Je pense qu'il est totalement improductif de pinailler sur de tels détails.
Les détails de l'usage sont différents mais la finalité est plus efficace, grâce au dash notamment.
Je vais me répéter, ce cheminement est exceptionnel dans l'utilisation de GNOME Shell étant donné que la logique veut que tu places les applications souvent utilisées dans le dash.
Avoir à cliquer deux fois de plus et déplacer sa souris d'une vingtaine de centimètres une fois par semaine, j'estime que ça n'est pas une raison pour dire que GNOME 3 est nul, d'autant plus qu'il offre d'autres facilités qui, au final, font réduire ces déplacements et ces clics (taper le nom du programme, le dash, les extensions, etc).
Parce qu'avec GNOME2 le sous-menu des jeux s'ouvre tout seul en devinant que tu voulais l'ouvrir ? Woah. Je ne connaissais pas cette option.
Blague à part, de toute manière, les logiciels que tu utilises souvent tu les mets dans le dash ; dans la vraie vie je n'utilise pratiquement jamais ce menu. Alors que ce soit un ou deux clic, un ou deux décimètre de déplacement souris, ça ne sera jamais qu'une utilisation exceptionnelle de la chose.
Et si tu ne veux vraiment pas bouger ta souris, alors tu fais :
touche Windows
Ctrl-Alt-Tab (oui, c'est un raccourci relou à exécuter sans se tordre les doigts, je suis d'accord)
Personnellement (je ne trolle pas) j'ai toujours du mal à comprendre cette phrase qui revient souvent (dans un débat desktop "à l'ancienne", je ne parle pas des autres paradigmes du style tiling), dans la mesure où KDE est personnalisable à l'extrême.
Personnellement ce qui me gêne c'est cette "personnalisation à l'extrême", où on positionne les trucs et les machins au pixel près, où on fait des rotations, etc…
Et parfois, quand la résolution de l'écran change par exemple, les emplacements des trucs et des machins sont tout chamboulés.
Et puis tous ces menus, ces icônes, partout, on s'y perd ! C'est bien de pouvoir personnaliser, mais ce serait bien aussi d'y voir clair…
Avec GNOME 3, c'est bien rangé. Les lanceurs et les aperçus dans les Activités avec le dash à gauche et qui ne bouge pas, les notifications en bas de l'écran à droite, les gadgets divers et variés en haut à droite pour la plupart, l'heure en haut au milieu…
Et puis les interfaces sont simples et faciles à utiliser, elles répondent finalement bien aux besoins (aux miens en tout cas), on y voit clair ! Et si je veux configurer finement mon environnement, il y a dconf (car contrairement à ce que les GNOME-haters disent, énormément de choses sont configurables).
Imaginez que vous souhaitiez lancer un jeu dont vous ne vous souvenez plus du nom (ça m'est arrivé il y a peu en voulant tester Bit.Trip Runner). Vous avez quantifié le nombre de clics et déplacements de souris qu'il faut faire pour afficher la liste complète des jeux installés sur votre poste ? C'est tout bonnement incroyable !
tu vas dans les activités (en appuyant sur le bouton Windows, en mettant le curseur tout en haut à gauche ou alors en cliquant sur "Activités")
tu cliques sur le bouton des applications (en haut à gauche dans GNOME 3.4, dernière icône du dash dans GNOME 3.6)
toutes les applications sont classées par catégories.
Il y a donc, en tout et pour tout, un clic de plus que sur GNOME 2 (voire un simple déplacement de la souris en haut à gauche). Tout simplement pour libérer l'écran visuellement, chose qui se fait sur la plupart des interfaces modernes.
Le constat final est amer : Les 3/4 des extensions que j'estimais nécessaires à l'obtention d'un environnement convenable et utilisable ne sont pas compatibles avec Gnome 3.6
Malheureusement j'ai fait la même constatation. Changement de version de GNOME, changement d'API, incompatibilité des extensions. D'un autre côté, certains disent que "ça marche chez eux". Par exemple je n'arrive pas à installer "Places Status Indicator" (https://extensions.gnome.org/extension/8/places-status-indicator/) alors que certains disent que ça marche.
rien ne m'indiquait que les extensions que j'installais et activais depuis le site officiel étaient incompatibles
De même, j'ai juste constaté que le bouton "ON/OFF" retournait à "OFF".
