)
C'est quoi un « menu applications » ? Si ce sont les dernières applis lancées, effectivement, y a pas. Si c'est l'équivalent du « menu démarrer » ou de ses homologues, essaie de faire un clic droit sur le fond de bureau (ou d'appuyer sur F12).
- pas de ligne de commande dans le dock
Pas dans le « dock », mais moi j'ai collé une touche de raccourci sur la commande « exécuter » du menu en question, et j'ai un popup qui apparaît quand j'ai besoin de lancer une commande. Sinon j'ouvre un terminal (avec une autre combinaison de touches).
Je crois que c'est tout ce dont on a réellement besoin pour travailler.
Il faut signaler qu'il s'agit là de deux productions bien françaises et sorties pratiquement au même moment. Le TO7 est apparu en 1982.
En outre, les Thomson utilisaient (par défaut) un mode 40 colonnes et des jeux de couleurs et de séquences d'échappement qui épousaient, et c'était fait pour, parfaitement le Vidéotex.
Les modems qui se sont vendus alors permettaient de transformer son TO7 en Minitel, et la France profonde découvrit les plaisirs de la télématique.
C'est clair, on devrait aussi nommer le cuisto de la cantine PDG, le commercial à la R&D, le dévelopeur aux finances et la secrétaire au marketing, ça améliorerait grandement les choses. Je propose même qu'on permute les postes en tirant tous les matins à la courte paille. Fun, non?
Héhéhéhé ! Oui, très fun.
Honnêtement, je serais bien curieux d'assister pendant quelques temps à la métamorphose de l'entreprise qui s'en suivrait. Il se pourrait bien qu'il se passe en fait des choses aussi intéressantes qu'imprévues.
Pour le reste, c'est toujours pareil. L'informatique est une discipline qui échappe aux méthodologies habituelles de l'enseignement, et qui demande de s'y plonger pratiquement à 100%. Donc évidement, les grands « décideurs » mais aussi une bonne partie de la communauté scientifique, habituée à réécrire l'univers en quelques équations, et le management en général ont beaucoup de mal à voir une chose aussi fondamentale rester hors de leur contrôle. Donc on va toujours trouver un artifice pour dire que l'on peut quand même exercer le métier en faisant telle ou telle simplification, que finalement ce n'est pas SI important, etc. et aujourd'hui, que c'est carrément hype de ne pas savoir. Cela flatte leur égo. En tout cas c'est l'impression que cela me donne.
Il est important de noter, cependant, que pendant le vingtième siècle, un patron d'entreprise était quelqu'un qui avait accumulé suffisament d'expérience pour savoir quel cap tenir (même si la gestion d'une compagnie ne s'est jamais improvisée). Aujourd'hui, il est de fait que manager est un métier à part entière que les grands patrons des grandes entreprises sont interchangeables (ex : Michel Bon, qui a « dirigé » successivement l'ANPE, France Télécom et l'Institut de l'Entreprise, mais la formule est valable pour la plupart des grands comptes). Par conséquent, un DSI doit avoir une double compétence : Etre aussi bon gestionnaire que technicien, alors que tout le monde sait que c'est la quadrature du cercle.
Petit test : comment aller de Brunoy (91) à Villeneuve triage (à Villeneuve Saint-Georges, un poil plus haut) avec, comme seule contrainte, un véhicule de 7 tonnes de PTAC ?
Hyper simple : Tu te laisses descendre la côte, tu tombes sur une péniche, elle t'emmènera pratiquement à côté. Evry village s'était même doté d'un «&nsbp;port » pour acheminer les matériaux de construction de la ville nouvelle à la fin des années 70.
Tout ceux qui habitent dans ce coin auront remarqué cet itinéraire, eux-aussi ! :-)
On dit « La poste tchèque choisit » ou « a choisi », mais il faut choisir :-)
Coté migration, tout cela est certes réjouissant, mais quelqu'un a-t-il des retours à long terme de ce genre d'expérience ? Par exemple, la MACIF avait fait une migration d'une certaine partie de ses machines et depuis, plus entendu parler. Les serveurs continuent-ils à fonctionner sans se plaindre, Microsoft a-t-elle fait une proposition indécente à la compagnie pour récupérer un marché ? Les utilisateurs sont-ils satifsaits, etc.
C'est surtout à ces niveaux que cela devient intéressant ...
Oui, oui, oui !
Tu nous en avais fait part dans un de tes journaux, devenu moment depuis, au moins chez moi (j'ai filé l'URL à des amis, pas plus tard que ce matin).
C'était tout de même il y a presqu'un an ...
Tous ces témoignages ont beau être navrants en eux-mêmes, je dois dire que ce condensé m'a bien fait rigoler ...
