C'est justement là que pour moi ce n'est pas évident : le logiciel n'est pas un produit dans le sens de « produit fini », « bien meuble », c'est un service. En compta, vendre une licence est classé dans la vente/prestation de services, pas dans la vente de produits (finis).
Et en fait, la qualification de fournitures s'applique ici aux logiciels « de l'étagère », dont le côté services disparaît devant l'aspect produit de masse. Mais où se place le curseur ? Quand est-ce que la configuration, l'installation d'un logiciel devient « sur mesure » (pour reprendre le terme utilisé pour les formations qui, finalement, sont dans le même cas) ?
Il n'est pas évident qu'il s'agisse de bogues de l'optimisation mais plutôt de bogues qui sont révélés par l'optimisation.
Certaines constructions peuvent sembler correctes au programmeur mais peuvent poser des problèmes après passage par le compilateur. Celles auxquelles j'ai le plus été confronté concernent les variables ou résultats temporaires. Ces temporaires sont supprimés s'ils ne servent pas (et ils servent avec -g, ne serait-ce que pour en connaître le nom pour le débogage).
Pour donner un exemple, la classe std::string fournit la méthode c_str() pour récupérer le contenu de la chaîne sous forme de char*. Mais ce char* est temporaire et il est plus sage d'en faire une copie avant de s'en servir.
Tu ne réponds pas à mon propos.
Je dis qu'un logiciel, qu'il soit ou non déjà développé, est un service.
Ton propos était qu'il s'agissait d'un marché de fournitures.
Or ta citation me dit ce qu'est un marché public de services : ce n'est pas un marché de travaux ni un marché de fournitures, et le lien que tu donnes ne donne pas plus précision : p.ex. quels sont les services visés à cette annexe II ?
En quoi l'achat de licences de logiciels serait-il un achat de fournitures ?
Je ne dis pas que tu as tort. D'ailleurs, ce ne serait pas la première fois que l'on verrait des règles contradictoires entre elles. Je dis juste que tes arguments sont hors propos.
Même en laissant de côté que c'est de la vente liée, il faut aussi voir qu'un linux préinstallé ça demande à ce que ce linux soit installé, donc un service est rendu, donc facturé.
Ensuite, le fait que cela fonctionne avec une distribution propriétaire utilisant des modules propriétaires, disponibles seulement pour certaines versions de cette distribution (car dépendants de la version du noyau et des outils (toolchain)), ne me garantit en aucune façon que cela fonctionnera ni avec une autre distribution, ni dans six mois quand j'aurai besoin d'utiliser un noyau plus récent (à cause de patches de sécurité, de foncionnalité nouvelle, etc.).
En résumé, cela fait donc plusieurs arguments contre une préinstallation d'un OS :
– je n'ai pas envie de l'enlever (argument minime, certes) ;
– elle ne m'apporte rien (à part le fait qu'elle est déjà faite mais je veux installer moi-même mon OS) ;
– je n'ai pas envie de la payer.
Oh ben oui, c'est évident, dans l'espoir de gagner 20 ¤ par client achetant leur produit, ils payent 10 ¤ de pub pour les 9 clients qui ne l'achèteront pas.
En plus long :
1. Quelle est la proportion d'acheteurs par support publicitaire (c'est-à-dire par PC) ? p.ex. 10 %
2. Quel est le revenu d'un achat ? p.ex. 20 ¤
3. Quel est le coût acceptable de la publicité ? 2 ¤ (1. × 2.)
4. Combien de publicités par PC ? 2 à 5
5. Quel impact sur le prix du PC ? 4 à 10 ¤ (3. × 4.)
6. Quel est le prix de Windows sans pub ? 50 à 300 ¤
7. Quel est le prix de Linux sans pub ? à mon avis, moins de 50 - 10 (limite basse pour 6. et limite haute pour 5.) = 40 ¤
(Et franchement, je pense que mes exemples pour 1. et 2. sont surévalués.)