Au fait, à partir de quelle sous-version KDE 4 a réellement été utilisable ?
GNOME 3.6 c'est la 4me version (vu que les versions officielles sont toujours paires). KDE 4.3 (la 4me version) était-il réellement utilisable ? Je crois bien que les aficionados de KDE ont attendu un peu plus longtemps avant d'être contents de leur nouveau système…
Quand on compare ça avec la simplicité biblique de GNOME 2.x : "Tu vois en haut à gauche ? Il y a marqué Applications. Tu cliques dessus et après les programmes sont classés par catégories".
Avec GNOME 3.4 :
Tu appuies sur le bouton Windows pour afficher le menu. Tu vois en haut à gauche ? Il y a marché Applications. Tu cliques dessus et après les programmes sont classés par catégories.
Avec GNOME 3.6 :
Tu appuies sur le bouton Windows pour afficher le menu. Tu vois en bas du dash à gauche ? Il y a le bouton des applications qui ressemble à une grille d'icônes comme sur l'iPhone et tous les matériels et logiciels récents. Tu cliques dessus et après les programmes sont classés par catégories.
GanttProject est un outil mono-utilisateur, et il ne fait que ce qui est dans son nom : le diagramme de Gantt. Bon ok, on a aussi le diagramme de Pert. Mais bon, ça ne va pas très loin…
En terme de fonctionnalités notamment, la gestion des coûts est limitée, il n'y a pas de gestion multi-projets…
Par ailleurs, l'export de diagrammes avec GanttProject est parfois erratique, avec des problèmes d'alignement…
Sans parler de nombreux bogues que j'ai pu rencontrer.
Pour faire court, GanttProject c'est bien pour un chef de projet seul qui gère un seul projet et qui n'a pas de gros besoin en reporting…
De même que Nicolive, j'avais essayé LibrePlan il y a quelques mois.
Malheureusement son utilisation est laborieuse ; j'ai noté ces quelques points :
- l'écran de visualisation est complètement distinct de celui de configuration, parfois il faut souvent passer de l'un à l'autre ;
- la navigation n'est pas simple, il faut plusieurs clics pour arriver là où on veut ;
- on ne peut pas ouvrir plusieurs pages dans plusieurs onglets, la navigation repose en partie sur les cookies ;
- le logiciel est lent, en Java ;
- des concepts et vocabulaires propres à son utilisation initiale (projets dans l'industrie navale) restent présents et alourdissent son utilisation.
À part ça, en terme de fonctionnalités, il répond en effet largement au besoin d'un chef de projet.
Je ne l'ai pas mis en œuvre. J'utilise TaskJuggler seul sur mon PC (c'est suffisant pour mon utilisation actuelle : gestion de projet en indep, je dois de toute manière utiliser les outils de reporting de mon client, je ne peux pas imposer à ses équipes d'utiliser mon outil - du coup je reporte les avancements dans TaskJuggler à la main).
Je vais m'y pencher plus sérieusement, car j'ai envie de l'utiliser comme outil de suivi de mon temps de travail (car oui, les CRA (compte-rendu d'activité) que certains exècrent dans les SSII, quand on s'y penche on se rend rapidement compte que pour être efficace c'est indispensable, même en indep). Cela fera probablement l'objet d'une publication dans les prochain(e)s semaines/mois.
Par contre j'ai lu les docs :-)
Donc grosso modo :
on met en place un serveur tj3d, auquel le chef de projet donne les fichiers de configuration des projets, comprenant définition des ressources, etc ;
toutes les semaines, les ressources remplissent un e-mail de rapport (basé sur un template fourni par le serveur tj3d), qu'ils envoient à une adresse particulière ;
le serveur tj3d parse ces rapports et intègre les données dans les données de projets qu'on lui a fournies ;
lors de la consultation des rapports sur le serveur tj3webd (qu'on aura auparavant mis en place), ceux-ci sont générés à la volée.
Dans tout ça, le chef de projet doit bien sûr vérifier que les équipes ont bien fait le reporting puis il fait son boulot de chef de projet :-)
En utilisation manuelle, c'est plus simple :
on configure le(s) projet(s)
on lance la commande tj3 sur le fichier du/des projet(s), qui génère des fichiers .html
on ouvre les fichiers .html avec le navigateur que l'on veut
J'ai essayé d'utiliser Redmine pour de la gestion de projet, c'est inadapté.