Initialement, /bin et /usr/bin étaient séparés pour que /bin soit monté sur un disque rapide mais plus onéreux et de moins grande capacité, quand /usr/bin était lui monté sur des disques meilleur marché mais également beaucoup moins rapides. Evidement, cela fait au moins deux décenies que l'intérêt s'est flouté.
/usr/local permet (à mes yeux, en tout cas), de séparer ce qui doit rester propre à une machine de ce qui peut être partagé. Cela prend tout son sens sur un cluster, dans lequel toutes les machines doivent agir de concert. En gros /bin et /usr sont en fait mappés sur les partitions de la machine maître, mais /usr/local reste propre à chaque noeud.
# Config carte son.
Posté par Obsidian . En réponse au message Micro. Évalué à 3.
Tu lances aumix, ou logiciel assimilée, et tu actives l'entrée micro.
Ensuite tu réessaies ...
# Regarde ce qui t'attend :
Posté par Obsidian . En réponse au journal Code (très) laid. Évalué à 9.
En général, on commence par voir des petits lutins, et on finit comme çà :
http://www0.us.ioccc.org/years.html#2004(...)
Et, à ce que l'on dit, c'est incurable ...
Mes condoléances ...
[^] # Re: Voila ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Compilation et optimisation de l'empreinte mémoire. Évalué à 2.
Dans le même esprit, j'ai essayé hier soir sur mon PII/Mdk9.2 avec un gcc pas trop vieux le programme qu'il donne en exemple tout en haut de son exposé. Là où son exécutable commence à 8Ko, le mien atteint déjà 11Ko ! Après strip, en revanche, les tailles redeviennent comparables.
Un programme vide de 6Ko il y a 10/12 ans, c'est un peu comme si le même programme vide aujourd'hui atteignait 100 à 300 Ko ! :-)
[^] # Re: Voila ?
Posté par Obsidian . En réponse au journal Compilation et optimisation de l'empreinte mémoire. Évalué à 6.
Dommage que le « plussage » soit plafonné à 10 points.
Il est agréable de voir qu'il y a encore des gens qui se soucient de ce genre de chose à notre époque. D'ailleurs, à la mienne (il y a un peu plus de 10 ans :-) ), j'avais lancé le même genre de débat sur une messagerie Minitel à caractère informatique :
Question : Quelle est la taille minimum d'un fichier exécutable (sous DOS) ?
En utilisant un fichier *.COM, J'avais réussi à descendre à deux octets : CD 20
Cela codait l'instruction "INT 20h", vieil appel système mais toujours implémenté à l'époque pour terminer une application avant que le célèbre B8 00 4C CD 21 (pour MOV ax,4c00h; int 21h ) n'implémente le code de retour.
Je me suis quand même fait battre.
Un connecté m'a fait remarquer qu'en utilisant simplement "RET" (1 octet), on provoquait un retour depuis la pile, qui pointait la fin de l'unique segment du programme, laquelle était par convention initialisée à 00 00. Or, tout au début du même segment (donc en 00 00) se trouvait le PSP, qui par norme commençait toujours par un magic number invariable : CD 20 (ce qui bien sûr n'était probablement pas un hasard) !
Ensuite on s'est amusé à essayer de compiler un programme vide à l'aide de tous les compilateurs qui nous tombaient sous la main. La palme revenait au Turbo Pascal qui dépassait les 6Ko pour exécuter un programme strictement vide ! :-)
C'était beaucoup lorsque l'on avait l'habitude de s'échanger les fichiers par disquette, que les graveurs de CD étaient extrêmement rares et que les disques durs n'atteignaient pas 1Go.
# Recyclage ?
Posté par Obsidian . En réponse au message Terminal X et adressage fixe.... Évalué à 2.
# Je n'ai qu'une seule chose à dire :
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche Le Sénat espagnol contre les brevets logiciels. Évalué à 9.
[^] # Re: Un point inconnu
Posté par Obsidian . En réponse au sondage Les brevets logiciels :. Évalué à 4.
[^] # Re: Nid à troll
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le résultat du sondage 2004 de linuxquestions.org vient de sortir. Évalué à 4.
[^] # Re: LILO réside normalement sur le MBR
Posté par Obsidian . En réponse au message formater C:(windows) sans perdre le boot lilo. Évalué à 3.
$ cat /boot/vmlinuz > /dev/fd0
Comme le noyau (au moins jusqu'au 2.4) est équipé d'un bootstrap dans ses 512 premiers octets, il suffit de le copier sur un médium bootable pour qu'il démarre tout seul. Le résultat sera exactement le même que si c'était LILO qui l'avait lancé.
Sinon, tu peux te contenter d'y copier le MBR :
dd if=/dev/hda of=/dev/fd0 bs=512 count=1
Le résultat devrait être sensiblement le même : Tu démarres sur la disquette au lieu du disque dur, et le secteur d'amorce que tu viens de copier ira chercher LILO comme un grand.