En ce qui concerne les zones, il ne faut pas s'emballer : seules quelques zones, finalement très floues, ont été « découvertes ». De plus, elles sont très facilement interchangeables. Le cerveau est très souple. Cela se voit lors d'accident où les zones sont endommagées et où leurs fonctions sont assez rapidement reprises par d'autres parties. En outre, aucune zone pour la mémoire n'a pu être repérée (si ce n'est peut-être pour la mémoire à court terme (équivalent des registres pour un CPU)). Il semblerait que les souvenirs soient répartis dans le réseau. Il n'y a pas de cellule de mémoire (équivalentes aux puces). La mémoire est un processus.
D'autre part, en ce qui concerne l'avantage de la libération d'une partie du cerveau, on peut aussi considérer le fait que la taille et le poids du cerveau ne jouent pas dans les performances et les capacités de celui-ci. Il y a des cas de cerveau très petits ou très légers (que ce soit de naissance ou par accident) sans que cela empêche leurs possesseurs d'avoir une vie, un comportement, un Q.I., ou quelque autre mesure d'efficience et d'efficacité, normaux. (S'il est vrai qu'entre les espèces la taille du cerveau est un indicateur de capacités, c'est surtout parce qu'elle est indicatrice de différences structurelles.)
ce serait dans son interêt que l'espace du cerveau réservé à la mémoire et aux souvenir[s] se mu[t]te en matière grise pur[e] et dur[e] afin de rendre l'Homme encore plus int[éel]ligent.
Ah ? parce que, pour toi, la capacité à mémoriser des informations, à les organiser, et à les traiter ne fait partie de l'intelligence ? Et encore faudrait-il qu'il existe une partie du cerveau qui soit réservée aux souvenirs et à la mémoire (au passage, comment distingues-tu entre souvenirs et mémoire ?). Et encore faudrait-il, de surcroît, que cette partie soit structurellement différente de l'autre hypothétique partie que tu définis comme « l'intelligence ». D'ailleurs, est-ce que les souvenirs ne sont pas eux-mêmes une partie des mécanismes ? Est-ce que données et processus ne feraient-ils pas un ?
Un logiciel n'est pas un bien meuble. C'est de toute façon un service :
– s'il est déjà développé, tu paies pour une licence, pour des droits ;
– s'il n'est pas développé, tu paies le développement d'abord puis tu te retrouves au cas précédent, et le développement est un service.
Après les étudiants qui viennent dans les forums demander qu'on leur fasse leurs devoirs, voilà les profs qui demandent qu'on les aide pour leurs cours…
Ah. Tu as des exemples de jugement sur la vente liée par le Conseil d'État ? ou même simplement par une autre entité judiciaire qu'une juridiction de proximité ?
Aïe, ouille, la quiche.
Pour me défendre, j'ai mal vérifié dans un lexique (j'aurais dû prendre verbiste ou autre, ou, mieux, réfléchir), qui m'a répondu :
aie avoir Ver:SPre+SG+P1:ImPre+SG+P2
(j'ai vu P1 et P2 mais pas ImPre au lieu de SPre).
En français, un fichier est :
1. un ensemble de données, de fiches ;
2. par métonymie, un meuble dans lequel on range des fiches.
Le dossier est l'ensemble des documents concernant un sujet. Et par métonymie, c'est le carton ou le classeur qui contient ces documents.
Si on prend comme exemple le fichier d'une bibliothèque, une fiche se trouve dans un tiroir du fichier et permet de retrouver un livre ou un auteur. Où sont les dossiers ? Ah, au fait, les fiches « par auteur » sont des répertoires…
Si on prend comme exemple le fichier des personnes disparues, chaque fiche mène à un dossier. Oups, les dossiers sont dans les fichiers…
Ce ne sont que quelques exemples pour exprimer le fait qu'il ne faut pas prendre les mots au sens propre trop longtemps. Ou qu'il faut bien choisir ses exemples…
On pourrait aussi revenir aux mots anglais et se retrouver avec des contradictions.
Les métaphores, comme les analogies, sont toujours foireuses quand on les creuse trop.