Il y a bien le greffon "Better Gantt Chart" (https://github.com/kulesa/redmine_better_gantt_chart), mais le résultat reste assez basique, et c'est assez chiant à utiliser (par exemple, pour préciser les relations entre tâches, il faut aller dans leur descriptif et donner l'identifiant numérique de la tâche à lier - il faut donc d'abord connaître cet identifiant).
J'ai fait la même recherche ces dernières années, et j'ai enfin trouvé chaussure à mon pied. Il s'agit de Taskjuggler.
La définition des projets et de l'ensemble des éléments se fait dans un fichier de configuration. Ensuite, des rapports au format HTML sont générés.
Tout cela peut être centralisé sur un serveur, permettant l'utilisation à plusieurs. Il est possible de configurer l'ensemble pour permettre aux ressources d'envoyer leurs rapports d'avancement par e-mail, les rapports sont ensuite automatiquement mis à jour.
En tout cas je n'ai trouvé aucun logiciel de gestion de projet suffisamment évolué et utilisable sans grande frustration.
Et finalement, l'impossibilité de le manipuler par l'interface web n'est pas tellement gênante : la syntaxe de configuration est vachement bien foutue et je trouve finalement cela plus facile à utiliser que MS Project, seul autre logiciel qui répondait à mes besoins.
Lequel ? ça dépend de l'approche que l'on souhaite.
Je pense qu'il est clair qu'au Parti Pirate il y a pas mal de geeks. Et si ceux-ci sont comme moi, ils sont réfractaires à la solution "forum", qui oblige à consulter un site web pour communiquer : dans ce cas, la mailing-list est idéale. Par contre, les "non-geeks" verront plus de convivialité dans un forum (plus facile de "juste lire", rechercher, relire, naviguer…).
Dans une association que j'ai cofondée (avec une vingtaine de membres actifs, sur un seul sujet - peut-être cela pourrait-il se comparer à un groupe de travail du PP, à multiplier par le nombre de groupes de travail), nous utilisons Google Groups, cette solution étant un outil mixte forum / liste de diffusion et chacun gérant son authentification auprès de Google.
Je ne sais pas s'il existe une solution équivalente Open Source (à mon avis ça ferait mal au c*l au PP d'utiliser des outils de Google, me trompé-je ?).
Sinon, il y a aussi la possibilité d'utiliser un outil de gestion de projets web, de type Redmine : un projet par groupe de travail, chaque projet découpable en tâche, chaque tâche pouvant accueillir des commentaires. Mais je pense que c'est inadapté pour les longues discussions…
Concernant l'authentification LDAP, cela doit être faisable sur une partie des outils, mais souvent ça ne fonctionne pas sur tous ceux que l'on utilise (j'ai rarement vu des associations/sociétés qui pouvaient migrer tous leurs outils sur une authentification LDAP sans avoir à faire de grosse modification).
Et pour mettre en place un outil unique pour tout le monde, il va falloir être persuasif et montrer les bon côtés de l'outil qui aura été choisi… en s'assurant que ces bons côtés répondront aux besoins de la plupart des gens. Déjà que dans une entreprise (où on n'a pas le choix, c'est le chef qui décide) il y a pas mal de protestations lorsque l'on change d'outils, je n'ose pas imaginer ce que ça peut donner au Parti Pirate ! :-)
Je pense adhérer au Parti Pirate, si je peux être utile dans un groupe de travail afin d'identifier les bons outils à utiliser (voire pour participer à la mise en place), je suis prêt à donner un peu de mon temps ; pouvoir être utile me motive encore plus pour l'adhésion.
Si, si, ca a à voir. le fait que les dev préfèrent mettre un lien vers leur facebook, ou autres et "oublient" de plus en plus souvent de mettre la balise link vers le RSS qui va bien.
Moi je préfère mettre un lien vers goatse et j'oublie de mettre la balise link.
Donc en fait c'est à cause de goatse que le RSS est abandonné.
La balise link est de moins en moins utilisée (de mon expérience personnelle, peut-être que le fait que je ne m'intéresse moins aux sites "libristes" et plus à des sites dessin, ou musique joue sur ma perception)
J'ai très rarement eu des problèmes pour obtenir flux RSS en indiquant simplement l'adresse du site web à mon lecteur de flux… pourtant j'ai très peu de sites "geekesques" parmi ma centaine d'abonnements.
