C'est bien ce qu'on voit dans la série : il se prend un cable (de grue) même si la scène dans son ensemble parle du problème des radiations et donne l'impression qu'elles en sont la cause.
Regarde la série. A la fin, ils indiquent ce qui relève de la fiction et ce qui relève de la réalité.
L'hélicoptère s'est vraiment crashé et pour la raison donnée dans la série (d'ailleurs l'image est un calque quasi identique aux images d'archives)
En 1986, la catastrophe de Tchernobyl avait été beaucoup plus médiatisée, avec fort heureusement un nuage qui eut le bon goût de respecter nos frontières.
Quant à cette histoire, il faut sérieusement relativiser ce qui s'est passé à l'époque et ce qu'on en a retenu dans l'imaginaire collectif.
Personne n'a dit que le nuage s'était arrété a la frontière en vrai. Personne. Pas les politiques, pas les scientifiques. Personne.
Le seul "message" à ce sujet provient d'un journal TV ou ils parlent des conditions météo et le présentateur dit grosso modo "y'a un anticyclone sur la France, ça va peut-être pousser le nuage vers le nord et éviter qu'il nous survole trop longtemps". Le reste, c'est de la fakenews et de l'Histoire.
A part ça, tout à fait d'accord pour Three Miles Island. Pourtant, c'est la catastrophe qui était la plus probable qu'il nous arrive aussi car nos centrales en étaient très proches d'un point de vue conception (contrairement aux centrales russes)
Tu as totalement raison.
L'écriture inclusive n'est pas une fin en soi ni la solution au problème de fond, c'est évident.
Moi je la vois juste comme la partie émergée de l'iceberg, le coté "soft power" du féminisme.
Et comme je le répète, je ne suis pas un militant de l'écriture inclusive mais je trouve que certains aspects sont intéressants et pratiques (donc je prends volontiers), d'autres le sont moins voire pas du tout (et je laisse).
Personne n'est obligé de l'utiliser, personne n'est forcé d'en apprendre les règles. Et quand on y est "confronté", c'est quand même pas la mort… faut pas exagerer.
Y'en a ici (et ailleurs) qui font limite des crises de panique devant. C'est ridicule.
A la rigueur, devant un texte bourré d'anglicismes, je veux bien que ça gène la compréhension si on ne connait pas les mots. Mais l'écriture inclusive n'est quand même pas une nouvelle langue… Y'a beaucoup de chiqué à ce sujet et c'est assez énervant.
Justement, c’est pour éviter la forme neutre « masculine » qui, pour certain.e.s, représente un problème…
(Voilà le genre de cas ou je l’utilise : situation claire, mot « simple » et on évite une construction particulièrement moche comme « certains et certaines »)
qui va penser que ça concerne uniquement des hommes ?
Je suis pas du tout un militant de l'écriture inclusive mais le sous-entendu (souvent inconscient) me semble justement répandu.
Quand on parle, par exemple, des « dirigeants d’entreprise ». Normalement, ça inclut les femmes mais quand même, ça pue le boy’s club… à l’image de la réalité.
Tu écris « les dirigeant.e.s d’entreprise » et tu as tout de suite une nuance particulière qui n'était pas si évidente avant.
On pourrait faire le même parallèle avec « les infirmièr.e.s »…
tu veux parler des utilisatrices et des utilisateurs, tu l'écris, voila tout
Exactement, ça aussi c’est de l'écriture inclusive. Mais parfois, ça allonge les phrases inutilement ou on est obligé de passer par des répétitions moches donc c’est pratique de passer par des acronymes.
En tout cas, moi, je le l’utilise de cette façon.
On est d’accord que dans ce journal, y’a pas vraiment de cas ou l’utilisation d’acronymes est vraiment nécessaire. Mais parfois, c’est le cas et l’inclusif est pratique.
Fait le test avec le pluriel. Empiler les « le ou les » sur 3 lignes, ça devient vite relou à lire (effet texte juridique) et on en vient vite à utiliser « le(s) ». Pour le genre, c’est un peu pareil sauf qu’on avait pas vraiment de solutions à un moment et maintenant on en a une (imparfaite, soit, mais quelle solution est parfaite ?)