Moi, je lis qu'il s'agit de l'indépendance de la France « dans un monde ouvert ». Le « au sein de l'Europe » est en incise et signifie surtout que la France fait partie d'un ensemble plus grand, l'Europe, et, en ce sens, cet ensemble intervient aussi dans cette indépendance. L'Europe est « au dessus » de la France. Donc la France se doit aussi de défendre les logiciels libres, les formats ouverts, la lutte contre les brevets, etc., au sein des institutions européennes.
La concurrence existe aussi entre les pays européens mais, telle que je la comprends, cette lettre ne propose de se battre tout seul contre tout le monde. Elle propose de se battre pour certaines valeurs, de devenir le champion de l'informatique libre et ouverte en Europe et dans le monde, pour la France et pour l'Europe.
(Si vous vous sentez de répondre « C'est fou tout ce qu'on peut mettre dans une virgule ! », il me semble que c'est la signification commune, à part pour les nationalistes anti-européens (je parle de ceux qui ne veulent pas d'Europe du tout, pas de ceux qui ne veulent pas des institutions actuelles), de ce genre de tournure : la France est en Europe, tout ce qu'elle peut faire doit se faire dans et avec l'Europe si elle veut que cela ait une portée.)
Pour la blague : Pourquoi (seulement) 28 ? tu viens de les avoir ?
Pour le reste : il est aussi dit qu'il est illogique de penser que des enfants inexpérimentés en la matière pourraient le faire alors que des adultes censés être éduqués ne le peuvent pas.
[^] # Re: Ça me laisse perplexe...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Insécurité juridique : On a le droit d'exiger du logiciel libre dans les marchés publics. Évalué à 3.
C'est justement là que pour moi ce n'est pas évident : le logiciel n'est pas un produit dans le sens de « produit fini », « bien meuble », c'est un service. En compta, vendre une licence est classé dans la vente/prestation de services, pas dans la vente de produits (finis).
Et en fait, la qualification de fournitures s'applique ici aux logiciels « de l'étagère », dont le côté services disparaît devant l'aspect produit de masse. Mais où se place le curseur ? Quand est-ce que la configuration, l'installation d'un logiciel devient « sur mesure » (pour reprendre le terme utilisé pour les formations qui, finalement, sont dans le même cas) ?
# To bug or not to bug…
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au message Bugs dans g++ ?. Évalué à 4.
Certaines constructions peuvent sembler correctes au programmeur mais peuvent poser des problèmes après passage par le compilateur. Celles auxquelles j'ai le plus été confronté concernent les variables ou résultats temporaires. Ces temporaires sont supprimés s'ils ne servent pas (et ils servent avec -g, ne serait-ce que pour en connaître le nom pour le débogage).
Pour donner un exemple, la classe std::string fournit la méthode c_str() pour récupérer le contenu de la chaîne sous forme de char*. Mais ce char* est temporaire et il est plus sage d'en faire une copie avant de s'en servir.
[^] # Re: Ça me laisse perplexe...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Insécurité juridique : On a le droit d'exiger du logiciel libre dans les marchés publics. Évalué à 3.
Je dis qu'un logiciel, qu'il soit ou non déjà développé, est un service.
Ton propos était qu'il s'agissait d'un marché de fournitures.
Or ta citation me dit ce qu'est un marché public de services : ce n'est pas un marché de travaux ni un marché de fournitures, et le lien que tu donnes ne donne pas plus précision : p.ex. quels sont les services visés à cette annexe II ?
En quoi l'achat de licences de logiciels serait-il un achat de fournitures ?
Je ne dis pas que tu as tort. D'ailleurs, ce ne serait pas la première fois que l'on verrait des règles contradictoires entre elles. Je dis juste que tes arguments sont hors propos.
[^] # Re: pas grave
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Dell proposera bien ses ordinateurs avec Linux. Évalué à 4.
Ensuite, le fait que cela fonctionne avec une distribution propriétaire utilisant des modules propriétaires, disponibles seulement pour certaines versions de cette distribution (car dépendants de la version du noyau et des outils (toolchain)), ne me garantit en aucune façon que cela fonctionnera ni avec une autre distribution, ni dans six mois quand j'aurai besoin d'utiliser un noyau plus récent (à cause de patches de sécurité, de foncionnalité nouvelle, etc.).