Au fait, tu as envoyé ton e-mail d'insulte à l'équipe de LinuxFr ?
Non parce que bon… Il y a bien la balise "<link>", il y a un lien vers les flux Atom sur chaque page, mais il n'y a pas « l'icône de syndicalisation RSS ».
Le lien en question est un lien direct vers un article.
La page d'accueil du site en elle-même contient la balise en question.
L'absence de la balise pour un article seul est discutable… mais en tout cas si je donne "http://www.lecanarddeletang.fr" à manger à mon lecteur de flux RSS il trouve bien le flux grâce à cette balise.
des applis comme rsslounge ou tinytinyRss nécessitent des urL.
Ces applis ne savent pas trouver les liens vers les flux RSS dans une page web ? J'en doute, c'est une fonctionnalité de base d'un lecteur de flux, tout de même…
[^] # Re: Maintenant ...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 2.
C'est en effet le cas avec Dash to Dock, cela dit pour ma part (et comme beaucoup d'utilisateurs de GNOME 3) je ne l'utilise pour ainsi dire jamais.
L'extension Dock, de son côté, ne fait pas disparaître ce bouton.
[^] # Re: Maintenant ...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 2. Dernière modification le 06 novembre 2012 à 09:46.
GNOME 3.6 :
Oui, tout plein de déplacements, pour des applications :
Mais beaucoup beaucoup moins si on connait le nom ou si l'appli est dans le dash
GNOME 2 :
Un nombre moyen de déplacements, dans tous les cas.
Et là je sens que tu vas me parler des lanceurs et des docks, qui permettent de lancer ses applis préférées sous GNOME 2 en un seul clic.
Alors je te donnerai le lien vers deux extensions de GNOME Shell :
[^] # Re: Ou pas...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 3.
Je pense qu'il est totalement improductif de pinailler sur de tels détails.
Les détails de l'usage sont différents mais la finalité est plus efficace, grâce au dash notamment.
Je vais me répéter, ce cheminement est exceptionnel dans l'utilisation de GNOME Shell étant donné que la logique veut que tu places les applications souvent utilisées dans le dash.
Avoir à cliquer deux fois de plus et déplacer sa souris d'une vingtaine de centimètres une fois par semaine, j'estime que ça n'est pas une raison pour dire que GNOME 3 est nul, d'autant plus qu'il offre d'autres facilités qui, au final, font réduire ces déplacements et ces clics (taper le nom du programme, le dash, les extensions, etc).
[^] # Re: Ou pas...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 2.
Parce qu'avec GNOME2 le sous-menu des jeux s'ouvre tout seul en devinant que tu voulais l'ouvrir ? Woah. Je ne connaissais pas cette option.
Blague à part, de toute manière, les logiciels que tu utilises souvent tu les mets dans le dash ; dans la vraie vie je n'utilise pratiquement jamais ce menu. Alors que ce soit un ou deux clic, un ou deux décimètre de déplacement souris, ça ne sera jamais qu'une utilisation exceptionnelle de la chose.
Et si tu ne veux vraiment pas bouger ta souris, alors tu fais :
Mais c'est moins efficace que la souris.
[^] # Re: Petit !
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Pour l'emploi d'un vocabulaire correct. Évalué à 1.
Oui c'est vrai. Un p'tit pain, et le boulanger comprend. En Alsace pour ma part.
[^] # Re: Passer à KDE ?
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 3.
Personnellement ce qui me gêne c'est cette "personnalisation à l'extrême", où on positionne les trucs et les machins au pixel près, où on fait des rotations, etc…
Et parfois, quand la résolution de l'écran change par exemple, les emplacements des trucs et des machins sont tout chamboulés.
Et puis tous ces menus, ces icônes, partout, on s'y perd ! C'est bien de pouvoir personnaliser, mais ce serait bien aussi d'y voir clair…
Avec GNOME 3, c'est bien rangé. Les lanceurs et les aperçus dans les Activités avec le dash à gauche et qui ne bouge pas, les notifications en bas de l'écran à droite, les gadgets divers et variés en haut à droite pour la plupart, l'heure en haut au milieu…
Et puis les interfaces sont simples et faciles à utiliser, elles répondent finalement bien aux besoins (aux miens en tout cas), on y voit clair ! Et si je veux configurer finement mon environnement, il y a dconf (car contrairement à ce que les GNOME-haters disent, énormément de choses sont configurables).