Je suis pas un spécialiste du truc mais il me semble qu’il y a des règles assez claires sur le sujet sauf que, comme tous les trucs nouveaux et pas simples (car c’est pas simple, c’est une évidence), y’a PLEIN de gens qui ne maîtrisent pas ces règles (moi même, quand je l’utilise - c’est rare - c’est uniquement pour les cas simples)
Mais bon, c’est pas non plus excessivement difficile quand on voit un point ou un point médian dans un mot d’imaginer que c’est de l’inclusif et donc désigne les hommes et les femmes. La gymnastique mentale se fait très vite pour peu qu’on soit pas bêtement réfractaire
Le problème est que ce n’est pas de l’humour… c’est le genre de « blague » qui est faite systématiquement au sujet de l'écriture inclusive et qui est parfaitement ridicule.
Tout n’est pas à prendre dans l’ecriture inclusive (j’aime pas spécialement les pronoms par exemple) mais c’est pas nécessaire de dire des absurdités pour tenter de décrédibiliser le truc en entier.
Mais c'est pas difficile : il faut juste prendre l'écriture inclusive comme des acronymes.
Quand tu vois "utilisat·eur·rice·s", tu lis "utilisateurs et utilisatrices". Voilà.
C'est pas plus difficile.
C'est l'équivalent unisexe de "le(s) solution(s) potentielle(s) bla bla bla" qu'on pratique déjà parfois (et depuis longtemps) pour le pluriel. Rien de plus.
Je n'utilise que très rarement l'écriture inclusive mais ça me dérange pas à le lire. Je ne comprends pas les réactions épidermiques à ce sujet. C'est absurde et plutôt enfantin…
Et dans une distrib, ton noyau linux est captif derriere un gnome ou un KDE ?
En fait, ce qui te gene, c'est pas que le noyau soit present qqpart, c'est que Gnome ou KDE n'y soit pas en fait… Sauf que bon, gnome et KDE, c'est pas le top du top du Libre…
Tout le reste et ça fait un sacré paquet de trucs hi-tech à faire tourner…
Je crois qu'on peut tranquillement dire que Linux a largement gagné la guerre. Le desktop n'est qu'un petit village d'irréductibles gaulois à l'heure actuelle.
Il me semble pas que les causes soient encore très très claires mais ça pourrait venir encore et toujours de ce foutu sexisme…
D'après ce que j'ai vu sur le sujet, une partie du problème résiderait dans le fait qu'avant les années 80-90, le coté prestigieux de l'informatique concerne exclusivement (ou presque) le matériel. Et c'est là où sont les hommes (et donc la misogynie). Le logiciel étant vu comme un "job de secrétaire" donc plus ou moins le domaine des femmes (c'est, par exemple, typiquement la situation à la NASA dans les années 60 où a pu s'illustrer Margareth Hamilton et bien d'autres).
A partir des années 80-90, le logiciel devient progressivement un des domaines les plus prestigieux et les hommes se sont mis à l'envahir et donc pousser les femmes vers autre chose (en partie le fonctionnel, en partie l'analyse et en partie… dehors).
Une autre partie du problème serait lié aussi, comme dit avant, à l'orientation très centrée sur les garçons (et très excluante pour les filles) des jeux électroniques et notamment les 1ers jeux vidéos et micro ordinateurs.
Et enfin, certains disent aussi que les barrières sexistes des études supérieures en mathématiques en particulier et scientifiques en général depuis aussi qq décennies n'aident carrément pas malgré une différence de niveau quasi identique voire légèrement en faveur des filles…
Cette situation est vraiment triste, je trouve.
Et elle est très loin d'être réglée vu comme des scandales comme le GamerGate sont encore possibles de nos jours et une grande faiblesse voire une absence totale de filles dans les sections techniques (BTS, DUT, etc).
Il me semble que les cycles ingénieurs sont moins désertés mais la situation reste préoccupante.
Si ce n'est que le connecteur, c'est assez facile à faire même avec des gros doigts…
Le plus difficile reste de bien démonter le bazar sans rien casser et bien le remonter après sans rien laisser de coté.
Visiblement, c'est un recrutement géré par la filiale US (au moins au niveau de l'outil de gestion des candidatures) et c'est non seulement autorisé là bas mais assez courant.
