Ce à quoi l'autre monsieur répond que si il connait un système de fichier tournant sur un LVM (qu'il a abrégé FS+LVM), il est potentiellement prenneur.
> D'ailleurs, c'est ce que font les éditeurs quand ils distribuent des applications sous MS Windows...
Oui, sauf qui si tu comptes les versions majeures de Windows dans les 5 dernières années, et que tu compares avec le nombre de releases majeures de distributions Linux sur la même période, bah ça fait quand même pas le même boulot.
Je n'ai pas encore trouvé beaucoup de choses que OOo fasse et que Word 97 ne faisait pas (inversement, il y a des choses que Word 97 faisait et que OOo ne fait pas). Or, Word 97 + Windows 98, ça tournait raisonnablement bien avec 48Mo de RAM sur un P133.
Visiblement, génération NT fait de la pub par mot clé, comme les google adWords, quoi. MS a du acheter le mot-clé "open-source" pour le faire pointer sur leur campagne de pub.
Le numéro de sécu, dont le nom officiel est « Numéro d'inscription au répertoire » est fait pour être unique, et il l'est. Le répertoire national d'identification des personnes physiques est basé sur ce principe.
Le numéro, qui selon toi commence forcément à 000 ou à 001 est en fait « numéro d'ordre permettant de distinguer les personnes nées au même lieu à la même période. ».
Je ne vois pas très bien pourquoi les gens s'embeteraient à réinitialiser ce compteur. Si le dernier mec né en janvier 1905 porte le numéro 472, pourquoi diable les gens s'emmerderaient à renumérotter à partir de 0 en janvier 2005 ? Et quand le compteur arrive en bout d'intervalle, c'est prévu aussi.
Au cas où le nombre de naissances dépasse 999 pour une commune et un mois donné, un "code commune extension" est utilisé pour garantir l'unicité du NIR.
(cette dernière page rappelle d'ailleurs que Le numéro d'inscription au répertoire (NIR) est l'identifiant unique des individus inscrits au RNIPP.)
Il y a moins de 1 000 000 naissances par an en France, donc moins de 100 000 naissances par mois en moyenne. Réparti sur la centaine de départements français, tu as donc moins de 1000 naissances par département et par mois. Or, les départements sont eux mêmes coupés en potentiellement 1000 codes communes (en pratique, je suppose que c'est beaucoup moins, mais que les codes inutilisés sont gardés en reserve, ce qui revient au même). Donc, on peut tenir environ 1000 siècles à ce rythme là avant d'avoir la première collision. Ce jour là, il suffira de s'assurer que la personne née 100 000 ans plus tôt est bien décédée ...
> Le domaine des VCS est un domaine où l'avantage des logiciels libres est net.
Mouais. Va expliquer ça à Torvalds ...
L'avantage est probablement en train de revenir aux logiciels libres, mais prétendre qu'il y a quelques années (ou hors CVS, point de salut), le libre devançait le propriétaire (on ne citera que ClearCase et BitKeeper), c'est un peu fort de café.
> P.ex., tu vas là [1] et là [2], et tu vois que :
On est d'accord sur les hypothese, mais nulle part, tu ne justifie ta définition de "numéro de sécurité sociale". Or justement, je me permet de remettre en question la définition que tu donnes.
> 1. quand tu n'as pas 16 ans, tu ne peux avoir de carte vitale ;
> 2. il y a plusieurs bénéficiaires par carte, alors que la carte est associée à un seul titulaire.
... et quand il y a plusieurs bénéficiaires, sur la feuille de soin, tu as deux cases distinctes :
Numéro d'imatriculation du bénéficiaire des soins : .....
Numéro d'imatriculation de l'assuré : ....
(avec une mention pour le cas ou le numéro n'a pas été communiqué au bénéficiaire)
Je ne vois pas comment tu peux en déduire que dans ce cas, le numéro de sécu du bénéficiaire _est_ celui de l'assuré.
> (Je suis arrivé à ces pages en tapant « sécurité sociale » et en trois ou quatre
> clics.)
J'ai fait les mêmes recherches que toi, mais moi, je cherchais la définition de "numéro de sécurité sociale".