# Ou pas...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 2.
Il y a donc, en tout et pour tout, un clic de plus que sur GNOME 2 (voire un simple déplacement de la souris en haut à gauche). Tout simplement pour libérer l'écran visuellement, chose qui se fait sur la plupart des interfaces modernes.
Mais si vraiment un clic te tue le doigt, tu peux intégrer un menu style GNOME 2 dans la barre du haut : https://extensions.gnome.org/extension/6/applications-menu/
Malheureusement j'ai fait la même constatation. Changement de version de GNOME, changement d'API, incompatibilité des extensions. D'un autre côté, certains disent que "ça marche chez eux". Par exemple je n'arrive pas à installer "Places Status Indicator" (https://extensions.gnome.org/extension/8/places-status-indicator/) alors que certains disent que ça marche.
De même, j'ai juste constaté que le bouton "ON/OFF" retournait à "OFF".
Au fait, à partir de quelle sous-version KDE 4 a réellement été utilisable ?
GNOME 3.6 c'est la 4me version (vu que les versions officielles sont toujours paires). KDE 4.3 (la 4me version) était-il réellement utilisable ? Je crois bien que les aficionados de KDE ont attendu un peu plus longtemps avant d'être contents de leur nouveau système…
[^] # Re: Maintenant ...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Gnome-Shell, toujours pas convainquant après 1 an et demi. Évalué à 3.
Avec GNOME 3.4 :
Tu appuies sur le bouton Windows pour afficher le menu. Tu vois en haut à gauche ? Il y a marché Applications. Tu cliques dessus et après les programmes sont classés par catégories.
Avec GNOME 3.6 :
Tu appuies sur le bouton Windows pour afficher le menu. Tu vois en bas du dash à gauche ? Il y a le bouton des applications qui ressemble à une grille d'icônes comme sur l'iPhone et tous les matériels et logiciels récents. Tu cliques dessus et après les programmes sont classés par catégories.
[^] # Re: Petit !
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Pour l'emploi d'un vocabulaire correct. Évalué à 1.
Oui, "un petit pain au chocolat" ! Voire même un "petit pain" tout court !
[^] # Re: Et GanttProject
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Outils libres de gestion de projet sur serveur web. Évalué à 4. Dernière modification le 04 septembre 2012 à 13:15.
GanttProject est un outil mono-utilisateur, et il ne fait que ce qui est dans son nom : le diagramme de Gantt. Bon ok, on a aussi le diagramme de Pert. Mais bon, ça ne va pas très loin…
En terme de fonctionnalités notamment, la gestion des coûts est limitée, il n'y a pas de gestion multi-projets…
Par ailleurs, l'export de diagrammes avec GanttProject est parfois erratique, avec des problèmes d'alignement…
Sans parler de nombreux bogues que j'ai pu rencontrer.
Pour faire court, GanttProject c'est bien pour un chef de projet seul qui gère un seul projet et qui n'a pas de gros besoin en reporting…
[^] # Re: Encore un
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Outils libres de gestion de projet sur serveur web. Évalué à 2.
En effet ça a l'air de répondre au besoin.
Par contre, l'interface est vachement compliquée !
[^] # Re: Un autre logiciel
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Outils libres de gestion de projet sur serveur web. Évalué à 3.
De même que Nicolive, j'avais essayé LibrePlan il y a quelques mois.
Malheureusement son utilisation est laborieuse ; j'ai noté ces quelques points :
- l'écran de visualisation est complètement distinct de celui de configuration, parfois il faut souvent passer de l'un à l'autre ;
- la navigation n'est pas simple, il faut plusieurs clics pour arriver là où on veut ;
- on ne peut pas ouvrir plusieurs pages dans plusieurs onglets, la navigation repose en partie sur les cookies ;
- le logiciel est lent, en Java ;
- des concepts et vocabulaires propres à son utilisation initiale (projets dans l'industrie navale) restent présents et alourdissent son utilisation.
À part ça, en terme de fonctionnalités, il répond en effet largement au besoin d'un chef de projet.