Et visiblement aussi, ils se foutent des spécificités juridiques locales…
[^] # Re: une fiction n'est pas un documentaire
Posté par Nico C. . En réponse au journal [cinéma] Chernobyl, la mini-série en cinq épisodes. Évalué à 5.
C'est bien ce qu'on voit dans la série : il se prend un cable (de grue) même si la scène dans son ensemble parle du problème des radiations et donne l'impression qu'elles en sont la cause.
[^] # Re: une fiction n'est pas un documentaire
Posté par Nico C. . En réponse au journal [cinéma] Chernobyl, la mini-série en cinq épisodes. Évalué à 3.
Regarde la série. A la fin, ils indiquent ce qui relève de la fiction et ce qui relève de la réalité.
L'hélicoptère s'est vraiment crashé et pour la raison donnée dans la série (d'ailleurs l'image est un calque quasi identique aux images d'archives)
Quant à cette histoire, il faut sérieusement relativiser ce qui s'est passé à l'époque et ce qu'on en a retenu dans l'imaginaire collectif.
Personne n'a dit que le nuage s'était arrété a la frontière en vrai. Personne. Pas les politiques, pas les scientifiques. Personne.
Le seul "message" à ce sujet provient d'un journal TV ou ils parlent des conditions météo et le présentateur dit grosso modo "y'a un anticyclone sur la France, ça va peut-être pousser le nuage vers le nord et éviter qu'il nous survole trop longtemps". Le reste, c'est de la fakenews et de l'Histoire.
A part ça, tout à fait d'accord pour Three Miles Island. Pourtant, c'est la catastrophe qui était la plus probable qu'il nous arrive aussi car nos centrales en étaient très proches d'un point de vue conception (contrairement aux centrales russes)
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -8. Dernière modification le 23 mai 2019 à 18:07.
Voilà une belle "crise de panique" qui se traduit par une véritable logorrhée…
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -8. Dernière modification le 23 mai 2019 à 15:36.
Tu as totalement raison.
L'écriture inclusive n'est pas une fin en soi ni la solution au problème de fond, c'est évident.
Moi je la vois juste comme la partie émergée de l'iceberg, le coté "soft power" du féminisme.
Et comme je le répète, je ne suis pas un militant de l'écriture inclusive mais je trouve que certains aspects sont intéressants et pratiques (donc je prends volontiers), d'autres le sont moins voire pas du tout (et je laisse).
Personne n'est obligé de l'utiliser, personne n'est forcé d'en apprendre les règles. Et quand on y est "confronté", c'est quand même pas la mort… faut pas exagerer.
Y'en a ici (et ailleurs) qui font limite des crises de panique devant. C'est ridicule.
A la rigueur, devant un texte bourré d'anglicismes, je veux bien que ça gène la compréhension si on ne connait pas les mots. Mais l'écriture inclusive n'est quand même pas une nouvelle langue… Y'a beaucoup de chiqué à ce sujet et c'est assez énervant.
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -3. Dernière modification le 23 mai 2019 à 14:22.
Voilà pourquoi, y'a un exemple assez net en fin de commentaire :
https://linuxfr.org/users/bortzmeyer/journaux/appel-de-plusieurs-organisations-a-imposer-un-minimum-d-interoperabilite-pour-les-gafa#comment-1772201
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -6. Dernière modification le 23 mai 2019 à 11:56.
Justement, c’est pour éviter la forme neutre « masculine » qui, pour certain.e.s, représente un problème…
(Voilà le genre de cas ou je l’utilise : situation claire, mot « simple » et on évite une construction particulièrement moche comme « certains et certaines »)
Je suis pas du tout un militant de l'écriture inclusive mais le sous-entendu (souvent inconscient) me semble justement répandu.
Quand on parle, par exemple, des « dirigeants d’entreprise ». Normalement, ça inclut les femmes mais quand même, ça pue le boy’s club… à l’image de la réalité.
Tu écris « les dirigeant.e.s d’entreprise » et tu as tout de suite une nuance particulière qui n'était pas si évidente avant.
On pourrait faire le même parallèle avec « les infirmièr.e.s »…
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -5.