La recherche suivante, par exemple, en donne une assez simple
http://www.ginkgo.tm.fr/lexique-40.php Le numéro de Sécurité sociale est le numéro d'identification de chaque citoyen. Il permet à la Sécurité sociale de rembourser les frais de santé. Il se compose de codes établis à partir du sexe de la personne, de sa date de naissance et du lieu de naissance.
> (C'est marrant où on en arrive pour un petit chipotage ;o)
Tu veux dire qu'il y aurait en France deux personnes qui auraient le même numéro de sécu ? Ca doit être chiant, chaque fois que l'un va chez le medecin, c'est l'autre qui se fait rembourser ;-).
(hint: les numéros de sécurité sociales sont attribués par une autorité centralisée, et y'a pas que ta date de naissance comme chiffre)
Le "problème" de bzr, c'est qu'il a essayé d'être bien conçu avant d'essayer d'être fonctionnel. Du coup, forcément, les gens qui ont testé une version 0.0.x ont été un peu décu, mais ça évolue vraiment vite depuis.
Aujourd'hui, je peux faire par exemple:
$ bzr branch http://bazaar-ng.org/bzr/bzr.dev
$ cd bzr.dev
<hack hack hack>
$ bzr commit -m "killer feature"
# Récupérer les modifs de bzr.dev depuis le branch
$ bzr merge
$ bzr commit
# publier mes changements
$ bzr push sftp://shells.sourceforge.net/bla-bla-bla
$ echo "tu peux merger" | mail auteur-de-bzr
Plus tard, il y aura a priori un "brz send" comme le fameux "darcs send".
En ce moment, Canonical est en train de faire sa migration en interne. Pour une idée de la quantité d'archives gérées, voir par exemple http://bazaar.ubuntu.com/ (pour l'instant, ces archives utilisent bazaar 1.x). La notion de gestion de version décentralisée est au coeur de la politique de Canonical et des idées de Mark Shuttleworth : le but est de favoriser la coopération entre les distributions. Quand ubuntu modifie un logiciel pour sa distrib, les modifications sont publiées en utilisant un gestionnaire de versions, c'est à dire proprement, avec un message de commit pour chaque modif, éventuellement plusieurs branches, et pas juste un gros patch. Bref, tout ça pour dire qu'il y a des exigences bien plus importantes que RCS derrière bzr ;-).
Je trouve Bazaar 1 déjà très bon (mais trop compliqué pour les débutants, et pas assez rapide), tu peux te douter que Bazaar 2 a pour ambition d'être mieux.
(ceci dit, le fait que bzr soit bien ne fait pas des autres des mauvais gestionnaires de versions)
Bon, oui, mais si on peu plus troller tranquille sur linuxfr !!!
Plus sérieusement, évidemment que tu ne peux pas faire une présentation qui parle de tout les gestionnaires de versions, mais il me semble que bzr mérite d'être au moins mentionné, il a beaucoup de potentiel et pourrait être un de ceux qui ne disparaitront pas dans moins de deux ans justement.
> j'ai plus l'impression que bzr est un remplaçant de RCS (l'ancètre de CVS ?).
Tu peux développer ?
J'ai jamais utilisé RCS, mais je crois pas qu'on pouvais faire de merge d'un repository à l'autre, qu'il y avait un support http/sftp, un historique des merge, un opérateur de merge basé sur les "weaves" (comment on traduit ça ?), une selection des patchs section par section, une gestion des renommages correcte, des commit atomics ...
Bref, à part le fait que l'archive est dans le répertoire de travail, qu'est-ce qu'il y a comme point commun entre RCS et bzr ?
Il n'est pas encore tout à fait fini, mais il est proche de Darcs au niveau de l'utilisation (et en particulier de la simplicité d'utilisation).
Une de ses grande forces, c'est son système de plugins (écrits en Python). Il permet d'avoir une base de code et un ensemble de commands pas trop gros, mais en permettant aux utilisateurs avancés de rajouter ce dont ils ont besoin en installant un plugin.
Le projet est jeune, mais il y a une communauté très active derrière (une bonne partie des anciens contributeurs de GNU Arch, et plusieurs salariés Canonical à plein temps), il avance vraiment très vite.