En résumé, cela fait donc plusieurs arguments contre une préinstallation d'un OS :
– je n'ai pas envie de l'enlever (argument minime, certes) ;
– elle ne m'apporte rien (à part le fait qu'elle est déjà faite mais je veux installer moi-même mon OS) ;
– je n'ai pas envie de la payer.
[^] # Re: Comment ça, Windows à un coût ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Dell proposera bien ses ordinateurs avec Linux. Évalué à 3.
En plus long :
1. Quelle est la proportion d'acheteurs par support publicitaire (c'est-à-dire par PC) ? p.ex. 10 %
2. Quel est le revenu d'un achat ? p.ex. 20 ¤
3. Quel est le coût acceptable de la publicité ? 2 ¤ (1. × 2.)
4. Combien de publicités par PC ? 2 à 5
5. Quel impact sur le prix du PC ? 4 à 10 ¤ (3. × 4.)
6. Quel est le prix de Windows sans pub ? 50 à 300 ¤
7. Quel est le prix de Linux sans pub ? à mon avis, moins de 50 - 10 (limite basse pour 6. et limite haute pour 5.) = 40 ¤
(Et franchement, je pense que mes exemples pour 1. et 2. sont surévalués.)
[^] # Re: que fait-je de mon espace cerveau libéré ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal nepomuk. Évalué à 3.
En ce qui concerne les zones, il ne faut pas s'emballer : seules quelques zones, finalement très floues, ont été « découvertes ». De plus, elles sont très facilement interchangeables. Le cerveau est très souple. Cela se voit lors d'accident où les zones sont endommagées et où leurs fonctions sont assez rapidement reprises par d'autres parties. En outre, aucune zone pour la mémoire n'a pu être repérée (si ce n'est peut-être pour la mémoire à court terme (équivalent des registres pour un CPU)). Il semblerait que les souvenirs soient répartis dans le réseau. Il n'y a pas de cellule de mémoire (équivalentes aux puces). La mémoire est un processus.
D'autre part, en ce qui concerne l'avantage de la libération d'une partie du cerveau, on peut aussi considérer le fait que la taille et le poids du cerveau ne jouent pas dans les performances et les capacités de celui-ci. Il y a des cas de cerveau très petits ou très légers (que ce soit de naissance ou par accident) sans que cela empêche leurs possesseurs d'avoir une vie, un comportement, un Q.I., ou quelque autre mesure d'efficience et d'efficacité, normaux. (S'il est vrai qu'entre les espèces la taille du cerveau est un indicateur de capacités, c'est surtout parce qu'elle est indicatrice de différences structurelles.)
[^] # Re: Visiblement c'est plutot MSI
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Première carte mère équipée d'un BIOS libre. Évalué à 3.
[^] # Re: VI n'est pas Notepad
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Linux n'est pas Windows. Évalué à 1.
[^] # Re: Jusqu'ou ira-t-on ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal nepomuk. Évalué à 2.
[^] # Re: que fait-je de mon espace cerveau libéré ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal nepomuk. Évalué à 3.
Ah ? parce que, pour toi, la capacité à mémoriser des informations, à les organiser, et à les traiter ne fait partie de l'intelligence ? Et encore faudrait-il qu'il existe une partie du cerveau qui soit réservée aux souvenirs et à la mémoire (au passage, comment distingues-tu entre souvenirs et mémoire ?). Et encore faudrait-il, de surcroît, que cette partie soit structurellement différente de l'autre hypothétique partie que tu définis comme « l'intelligence ». D'ailleurs, est-ce que les souvenirs ne sont pas eux-mêmes une partie des mécanismes ? Est-ce que données et processus ne feraient-ils pas un ?
[^] # Re: Ça me laisse perplexe...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Insécurité juridique : On a le droit d'exiger du logiciel libre dans les marchés publics. Évalué à 4.
– s'il est déjà développé, tu paies pour une licence, pour des droits ;
– s'il n'est pas développé, tu paies le développement d'abord puis tu te retrouves au cas précédent, et le développement est un service.