[^] # Re: Taskjuggler
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Outils libres de gestion de projet sur serveur web. Évalué à 4.
Je ne l'ai pas mis en œuvre. J'utilise TaskJuggler seul sur mon PC (c'est suffisant pour mon utilisation actuelle : gestion de projet en indep, je dois de toute manière utiliser les outils de reporting de mon client, je ne peux pas imposer à ses équipes d'utiliser mon outil - du coup je reporte les avancements dans TaskJuggler à la main).
Je vais m'y pencher plus sérieusement, car j'ai envie de l'utiliser comme outil de suivi de mon temps de travail (car oui, les CRA (compte-rendu d'activité) que certains exècrent dans les SSII, quand on s'y penche on se rend rapidement compte que pour être efficace c'est indispensable, même en indep). Cela fera probablement l'objet d'une publication dans les prochain(e)s semaines/mois.
Par contre j'ai lu les docs :-)
Donc grosso modo :
Dans tout ça, le chef de projet doit bien sûr vérifier que les équipes ont bien fait le reporting puis il fait son boulot de chef de projet :-)
En utilisation manuelle, c'est plus simple :
[^] # Re: D'autres outils
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Outils libres de gestion de projet sur serveur web. Évalué à 1.
Je confirme.
J'ai essayé d'utiliser Redmine pour de la gestion de projet, c'est inadapté.
Il y a bien le greffon "Better Gantt Chart" (https://github.com/kulesa/redmine_better_gantt_chart), mais le résultat reste assez basique, et c'est assez chiant à utiliser (par exemple, pour préciser les relations entre tâches, il faut aller dans leur descriptif et donner l'identifiant numérique de la tâche à lier - il faut donc d'abord connaître cet identifiant).
# Taskjuggler
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Outils libres de gestion de projet sur serveur web. Évalué à 5.
J'ai fait la même recherche ces dernières années, et j'ai enfin trouvé chaussure à mon pied. Il s'agit de Taskjuggler.
La définition des projets et de l'ensemble des éléments se fait dans un fichier de configuration. Ensuite, des rapports au format HTML sont générés.
Tout cela peut être centralisé sur un serveur, permettant l'utilisation à plusieurs. Il est possible de configurer l'ensemble pour permettre aux ressources d'envoyer leurs rapports d'avancement par e-mail, les rapports sont ensuite automatiquement mis à jour.
En tout cas je n'ai trouvé aucun logiciel de gestion de projet suffisamment évolué et utilisable sans grande frustration.
Et finalement, l'impossibilité de le manipuler par l'interface web n'est pas tellement gênante : la syntaxe de configuration est vachement bien foutue et je trouve finalement cela plus facile à utiliser que MS Project, seul autre logiciel qui répondait à mes besoins.
# Ce sujet prête à réflexion
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Linuxfr+ldap ? Une solution de gestion de communauté efficace ?. Évalué à 4.
Il faut en effet n'avoir qu'un seul outil.
Lequel ? ça dépend de l'approche que l'on souhaite.
Je pense qu'il est clair qu'au Parti Pirate il y a pas mal de geeks. Et si ceux-ci sont comme moi, ils sont réfractaires à la solution "forum", qui oblige à consulter un site web pour communiquer : dans ce cas, la mailing-list est idéale. Par contre, les "non-geeks" verront plus de convivialité dans un forum (plus facile de "juste lire", rechercher, relire, naviguer…).
Dans une association que j'ai cofondée (avec une vingtaine de membres actifs, sur un seul sujet - peut-être cela pourrait-il se comparer à un groupe de travail du PP, à multiplier par le nombre de groupes de travail), nous utilisons Google Groups, cette solution étant un outil mixte forum / liste de diffusion et chacun gérant son authentification auprès de Google.
Je ne sais pas s'il existe une solution équivalente Open Source (à mon avis ça ferait mal au c*l au PP d'utiliser des outils de Google, me trompé-je ?).
Sinon, il y a aussi la possibilité d'utiliser un outil de gestion de projets web, de type Redmine : un projet par groupe de travail, chaque projet découpable en tâche, chaque tâche pouvant accueillir des commentaires. Mais je pense que c'est inadapté pour les longues discussions…
Concernant l'authentification LDAP, cela doit être faisable sur une partie des outils, mais souvent ça ne fonctionne pas sur tous ceux que l'on utilise (j'ai rarement vu des associations/sociétés qui pouvaient migrer tous leurs outils sur une authentification LDAP sans avoir à faire de grosse modification).