J'en profite pour faire de la pub pour le package Emacs qui permet d'utiliser bzr depuis Emacs (loin d'être fini, mais ça commence à marcher pas trop mal pour visualiser des diffs et commiter), successeur de Xtla pour ceux qui connaissent (il supportera aussi mercurial dans un futur proche si tout va bien):
> Si pour le moment, ce ne sont que des infos administratives, c'est bien.
> Je veux pouvoir m'assurer que celà restera comme ça.
Ça ne changerait pas grand chose. Ta carte contient un identifiant unique, si les gens qui font la carte vitale veulent stoquer des infos sur toi, ça leur suffit amplement.
Là, on parle de plugin Gimp payant, donc l'intérêt d'un logiciel confidentiel pas distribué du tout est assez faible (vendre un plugin à toi-même, ça rapporte pas super ;-). Enfin, d'après ce qui est dit plus bas, il y a des bibliothèques LGPL pour faire des plugins Gimp, ça peut être une solution, j'ai pas étudié la question de plus près.
[^] # Re: A coté de la plaque.
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal ZFS. Évalué à 3.
[^] # Re: Mono ou DotGNU ?
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview De Icaza et actualité Mono. Évalué à 2.
Je n'ai pas très bien compris la différence entre les deux ni l'intérêt d'en avoir deux. Quelque éléments de réponses ici
http://www.southern-storm.com.au/pnet_faq.html#q11_1
(à l'inverse, dotGNU est à peine mentionné sur le site de mono)
> est-il envisageable / prévu de concevoir un frontend à GCC
En fait, ça n'est pas seulement un front-end qu'il faudrait, mais aussi un back-end qui génèrerait du byte-code pour la machine virtuelle.
[^] # Re: Bonjour la pensée unique
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Linux Standard Base devient une norme ISO. Évalué à 1.
Oui, sauf qui si tu comptes les versions majeures de Windows dans les 5 dernières années, et que tu compares avec le nombre de releases majeures de distributions Linux sur la même période, bah ça fait quand même pas le même boulot.
[^] # Re: Bonjour la pensée unique
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Linux Standard Base devient une norme ISO. Évalué à 2.
Devine si la boite en question a envie de faire un package par distrib.
[^] # Re: Bonjour la pensée unique
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Linux Standard Base devient une norme ISO. Évalué à 1.
Non, parce que la dernière fois que j'ai entendu parler de ça, c'était un 1er avril...
# Oui, mais maintenant ...
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au message [Terminal] Utiliser emacs dans un script. Évalué à 2.
# orthographe
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal Chose promise, chose due. Évalué à 2.
J'ai pas compris non plus ce que venais faire le Crédit Lyonnais dans l'histoire. Il vaut sans doute mieux supprimer ce paragraphe.
Mais globalement, le texte est très bon.
[^] # Re: Echec
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal [UE] Petite expérience. Évalué à 2.
# Pub par mot clé ...
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal Guerre de navigateur ou guerre de la pub ?. Évalué à 4.
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 3.
Le numéro, qui selon toi commence forcément à 000 ou à 001 est en fait « numéro d'ordre permettant de distinguer les personnes nées au même lieu à la même période. ».
http://www.legifrance.gouv.fr/texteconsolide/SSHAVP.htm
Je ne vois pas très bien pourquoi les gens s'embeteraient à réinitialiser ce compteur. Si le dernier mec né en janvier 1905 porte le numéro 472, pourquoi diable les gens s'emmerderaient à renumérotter à partir de 0 en janvier 2005 ? Et quand le compteur arrive en bout d'intervalle, c'est prévu aussi.
Au cas où le nombre de naissances dépasse 999 pour une commune et un mois donné, un "code commune extension" est utilisé pour garantir l'unicité du NIR.
http://xml.insee.fr/schema/nir.html
(cette dernière page rappelle d'ailleurs que Le numéro d'inscription au répertoire (NIR) est l'identifiant unique des individus inscrits au RNIPP.)