A condition de disposer d'une disquette vierge, tu peux faire ces tests de manière tout-à-fait sûre avant de reformatter ta partition FAT. Par la suite, tu relances la commande
lilo
... sous root et tout rentre dans l'ordre.
Bon courage.
# Titre non pertinent détecté
Posté par Obsidian . En réponse au message Comment faire ???. Évalué à 2.
Une bonne manière de faire serait de résumer clairement ton problème en une ligne. Le fait de te livrer à cet exercice te forcera déjà à avoir une vue globale de ton problème, ce qui te conduira dans une bonne partie des cas à trouver la solution avant même de commencer à rédiger le corps de ton message !
Bonne chance.
# Les regexps, ça roulaize !
Posté par Obsidian . En réponse au message Comment remplacer l'espace entre les champs par ; avec sed ?. Évalué à 3.
echo -e "12345 Service d assainissement 3" | sed -e "s/\(^[^\t ]*\)[\t ]\(..*\)[\t ]\([^\t ]*$\)/\1;\2;\3/g"
avec le lien qui va bien :
http://www.greenend.org.uk/rjk/2002/06/regexp.html(...)
Je t'invite quand même à essayer de décortiquer l'expression ci-dessus pour arriver à faire les tiennes.
Bon courage.
[^] # Re: wouaou...
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche Brevets logiciels: 1 point pour le parlement. Évalué à 3.
Putain, deux ans ! :-)
# Erratum !
Posté par Obsidian . En réponse au message Effectuer une redirection HTTP depuis un script CGI (Codes 301 ou 302).. Évalué à 2.
mais bien sûr
Cela change un peu le ton et l'approche. :-)
[^] # Re: Ca devrait t'aider....
Posté par Obsidian . En réponse au message Effectuer une redirection HTTP depuis un script CGI (Codes 301 ou 302).. Évalué à 3.
echo "Status: 302 Found" et tout rentre dans l'ordre ! Formidable.
Merci beaucoup ...
[^] # Re: Ce qui ne me convient pas dans WindowMaker
Posté par Obsidian . En réponse au message Cherche un DesktopManager léger. Évalué à 3.
- le bouton pour fermer la ffenêtre est à droite et je le veux à gauche
Rhoo ... vas-y que je chipotte :-)
- pas de racourcis clavier pour mettre la fenêtre en plein écran comme avec metacity
Si. Tu peux gérer tous ces événements et leur associer des raccourcis claviers en utilisant l'outil de conf standard de WindowMaker, "WPrefs.app". En principe, il est mappé sur l'icône principale du dock, sinon il se trouve souvent dans "/usr/X11R6/lib/GNUstep/Apps/WPrefs.app/WPrefs". Ok, je reconnais que c'est bien planqué, mais un coup d'oeil à ses packages suffit pour le retrouver.
- pas de bouton pour iconifier la fenêtre (la réduire)
Si. C'est celui de gauche, justement. En plus, tu peux également associer une touche ou une combinaison de touches.
- pas de possibilité de rendre le dock horizontal (pour avoir plus d'icones)
Utilise le clip. Tu peux mettre des icônes tout autour, en cumuler autant que tu veux, et en plus elles se masquent automatiquement quand tu double-cliques sur le trombonne.
- pas moyen d'avoir kgpg, klipper et kmix dans le dock
Non, mais tu peux trouver leurs équivalents. Pour le mixer, j'utilise personnellement wmmixer :
http://www.bensinclair.com/dockapp/comments.php?id=167(...)
- pas de menu applications (sachant que j'utilise le Desktop de GNUStep)
C'est quoi un « menu applications » ? Si ce sont les dernières applis lancées, effectivement, y a pas. Si c'est l'équivalent du « menu démarrer » ou de ses homologues, essaie de faire un clic droit sur le fond de bureau (ou d'appuyer sur F12).
- pas de ligne de commande dans le dock
Pas dans le « dock », mais moi j'ai collé une touche de raccourci sur la commande « exécuter » du menu en question, et j'ai un popup qui apparaît quand j'ai besoin de lancer une commande. Sinon j'ouvre un terminal (avec une autre combinaison de touches).
Je crois que c'est tout ce dont on a réellement besoin pour travailler.
[^] # Re: gné ???
Posté par Obsidian . En réponse au journal PC portable à prix cassé pour les pays en voie de développement. Évalué à 2.
En outre, les Thomson utilisaient (par défaut) un mode 40 colonnes et des jeux de couleurs et de séquences d'échappement qui épousaient, et c'était fait pour, parfaitement le Vidéotex.
Les modems qui se sont vendus alors permettaient de transformer son TO7 en Minitel, et la France profonde découvrit les plaisirs de la télématique.
# Dilbertisme
Posté par Obsidian . En réponse au journal De l'apologie de l'incompétence. Évalué à 7.
