"la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a jugé dimanche "très grave" que les médias divulguent des programmes secrets de la "guerre contre le terrorisme", comme des écoutes."[1]
Moi ce qui m'a ébahi dans cette réaction de Condi, ce n'est pas tant que la NSA procède à des écoutes que les conditions dans lesquelles ces écoutes ont été ordonnée. En court-circuitant les institutions déjà en place:
"If he needs a wiretap, the authority is already there -- (…)