Il y a moins de 1 000 000 naissances par an en France, donc moins de 100 000 naissances par mois en moyenne. Réparti sur la centaine de départements français, tu as donc moins de 1000 naissances par département et par mois. Or, les départements sont eux mêmes coupés en potentiellement 1000 codes communes (en pratique, je suppose que c'est beaucoup moins, mais que les codes inutilisés sont gardés en reserve, ce qui revient au même). Donc, on peut tenir environ 1000 siècles à ce rythme là avant d'avoir la première collision. Ce jour là, il suffira de s'assurer que la personne née 100 000 ans plus tôt est bien décédée ...
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 2.
Ce lien me parait intéressant. On peut y lire
Votre numéro d'immatriculation est unique,
> même numéro INSEE (000 ou 001 je présume).
Moi, je présume pas, justement.
[^] # Re: Diverses remarques
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Parinux : Les nouveaux systèmes de gestion de version. Évalué à 6.
Mouais. Va expliquer ça à Torvalds ...
L'avantage est probablement en train de revenir aux logiciels libres, mais prétendre qu'il y a quelques années (ou hors CVS, point de salut), le libre devançait le propriétaire (on ne citera que ClearCase et BitKeeper), c'est un peu fort de café.
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 2.
On est d'accord sur les hypothese, mais nulle part, tu ne justifie ta définition de "numéro de sécurité sociale". Or justement, je me permet de remettre en question la définition que tu donnes.
> 1. quand tu n'as pas 16 ans, tu ne peux avoir de carte vitale ;
> 2. il y a plusieurs bénéficiaires par carte, alors que la carte est associée à un seul titulaire.
... et quand il y a plusieurs bénéficiaires, sur la feuille de soin, tu as deux cases distinctes :
Numéro d'imatriculation du bénéficiaire des soins : .....
Numéro d'imatriculation de l'assuré : ....
(avec une mention pour le cas ou le numéro n'a pas été communiqué au bénéficiaire)
Je ne vois pas comment tu peux en déduire que dans ce cas, le numéro de sécu du bénéficiaire _est_ celui de l'assuré.
> (Je suis arrivé à ces pages en tapant « sécurité sociale » et en trois ou quatre
> clics.)
J'ai fait les mêmes recherches que toi, mais moi, je cherchais la définition de "numéro de sécurité sociale".
La recherche suivante, par exemple, en donne une assez simple
http://www.google.fr/search?q=%22num%C3%A9ro+de+s%C3%A9curit(...)
...votre 'numéro de Sécurité sociale' également appelé 'numéro INSEE'...
Tu peux aussi tomber sur celle-là
http://www.ginkgo.tm.fr/lexique-40.php
Le numéro de Sécurité sociale est le numéro d'identification de chaque citoyen. Il permet à la Sécurité sociale de rembourser les frais de santé. Il se compose de codes établis à partir du sexe de la personne, de sa date de naissance et du lieu de naissance.
> (C'est marrant où on en arrive pour un petit chipotage ;o)
On est d'accord ;-).
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 2.
Tout ce que je trouve sur le web (y compris sur des sites en .gouv.fr) me disent que c'est synonyme.
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 3.
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 4.
(hint: les numéros de sécurité sociales sont attribués par une autorité centralisée, et y'a pas que ta date de naissance comme chiffre)
[^] # Re: Y'a aussi Bazaar 2
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Parinux : Les nouveaux systèmes de gestion de version. Évalué à 5.
Aujourd'hui, je peux faire par exemple:
$ bzr branch http://bazaar-ng.org/bzr/bzr.dev
$ cd bzr.dev
<hack hack hack>
$ bzr commit -m "killer feature"
# Récupérer les modifs de bzr.dev depuis le branch
$ bzr merge
$ bzr commit
# publier mes changements
$ bzr push sftp://shells.sourceforge.net/bla-bla-bla
$ echo "tu peux merger" | mail auteur-de-bzr
Plus tard, il y aura a priori un "brz send" comme le fameux "darcs send".
En ce moment, Canonical est en train de faire sa migration en interne. Pour une idée de la quantité d'archives gérées, voir par exemple http://bazaar.ubuntu.com/ (pour l'instant, ces archives utilisent bazaar 1.x). La notion de gestion de version décentralisée est au coeur de la politique de Canonical et des idées de Mark Shuttleworth : le but est de favoriser la coopération entre les distributions. Quand ubuntu modifie un logiciel pour sa distrib, les modifications sont publiées en utilisant un gestionnaire de versions, c'est à dire proprement, avec un message de commit pour chaque modif, éventuellement plusieurs branches, et pas juste un gros patch. Bref, tout ça pour dire qu'il y a des exigences bien plus importantes que RCS derrière bzr ;-).