Héhéhéhé ! Oui, très fun.
Honnêtement, je serais bien curieux d'assister pendant quelques temps à la métamorphose de l'entreprise qui s'en suivrait. Il se pourrait bien qu'il se passe en fait des choses aussi intéressantes qu'imprévues.
Pour le reste, c'est toujours pareil. L'informatique est une discipline qui échappe aux méthodologies habituelles de l'enseignement, et qui demande de s'y plonger pratiquement à 100%. Donc évidement, les grands « décideurs » mais aussi une bonne partie de la communauté scientifique, habituée à réécrire l'univers en quelques équations, et le management en général ont beaucoup de mal à voir une chose aussi fondamentale rester hors de leur contrôle. Donc on va toujours trouver un artifice pour dire que l'on peut quand même exercer le métier en faisant telle ou telle simplification, que finalement ce n'est pas SI important, etc. et aujourd'hui, que c'est carrément hype de ne pas savoir. Cela flatte leur égo. En tout cas c'est l'impression que cela me donne.
Il est important de noter, cependant, que pendant le vingtième siècle, un patron d'entreprise était quelqu'un qui avait accumulé suffisament d'expérience pour savoir quel cap tenir (même si la gestion d'une compagnie ne s'est jamais improvisée). Aujourd'hui, il est de fait que manager est un métier à part entière que les grands patrons des grandes entreprises sont interchangeables (ex : Michel Bon, qui a « dirigé » successivement l'ANPE, France Télécom et l'Institut de l'Entreprise, mais la formule est valable pour la plupart des grands comptes). Par conséquent, un DSI doit avoir une double compétence : Etre aussi bon gestionnaire que technicien, alors que tout le monde sait que c'est la quadrature du cercle.
[^] # Re: Contraintes.
Posté par Obsidian . En réponse au journal Itinéraires facon Microsoft.... Évalué à 2.
Hyper simple : Tu te laisses descendre la côte, tu tombes sur une péniche, elle t'emmènera pratiquement à côté. Evry village s'était même doté d'un «&nsbp;port » pour acheminer les matériaux de construction de la ville nouvelle à la fin des années 70.
Tout ceux qui habitent dans ce coin auront remarqué cet itinéraire, eux-aussi ! :-)
[^] # Re: Perso j'ai mis ça
Posté par Obsidian . En réponse au journal Dire poliment que MSIE ça pue ?. Évalué à 2.
Et surtout visible ! Je crois que c'est surtout cela qu'il faut.
# Capello time
Posté par Obsidian . En réponse à la dépêche La poste tchèque choisit Linux. Évalué à 7.
Coté migration, tout cela est certes réjouissant, mais quelqu'un a-t-il des retours à long terme de ce genre d'expérience ? Par exemple, la MACIF avait fait une migration d'une certaine partie de ses machines et depuis, plus entendu parler. Les serveurs continuent-ils à fonctionner sans se plaindre, Microsoft a-t-elle fait une proposition indécente à la compagnie pour récupérer un marché ? Les utilisateurs sont-ils satifsaits, etc.
C'est surtout à ces niveaux que cela devient intéressant ...
[^] # Re: Jennifer Lopez dans ta tete !!!
Posté par Obsidian . En réponse au journal The Cell : révolution en vue !. Évalué à 1.
[^] # Re: bah..
Posté par Obsidian . En réponse au journal Minable.... Évalué à 1.
Tu nous en avais fait part dans un de tes journaux, devenu moment depuis, au moins chez moi (j'ai filé l'URL à des amis, pas plus tard que ce matin).
http://linuxfr.org/~ploum/10178.html(...)
C'était tout de même il y a presqu'un an ...
Tous ces témoignages ont beau être navrants en eux-mêmes, je dois dire que ce condensé m'a bien fait rigoler ...
# A clusteriser ?
Posté par Obsidian . En réponse au message Le dossier /usr/local. Évalué à 0.
/usr/local permet (à mes yeux, en tout cas), de séparer ce qui doit rester propre à une machine de ce qui peut être partagé. Cela prend tout son sens sur un cluster, dans lequel toutes les machines doivent agir de concert. En gros /bin et /usr sont en fait mappés sur les partitions de la machine maître, mais /usr/local reste propre à chaque noeud.
[^] # Re: Pourquoi, comment, ...
Posté par Obsidian . En réponse au journal Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 6.
« OpenOffice propose-t-il un correcteur orthographique ? »
[^] # Re: throw dans le destructeur
Posté par Obsidian . En réponse au message Créer une exception. Évalué à 2.
Ahem !
Utilise plutôt celui-ci :
http://casteyde.christian.free.fr/online/cours_cpp/book1.html(...)
C'est en français, c'est gratuit, c'est en FDL, et je n'ai personnellement jamais trouvé mieux (Clair, Complet, Conçis).
Bon courage.