Et pour mettre en place un outil unique pour tout le monde, il va falloir être persuasif et montrer les bon côtés de l'outil qui aura été choisi… en s'assurant que ces bons côtés répondront aux besoins de la plupart des gens. Déjà que dans une entreprise (où on n'a pas le choix, c'est le chef qui décide) il y a pas mal de protestations lorsque l'on change d'outils, je n'ose pas imaginer ce que ça peut donner au Parti Pirate ! :-)
Je pense adhérer au Parti Pirate, si je peux être utile dans un groupe de travail afin d'identifier les bons outils à utiliser (voire pour participer à la mise en place), je suis prêt à donner un peu de mon temps ; pouvoir être utile me motive encore plus pour l'adhésion.
# zone
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au message Configuration Bind - Domaine externe et interne. Évalué à 1.
Quand je suis confronté à une telle situation, je définis en interne une zone qui porte le nom de l'hôte.
Dans ton cas, crée une zone "intranet.mondomaine.com" en redirigeant le domaine lui même vers ton IP interne (champ A sur le domaine).
[^] # Re: Tu as mal compris !
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal 285 jours : l’ancienneté moyenne au chômage des demandeurs d’emploi en informatique. Évalué à 6.
D'où la forme conditionnelle de sa phrase… je pense qu'il a bien compris =)
[^] # Re: Faut pas grand chose...
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au sondage Quel est le meilleur indicateur pour mesurer la taille de sa geekitude ?. Évalué à 1.
10958 jours tout pile aujourd'hui.
Ceux qui feront l'effort de faire le calcul inverse sauront quoi me souhaiter… :-p
[^] # Re: Réseaux sociaux : le rapport ?
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Disparition des flux RSS. Évalué à -10.
Moi je préfère mettre un lien vers goatse et j'oublie de mettre la balise link.
Donc en fait c'est à cause de goatse que le RSS est abandonné.
J'ai très rarement eu des problèmes pour obtenir flux RSS en indiquant simplement l'adresse du site web à mon lecteur de flux… pourtant j'ai très peu de sites "geekesques" parmi ma centaine d'abonnements.
# Et LinuxFr ?
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Disparition des flux RSS. Évalué à -4.
Au fait, tu as envoyé ton e-mail d'insulte à l'équipe de LinuxFr ?
Non parce que bon… Il y a bien la balise "
<link>
", il y a un lien vers les flux Atom sur chaque page, mais il n'y a pas « l'icône de syndicalisation RSS ».:-D
[^] # Re: Pas le bon navigateur ? Changer de navigateur
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Disparition des flux RSS. Évalué à 4.
Raté.
Le lien en question est un lien direct vers un article.
La page d'accueil du site en elle-même contient la balise en question.
L'absence de la balise pour un article seul est discutable… mais en tout cas si je donne "http://www.lecanarddeletang.fr" à manger à mon lecteur de flux RSS il trouve bien le flux grâce à cette balise.
[^] # Re: Pas le bon navigateur ? Changer de navigateur
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Disparition des flux RSS. Évalué à 3.
Ces applis ne savent pas trouver les liens vers les flux RSS dans une page web ? J'en doute, c'est une fonctionnalité de base d'un lecteur de flux, tout de même…
# Réseaux sociaux : le rapport ?
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Disparition des flux RSS. Évalué à -8. Dernière modification le 12 avril 2012 à 15:54.
Je ne vois pas le rapport entre les flux RSS et les profils G+ Ou Facebook. Ça n'a absolument rien à voir en fait.
Un flux RSS ou ATOM c'est une "autre vue" d'un même site web.
Google+, Facebook, Twitter ou autre, c'est une source d'information différente.
Ton lecteur de flux n'est pas capable de lire les balises "
<link>
" des pages web ? Mauvais lecteur, changer lecteur.[^] # Re: Pas le bon navigateur ? Changer de navigateur
Posté par Sébastien Maccagnoni (site web personnel) . En réponse au journal Disparition des flux RSS. Évalué à 3.
Ouaip.
<link rel="alternate" type="application/rss+xml" [...]
c'est pas fait pour les chiens…