[^] # Re: +1
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Les sites des candidats presidentielles.. Évalué à 5.
# Halala
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal TP réseau en université. Évalué à 10.
[^] # Re: Un commentaire qui sert à rien
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Parution de Alfresco Community 2.0 et passage en GPL. Évalué à 3.
[^] # Re: bonne chose mais...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche L'APRIL défend le Logiciel Libre devant le Conseil d'État. Évalué à 1.
[^] # Re: bonne chose mais...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche L'APRIL défend le Logiciel Libre devant le Conseil d'État. Évalué à 4.
# RAID5
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 10.
Ah. Parce que le RAID5 avait encore de la crédibilité ?
http://www.miracleas.com/BAARF/
[^] # Re: Proposition 6...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche ADULLACT écrit aux candidats à l'élection présidentielle de 2007. Évalué à 4.
Pour me défendre, j'ai mal vérifié dans un lexique (j'aurais dû prendre verbiste ou autre, ou, mieux, réfléchir), qui m'a répondu :
aie avoir Ver:SPre+SG+P1:ImPre+SG+P2
(j'ai vu P1 et P2 mais pas ImPre au lieu de SPre).
[^] # Re: Cool
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal FreeCol, clone libre de Colonization. Évalué à 4.
[^] # Re: Ubuntu pour un wifi ipw3945 qui marche de suite
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal [LONG] Lenovo X60 + Mandriva. Évalué à 2.
[^] # Re: J'en profite
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Linux est prêt pour le Desktop. Évalué à 1.
1. un ensemble de données, de fiches ;
2. par métonymie, un meuble dans lequel on range des fiches.
Le dossier est l'ensemble des documents concernant un sujet. Et par métonymie, c'est le carton ou le classeur qui contient ces documents.
Si on prend comme exemple le fichier d'une bibliothèque, une fiche se trouve dans un tiroir du fichier et permet de retrouver un livre ou un auteur. Où sont les dossiers ? Ah, au fait, les fiches « par auteur » sont des répertoires…
Si on prend comme exemple le fichier des personnes disparues, chaque fiche mène à un dossier. Oups, les dossiers sont dans les fichiers…
Ce ne sont que quelques exemples pour exprimer le fait qu'il ne faut pas prendre les mots au sens propre trop longtemps. Ou qu'il faut bien choisir ses exemples…
On pourrait aussi revenir aux mots anglais et se retrouver avec des contradictions.
Les métaphores, comme les analogies, sont toujours foireuses quand on les creuse trop.
[^] # Re: Proposition 6...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche ADULLACT écrit aux candidats à l'élection présidentielle de 2007. Évalué à -1.
[^] # Re: C'est bien mais...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche ADULLACT écrit aux candidats à l'élection présidentielle de 2007. Évalué à 5.
La concurrence existe aussi entre les pays européens mais, telle que je la comprends, cette lettre ne propose de se battre tout seul contre tout le monde. Elle propose de se battre pour certaines valeurs, de devenir le champion de l'informatique libre et ouverte en Europe et dans le monde, pour la France et pour l'Europe.
(Si vous vous sentez de répondre « C'est fou tout ce qu'on peut mettre dans une virgule ! », il me semble que c'est la signification commune, à part pour les nationalistes anti-européens (je parle de ceux qui ne veulent pas d'Europe du tout, pas de ceux qui ne veulent pas des institutions actuelles), de ce genre de tournure : la France est en Europe, tout ce qu'elle peut faire doit se faire dans et avec l'Europe si elle veut que cela ait une portée.)
[^] # Re: Est-ce légitime de dénoncer les DRM ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Est-ce légitime de dénoncer la "vente liée".. Évalué à 5.
Écrit en 1948 (facile : 48 ↔ 84).
[^] # Re: Jeunes enfants ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Bitfrost : Un nouveau modèle de sécurité. Évalué à 3.
Pour le reste : il est aussi dit qu'il est illogique de penser que des enfants inexpérimentés en la matière pourraient le faire alors que des adultes censés être éduqués ne le peuvent pas.