Je trouve Bazaar 1 déjà très bon (mais trop compliqué pour les débutants, et pas assez rapide), tu peux te douter que Bazaar 2 a pour ambition d'être mieux.
(ceci dit, le fait que bzr soit bien ne fait pas des autres des mauvais gestionnaires de versions)
[^] # Re: Y'a aussi Bazaar 2
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Parinux : Les nouveaux systèmes de gestion de version. Évalué à -1.
Plus sérieusement, évidemment que tu ne peux pas faire une présentation qui parle de tout les gestionnaires de versions, mais il me semble que bzr mérite d'être au moins mentionné, il a beaucoup de potentiel et pourrait être un de ceux qui ne disparaitront pas dans moins de deux ans justement.
[^] # Re: Y'a aussi Bazaar 2
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Parinux : Les nouveaux systèmes de gestion de version. Évalué à 5.
Tu peux développer ?
J'ai jamais utilisé RCS, mais je crois pas qu'on pouvais faire de merge d'un repository à l'autre, qu'il y avait un support http/sftp, un historique des merge, un opérateur de merge basé sur les "weaves" (comment on traduit ça ?), une selection des patchs section par section, une gestion des renommages correcte, des commit atomics ...
Bref, à part le fait que l'archive est dans le répertoire de travail, qu'est-ce qu'il y a comme point commun entre RCS et bzr ?
# Y'a aussi Bazaar 2
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Parinux : Les nouveaux systèmes de gestion de version. Évalué à 7.
http://bazaar.canonical.com/Bzr
Il n'est pas encore tout à fait fini, mais il est proche de Darcs au niveau de l'utilisation (et en particulier de la simplicité d'utilisation).
Une de ses grande forces, c'est son système de plugins (écrits en Python). Il permet d'avoir une base de code et un ensemble de commands pas trop gros, mais en permettant aux utilisateurs avancés de rajouter ce dont ils ont besoin en installant un plugin.
Le projet est jeune, mais il y a une communauté très active derrière (une bonne partie des anciens contributeurs de GNU Arch, et plusieurs salariés Canonical à plein temps), il avance vraiment très vite.
J'en profite pour faire de la pub pour le package Emacs qui permet d'utiliser bzr depuis Emacs (loin d'être fini, mais ça commence à marcher pas trop mal pour visualiser des diffs et commiter), successeur de Xtla pour ceux qui connaissent (il supportera aussi mercurial dans un futur proche si tout va bien):
http://wiki.gnuarch.org/xtla#DVC
[^] # Re: Unclutter
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au message Masquer pointeur souris. Évalué à 2.
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 2.
[^] # Re: point positif :)
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse au journal des chevaux de Troie dans la carte Vitale ?. Évalué à 2.
> Je veux pouvoir m'assurer que celà restera comme ça.
Ça ne changerait pas grand chose. Ta carte contient un identifiant unique, si les gens qui font la carte vitale veulent stoquer des infos sur toi, ça leur suffit amplement.
[^] # Re: Explication
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Xara Xtreme passe sous GPL et se rapproche d'Inkscape. Évalué à 3.
Distribuer un soft GPL sous accord de confidentialité est interdit par la GPL, c'est pas moi qui le dit, c'est RMS :
http://gcc.gnu.org/ml/gcc/2001-07/msg01342.html
Là, on parle de plugin Gimp payant, donc l'intérêt d'un logiciel confidentiel pas distribué du tout est assez faible (vendre un plugin à toi-même, ça rapporte pas super ;-). Enfin, d'après ce qui est dit plus bas, il y a des bibliothèques LGPL pour faire des plugins Gimp, ça peut être une solution, j'ai pas étudié la question de plus près.
[^] # Re: Explication
Posté par Matthieu Moy (site web personnel) . En réponse à la dépêche Xara Xtreme passe sous GPL et se rapproche d'Inkscape. Évalué à 1.
La GPL l'interdit, donc, trouve autre chose :-\.