J’explique ici comment les prononcer et y’a rien de spectaculaire :
https://linuxfr.org/users/bortzmeyer/journaux/appel-de-plusieurs-organisations-a-imposer-un-minimum-d-interoperabilite-pour-les-gafa#comment-1772119
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -6.
Exactement, ça aussi c’est de l'écriture inclusive. Mais parfois, ça allonge les phrases inutilement ou on est obligé de passer par des répétitions moches donc c’est pratique de passer par des acronymes.
En tout cas, moi, je le l’utilise de cette façon.
On est d’accord que dans ce journal, y’a pas vraiment de cas ou l’utilisation d’acronymes est vraiment nécessaire. Mais parfois, c’est le cas et l’inclusif est pratique.
Fait le test avec le pluriel. Empiler les « le ou les » sur 3 lignes, ça devient vite relou à lire (effet texte juridique) et on en vient vite à utiliser « le(s) ». Pour le genre, c’est un peu pareil sauf qu’on avait pas vraiment de solutions à un moment et maintenant on en a une (imparfaite, soit, mais quelle solution est parfaite ?)
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -6.
Je suis pas un spécialiste du truc mais il me semble qu’il y a des règles assez claires sur le sujet sauf que, comme tous les trucs nouveaux et pas simples (car c’est pas simple, c’est une évidence), y’a PLEIN de gens qui ne maîtrisent pas ces règles (moi même, quand je l’utilise - c’est rare - c’est uniquement pour les cas simples)
Mais bon, c’est pas non plus excessivement difficile quand on voit un point ou un point médian dans un mot d’imaginer que c’est de l’inclusif et donc désigne les hommes et les femmes. La gymnastique mentale se fait très vite pour peu qu’on soit pas bêtement réfractaire
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -9.
Le problème est que ce n’est pas de l’humour… c’est le genre de « blague » qui est faite systématiquement au sujet de l'écriture inclusive et qui est parfaitement ridicule.
Tout n’est pas à prendre dans l’ecriture inclusive (j’aime pas spécialement les pronoms par exemple) mais c’est pas nécessaire de dire des absurdités pour tenter de décrédibiliser le truc en entier.
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -2.
il faut corriger les lecteurs de texte dans ce cas.
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -10.
Mais c'est pas difficile : il faut juste prendre l'écriture inclusive comme des acronymes.
Quand tu vois "utilisat·eur·rice·s", tu lis "utilisateurs et utilisatrices". Voilà.
C'est pas plus difficile.
C'est l'équivalent unisexe de "le(s) solution(s) potentielle(s) bla bla bla" qu'on pratique déjà parfois (et depuis longtemps) pour le pluriel. Rien de plus.
Je n'utilise que très rarement l'écriture inclusive mais ça me dérange pas à le lire. Je ne comprends pas les réactions épidermiques à ce sujet. C'est absurde et plutôt enfantin…
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -10.
y'a possibilité d'arreter les débilités de cour de CM1 ?
[^] # Re: Premier vote
Posté par Nico C. . En réponse au journal Appel de plusieurs organisations à imposer un minimum d'interopérabilité pour les GAFA. Évalué à -2.
Les gens sont fragiles… 2 ou 3 acronymes et ils sont perdus. Pour des informaticiens, c'est ballot
[^] # Re: site
Posté par Nico C. . En réponse au journal Clap de fin pour le langage de programmation en français : Linotte. Évalué à 3.
Ok.
Quoiqu’il en soit, si tu as besoin d’un bout de serveur pour ce projet, j’ai de la place pour.
# site
Posté par Nico C. . En réponse au journal Clap de fin pour le langage de programmation en français : Linotte. Évalué à 10.
Triste…
Tu disposes toujours des sources du site ? J'ai un coin de serveur dispo si tu veux les remettre en ligne (a toi de voir pour le domaine par contre)
[^] # Re: LEGO
Posté par Nico C. . En réponse au sondage Quel objet inutile avez‐vous sur votre bureau ?. Évalué à 4. Dernière modification le 16 mai 2019 à 15:54.
Moi j'ai 3 minifig stormtroopers, un R2D2 polybag, un Millenium Falcon Microfighter et un AT-AT Microfighter.
et 2 plantes vertes (Berthe et Josiane) et un pot de crayons inutiles.
[^] # Re: Rien à signaler chef !
Posté par Nico C. . En réponse au journal USB 3.0 : vitesse réelle... et vitesse rêvée.... Évalué à 2.
Il me semble que l'overhead de l'USB est > 10%… on tourne autour de 20-30% en moyenne je crois. A vérifier tout de même.
[^] # Re: Mais il va rester quoi à Linux ?
Posté par Nico C. . En réponse au journal Windows est enfin prêt pour le desktop . Évalué à -1.
Et dans une distrib, ton noyau linux est captif derriere un gnome ou un KDE ?
En fait, ce qui te gene, c'est pas que le noyau soit present qqpart, c'est que Gnome ou KDE n'y soit pas en fait… Sauf que bon, gnome et KDE, c'est pas le top du top du Libre…
# Mais il va rester quoi à Linux ?
Posté par Nico C. . En réponse au journal Windows est enfin prêt pour le desktop . Évalué à 6.
Tout le reste et ça fait un sacré paquet de trucs hi-tech à faire tourner…
Je crois qu'on peut tranquillement dire que Linux a largement gagné la guerre. Le desktop n'est qu'un petit village d'irréductibles gaulois à l'heure actuelle.
[^] # Re: causes
Posté par Nico C. . En réponse au journal Pourquoi les femmes ont déserté l’informatique dans les années 1980. Évalué à 0.
Oui voilà, c'est justement à cause d'attitudes comme ça qu'elles fuient.
Bravo pour l'illustration de mon propos
# causes
Posté par Nico C. . En réponse au journal Pourquoi les femmes ont déserté l’informatique dans les années 1980. Évalué à 6. Dernière modification le 21 avril 2019 à 18:49.
Il me semble pas que les causes soient encore très très claires mais ça pourrait venir encore et toujours de ce foutu sexisme…
D'après ce que j'ai vu sur le sujet, une partie du problème résiderait dans le fait qu'avant les années 80-90, le coté prestigieux de l'informatique concerne exclusivement (ou presque) le matériel. Et c'est là où sont les hommes (et donc la misogynie). Le logiciel étant vu comme un "job de secrétaire" donc plus ou moins le domaine des femmes (c'est, par exemple, typiquement la situation à la NASA dans les années 60 où a pu s'illustrer Margareth Hamilton et bien d'autres).
A partir des années 80-90, le logiciel devient progressivement un des domaines les plus prestigieux et les hommes se sont mis à l'envahir et donc pousser les femmes vers autre chose (en partie le fonctionnel, en partie l'analyse et en partie… dehors).
Une autre partie du problème serait lié aussi, comme dit avant, à l'orientation très centrée sur les garçons (et très excluante pour les filles) des jeux électroniques et notamment les 1ers jeux vidéos et micro ordinateurs.
Et enfin, certains disent aussi que les barrières sexistes des études supérieures en mathématiques en particulier et scientifiques en général depuis aussi qq décennies n'aident carrément pas malgré une différence de niveau quasi identique voire légèrement en faveur des filles…
Cette situation est vraiment triste, je trouve.
Et elle est très loin d'être réglée vu comme des scandales comme le GamerGate sont encore possibles de nos jours et une grande faiblesse voire une absence totale de filles dans les sections techniques (BTS, DUT, etc).
Il me semble que les cycles ingénieurs sont moins désertés mais la situation reste préoccupante.
# welcome to the jungle
Posté par Nico C. . En réponse au journal Navigateur web, l'impossible choix. Évalué à 3.
Mais, genre, on se fait bouffer ou bien ?
[^] # Re: Production pas durable
Posté par Nico C. . En réponse au journal Refaire fonctionner des portables dans un fablab. Évalué à 3.
Si ce n'est que le connecteur, c'est assez facile à faire même avec des gros doigts…
Le plus difficile reste de bien démonter le bazar sans rien casser et bien le remonter après sans rien laisser de coté.
# Veolia North America
Posté par Nico C. . En réponse au journal Un recrutement racé chez VEOLIA. Évalué à 7.
Visiblement, c'est un recrutement géré par la filiale US (au moins au niveau de l'outil de gestion des candidatures) et c'est non seulement autorisé là bas mais assez courant.
Et visiblement aussi, ils se foutent des spécificités juridiques locales…